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Remplacement du Famas fortement envisagé, étonnant personne n'en parle ici


Clairon

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Pour te donner un exemple :

- avec la Montauban, il y avait valorisation de l'impact. On te donnait 4 cartouches, la première étant nommée de flambage. Si tu touchais avec la première, tu obtenais 20/20. A la seconde 10/20 et la troisième 5/20. Et ceci selon plusieurs distances, positions et types de tir.

- avec l'ISTC, tu vas avoir un nombre de cartouches et on va te donner comme but de toucher des objectifs un certains nombres de fois, dans des contraintes de mouvement ou position, en temps contraint et pare-balles.

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il y a une heure, Serge a dit :

Très intéressant. C'est le résultat de ce que l'on nomme en instruction tir "l'instruction boîte de conserve".

L'histoire est la suivante : un agent du FBI est formé au tir en stand. Quand son barillet est tiré, il l'ouvre est le vide dans une boite de conserve posée à ses pieds avant de recharger. A sa première ouverture du feu en réel, il fini son barillet et décide de recharger. Là, il ouvre son revolver et... cherche la boite de conserve. Il ne la trouve pas et meurt. 

Petit point général sur l'instruction au combat. On parle, dans ce domaine, de quatre générations de type d'instruction pour former un combattant mais aussi un chef tactique. Ces générations sont inclusives dans leur évolution. C'est à dire que la trois prend en compte la deux.

- Instruction de première génération : l'obéissance à l'ordre

Quand la formation à commencé à se mettre en place dans des armées, le premier objectif systématisé recherché fut l'obéissance aux ordres. La troupe était bonne quand elle faisait ce qu'on lui disait de faire. La qualité était vu comme une dextérité, un élément personnel et non comme le résultat de l'entraînement. 

- Instruction de seconde génération : l'instruction scientifique 

Puis, il va venir l'esprit scientifique du XIX qui va découper en éléments, en tâches l'ensemble des actes qu'un soldat doit savoir réaliser. On va alors commencer à instruire aux soldats les tâches les unes après les autres et de façon méthodologique. Comment entretenir, comment tirer... Ce principe se fait jour avec la révolution industrielle qui abouti à l'organisation scientifique du travail. A chaque compétence, il y a une mesure de l'acquis. Les chefs vont alors une vue plus qualitative de leur troupe. 

- Instruction de troisième génération : l'instruction d'urgence

Lors des mobilisations en vue d'une guerre, il y a un problème. La taille des armées augmente. Aussi, il n'est pas possible de repasser l'ensemble de l'instruction à tous. Arrive alors l'instruction d'urgence où n'est instruit que ce qui est nécessaire à la troupe pour le conflit qui arrive. Aller en désert n'impose pas la maîtrise des mesures d'hygiène propre à la jungle.  

- instruction de quatrième génération 

Le problème est que l'on a constaté que s'assurer qu'un lieutenant fabrique son OPO sur une table, c'est bien mais qu'au combat il en est plus capable. Comme le soldat qui lève le bras.

Actuellement, l'instruction telle qu'elle doit être conduite doit ramener tout savoir faire aux autres savoirs faire tactique. Il faut tout fusionner (ce qui ne signifie pas tout faire en même temps.) le résultat est que l'on s'assure que toute acquisition de savoir faire soit intégré à une vision tactique d'ensemble. 

 

Ça, c'est l'instruction de 1ère génération.  

Oui je connaissais cette histoire d'agent du FBI .

Bon cela ne m'est arrivé qu'une fois  ( heureusement  pas dans le réel ) , cela m'a vacciné pour toujours et depuis ce jour je me suis disons personnellement investi pour trouvé une aisance pratique avec l'arme .

Merci pour les précisions sur les générations .

 

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On s'éloigne du sujet, mais pn nous avait montré des vielles vidéos d'entrainement du FBI ou du Secret Service pour nous inciter à garder un esprit critique vis-à-vis des méthodes de tir du moment:

L'autre jour, j'au vu une vidéo d'une ligne de tir de la police municipale de "chez pas où en France", c'était à peine mieux que sur la vidéo au-dessus. Au moins ils alignaient les organes de visés avec la cible...mais c'était ...statique et à une main façon 2°GM.

Sur le sujet en France: http://lessor.org/les-armes-de-poing/

Modifié par TimTR
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Il y a 12 heures, g4lly a dit :

HS Produkt a fait son beurre sur des armes de poings vendues essentiellement aux USA - 30000 par mois - et a surfé sur la guerre en ex yougo ... et il leur a fallu presque 30 ans pour s'aligner sur les appels d'offre internationaux de FA ... Pour la plupart des investisseur francais c'est trop long beaucoup trop long ...

