Bruno Posté(e) le 17 avril 2009 Share Posté(e) le 17 avril 2009 Rafale tout ça? Non, V22 "Osprey" ou F35 par exemple ;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 18 avril 2009 Share Posté(e) le 18 avril 2009 Ca existe des C-295 MRTT ? Et peuvent ils ravitailler les Caracals ? (Il me semblait que seul le C-130 pouvait le faire). Lors de mes lectures gratuites d'A&C, :lol: et notamment celui du 6 mai 2005 n°1982, en page 18 EADS renforce sa gamme de ravitailleurs et propose 5 modèles différents offrant des capacités de 3 à 65 tonnes de carburant. Dans le tableau de la gamme complète des ravitailleurs en vol, on peut y lire que le C295 a une masse maximale de 23 t, capacité interne 6,1 tonnes, réservoirs et capacité supplémentaire 3/6 tonnes, capacité totale 12,1 t et point de ravitaillement avec un panier, pas de perche. ;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 18 avril 2009 Share Posté(e) le 18 avril 2009 retard...Fion est un guignol: on a demandé à Airbus de finaliser le projet en deux fois moins de temps que pour un avion comparable y compris chez les ricains...Finalement avec le retard on sera dans les 10/12 ans ce qui correspond à un programme normal...Le petit a la vérole donc tout le monde se défosse sur le voisinun mot pitoyable Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 18 avril 2009 Share Posté(e) le 18 avril 2009 Faut bien sauver les meubles et préserver la présence britannique dans cette commande. Enders continue par ailleurs à rajouter de l'huile sur le feu. Bon airbus vient récupérer toutes les divisions. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thomas Posté(e) le 21 avril 2009 Share Posté(e) le 21 avril 2009 A400M : les pays clients ont signé le moratoire de trois mois http://www.lesechos.fr/info/aero/300344433-a400m-les-pays-clients-ont-signe-le-moratoire-de-trois-mois.htm EADS a jusqu'à fin juin pour convaincre qu'il peut sauver le contrat de 20 milliards d'euros, le plus gros programme d'armement jamais lancé en Europe. C'est officiel : les six pays européens et la Turquie, clients de l'A400M, le futur avion de transport militaire, ont signé hier via l'Organisation Conjointe de Coopération en matière d'Armement (Occar) le contrat dit stand still ajournant pour trois mois l'application du contrat actuel avec EADS. "EADS avait signé ce week-end", confirme aux "Echos" Hervé Morin, le ministre de la Défense français. Les parties se donnent donc jusqu'à fin juin pour jeter les bases d'un nouvel accord sans remettre en cause les droits contractuels du contrat en cours. "Mon but est de sauver ce programme", précise le ministre, alors que les premières livraisons ont pris trois ans de retard au moins... ALAIN RUELLO, Les Echos Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chaps Posté(e) le 21 avril 2009 Share Posté(e) le 21 avril 2009 Evidemment, si pour ces clients, du 21 avril à fin juin, cela fait 3 mois de pause, on ne peut pas blamer Airbus de n'avoir pas sû compter les tonnes en trop et de mal gérer les problèmes de puissance moteur et les dimensions de l'appareil :lol:Y a même un journaliste qui relit ce qu'il copie-colle parfois? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jolie rouge Posté(e) le 7 mai 2009 Share Posté(e) le 7 mai 2009 Russie, Inde, Brésil, la future concurrence pour l’A400M s’organise. Jeudi, 07 Mai 2009 09:13 Michael Colaone Aviation militaire Alors que le débat sur les retards de livraison de l'A400M divise les esprits, certains observateurs ne s'étonnent pas de voir arriver les déclarations sur la mise en chantier de nouveaux avions de transport militaire. Ces derniers jours des pays et pas des moindres puisqu'il s'agit du Brésil et de la Russie en coopération avec l'Inde annoncent vouloir mettre au point leurs propres appareils.Le marché des avions de transport militaires modernes est énorme puisque la plupart des armées du monde entier ont des besoins pour ce type d'équipements et pourtant, il n'existe que peu d'acteurs. Dans leur grande majorité, ces appareils sont d'origine américaine grâce aux constructeurs Boeing, Lockheed ou, fut un temps, Douglas, ou alors russe avec la famille des Antonov. Nous vous en parlions précédemment, cette situation de raréfaction des acteurs est une aubaine pour un avion européen aux atouts certains : l'A400M. Outre les besoins des forces armées d'ores et déjà clientes, le potentiel commercial peut être important. Seulement voila, compte tenu des retards dans sa mise en service qui pourraient encore durer quelques temps, l'A400M risque de ne pas jouir de ce libre marché très longtemps. La Russie et l'Inde vont développer leur avion.Le PDG d'Iliouchine et vice-président du Groupeaéronautique unifié russe (OAK) Viktor Livanov l'a annoncé officiellement, les deux pays vont dans les 8 prochaines années développer