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[Iran]


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Il y a 2 heures, Niafron a dit :

...

Donald Trump vient donc de menacer de rayer un pays de la carte. Pas le régime qui dirige le pays, mais bien le pays qui compte plus de 80 millions d'habitants. Juste pour rire, ils ont un commentaire à faire au Quai ou à l’Élysée?

Oui enfin c'est pas nouveau non plus ...

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Bon après ils attendent toujours la soirée BBQ avec bière à volonté à Pyongyang. :rolleyes:

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Bah je sais qu'il en rajoute toujours trois tonnes... mais là, il parle clairement de "fin" d'un pays, ça veut dire ce que ça veut dire. A la limite, en admettant que ce ne soit pas sérieux, ça commence à devenir inquiétant sur sa capacité à vivre dans le monde réel...

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il y a 30 minutes, Niafron a dit :

Bah je sais qu'il en rajoute toujours trois tonnes... mais là, il parle clairement de "fin" d'un pays, ça veut dire ce que ça veut dire. A la limite, en admettant que ce ne soit pas sérieux, ça commence à devenir inquiétant sur sa capacité à vivre dans le monde réel...

Ben c'était comme ça dès le début du mandat et en fait même au cours de la campagne. Il descends jamais son mode "grande gueule" vous aviez pas remarquer?

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REUTER

L'Iran ne veut pas la guerre, assure le commandant des Pasdarans

https://fr.yahoo.com/news/liran-ne-veut-pas-la-guerre-assure-le-094850650.html

GENEVE (Reuters) - L'Iran ne veut pas la guerre mais ne la craint pas, a assuré dimanche le commandant des gardiens de la Révolution, alors que le ton ne cesse de monter avec les Etats-Unis.

"Nous ne cherchons pas la guerre, mais elle ne nous effraie pas (...) La différence entre eux et nous, c'est qu'ils en ont peur et n'en pas la volonté nécessaire", a ajouté le général Hossein Salami, cité par les agences de presse iraniennes Fars et Tasnim.

Le ministre iranien des Affaires étrangères avait écarté samedi l'hypothèse d'un conflit armé. "Il n'y aura pas de guerre parce que nous n'en voulons pas et parce que personne n'a l'idée ni l'illusion de pouvoir affronter l'Iran dans la région", a déclaré Mohammad Javad Zarif lors d'une visite en Chine, selon des propos rapportés par l'agence Irna.

Les tensions entre Washington et Téhéran sont à leur comble depuis les actes de "sabotage" qui ont visé quatre navires, le week-end dernier, au large des Emirats arabes unis.

Les 5.200 soldats américains présents en Irak ont été placés en état d'alerte et le département d'Etat a rappelé le lendemain une partie du personnel diplomatique en porte à Bagdad et à Erbil.

Le 6 mai, Washington avait annoncé l'envoi du porte-avions Abraham Lincoln et de son groupe aéronaval dans la région en évoquant des menaces iraniennes, ce que Téhéran a qualifié de "guerre psychologique".

Donald Trump a dénoncé il y a un an l'accord international sur le programme nucléaire iranien conclu à Vienne en 2015, ouvrant la voie au rétablissement des sanctions américaines levées après son entrée en vigueur. Le président des Etats-Unis fait désormais pression sur Téhéran pour le renégocier, afin de l'étendre à son programme balistique et à son influence dans la région.

(Babak Dehghanpisheh, Jean-Philippe Lefief pour le service français)

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Iran  : la véritable tension est pétrolière

https://www.latribune.fr/opinions/tribunes/iran-la-veritable-tension-est-petroliere-818175.html#xtor=AL-13

L'Iran dénonce les renforts américains au Moyen-Orient

AFP

https://www.lepoint.fr/monde/l-iran-denonce-les-renforts-americains-au-moyen-orient-25-05-2019-2314959_24.php

Le ministre iranien des Affaires étrangères Mohammad Javad Zarif a dénoncé samedi comme une "menace" pour la paix internationale l'envoi de nouveaux renforts militaires américains au Moyen-Orient, dans un contexte d'escalade entre les deux pays ennemis.

Evoquant des menaces d'attaques "imminentes" de la part de l'Iran ou de ses alliés régionaux contre les intérêts américains, les Etats-Unis ont multiplié ces dernières semaines les déploiements militaires, dépêchant dans le Golfe un porte-avions, des bombardiers B-52, un navire de guerre et des missiles Patriot. Et vendredi le président Donald Trump a annoncé l'envoi de 1.500 soldats supplémentaires au Moyen-Orient de manière "préventive".