 

Exactement il faut ce servir de tous les leviers possibles pour faire vivre son industrie et le marcher civile est très important pour cela (les français ne l'ont jamais compris).

Puis même si eux ont mis 30 ans à arriver à ce résultat, lorsque l'on sait fabriquer des fusées, satellites, avions etc. Je pense qu'un "simple" FA n'est pas hors de portée :laugh:

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Il y a 20 heures, g4lly a dit :

HS Produkt a fait son beurre sur des armes de poings vendues essentiellement aux USA - 30000 par mois - et a surfé sur la guerre en ex yougo ... et il leur a fallu presque 30 ans pour s'aligner sur les appels d'offre internationaux de FA ... Pour la plupart des investisseur francais c'est trop long beaucoup trop long ...

Bien sûr que c'est trop long pour des investisseurs.
Les seul qui peuvent faire ça ce sont les boites familiales et plus globalement les sociétés où les gens sont passionnées par le produit. Beethoven était passionné par le produit avant de penser au devenir commercial et au retour sur investissement de sa musique. En général ce sont ces boites qui innovent, sortent des produit merveilleux et parfois: réussissent.
C'est là où intervient des coups de pouce comme le "small business act" américain qui a fait émerger un nombre étonnant de petites sociétés qui sont devenus depuis des groupes mondiaux. Y compris dans des domaines comme l'aéronautique ou même le spatial.
Auber & Duval, qui fournis l'acier des canon des fusils HK, Manhurin leader mondial des machines pour fabriquer des munition en exportant 100% de sa production (marché intérieur = zero) pour rester dans le domaine des armes de petit calibre.
Un des problèmes avec ces pépites c'est qu'il y a toujours une tête d'oeuf qui veut les fusionner pour leur donner la "taille critique" et en faire un groupe "de taille mondial" en utilisant le levier des marché publique pour jouer au Lego...
Et on a rejeté l'offre de Verney Carron sans même la regarder parce que la société n'avait pas "la taille critique".

Après est-ce que Verney Caron était une boite de passionné par le produit et était à même de faire vivre une offre, innover, acquérir une réputation, générer des inconditionnels du produit, s'insérer dans un marché saturé avec une personnalité propre? J'en sais rien en fait. Mais c'est la rapidité et les arguments employés pour l'éliminer qui sont suspects.

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6 hours ago, c seven said:

Bien sûr que c'est trop long pour des investisseurs.
Les seul qui peuvent faire ça ce sont les boites familiales et plus globalement les sociétés où les gens sont passionnées par le produit. Beethoven était passionné par le produit avant de penser au devenir commercial et au retour sur investissement de sa musique. En général ce sont ces boites qui innovent, sortent des produit merveilleux et parfois: réussissent.
C'est là où intervient des coups de pouce comme le "small business act" américain qui a fait émerger un nombre étonnant de petites sociétés qui sont devenus depuis des groupes mondiaux. Y compris dans des domaines comme l'aéronautique ou même le spatial.
Auber & Duval, qui fournis l'acier des canon des fusils HK, Manhurin leader mondial des machines pour fabriquer des munition en exportant 100% de sa production (marché intérieur = zero) pour rester dans le domaine des armes de petit calibre.
Un des problèmes avec ces pépites c'est qu'il y a toujours une tête d'oeuf qui veut les fusionner pour leur donner la "taille critique" et en faire un groupe "de taille mondial" en utilisant le levier des marché publique pour jouer au Lego...
Et on a rejeté l'offre de Verney Carron sans même la regarder parce que la société n'avait pas "la taille critique".

Après est-ce que Verney Caron était une boite de passionné par le produit et était à même de faire vivre une offre, innover, acquérir une réputation, générer des inconditionnels du produit, s'insérer dans un marché saturé avec une personnalité propre? J'en sais rien en fait. Mais c'est la rapidité et les arguments employés pour l'éliminer qui sont suspects.

Pour les small business act je plussoie, tout le monde le promet personne ne le vote...

Pour les taille critique, c'est assez compliqué. D'un coté il y a les propriétaire de petite boite qui ne veulent pas laisser leur bébé grandir... De l'autre des grosses boites souvent monomaniques qui sont incapable d'élever et de faire grandir une petite boite dans leur giron, et qui les tuent lors quelle les absorbent. Ces deux comportement typiquement français sont une plaie qui empêche les petite boite innovante de se développer a l'abri le temps d'obtenir un modèle économique viable, puis de croire a l'international grâce a l'expertise d'une multinationale marraine... chose qui est systématiquement monté comme cela aux USA par exemple.

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Contes et légendes.

Le rachat d'entreprise a toujours été pratiqué et partout. C'est une façon d'acquérir des compétences que l'on n'a pas ou de faire de la croissance externe. 