de manière conjointe un avion de transport militaire ceci grâce au russe OAK, et à Hindustan Aeronautics pour le côté indien. Alliées à parts égales, les deux nations vont débloquer environ 600 millions de dollars de manière à renouveler une partie de leurs flottes. L'Inde devrait acheter 45 de ces appareils et la Russie une centaine. Cette annonce fait suite à l'accord signé en 2007 entre Moscou et New Delhi et confirme une fois de plus le rapprochement entre les deux pays en matière d'armement. Un rapprochement de plus en plus stratégique d'autant plus que l'un des appels d'offres du siècle est actuellement en cours en Inde comme nous avons put le voir avec le Rafale. Embraer et le transport militaire low cost.Avec des délais de livraison et une conception originale, le projet brésilien de KC-390 est plutôt ambitieux. En effet, l'annonce a été faite de l'intention du constructeur de livrer d'ici 6 ans ses premiers avions de transport. Ceci alors même que l'avionneur n'a pas encore d'expérience dans ce domaine. Cependant, grâce à une stratégie d'attraction des cerveaux opérée depuis plusieurs années maintenant, il n'y a aucune raison pour que le brésilien n'est pas les capacités de produire un bon avion.Autre fait original, le KC-390 serait un bon produit de substitution pour beaucoup de forces armées n'ayant pas les moyens de s'offrir l'A400M, le C-130 ou encore le C-17. De par ses capacités plus modestes que les grosses machines européennes, américaines ou russes, le futur avion d'Embraer sera moins cher et donc plus abordable pour toutes les armées qui aujourd'hui n'ont d'autres choix que de se gratter la tête pour se satisfaire avec des machines trop chères. Futur appareil turbopropulsé (l'A400M aura lui deux turboréacteurs), le Brésilien veut créer un appareil simple et modeste qui, s'il ne se comparera pas à l'A400M par exemple aura surement de beaux jours devant lui. Pouvant embarquer 19 tonnes de matériel, le biréacteur à ailes hautes sera doté de commandes électriques, pourra couvrir jusqu'à 5 000 km et pourra même jouer les ravitailleurs en vol dans la limite de ses capacités.Dans tous les cas, si le Brésil arrivait à construire un bon appareil dans ces si courts délais ce serait une grande victoire pour une jeune industrie en plein essor. Du côté russe et indien il ne fait pas de doute que l'appareil sera avant tout efficace et pourra lui aussi venir concurrencer l'avion européen A400M dans un marché qui pourrait bien devenir de plus en plus concurrentiel et où les machines haut de gamme côtoieront et se mélangeront à des appareils plus modestes.http://www.aeroplans.fr/Aviation-militaire/russie-inde-bresil-conccurrence-a400m-organise.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
xav Posté(e) le 9 mai 2009 Share Posté(e) le 9 mai 2009 A400M Delayed by Paperwork BlunderThe first A400M should have been delivered later this year to France. (EADS)EPI president Nick Durham said the company only realized last year that the paper trail required for the full authority digital engine control (FADEC) was OK for military approval but not the civil requirements agreed to in the contract with Airbus.Related Topics"The problem came from having to demonstrate to the European Aviation Safety Authority traceability through the development cycles. When we sat down with them late summer last year, it was clear to us and them that actually, whilst everything worked, we couldn't clearly show that," Durham said.Durham attributed the error to "the pressure of the moment.""We didn't intentionally go down this route. The organizations involved in normal military programs work in a slightly different way to validate the software by operation and I think what happened was people kept to those processes under the pressure rather than move to the civil certification processes we had agreed to. It's a matter of what you do up front and what you do later," he said.The A400M deal with EPI to develop the TP400 engine was signed in 2003; the first aircraft was originally planned to be delivered to the lead customer this year.The FADEC issue is one of a string of problems that have forced Airbus to repeatedly delay the airlifter's first flight. The A400M now faces at least a three-year delay, which threatens to cost Airbus parent EADS 1.4 billion euros ($1.9 billion) in late delivery payments.The first A400M was rolled out at the Seville, Spain, factory of Airbus Military in mid-2008 but has been grounded while the engine certification and a series of problems with a C-130 engine flying test bed were resolved.The seven partner nations in the project have a contract clause allowing them to cancel the aircraft order at the end of March. A three-month moratorium is in place as the two sides negotiate possible changes to technical and economic aspects of the