Les tensions entre les deux pays qui n'ont pas de relations diplomatiques depuis 1980 se sont envenimées depuis le retrait unilatéral de l'administration Trump il y a un an de l'accord de 2015 encadrant le programme nucléaire iranien suivi du rétablissement des sanctions américaines contre l'économie iranienne. L'Iran a, en retour, suspendu début mai certains de ses engagements pris en vertu de ce pacte.

"L'accroissement de la présence américaine dans notre région est très dangereux et constitue une menace pour la paix et la sécurité internationales. Il faut y faire face", a affirmé M. Zarif avant son départ du Pakistan, selon l'agence de presse officielle Irna.

Il a ajouté, en allusion aux affirmations américaines mentionnant des "menaces iraniennes" pour expliquer les renforts: "les Américains font de telles allégations pour justifier leurs politiques hostiles et créer des tensions dans le Golfe persique".

Vendredi, l'amiral Michael Gilday, de l'état-major américain, a affirmé que les attaques le 12 mai contre des pétroliers au large des Emirats arabes unis avaient été dirigées par le gouvernement iranien. Il a aussi accusé le corps des Gardiens de la Révolution, l'armée idéologique du régime iranien, d'avoir "tenté de déployer des boutres modifiés capables de lancer des missiles de croisière" dans le Golfe et d'être responsable d'un tir de roquette le 19 mai sur la Zone Verte à Bagdad où siège l'ambassade américaine.

L'administration Trump a en outre informé le Congrès américain de nouvelles ventes d'armes à l'Arabie saoudite, grand rival régional de l'Iran, et aux Emirats arabes unis, en invoquant à nouveau la menace iranienne.

Délégations étrangères

Téhéran refuse par ailleurs de dialoguer avec Washington.

"Nous l'avons dit clairement: tant que l'attitude ne change pas, tant que notre nation ne se voit pas satisfaite dans ses droits (...) notre voie restera la même. En aucun cas il n'y aura de discussions", a déclaré jeudi Keyvan Khosravi, porte-parole du Conseil suprême de la sécurité nationale iranien.

Selon Irna, M. Khosravi a affirmé plusieurs délégations étrangères porteuses d'un message "de la part de l'Amérique" étaient venues en Iran, et que son pays avait "sans exception" opposé une fin de non-recevoir au "message" non précisé de ces émissaires.

Le ministre omanais des Affaires étrangères, Youssef Ben Alawi Ben Abdallah, a rencontré lundi M. Zarif à Téhéran. Jeudi, le directeur politique du ministère allemand des Affaires étrangères, Jens Plotner, a vu en Iran un adjoint du chef de la diplomatie iranienne.

Oman entretient de bonnes relations avec l'Iran et les Etats-Unis, et a joué un rôle d'intermédiaire crucial dans les discussions ayant débouché sur l'accord sur le nucléaire iranien.

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il y a 46 minutes, Zoby_Zoba a dit :

Si j'ai bien compris, l'Iran ne pouvant plus exporter son pétrole, elle sabote les pétroliers des pays voisins ? C'est quand même prendre le risque d'avoir un sévère retour de bâton non ?

On a une poignée de navires qui auraient été endommagés par des éléments inconnus. Une seule photo disponible, un pétrolier norvégien qui a un pet en dessous de sa poupe.

Si l'Iran veut vraiment être ennuyeux, ce sera le largage de mines dérivantes dans le détroit d'Ormuz.

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Il n'y a aucun élément permettant d'affirmer que l'Iran est en effet responsable des incidents rapportés, ni même de preuves solides avérants que lesdits incidents aient réellement eu lieu.

La seule photo de dégats fournie est celle du pétrolier norvégien qui a une écorniflure au niveau de la ligne de flottaison, ce qui peut être causé par une bête collision avec un machin quelconque.

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Iran : la guerre « préventive » de Trump ?

ANALYSE. Après avoir décidé l'envoi de 1 500 soldats au Moyen-Orient, le président américain va-t-il accéder aux demandes des va-t-en-guerre de Washington ?

La participation est de 43,29% en France à 17h. C'est 8 points de plus qu'en 2014, selon le ministère de l'Intérieur.

