Joab Posté(e) le 17 mars 2015 Share Posté(e) le 17 mars 2015 (modifié) Le parti s'appelle Koulanou (nous tous). Pas la moindre idée vers qui il va pencher pour le moment. Sur le plan personnel, son leader a des rapports execrables avec Netanyahou, mais d'un autre coté, c'est un peu le cas de tout le monde. Sur le long terme, la situation est inextricable dans le système electoral actuel. Le conflit avec les palestiniens ne sera pas résolu par un gouvernement de droite, la gauche ne peut pas gouverner sans les arabes, et les arabes ne participeront pas à une coalition tant que le conflit avec les palestinien n'est pas résolu. Dépendance circulaire... Modifié le 17 mars 2015 par Joab Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Joab Posté(e) le 18 mars 2015 Share Posté(e) le 18 mars 2015 Finalement, ce sera le gouvernement le plus à droite de l'histoire. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
nemo Posté(e) le 18 mars 2015 Share Posté(e) le 18 mars 2015 Finalement, ce sera le gouvernement le plus à droite de l'histoire. C'était déjà le cas du précédent non? Toujours plus à droite alors? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Joab Posté(e) le 18 mars 2015 Share Posté(e) le 18 mars 2015 Non pas le précédent. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 18 mars 2015 Share Posté(e) le 18 mars 2015 Les électeurs israéliens sont décidément impayables... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tancrède Posté(e) le 18 mars 2015 Share Posté(e) le 18 mars 2015 Les électeurs israéliens sont décidément impayables... Pas comme leurs politiciens qui sont extrêmement payables :-X .... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Joab Posté(e) le 18 mars 2015 Share Posté(e) le 18 mars 2015 (modifié) Ce n'est pas le score de la droite qui est le plus elevé de l'histoire, c'est surtout qu'elle est dans une configuration ou elle peut gouverner sans parti centriste et donc on aura un gouvernement très à droite. Modifié le 18 mars 2015 par Joab Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 18 mars 2015 Share Posté(e) le 18 mars 2015 Les électeurs israéliens sont décidément impayables... Je pense qu'il leur a manqué un certain courage politique. Ils ont préféré ne pas prendre de risque, voter pour ce qu'ils connaissaient déjà, quitte à continuer à foncer dans le mur. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 18 mars 2015 Share Posté(e) le 18 mars 2015 Pas comme leurs politiciens qui sont extrêmement payables :-X .... "Les hommes politiques ne sont pas à vendre. D'ailleurs, on n'a pas dit combien". (Coluche) O0 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loki Posté(e) le 18 mars 2015 Auteur Share Posté(e) le 18 mars 2015 Bon pas d'accord de paix ni d'état palestinien avant les prochaines électionsEspérons surtout que ça ne dégénère pas avec l'IranLa coalition gouvernementale comprendrait quels partis ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Joab Posté(e) le 18 mars 2015 Share Posté(e) le 18 mars 2015 (modifié) Majorité: Likoud: Droite nationaliste, laïque et libérale: 30 sièges (Natanyahou). Koulanou: Droite sociale: 10 sièges (Kahalon). Habyit Hayehoudi: Nationaliste-religieux: 8 sièges (Bennet). Shas: Religieux séfarades: 7 sièges (Deri). Yehadout Hatorah: Religieux ashkénazes: 6 sièges (Gafni). Israël béténou: Droite nationaliste laïque issu de l'immigration post-soviétique: 6 (Lieberman). Opposition: Camp sioniste: Centre gauche 24 sièges (Herzog) Liste arabe: Communistes, nationalistes arabes et islamistes 14 sièges (Ouda). Yesh Atid: Centre laïque 11 sièges (Lapid) Meretz: Gauche sociale démocrate et écolo. 4 sièges (Galon) Modifié le 18 mars 2015 par Joab Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tancrède Posté(e) le 18 mars 2015 Share Posté(e) le 18 mars 2015 Question: dans quelle mesure la scène politique (particulièrement la nouvelle opposition) peut-elle se consolider, se concentrer en moins de factions pesant plus lourd? L'Union Sioniste est-elle un truc de circonstance, ou bien a t-elle des chances de durer en tant qu'organisation, et avec ce niveau (ou plus) de sièges/popularité? Les divers mouvements arabes, ici réunis en une liste, vont-ils pouvoir faire de même (ils me semblent vraiment TRES composites)? Ou bien le mode de scrutin et les camps tels qu'ils se sont définis et constitués (c'est dur de rassembler et maintenir une base électorale bien circonscrite: on en fait un camp, une identité.... Pour aider, ce qui crée des mécanismes assez permanents) risquent-ils plus de ramener tout effort de consolidation plus accentuée aux fondamentaux plus épars qui les constituent, soit ces électorats assez retranchés? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Héliphas Posté(e) le 18 mars 2015 Share Posté(e) le 18 mars 2015 (modifié) Majorité: Likoud: Droite nationaliste, laïque et libérale: 30 sièges (Natanyahou). Koulanou: Droite sociale: 10 sièges (Kahalon). Habyit Hayehoudi: Nationaliste-religieux: 8 sièges (Bennet). Shas: Religieux séfarades: 7 sièges (Deri). Yehadout Hatorah: Religieux ashkénazes: 6 sièges (Gafni). Israël béténou: Droite nationaliste laïque issu de l'immigration post-soviétique: 6 (Lieberman). Opposition: Camp sioniste: Centre gauche 27 sièges (Herzog) Liste arabe: Communistes, nationalistes arabes et islamistes 14 sièges (Ouda). Yesh Atid: Centre laïque 11 sièges (Lapid) Meretz: Gauche sociale démocrate et écolo. 4 sièges (Galon) Merci Joab C'est plus clair comme ça, on comprends mieux ce qui se joue. Modifié le 18 mars 2015 par Héliphas Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Joab Posté(e) le 18 mars 2015 Share Posté(e) le 18 mars 2015 (modifié) dans quelle mesure la scène politique (particulièrement la nouvelle opposition) peut-elle se consolider, se concentrer en moins de factions pesant plus lourd? A droite, je pense qu'à terme, lorsque la communauté russe se sera assimilée, le parti de Lieberman pourrait fusionner avec le Likoud. Pareils pour le parti de droite sociale. A gauche, difficile à dire. L'Union Sioniste est-elle un truc de circonstance, ou bien a t-elle des chances de durer en tant qu'organisation, et avec ce niveau (ou plus) de sièges/popularité? Non, c'est juste le nouveau nom du parti travailliste, celui qui a fondé l'état et qui l'a gouverné pendant les trente premières années de son existence. En tant qu'organisation, je ne le vois pas disparaître de si tôt. Pour ce qui est de la popularité, difficile à dire. Il a un électorat captif (une bonne partie des Kibboutz, officiers supérieurs de l'armée et des services de renseignement, syndicats) mais je ne sais pas s'il peut aller au delà. Les divers mouvements arabes, ici réunis en une liste, vont-ils pouvoir faire de même (ils me semblent vraiment TRES composites)? A mon avis, les partis arabes continueront à se présenter sur une liste commune, vu que la compétition et la division décourage une partie de l’électorat arabe. Mais il ne se joindront jamais à une coalition vu que presque tous (tous en dehors des communistes) ont des revendications contraires à celles de la totalité des autres partis juifs (abolir la loi du retour par exemple). Je pense que le système électoral entraînera à chaque élection ou presque l’émergence d'une nouvelle liste qui fera campagne électorale sur un sujet bien précis, pressant ou à la mode, et qui risque de se retrouver en position de faiseurs de rois. On a eu le parti des retraités il y a quelque temps lorsque la question des retraites était pressante, le parti des retraits unilatéraux des territoires quand cette politique était à la monde, on a le parti de droite sociale aujourd'hui que la question du coût de la vie et des monopoles est pressante. Ces partis ne existeront toujours mais ne feront pas long feu sur le long terme. Modifié le 18 mars 2015 par Joab Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tancrède Posté(e) le 18 mars 2015 Share Posté(e) le 18 mars 2015 A droite, je pense qu'à terme, lorsque la communauté russe se sera assimilée, le parti de Lieberman pourrait fusionner avec le Likoud. Pareils pour le parti de droite sociale. A gauche, difficile à dire. Merci; j'ai eu effectivement plusieurs amis juifs ayant des connections (essentiellement familiales.... Mais j'aime bien dire ce mot: il fait sérieux ??? ) en Israël, qui me disaient que la faction Lieberman, lui en tête, n'aurait jamais plus qu'une minorité plus ou moins active tant qu'ils en seraient à la première génération de migrants, Lieberman lui-même ne pouvant au final que plafonner parce qu'il n'est pas sabra et que ça compte plus que ce que la plupart des Israéliens seraient prêts à admettre. Non, c'est juste le nouveau nom du parti travailliste, celui qui a fondé l'état et qui l'a gouverné pendant les trente premières années de son existence. En tant qu'organisation, je ne le vois pas disparaitre de sitot. Pour ce qui est de la popularité, difficile à dire. Il a un electorat captif (une bonne partie des Kibboutz, officiers supérieurs de l'armée et des services de renseignement, syndicats) mais