fixed price agreement to save the project being derailed or even possibly canceled.Talking to reporters in Seville, the EPI boss said the company had to virtually develop from scratch the complex software required to control the aircraft's propulsion system.Durham said EASA is scheduled to do a formal audit on the software system this summer with full engine certification targeted for late 2009.EPI is a four-nation consortium formed to develop and build the turboprop engine. MTU of Germany, Britain's Rolls-Royce, Safran of France and IPT of Spain are the shareholders.MTU is the lead nation on the FADEC element of the engine.Durham said EPI had had to draft in a lot of the best people from across the European partners to resolve the problem, causing other development programs to be "sacrificed." The FADEC workforce had been "more than trebled" to over 200 engineers, he said.The EPI boss said that at the time of the decision not to proceed with the flight test program, the FADEC system was functional, had the required paper trail for military approval, and had operated for over 2,000 hours on the engine-test bed.Asked why, in light of the fact the A400M program was already facing delays, the decision had not been taken to develop the traceable software in parallel with the flight test program and grant a waiver for the military-approved system to be used, Durham said he wasn't the right person to say."We had to come through with a traceable engine sooner or later and to demonstrate we had it right and give the customer [Airbus] confidence we had it right. Working with the customer we decided this was the best solution," Durham said.In a statement, Airbus said the lack of certification of the FADEC, as required by EASA, meant they were not in a position to perform first or subsequent flights."There is first a civil certification through EASA, and then a "military certification and qualification" which is for the more military specific aspects of the power-plant - airframe combination and utilization such as resistance to gravel and bullets.EASA grants the stamp for first flight as A400M MSN1 [a test aircraft] will be operated under civil registration. Before granting it, EASA wants to have the assurance that it is safe for the airframe/engine combination to take-off.In the case of the FADEC software, which is complex integrated software, the minimum assurance is to show compliance to DO178B certification process and as a first step, demonstrate traceability of top level requirements in the software development process," said the statement.The first aircraft should have been delivered later this year to France, which along with Germany, Spain and the U.K. are the leading members of a seven-nation partnership who signed a fixed price development deal with Airbus to develop the airlifter in 2003.Along with export contracts with Malaysia and South Africa total orders currently stand at 192 aircraft.With deliveries slipping at least three years, EADS is seeking to avoid picking up the entire late payments cost, which is threatening to total more than 1.4 billion euros.As part of their case, company executives have complained recently that the EPI consortium was not their choice but a politically inspired selection to keep jobs and technology in Europe rather than allow the work to go to rival North American bidder Pratt & Whitney.Durham defended EPI in Seville, saying that the TP400 was chosen not just as a result of European pressure but also because it was a cost-competitive proposal.Airbus boss Tom Enders said earlier this year the first aircraft could have flown by last October if they had the engine.Durham said that despite the FADEC setbacks the 2,600 hours of running on test rigs and 25 hours on the flying test bed showed good results.About 90 percent of development testing is now complete and work is now underway to complete installation of instrumentation on the test engines for MSN1 with the aim of starting ground running tests this summer.A Hercules C-130 flying test bed operated by British company Marshall Aerospace has been operating with a TP400 replacing one of the four engines since late last year.The engine has operated at 70 percent of take-off power and will shortly move to takeoff at full power, said Durham."Engine performance and weight results pretty much meet our wildest dreams. At take-off and cruise we are meeting maximum temperature margins, fuel consumption is at specification and in-flight restarts are working," he said.Although A400M is known to be heavily overweight, Durham said the engine weight is within 1 percent of specification."That's pretty unusual at this stage of engine development. If the performance we have seen so far is backed up on the flight test program, it is so good it suggests we will be able to take out a bit more weight with modifications in the future."