Cela n'a rien de propre avec la France. En revanche, comme en France il n'y a pas de capitaux, le rachat se fait par des entreprises étrangères.

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C'est pas une question de rachat en soi, mais de culture d'entreprises très monolithiques et bureaucratisés des grands groupes qui tolèrent mal la cohabitation avec de jeunes pousses très différentes dans leur fonctionnement. Dans les meilleurs des cas ils organisent des zoo à entrepreneurs pour montrer à quel point ils sont dans le coup. D'ailleurs ce n'est pas propre à la France.

Kodak à bien inventé la photo numérique et a même produit des appareils pour des boites tiers ! Avant de mourir en s’accrochant à l'argentique. 

Il faut chercher du coté des investisseurs plutôt que des entreprises. Et ces catégories ne se recouvrent pas totalement. Et c'est vrai qu'il est plus facile de trouver des investisseurs moyennement averses au risque au USA qu'ailleurs, ne serais ce que par la taille et la puissance financière du pays.

Aussi, il ne faut pas se leurrer. Un boite familiale pour survivre doit grossir le rapidement possible. Les banques sont beaucoup plus indulgentes avec une grosse entreprise qu'une PME et les autorités plus généreuses en subventions et aides en tout genre avec les 1er que les secondes. C'est injuste mais c'est comme ça.

 

Mais parlons peu, parlons vrai. Alors ? Qui ici est partant pour être le nouveau Steve Jobs des armes légères ? Je vous écoute.

 

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à l’instant, Born to sail a dit :

Si j'en avais les moyens et les compétences, je me lancerai volontiers dans l'aventure, mais pour du CASELESS !!!!

et de nouveaux calibres....

Sauf que faire ça sans maîtriser le processus industriel avec les munitions existantes, c'est se tirer une balle dans le pied (jeux de mots voulu). C'est comme ça qu'on se retrouve avec un OICW, un G11 ou un PAPOP jusqu'à ce quelqu'un se rende compte du gaspillage de ressources et tue le truc.

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En même temps leur travaux sur la LSAT fait qu'ils ont bien avancer sur la munition caseless, si on devait vraiment innover faut sauter l'étape télescopée...

Nexter possède un 50% de CTA international, Thalès possède TDA armement, avec ces deux boites, il y la potentiel pour créer une entreprise capable de produire des armes de petit calibre dans ce nouveau format.

Bon je ne suis qu'un néophyte dans le domaine des armes, mais j'aimerai bien voir une filière française d'excellence et innovante dans ce domaine particulier.

Modifié par Born to sail
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il y a une heure, Born to sail a dit :

En même temps leur travaux sur la LSAT fait qu'ils ont bien avancer sur la munition caseless, si on devait vraiment innover faut sauter l'étape télescopée...

Nexter possède un 50% de CTA international, Thalès possède TDA armement, avec ces deux boites, il y la potentiel pour créer une entreprise capable de produire des armes de petit calibre dans ce nouveau format.

Bon je ne suis qu'un néophyte dans le domaine des armes, mais j'aimerai bien voir une filière française d'excellence et innovante dans ce domaine particulier.

J'avoue que je me pose la question des connaissances accumulés lors de la conception du canon de 40. Est-ce que certains éléments seraient pas transposables ? Comme ça, je dirais plutôt non. Je vois pas d'exemples de design d'armes à action électrique qui auraient pu influencer des designs "autonomes" (à système de gaz ou autre). 

Sur une note plus optimiste, avec la démocratisation en cours/à venir des logiciels de conceptions et des imprimantes 3d, produire un prototype d'arme va être plus accessibles que jamais. Rien qu'un modèle en plastique peut prouver que le concept est solide. Quelqu'un qui a utilisé un fusil d'infanterie au feu pendant des années et est impliqué maintenant dans le processus de sélection de l'AIF avec un accès aux armes en liste pourrait avoir une solide notion de ce qu'est le fusil d'infanterie du future. Reste évidemment la question de l'industrialisation. 

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Le 28 juillet 2016 à 18:34, Born to sail a dit :

En même temps leur travaux sur la LSAT fait qu'ils ont bien avancer sur la munition caseless, si on devait vraiment innover faut sauter l'étape télescopée...

Nexter possède un 50% de CTA international, Thalès possède TDA armement, avec ces deux boites, il y la potentiel pour créer une entreprise capable de produire des armes de petit calibre dans ce nouveau format.

Bon je ne suis qu'un néophyte dans le domaine des armes, mais j'aimerai bien voir une filière française d'excellence et innovante dans ce domaine particulier.

Le télescopé est simplement une redéfinition de la géométrie d'une munition (donc de la chambre et surtout : la mise en place d'un nouveau mécanisme).