Les États-Unis sont-ils à l'aube d'une guerre contre l'Iran  ? Le président américain Donald Trump a fait savoir vendredi qu'il allait envoyer 1 500 soldats supplémentaires au Moyen-Orient dans un contexte de tensions croissantes avec la République islamique. « Nous allons envoyer un nombre relativement faible de troupes, pour la plupart préventives, et certaines personnes très talentueuses se rendent au Moyen-Orient en ce moment », a-t-il déclaré depuis la Maison-Blanche. « Ce sera environ 1 500 personnes. »

Dans un communiqué, le secrétaire à la Défense par intérim, Patrick Shanahan, a précisé que l'envoi de ces forces visait à « améliorer la protection et la sécurité des forces américaines, compte tenu de menaces persistantes de la part de l'Iran, y compris des Gardiens de la révolution et de leurs soutiens », autrement dit l'armée d'élite de la République islamique et les milices chiites qui lui sont inféodées dans la région. Ce déploiement américain inclut un bataillon de 600 hommes chargés de quatre batteries antimissiles Patriot qui se trouve déjà dans la région, portant le nombre de renforts effectivement envoyés à 900, a indiqué l'amiral Michael Gilday, un responsable de l'état-major américain, selon l'Agence France-Presse (AFP). Les effectifs devraient être envoyés dans les bases dont disposent déjà les États-Unis au Moyen-Orient, mais pas en Irak ni en Syrie, a précisé le Pentagone. Des appareils de reconnaissance et de surveillance et un escadron de 12 avions de chasse devraient compléter le dispositif.

Lire aussi États-Unis - Iran : où est la menace  ?

D'après les derniers chiffres délivrés par le Pentagone, les États-Unis disposeraient aujourd'hui de 70 000 soldats dans la zone couverte par le Centcom, dont 14 000 en Afghanistan, 5 000 en Irak, et moins de 2 000 en Syrie. Interrogé par Le Point, Hamzeh Safavi, professeur de sciences politiques à l'université de Téhéran, rejette l'idée d'un conflit imminent. « Le nombre relativement peu élevé de soldats envoyés dans la région n'est pas de nature à changer la donne vis-à-vis de l'Iran », estime l'expert, également directeur de l'Institut pour les études futures du monde islamique (IIWFS). « Le seul risque est celui d'incidents isolés. » En l'absence de canal de communication désormais entre les deux camps, Gardiens de la révolution et soldats américains, qui se côtoient chaque jour en Irak, en Syrie et dans les eaux du golfe Persique, ne sont plus à l'abri d'accrochages.

La décision de Donald Trump est d'autant plus surprenante que le milliardaire américain avait milité durant la campagne présidentielle pour « mettre fin aux guerres interminables » dans le monde, et de joindre le geste à la parole en entamant un retrait des troupes américaines en Syrie et en Afghanistan en décembre dernier. Une stratégie qu'avait publiquement regrettée le général Kenneth McKenzie, commandant du Centcom. « Nous n'avons pas les effectifs suffisants pour être où nous voulons être en nombre adéquat, partout, tout le temps », avait-il souligné lors d'une conférence organisée ce mois-ci.

Le revirement américain semble avoir été motivé par la révélation, le 3 mai, de « nouveaux renseignements inquiétants » faisant état d'une aggravation de la menace iranienne, notamment des « attaques imminentes » contre les intérêts et soldats américains au Moyen-Orient. D'après le New York Times, ce rapport, qui comprend notamment des interceptions téléphoniques et des imageries satellites, indiquerait que Téhéran a ordonné à ses milices en Irak de se préparer à attaquer les forces américaines. En outre, les photographies obtenues par les Américains montreraient que des Gardiens de la révolution, l'armée d'élite de l'Iran, ont chargé des missiles à bord de boutres naviguant dans le golfe Persique pour attaquer des embarcations militaires et commerciales américaines.

Lire aussi Trump veut-il la guerre avec l'Iran  ?

Ces nouveaux éléments ont été déterminants dans la décision américaine d'envoyer le 5 mai dans le Golfe le porte-avions américain USS Abraham Lincoln, le navire de guerre USS Arlington, une force de bombardiers B-52, ainsi qu'une batterie de missiles Patriot. Or, une semaine plus tard, deux attaques ont visé l'Arabie saoudite, principal allié arabe des États-Unis dans la région et farouche adversaire de la République islamique d'Iran. Le 12 mai, Riyad a dénoncé, photo à l'appui, des « actes de sabotage » contre quatre navires, dont trois pétroliers (deux saoudiens et un norvégien), au large du port émirien de Fujairah. Si les dégâts se sont avérés minimes et que l'attaque n'a pas été revendiquée, les soupçons se sont dirigés vers Téhéran, suspecté d'avoir voulu envoyer un « message » à Washington.