-------------------------Ceux qui on fait leur structure disaient que c'etait pas de leur faute le retard mais de la faute aux moteurs, Safran a fait un communiqué disant que c'est la faute a ceux qui devaient faire voler le proto du moteur sur C130...Maintenant EPI dit en gros que c'est la faute a une regle europeene...Bref on a compris c'est la faute a personne! Maintenant fermez la et mettez vous au boulot pour nous le faire voler ce A400M!!! =( Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bruno Posté(e) le 12 mai 2009 Share Posté(e) le 12 mai 2009 Ceux qui on fait leur structure disaient que c'etait pas de leur faute le retard mais de la faute aux moteurs, Safran a fait un communiqué disant que c'est la faute a ceux qui devaient faire voler le proto du moteur sur C130... Maintenant EPI dit en gros que c'est la faute a une regle europeene... Bref on a compris c'est la faute a personne! Maintenant fermez la et mettez vous au boulot pour nous le faire voler ce A400M!!! =( Voilà une excellente conclusion, sacré ben diou !! :| Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 12 mai 2009 Share Posté(e) le 12 mai 2009 Heuu ! ils savent pas combien le A400M leur coûte, :Ohttp://www.e24.fr/entreprises/defense/article88873.ece/L-A400M-reste-un-sujet-epineux-pour-EADS.htmlLa présentation des résultats d'EADS pour le premier trimestre a été l'occasion pour le groupe de défense de faire un point sur l'A400M, sujet épineux depuis plusieurs mois. EADS veut d'embler rassurer: le premier appareil progresse vers le premier vol. Une étape très attendue par les pays clients de l'A400M, qui exigent depuis plusieurs mois une date précise du premier vol de l'A400M. EADS essaie surtout de boucler la négociation avec ses sept clients, regroupé au sein de l'Occar d'ici à fin juin. Ce délai lui donne "la marge nécessaire pour réorganiser et modifier le contrat selon des conditions acceptables pour toutes les parties". A savoir: revoir le contrat de l'A400M. Pour Louis Gallois ce contrat de 20 milliards d'euros signé en 2003 ne tient pas compte des spécificités techniques de l'avion. Et négocier les pénalités de retard dues par EADS, les livraisons d'A400M ayant déjà plus de trois ans de retard. EADS n'échappera pas à des pénalités mais il "entend réduire toute perte potentielle supplémentaire, mais toutes les conséquences financières des retards accusés à ce jour par le programme ne seront connues qu’une fois ces négociations finalisées. Toute estimation dans l’intervalle est imprécise ou incomplète". D'un point de vue comptable, EADS avoue que l'impact financier est toujours difficile à mesurer. Chez Airbus, "l’impact sur le résultat d'exploitation de - 120 millions d’euros au premier trimestre ne reflète pas une nouvelle estimation complète des coûts à terminaison", précise le groupe. "La révision des plans industriels pour terminer le programme A400M pourrait générer une charge substantielle au premier semestre 2009", conclut EADS. En clair: EADS navigue à vue sur ce programme. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bruno Posté(e) le 15 mai 2009 Share Posté(e) le 15 mai 2009 Si l'A400M fait bien son premier vol avant la fin de l'année on peut tabler sur des premières livraisons à l'ADA fin 2011. Dans le dernier "Air et Cosmos" ils précisent que cela dépendra de la capacité de MTU à livrer un nouveau FADEC intégrant cette fois les normes civiles de l'EASA ; petite bonne nouvelle donnée par le même magazine : les perf pures du moteur (en puissance et conso) seraient légèrement meilleures que prévues.Airbus Military a par aillleurs profité du retard pour faire des renforcements structurels de l'appareil prototype, ce qui constituera autant d'améliorations en moins à tester par la suite.Par contre EADS est bien responsable d'une partie du retard (d'une bonne partie je dirais, car si les spéc techniques combinant normes militaires et civiles étaient impossible à tenir dans les délais, ils auraient dû l'anticiper et ne pas accepter ce contrat tel qu'il était fait) et il me semblera tout à fait normal qu'il y ait des pénalités ; c'est la moindre des choses, surtout que certaines spécifications vont être revues à la baisse pour aider la firme a ne pas accumuler davantage de retard. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 15 mai 2009 Share Posté(e) le 15 mai 2009 ils auraient dû l'anticiper et ne pas accepter ce contrat tel qu'il était fait Vu le caractère éminemment politique du dossier il n'ont pas dû avoir bcp le choix... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Darkjmfr Posté(e) le 15 mai 2009 Share Posté(e) le 15 mai 2009 Concernant les renforts, va falloir surveiller ces histoires de surpoids. Si il y a 5t de trop sur le jouet, ça nous fera de belles jambes que les moteurs poussent un peu plus en consommant un peu moins... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
