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Ce serait bien mal connaître la géopolitique interne à l’Église. Si les États comptaient encore pour l'élection pontificale, ça se saurait.

De même, attention aux pronostics. Ils se révèlent très rarement exacts : Jean-Paul II fut une réelle surprise et François avait peu de chances d'être élu.

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il y a 5 minutes, Ciders a dit :

Ce serait bien mal connaître la géopolitique interne à l’Église.

Je me demande si il ne faudrait pas créer un fil spécifique VATICAN plutôt que de l'herberger dans l' Italie ... 

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J'en profite pour repartager ce film sorti la fin de l'année dernière qui devient d'actualité. Conclave (ou Voldemort mène l'enquête! ) :

Très bon film soit dit en passant, je ne peux que le recommander. Un thriller politique qui fait également un inventaire des questions de sociétés et des enjeux auxquels l’Église doit faire face, le tout sans que ça a l'air forcé.

Modifié par Alzoc
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2 hours ago, Alzoc said:

J'en profite pour repartager ce film sorti la fin de l'année dernière qui devient d'actualité. Conclave (ou Voldemort mène l'enquête! ) :

Très bon film soit dit en passant, je ne peux que le recommander. Un thriller politique qui fait également un inventaire des questions de sociétés et des enjeux auxquels l’Église doit faire face, le tout sans que ça a l'air forcé.

Je l'ai revu hier ! Bon film effectivement, notamment pour sa reconstitution méticuleuse des lieux et des procédures du Conclave, on s'y croirait. La partie "thriller" est bien faite (je dirais jusqu'au deux tiers du film).

Par contre, à déconseiller à ceux qui font une fixette sur les politiques DEI ou le wokisme, étant donné qu'une partie de l'intrigue est lié à ces thématiques. Ce serait dommage de réduire le film à ça. Et je trouve la fin un peu plate personnellement.

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il y a une heure, Rivelo a dit :

Je l'ai revu hier ! Bon film effectivement, notamment pour sa reconstitution méticuleuse des lieux et des procédures du Conclave, on s'y croirait. La partie "thriller" est bien faite (je dirais jusqu'au deux tiers du film).

Par contre, à déconseiller à ceux qui font une fixette sur les politiques DEI ou le wokisme, étant donné qu'une partie de l'intrigue est lié à ces thématiques. Ce serait dommage de réduire le film à ça. Et je trouve la fin un peu plate personnellement.

Le film est bien mais outre que le film est disons très gentil avec l'église (enfin ses cardinaux) la fin est juste complétement irréaliste. Après ça m'a pas gacher le film cette fin est là pour surprendre et faire un pied de nez à l'église et aux conservateur en général.

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Il y a 8 heures, Alzoc a dit :

J'en profite pour repartager ce film sorti la fin de l'année dernière qui devient d'actualité. Conclave (ou Voldemort mène l'enquête! ) :

Très bon film soit dit en passant, je ne peux que le recommander. Un thriller politique qui fait également un inventaire des questions de sociétés et des enjeux auxquels l’Église doit faire face, le tout sans que ça a l'air forcé.

J'ai surtout apprécié la photographie avec cette mise en scène de la vie quotidienne qui rend compte du fait que derrière l'image ou l'icône il y a des êtres humains qui ont besoin de manger, de dormir, etc... l'intendance étant assurée par des religieuses qui, comme les petites-mains dans les défilés de mode, sont indispensables bien qu'on ne les voie pas.

Un conseil aux gens qui voudraient le voir : munissez-vous d'un papier et d'un crayon pour noter les résultats des différents candidats aux différents tours, car on a vite fait de s'y perdre.

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  • 4 weeks later...

https://www.repubblica.it/politica/2025/05/30/news/meloni_kazakistan_asia_occidente-424638112/

Meloni : "Heureux de la visite de Macron. La crème a été fouettée sur la relation entre l'Italie et la France".

Le premier ministre s'est exprimé en marge du sommet d'Astana
"Vous êtes toujours très passionné par cette question. Je vois beaucoup de crème monter sur cette question. Mais l'Italie et la France sont des amis et des alliés. Elles ont des positions convergentes sur de nombreux dossiers et divergentes sur d'autres. Mais c'est normal. Ce n'est pas qu'il y ait des désaccords. Parfois, les dirigeants se disputent, mais cela ne compromet rien". C'est ainsi que la Première ministre Giorgia Meloni a répondu, en marge du sommet d'Astana, à la question sur la prochaine rencontre avec le président français Emmanuel Macron.

Nous nous sommes vus tellement de fois« , a-t-elle ajouté, toujours en parlant du dirigeant français, »il y a tellement de sujets à aborder. Je suis heureux qu'il vienne à Rome pour que nous puissions nous voir calmement et parler de tout ce qu'il y a à dire'.

 

 

 

Modifié par gianks
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  • 2 weeks later...

https://www.lastampa.it/rubriche/lo-spigolo/2025/06/13/news/italia_francia_mediterraneo-15190024/?ref=LSHA-BH-P7-S1-T1

Si l'Italie et la France renouent avec la coopération en Méditerranée
Après le dégel Meloni/Macron, voici un observatoire de la sécurité en Méditerranée, dans le cadre du traité du Quirinal. Car, en termes de logique, il est à l'opposé du modèle albanais.