Deux jours plus tard, le royaume Al Saoud a annoncé que deux stations de pompage d'un oléoduc majeur reliant l'est à l'ouest du pays avaient été endommagées après avoir été visées par des attaques de sept « drones armés ». Cette fois, celles-ci ont été revendiquées par les rebelles yéménites houthis, soutenus par l'Iran, que l'Arabie saoudite accuse d'avoir commandité l'attaque. Mardi, pour la première fois, le secrétaire d'État Mike Pompeo a estimé « assez probable que l'Iran soit derrière » ces sabotages. Considéré comme un faucon, opposé de longue date à la République islamique d'Iran, le chef de la diplomatie américaine a déclaré baser ses allégations sur « la forme de ces attaques », et sur « tous les conflits régionaux de la dernière décennie ».

Lire aussi Iran : l'Europe désarmée face aux États-Unis

Cette soudaine recrudescence des tensions au Moyen-Orient a suscité de nombreuses interrogations auprès des élus du Congrès, certains sénateurs démocrates rappelant les « mensonges » sur les armes de destruction massive qui ont poussé les Américains à intervenir en Irak en 2003. Pour lever leurs doutes, le secrétaire américain à la Défense et le secrétaire d'État ont organisé mardi une réunion à huis clos avec les parlementaires américains. « Il s'agit de faire de la dissuasion, pas la guerre », a assuré, à l'issue de la rencontre, le chef du Pentagone Patrick Shanahan, précisant que les dispositions prises par Washington avaient permis d'« éviter des attaques » contre « les forces américaines » dans la région.

En effet, d'après le New York Times, les Gardiens de la révolution auraient retiré la semaine dernière plusieurs missiles de leurs boutres en signe d'apaisement. Toutefois, les responsables américains n'ont pas révélé aux sénateurs les fameux « nouveaux renseignements inquiétants » à l'origine des tensions actuelles. Selon des responsables militaires américains, cités par l'AFP, le Pentagone subirait en réalité les conséquences de la politique de « pression maximale » menée par Donald Trump vis-à-vis de l'Iran.

« Pas besoin d'eux » (Donald Trump)

Après le retrait américain unilatéral de l'accord sur le nucléaire iranien en mai 2018, pourtant conclu avec cinq autres « grandes puissances » (Chine, Russie, France, Royaume-Uni et Allemagne), le président américain a prononcé deux salves de sanctions drastiques contre le système bancaire et le pétrole iranien en août et novembre 2018. Le 8 avril dernier, le pensionnaire de la Maison-Blanche est allé encore plus loin en désignant comme « organisation terroriste » les Gardiens de la révolution, une première pour un corps armé appartenant à un État. « C'est après le retrait américain de l'accord sur le nucléaire et les menaces des États-Unis que l'Iran a élevé le niveau d'alerte de ses forces de sécurité », affirme le spécialiste Hamzeh Safavi. « Et l'envoi de soldats américains ne va que renforcer la détermination de Téhéran à résister à la stratégie de pression américaine par la pression. L'Iran n'a de toute façon pas d'autre choix ». Le 8 mai dernier, Téhéran a annoncé qu'il renonçait à limiter ses stocks d'uranium enrichi et d'eau lourde, comme il s'y était pourtant engagé en vertu de l'accord sur le nucléaire.

Hasard du calendrier, ce même vendredi soir, l'administration Trump a informé le Congrès qu'elle avait autorisé la conclusion de nouveaux contrats d'armement avec l'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, en outrepassant le blocage des parlementaires américains en raison de leur probable utilisation dans la désastreuse guerre au Yémen. À en croire le Secrétaire d'État, Mike Pompeo, ces armes, d'un montant de 8,1 milliards de dollars (elles concernent également la Jordanie, NDLR) vont « renforcer la stabilité du Moyen-Orient et aider ces nations à faire de la dissuasion et à se défendre de la République islamique d'Iran ».

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Les actions des houtis avec les attaques de drones depuis l'année dernière risque d'être l'allumette qui m'est le feu à la poudrière.

L'attaque sur l'aéroport d'Abou Dabi le 26 juillet 2018 peut être considéré comme un acte de terrorisme et fournir le prétexte à une frappe contre leur ''soutien''.

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Avec la situation politique en Israël, l’Iran vient de gagner un sursis de quelques mois.

A supposer qu’une action soit entreprise par les US et l’AS, elle ne se fera pas sans un État d’Israël pleinement impliqué.

Il faudra donc attendre la mise en place du nouveau gouvernement israélien pour voir les développements des événements actuels, à mon avis.

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il y a 14 minutes, TarpTent a dit :

Avec la situation politique en Israël, l’Iran vient de gagner un sursis de quelques mois.