je ne sais pas s'il peut aller au delà. Oui, je savais que c'était autour du parti travailliste, mais il m'avait semblé que c'était quand même une coalition réunissant plusieurs mouvances (autour d'une absolument dominante, donc). C'est donc juste un changement de nom? A mon avis, les partis arabes continueront à se présenter sur une liste commune, vu que la compétition et la division décourage une partie de l’électorat arabe. Mais il ne se joindront jamais à une coalition vu que presque tous (tous en dehors des communistes) ont des revendications contraires à celles de la totalité des autres partis juifs (abolir la loi du retour par exemple). Et aucun (y'en a pourtant pas mal) ne semble prêt à se résigner à la jouer "gouvernemental"? Ca semble un avis partagé très puissant pour une constellation si diverse en termes de mouvances politiques. Je pense que le système electoral entrainera à chaque election ou presque l'emergence d'une nouvelle liste qui fera campgane electorale sur un sujet bien précis, pressant ou à la mode, et qui risque de se retrouver en position de faiseurs de rois. On a eu le parti des retraités il y a quelque temps lorsque la question des retraites était pressante, on a le parti de droite sociale aujourd'hui que la question du cout de la vie et des monopoles est pressante. Ca semble pas très solide, à moyen terme, comme direction pour un pays (se coaliser de façon plus ou moins bancale pour le temps d'une législature, avec fort risque que ça pète à terme ou avant terme): le parlementarisme (insistance sur le "-isme") dans ce qu'il a de pire et de plus atomisant. Pour un Français, "les petits partis cuisant leur petite soupe au coin de leur petit feu". D'autant plus dangereux dans le cas d'Israël qu'il y a la situation géopolitique particulière du pays qui fait d'un exutoire extérieur un outil bien commode pour trouver le plus petit dénominateur commun à une coalition fragile incapable de se mettre d'accord sur rien: taper sur les Palestiniens, et/ou pousser à l'aventurisme en Iran. La rhétorique de Bibi pendant la campagne, et son porte voix aux USA (essentiellement les ultra conservateurs dans le genre de la bande des 47 débiles s'essayant à la correspondance avec Téhéran), ont à cet égard posé de nouveaux jalons dans une potentielle escalade. Artifice électoraliste pour l'instant sans doute, mais dans quelle mesure, et pour combien de temps. D'après ce que me disent mes -non représentatifs, c'est certain- "connections" ;) , autant le niveau globalement croissant de racisme/ressentiment/crainte en Israël que la courte vue volontaire des politiciens (peu intéressés par autre chose que les quelques semaines qui suivent et/ou la prochaine échéance électorale), leur entrisme corrompu à l'extrême, et leur démagogie plus ou moins inconséquente (souvent des maux de la démocratie.... Mais dans un environnement explosif, c'est plus vite plus problématique), laissent mal augurer des prochaines années. Ils me donnent une impression de pessimisme fondamental sur l'avenir proche, tant l'absence de perspective sur la situation sécuritaire locale font des hypothèses dramatiques (appartheid, exode/extermination des Palestiniens, guerre avec l'Iran) les seules crédibles. Pas un écho qu'aucun d'entre eux ou de leurs connaissances croit à autre chose (pourtant, ils sont pas tous ashkénazes, donc n'ont pas tous l'excuse du pessimisme inné :-[ ). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Joab Posté(e) le 18 mars 2015 Share Posté(e) le 18 mars 2015 Je pense qu'il leur a manqué un certain courage politique. C'est surtout la peur. A tort ou à raison, Netanyahou fait passer Israël pour un havre de sécurité alors qu'à une heure de route de la frontière, on s'entre tue entre Al Qaida et régime syrien, parfois à coup d'armes chimiques. Il y a le Hezbollah au nord, le Hamas au sud, l'Egypte qui n'est pas sortie du chaos, la menace iranienne. On compare les choix electoraux des israéliens à ceux des européens, mais les evenements que cite ne sont absolument pas perçu avec la même peur et avec le même sens de l'urgence quand on vit à Haifa que quand on vit à Amsterdam. Au milieu de tout ça beaucoup n'ont envie de prendre le risque de changer de politique. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Joab Posté(e) le 18 mars 2015 Share Posté(e) le 18 mars 2015 (modifié) Oui, je savais que c'était autour du parti travailliste, mais il m'avait semblé que c'était quand même une coalition réunissant plusieurs mouvances (autour d'une absolument dominante, donc). C'est donc juste un changement de nom? Sur les 24 députés de la liste, seuls deux ne sont pas travaillistes et encore, l'un des deux est un ancien travailliste. Ce changement de nom était un peu une opération marketing. La gauche a tellement été délégitimée depuis la seconde Intifada qu'il a fallu faire apparaître le mot sioniste dans le nom. Et aucun (y'en a pourtant pas mal) ne semble prêt à se résigner à la jouer "gouvernemental"? Ca semble un avis partagé très puissant pour une constellation si diverse en termes de mouvances politiques. Aucun ne prendrait le risque à mon avis. Si un de ces participait à un gouvernement et que celui-ci échouait à mettre fin à l'occupation, à la colonisation et à avoir une action massive sur les discriminations subies par les arabes (et c'est un pari assez périlleux, d'autant plus que sur l'occupation, ça dépend de plein de facteurs externes à Israël), il sera déconsidéré au sein de sa base électorale. Et si Israël devait s'engager dans une guerre, aucun parti arabe n'assumerait de rester dans le gouvernement. Les partis sont idéologiquement divers, l'electoral arabe l'est beaucoup moins. Lieberman lui-même ne pouvant au final que plafonner parce qu'il n'est pas sabra et que ça compte plus que ce que la plupart des Israéliens seraient prêts à admettre. Clairement, ne serait-ce que l'accent russe joue en sa défaveur. Je pense que les prochaines années seront dures pour le pays, qu'il y aura une impasse dans les négociation avec les palestiniens, que le racisme n'est pas prêt de descendre, que l'isolement d'Israël va s'accroitre, que l'alliance avec les Etats-Unis est en danger (c'était un consensus bipartisan, le Likoud est en train d'aliéner le parti démocrate)...etc Mais bon, quand je vois les pays autour... Modifié le 18 mars 2015 par Joab Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mani Posté(e) le 19 mars 2015 Share Posté(e) le 19 mars 2015 (modifié) Le PM indien envoie un message de félicitation en hébreu à B. Netanyahu ! Le Premier ministre indien Narendra Modi a félicité le Premier ministre Netanyahu en hébreu, après son succès électoral d’hier soir. Dans un post publié sur le compte twitter de Modi, il a écrit en hébreu « Mazel tov, mon ami Bibi Netanyahu. Je me souviens de notre rencontre chaleureuse à New York en septembre dernier», suivi par une traduction en anglais dans un tweet séparée. Le message a même été re-twitté par B. Netanyahu ! Modi a été l’un des quelques dignitaires à travers le monde à avoir envoyé ses souhaits de réussite à Netanyahu. http://jssnews.com/2015/03/18/le-pm-indien-envoie-un-message-de-felicitation-en-hebreu-a-b-netanyahu/ S'il est reconduit au poste de Premier ministre Netanyahu, cela facilitera des visites et des rencontres officielles entre premiers ministres indien et israélien, soit en Israël ou en Inde ou les deux. Une chose qui me frappe et osé, C'est Narendra Modi qui appelle Netanyahu "Bibi". Je me demande comment ce dernier l'appelle comme surnom ?! Résultat 2015 complet à 99 % : http://www.haaretz.com/news/israel-election-2015/1.647603 Modifié le 19 mars 2015 par Mani Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Coriace Posté(e) le 19 mars 2015 Share Posté(e) le 19 mars 2015 Je me demande Tancrede si justement les pays voisins de par leur situation ne sont pas le meilleur argument du Likoud. Ils légitimité nt la crainte sécuritaire ( un état palestinien signifierait un changement de Terres et donc que le mur tant honnis par les Européen serait inutile. A côté de ça, deuxième vague, ils montrent qu'Israel et sa classe politique ne se débrouille pas si mal vis à vis des voisins... qui etaient pourtant bien plus stable il y a cinq ans de ça. On a jamais évolue en se comparant aux mauvais... mais on a jamais d'élection en se comparant au plus fort. La situation Israélienne est vraiment l'une des rare dans le monde sur lesquelles des tas d'hypothèses diamétralement opposée sont tout à fait imaginables. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Joab Posté(e) le 19 mars 2015 Share Posté(e) le 19 mars 2015 (modifié) @Mani: Momo, mais ça sonnerait trop arabe non? Sinon, pas sûr que les indiens s'appellent autant par des surnom que les hommes israéliens. Modifié le 19 mars 2015 par Joab Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mani Posté(e) le 25 mars 2015 Share Posté(e) le 25 mars 2015 Le tourisme en provenance d'Asie (Chine, Inde, Indonésie) est en plein essor en Israël. http://www.israelvalley.com/news/2015/03/17/46052/le-tourisme-en-provenance-d-asie-chine-inde-indonesie-est-en-plein-essor-en-israel Le tourisme en provenance d’Asie est en plein essor en Israël et il est beaucoup moins sensible aux aléas politiques et militaires de la région. ... Au cours des quinze dernières années, le tourisme en provenance des pays d’Asie et de certains États africains a doublé (Inde) ou même triplé (Chine, Indonésie). Les chiffres restent encore relativement modestes, mais le potentiel est immense. Certains visiteurs sont attirés par les lieux saints, d’autres par le high-tech florissant de l’État d’Israël, d’autres encore par des phénomènes naturels comme la mer Morte ou par des sites liés à l’actualité. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Joab Posté(e) le 25 mars 2015 Share Posté(e) le 25 mars 2015 Par contre, le tourisme israélien en Asie, ça marche depuis décennies. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tonton Flingueur Posté(e) le 6 avril 2015 Share Posté(e) le 6 avril 2015 Juifs de France : quand l'alya devient une galère http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20150402.OBS6262/juifs-de-france-quand-l-alya-devient-une-galere.html Quelques témoignages intéressants qui battent en brèche une idée reçu. Je trouve que ca ressemble pas mal aux témoignages de français parti aux US/Uk qui reviennent 10 ans plus tard en découvrant l'envers du décors. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 6 avril 2015 Share Posté(e) le 6 avril 2015 Juifs de France : quand l'alya devient une galèrehttp://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20150402.OBS6262/juifs-de-france-quand-l-alya-devient-une-galere.html Quelques témoignages intéressants qui battent en brèche une idée reçu. Je trouve que ca ressemble pas mal aux témoignages de français parti aux US/Uk qui reviennent 10 ans plus tard en découvrant l'envers du décors. Il est rare que des français "juif" retourne définitivement en Israël. Le plus souvent il s'installe le cul entre deux chaises, en gardant un pied dans chaque pays, et des activités dans chaque pays. Émigrer n'est jamais simple, Israël n'est pas le pays le plus paisible qui soit et la France bénéficie d'une qualité de vie appréciable... il est souvent difficile de se décider a couper les pont définitivement avec l'un ou l'autre. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tancrède Posté(e) le 6 avril 2015 Share Posté(e) le 6 avril 2015 (modifié) L'Agence Juive s'empresse de claironner les chiffres des départs (ou plutôt à "confondre" les demandes de renseignements et inscriptions avec les départs effectifs), mais ne divulgue rien des chiffres de retours (j'ai entendu le plus souvent des taux de 30 à 40%), de même qu'on a du mal à obtenir des informations sur ceux qui font leur Alya de France..... Pour au final aller aux USA via Israël. Quand on essaie d'en savoir plus sur les tendances dominantes en termes de motifs, c'est encore plus dur, mais le fait qu'Israël ait une économie dynamique à un moment où la croissance en France est atone et semble devoir le rester un moment n'est pas vraiment évoqué, la "ligne officielle" restant dans le registre de "l'insécurité" et d'un "antisémitisme galopant".... Ce qui n'est pas très sérieux, étant donné qu'il est infiniment plus dangereux d'être un juif en Israël que d'en être un en France: la probabilité d'être victime de violence ou d'avoir une victime de violence dans son entourage est de fait très largement supérieure en Israël. De même, il y a peu d'info sur la composition de l'émigration vers Israël, par CSP et origine géographique notamment (certains ajouteraient aussi l'appartenance au sein de la communauté juive: les séfarades, en moyenne plus modestes, semblent en écrasante majorité): il semble en fait que la majorité vienne plutôt des banlieues de grandes villes et des couches les plus modestes de la population juive de France (celles pour qui la réalité économique et l'antisémitisme d'autres populations immigrées sont les plus tangibles), soit généralement aussi les plus mal informés et ceux disposant de moindres capacités à opérer la transition (notamment financièrement). C'est le problème quand la chose est avant tout un objet politique: c'est de la propagande pure et dure qui s'en mêle et qui cherche à imposer un tableau plus imaginaire que réel, pour jouer nettement plus sur les facteurs irrationnels. Modifié le 6 avril 2015 par Tancrède 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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