Ciders Posté(e) il y a 4 heures Share Posté(e) il y a 4 heures Citation Selon Mikhaïl Zvintchuk, fondateur de la chaîne Telegram militaire russe Rybar, les retards sont imputables à une série de facteurs complexes plutôt qu'à des théories du complot. Parmi ces difficultés figurent des négociations difficiles sur le prix et les spécifications, des obstacles logistiques à l'exportation d'avions de chasse sophistiqués nécessitant des plans détaillés de maintenance, de formation et d'infrastructure, et, surtout, des difficultés de livraison liées aux besoins opérationnels internes de la Russie dans le cadre de la guerre en Ukraine, dite « Opération militaire spéciale ». À cela s'ajoutent les interruptions présumées de la préparation d'une base souterraine iranienne pour les Su-35 (photos ci-dessus et ci-dessous) suite aux attaques israéliennes, un important déficit de formation pour les pilotes iraniens habitués aux avions d'ancienne génération, et le fait que les Su-35 destinés à l'Iran étaient initialement construits pour l'Égypte, qui a ensuite annulé la commande, nécessitant une mise à niveau technologique avant d'être « prêts au combat ». Sans vouloir être trop sec, ces arguments me semblent très peu valables. Quand on a besoin, on s'adapte. Et les Iraniens ont besoin ET sont capables de d'adapter. Disons surtout que Moscou a besoin de toute sa production pour ses propres besoins et que les Russes ont probablement été trop gourmands sur le budget et pas suffisamment en mesure de proposer une fourniture correcte pour les pièces détachées. --- Pour les MiG-29 "disponibles en grandes quantités", non. Et ce qui reste, à l'exception des SMT, est vieux et daté. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés
Veuillez vous connecter pour commenter
Vous pourrez laisser un commentaire après vous êtes connecté.
Connectez-vous maintenant