A supposer qu’une action soit entreprise par les US et l’AS, elle ne se fera pas sans un État d’Israël pleinement impliqué.

Il faudra donc attendre la mise en place du nouveau gouvernement israélien pour voir les développements des événements actuels, à mon avis.

Autre effet Kisscool, la mise au frigo potentielle du plan de paix du genre de Trump pour les Palestiniens.

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à l’instant, zx a dit :

Ce qui est bien compréhensible, puisque la dernière fois qu'ils sont parvenus à un accord, Washington l'a rompu sans cause réelle ni sérieuse deux ans plus tard.

Ou comment illustrer la différence d'efficacité entre un dotard à mèche blond-roux et des personnels politiques plus conventionnels même si potentiellement médiocres.

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Faut les comprendre les USA les prennent à la gorge, les privent de la plupart de leur revenu (une véritable catastrophe humanitaire en vue) puis proposent de discuter dans ces conditions.

Ca finira par une attaque informatique iranienne   qui pourrira verticalement toute leur industrie pétrolière. Elle s'appelera  Stutnext.

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https://www.washingtonpost.com/world/national-security/trump-says-he-is-not-seeking-regime-change-in-iran/2019/05/27/94d3053a-808d-11e9-933d-7501070ee669_story.html (27 mai 2019)

"Nous ne cherchons pas un changement de régime. Je veux que ce soit clair ", a déclaré M. Trump lors d'une conférence pour la presse conjointe lundi avec le Premier ministre japonais Shinzo Abe.

[John Bolton] avait appelé à un changement de régime avant de rejoindre l'administration en mars 2018, déclarant en juillet 2017 que " la politique déclarée des Etats-Unis devrait être le renversement du régime des mollahs à Téhéran ".

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Il y a 5 heures, kalligator a dit :

Ils ne veulent pas la guerre, ils ne veulent pas un changement de régime mais il veulent 50 % du pétrôle

Si tant est que l’on puisse croire cette déclaration, étant donné ce qu’il a sorti ces dernières années, il est clair que ce qu’il veut, c’est :

 

> Pour les USA :

- La fin de l’implication politique de l’Iran en Irak

- La fin du soutien au régime syrien et de l’appui au russes

 

> Pour Israël:

- L’arrêt du financement , de l’armement et de l’entraînement du Hezbollah

- La fin du soutien similaire au Hamas

-La reconnaissance d’Israël

 

> Pour l’Arabie Saoudite:

- La fin du soutien militaire au Yémen

- La reconnaissance du Wahhabisme comme idéologie dominante

 

> Pour tous :

- l’arrêt complet des activités nucléaires (ou en tout cas le maintien de l’accord actuel, avec en prime des opérations portes ouvertes n’importe quand pour contrôle par l’ami américain et l’ami israélien)

- l’abandon des missiles balistiques

- et peut-être le démantèlement des Gardiens de la Révolution (parce qu'organisation terroriste, selon Washington) 

 

Et quelque part au milieu, il est évident pour moi qu’il y aura aussi quelques champs gaziers en balance, histoire « d’aider » le Qatar à les exploiter et mettre en place le gazoduc pour l’acheminer vers l’Europe et challenger la Russie sur ce point. (C’est quand même le déclencheur du conflit Syrien)

Modifié par TarpTent
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Si l'Iran était aussi stupide que les trois stooges (Amérique, Israël, Saudi) le souhaite, une fois que le pays abandonne ses appuis à l'étranger, ses milices internes et externes, et son programme de missile, que lui reste-t-il comme moyen de dissuasion pour éviter une invasion ?

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il y a 11 minutes, Kelkin a dit :

Si l'Iran était aussi stupide que les trois stooges (Amérique, Israël, Saudi) le souhaite, une fois que le pays abandonne ses appuis à l'étranger, ses milices internes et externes, et son programme de missile, que lui reste-t-il comme moyen de dissuasion pour éviter une invasion ?

 

J’ai déjà dit ici que la meilleure façon et la plus rapide pour l’Iran de casser cette dynamique et de créer une brèche impossible à combler entre les 3 alliés serait de reconnaître officiellement Israël (et donc en corollaire d’arrêter d’armer le Hezbollah et le Hamas).

À aucun moment je n’ai dit que cette hypothèse avait la moindre chance d’aboutir.

 

Les revendications du trio d’alliés sont de même nature : Dans l’absolu, le but n’est pas qu’elles soient crédibles ni qu’elles aient une quelconque chance d’être acceptées.

Modifié par TarpTent
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