Cette nouvelle signale un problème, mais aussi une indication stratégique. Giorgia Meloni et Emmanuel Macron avaient évoqué la Libye (et l'Afrique) lors de la réunion de dégel à Rome. La Libye a également été évoquée, dans le contexte plus large de la « sécurité méditerranéenne », lors d'un séminaire organisé jeudi dernier par les ambassades des deux pays et par la fondation Med-Or, présidée par l'ancien ministre Marco Minniti. Un séminaire qui, de cette réunion éclairante, constitue le premier effet concret. Des hauts responsables des deux gouvernements, des secteurs de la sécurité et de la politique étrangère, ainsi que des représentants des entreprises publiques concernées, s'y sont rencontrés. Le ministre de la Défense Guido Crosetto était également présent à l'issue de la réunion. La confidentialité de la formule « chatam house rule », ou, comme on dit, « micros coupés », confère à la réunion un caractère opérationnel. Le résultat a été l'engagement de créer, dans le cadre du Traité du Quirinal, un Observatoire franco-italien permanent. L'objectif, comme l'indique le communiqué de presse, est de « rassembler les acteurs intéressés par une vision commune entre l'Italie et la France sur les défis de sécurité en Méditerranée ».

Nous parlions du problème et de l'indication. Le problème, dans ce monde confus, réside dans la Méditerranée élargie, où l'Europe joue un rôle dans son avenir sur les plans démographique, énergétique et sécuritaire. Il y a le Moyen-Orient, dont la vague de réfugiés se propage jusqu'en Égypte. Et il y a la Libye, dont la crise illustre parfaitement les implications possibles pour l'Europe, également au cœur du Conseil européen d'aujourd'hui : violences entre milices, institutions délégitimées, rivalités arabes qui attisent les tensions entre factions, défi mondial avec le déplacement de la Russie de Syrie pour consolider sa présence militaire en Libye. Sans oublier la suspicion que Poutine soit prêt à installer des systèmes de missiles sur la base militaire de Sebha, dans le sud de la Libye, afin de les pointer vers l'Europe.

En bref, il s'agit d'un défi qui concerne la Méditerranée sur plusieurs fronts, l'immigration n'étant que le plus visible. Les données publiées par Frontex le 12 juin éclairent la question : au cours des cinq premiers mois de 2025, 90 % des arrivées proviennent de Libye, ce qui compense la baisse significative de celles en provenance de Tunisie, où les accords signés par le gouvernement italien sont efficaces. Mais le défi, d'un point de vue géopolitique, est plus vaste. Tout cela nous concerne également l'Ukraine. Dans la mesure où l'Afrique, pour Poutine, est le deuxième front de sa guerre asymétrique. Par conséquent, pour parvenir à une résolution d'une crise dans un monde de plus en plus interconnecté, nous devons prendre en compte les autres crises et garder à l'esprit l'idée d'un nouvel ordre mondial au sein duquel un dialogue avec les pays du Sud du monde puisse être instauré, un dialogue qui ne peut être laissé à la Chine et à la Russie. A fortiori à l'heure de l'unilatéralisme brutal de Donald Trump.

L'observatoire italo-français se situe dans ce cadre. Et il marque un « saut », d'un point de vue politique. Dans le sens où les deux pays choisissent, après des mois houleux, la voie d'une coopération permanente sur le point le plus délicat de la compétition, précisément la Méditerranée. La feuille de route prévoit l'élaboration de visions et de propositions communes au cours des six prochains mois, afin de parvenir à des solutions concrètes lors du sommet intergouvernemental de début 2026.

D'un point de vue politique, cette approche est techniquement à l'opposé, pour s'en tenir à la question migratoire, de la logique des « pays tiers ». L'Albanie, et pas seulement. Ce qui se passe en Europe est simple : en matière d'immigration, les gens risquent leur réputation et, pour se protéger, ils adoptent une attitude féroce. Le gouvernement britannique, dirigé par le travailliste Keir Starmer, a légalisé, en paroles et en images, les « expulsions ». Il travaille désormais à un accord avec le Kosovo, sur le modèle de celui signé par Giorgia Meloni avec l'Albanie et du modèle rwandais, sur lequel son prédécesseur a d'ailleurs échoué. En Allemagne, la grande coalition avec les socialistes, visiblement frappée par la foudre sur la route de Damas de l'État islamique, a inscrit à son programme des rapatriements vers la Syrie et même l'Afghanistan, où la charia est en vigueur et où les talibans gouvernent, un pays non reconnu par les Nations Unies. La Première ministre danoise, Mette Frederiksen, a signé, avec Giorgia Meloni et sept autres dirigeants conservateurs et libéraux, une lettre appelant à simplifier les procédures d'expulsion et de refoulement des migrants en situation irrégulière. Les deux logiques sont antithétiques : l’une est structurelle. Elle devrait donc aller dans le sens d’un renforcement de la coopération entre les pays européens pour parvenir à ce que Marco Minniti appelle un « accord-cadre entre l’UE, l’Union africaine et les Nations unies » sur la Méditerranée, en tant que stratégie gouvernementale permanente. L’autre est d’urgence (la question de savoir où les mettre à leur arrivée ?). Il est assez facile de prédire que cette contradiction ne sera pas résolue à court terme. Cependant, la reprise concrète des relations entre l’Italie et la France constitue au moins un atout important pour la coopération dans un monde concurrentiel.

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