Que la CTA soit avec puis sans étui ne pose pas de problème. Bien au contraire. Si avec un étui tu as un mécanisme qui fait des extractions, il fonctionne autant quand l'étui est brûlé. Même si il faudra un réglage. Ce qui peut être prévu dès l'expression des caractéristiques techniques devant garantir les qualités militaires.

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il y a une heure, Kiriyama a dit :

Mais on vit de quoi en attendant les 30 ou 40 ans ?

Depuis la chute de l'URSS, le monde est sûr... donc je pense que ce sera ok, et on a même le temps d'avoir un peu de retard sur le projet :sleep:

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il y a 19 minutes, Conan le Barbare a dit :

40 ans c'est très exagéré. Entre 8/10 ans c'est déjà plus raisonnable, ne pas oublier que les technologies existent déjà, le gros du travail restant c'est sur les matériaux et sur la miniaturisation des composées.

Certes, mais est-ce que les armées renouvelleront aussi radicalement leurs parcs ALI d'ici 10 ans ou plutôt d'ici 30 ans ? Le dernier changement fondamental remonte à 1977 (40 ans l'année prochaine!) et l'adoption officiel par l'OTAN du 5.56x45 comme calibre standard. Sachant que les USA avaient commencé à l'utiliser dés 63.

 

en attendant, voilà une réponse à une de nos questions les plus récurrentes:

http://forcesoperations.com/felin-sadapte-suite-aux-retex/

Citation

Le FAMAS sera remplacé par le produit issu du marché AIF dont la sélection sera annoncée cette année. Pour la mise en œuvre de cette nouvelle arme, Sagem propose un kit d’interface dédié, sans régression par rapport aux fonctionnalités Félin, qui prend la forme d’une poignée communicante montée sous canon à l’avant de l’arme et qui permet de commander la radio et les fonctions de la lunette d’arme.

C'est Sagem qui a l'air de s'être adapté plutôt que les candidats de l'AIF et ça donne l'impression que Sagem est capable de féliniser n'importe quelle arme. Pour le coup, ça peut donner des opportunités d'exports intéressantes.

Modifié par TimTR
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je suis un reveur

 

je me demande quel est le délai entre 2 générations d'armes (pour les PC, on dit que tous les 2 ans, il y a une évolution sensible..)

dans 40 ans, je verrai bien des armes à impulsions electromagnétiques...

la balle, le boulet, ça commence à dater...

et la poudre, c'est encore pire..

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à l’instant, christophe 38 a dit :

 

je me demande quel est le délai entre 2 générations d'armes (pour les PC, on dit que tous les 2 ans, il y a une évolution sensible..)

 

Le délai ne serait-il pas presque égal à une guerre européenne/mondiale. Peut être plus proche de 1.5 que de 1 d'ailleurs. Canon rayé après la guerre de Crimée, chargement par la culasse après les conflits européens des années 60, fusil à répétition et cartouche métallique après la guerre de 70, fusil semi-automatique après la guerre de 14-18*, fusil d'assaut (calibre intermédiaire, ergonomie, mode d'action fiable et rapide) après 39-45. Depuis les progrès tiennent plus du perfectionnement (ergonomie, optiques, système de gaz, technique de manufacture et matériaux) que de la révolution. 

Quand je regarde les épisodes de Forgotten Weapons, j'ai l'impression que LA révolution essentiel c'est celle des techniques de manufactures vers les années 30-40. On sent qu'à partir de là, les pays industrialisés sont en mesure de produire en masse des armes légères complexes. Alors qu'avant, il existait encore énormément de soucis en terme de qualité des métaux utilisés et dans les réalisations des coupes difficiles. La prochaine révolution ne serait-elle pas l'impression 3d ? ça ne touchera probablement que très peu le quidam moyen chez lui, même excessivement bien équipé, par contre quand les grands fabricants vont s'y mettre...

* Dans les deux cas, la généralisation, c'est plutôt faite une guerre plus tard... 

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il y a 19 minutes, gargouille a dit :

L'impression 3D est elle compatible avec la grande série ?

Comme un DVD gravé pour quelques exemplaires contre des DVD pressés pour quelques milliers.

l'impression 3D est plutôt privilégiée pour le prototypage et les petites séries.. le processus d'impression 3D est "très" simple a maitriser mais par contre c'est très très lent.. il vaut mieux privilégier du moulage par injection sur des presses 

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il y a 1 minute, Babou a dit :

l'impression 3D est plutôt privilégiée pour le prototypage et les petites séries.. le processus d'impression 3D est "très" simple a maitriser mais par contre c'est très très lent.. il vaut mieux privilégier du moulage par injection sur des presses 

C'est bien ce qu'il me semble.

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