P4 Posté(e) le 15 mai 2009 Share Posté(e) le 15 mai 2009 Concernant les renforts, va falloir surveiller ces histoires de surpoids. Si il y a 5t de trop sur le jouet, ça nous fera de belles jambes que les moteurs poussent un peu plus en consommant un peu moins... C'est sur qu'avec ses problèmes de surpoids l'emport du PUMA Allemand risque d'etre impossible. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 15 mai 2009 Share Posté(e) le 15 mai 2009 C'est sur qu'avec ses problèmes de surpoids l'emport du PUMA Allemand risque d'etre impossible. Bah il suffit de mettre moins de kero ... juste que le machin servira plus qu'a enavhir l'Autriche apres :lol: De toute facon le puma il était prévu de le ballader en deux fardeau ... la caisse d'un coté les blindage modulaire de l'autre ... on doit arriver a la masse maxi de l'A400M avec les 5t de surpoids ... ca fera passer l'autonomie de 4800 a 3300km avec 32t dedans ... m'enfin ... ils auront qu'a faire des escale :lol: En plus il semble qu'on puisse pas mettre le max fuel a la payload max ... loin de la meme ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 16 mai 2009 Share Posté(e) le 16 mai 2009 A la lecture du dernier DSI T en page 32/33/34, les premiers RETEX du C-130-J-30 ne sont guère élogieux, eux aussi. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 16 mai 2009 Share Posté(e) le 16 mai 2009 http://www.defensenews.com/story.php?i=4088329&c=EUR&s=TOP LONDON - Airbus Military has told the British government it expects the delayed A400M airlifter will make its maiden flight no later than February, the Ministry of Defence reported May 13. In a response to a recent report on procurement from the Parliament's Defence Committee, the MoD said the delay means the earliest in-service date for the aircraft with the Royal Air Force would be 2014. "The U.K. remains committed to A400M, but not at any cost," the MoD said in a statement. "We are considering all potential outcomes." First deliveries of the A400M to lead customer France were originally scheduled this year, but development has been bogged down by a string of setbacks with the aircraft and its turboprop engines. A seven-nation partnership - Belgium, Britain, France, Germany, Luxembourg, Spain and Turkey - signed a deal with Airbus in 2003 to develop the aircraft. These countries and export customers Malaysia and South Africa have ordered some 192 aircraft. The partner nations are midway through a three-month moratorium imposed at the end of March as they seek to find a way forward on the program with Airbus in a bid to stop some countries from heading for the exit. Britain has been touted by some as the most likely nation to cancel the program, turning to the United States to acquire airlifters instead. The MoD response said it was considering a number of options to close the capability gap resulting from the delay, including "an extension to the life of the C-130K fleet and leasing or procuring additional C-17 and C-130J capacity." The U.K. Royal Air Force has been looking to bolster its C-17 fleet with another two aircraft regardless of the outcome of the A400M deliberations. The original plan was to buy one aircraft this year and another next year. With the MoD's equipment budget under huge pressure, though, it is unclear whether that plan remains in place. Février ? de quelle année ? pffuu, je sais plus quoi dire d'autre ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 16 mai 2009 Share Posté(e) le 16 mai 2009 Février 2010 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 18 mai 2009 Share Posté(e) le 18 mai 2009 18 mai 09 - Les Echos Soulignant qu'"un abandon de l'A400M serait la pire des solutions", Marc Ventre, directeur général adjoint de Safran en charge de la branche Propulsion, confirme que le premier vol de l'A400M pourrait intervenir avant la fin de l'année, l'allemand MTU prévoyant toujours une livraison du logiciel de régulation fin juin/début juillet. A ce jour, le moteur a déjà enregistré 2 800 heures de tests et le banc d'essais volant a volé dix fois, dont "une fois en partie à pleine puissance". Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 20 mai 2009 Share Posté(e) le 20 mai 2009 EADS n'exclut pas un premier vol de l'A400M vers fin 2009 [ 20/05/09 - 11H46 - AFP ] Le président exécutif d'EADS Louis Gallois n'exclut pas un premier vol vers la fin de l'année pour l'avion de transport militaire Airbus A400M, qui était jusqu'alors sans calendrier précis, dans un entretien à l'hebdomadaire l'Express à paraître jeudi. A la question de savoir si un premier vol avant la fin de 2009 était un objectif réaliste, M. Gallois répond: "avec une marge de quelques semaines, oui". EADS et sa filiale Airbus se refusaient jusqu'à présent à donner un objectif pour un premier vol de cet avion, qui accuse plusieurs années de retard en raison notamment de problèmes de motorisation. "Je suis déterminé à ce que ce programme puisse être mené à bien", déclare M. Gallois dans l'Express. EADS négocie jusqu'à fin juin avec les pays clients (Allemagne, Espagne, France, Royaume-Uni, Turquie, Belgique et Luxembourg) pour sauver de l'échec ce programme européen de 20 milliards d'euros. "Il nous faut élaborer un calendrier, des spécifications précises sur lesquelles chacun s'engage, et revoir certaines clauses du contrat (pénalités, partage du risque etc.) pour lui redonner un équilibre économique", selon M. Gallois, qui juge que le contrat initial n'était "pas réaliste". EADS a déjà été contraint de provisionner plus de 2,2 milliards d'euros --dont 120 millions au premier trimestre-- pour faire face aux risques liés au programme, en laissant la porte ouverte à de nouvelles provisions à l'avenir. A l'heure actuelle, "très peu de nouveaux programmes européens sont lancés", hormis le système européen de navigation par satellite Galileo, relève M. Gallois, alors que la crise pourrait être l'occasion de "grands programmes européens". Le patron d'EADS répète également que le groupe doit "procéder à des acquisitions" pour moins dépendre de sa filiale Airbus, même si la priorité actuelle est la protection de la trésorerie. Pour ces achats futurs, "nous visons les Etats-Unis, où sont nos concurrents, où se concentre plus de la moitié du marché militaire mondial et où se développent les technologies les plus avancées", précise M. Gallois. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
xav Posté(e) le 20 mai 2009 Share Posté(e) le 20 mai 2009 L'engin "fini et grandeur nature" qui a été présenté il y a quelques mois en Espagne, c'est le #1 ou c'est juste une maquette? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Darkjmfr Posté(e) le 20 mai 2009 Share Posté(e) le 20 mai 2009 C'est bien le #1... Mais il est en attente de certification des moteurs. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
P4 Posté(e) le 20 mai 2009 Share Posté(e) le 20 mai 2009 Discussions toujours difficiles sur l'A400M, 7 solutions palliatives. http://bruxelles2.over-blog.com/article-31639159.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jeanmi Posté(e) le 21 mai 2009 Share Posté(e) le 21 mai 2009 oui du c17 ! j'en veux !faut pas rever ca ne sera aucune des solutions envisagées, on va juste attendre l'arrivé du bousin Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 29 mai 2009 Share Posté(e) le 29 mai 2009 Discussions toujours difficiles sur l'A400M, 7 solutions palliatives. http://bruxelles2.over-blog.com/article-31639159.html Après les 7 solutions palliatives, voici le 40/400/40.000 Airbus appelle les Etats européens à continuer à soutenir ses programmes [ 29/05/09 - 11H13 - AFP ] Le président d'Airbus, Thomas Enders, appelle les gouvernements européens à faire preuve "de courage politique" en soutenant les programmes de l'avionneur européen, comme celui de l'avion de transport militaire A400M, dans une tribune publiée dans le Financial Times vendredi. "Airbus a à nouveau besoin de courage politique", écrit-il dans les colonnes du quotidien britannique à l'occasion du 40ème anniversaire de l'avionneur. Le 29 mai 1969, Allemands, Français et Britanniques avaient lancé ensemble le programme de construction du premier avion d'Airbus, l'A300, rejoints peu après par les Espagnols. "Nous devons suivre l'exemple de ces pionniers d'il y a 40 ans, progressant sur le chemin de l'intégration européenne", ajoute-t-il. Et d'inciter les gouvernements européens à s'engager, comme ils l'ont fait déjà pour les avions civils, pour mener à terme le projet de l'A400M. Cet appareil est au centre de négociations censées aboutir fin juin entre EADS, maison mère d'Airbus, et les gouvernements européens (Allemagne, Espagne, France, Royaume-Uni, Turquie, Belgique et Luxembourg) qui l'ont commandé. Les pays clients, dont les avions de transport sont pour certains à bout de souffle, s'impatientent alors que les livraisons de l'A400M seront en retard d'au moins trois ans. Certains, comme les Britanniques, ont même un temps brandi la menace de quitter le programme. "Environ 40.000 emplois sont en jeu en Europe avec l'A400M", souligne M. Enders. Il regrette que trop souvent les différents pays européens aient fait preuve d'exigences impactant significativement ses coûts et sa faisabilité. "Nous avons demandé aux partenaires européens de ce programme de faire preuve d'un plus grand degré de réalisme afin de pouvoir livrer un avion à un prix raisonnable pour tous", ajoute-t-il Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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