Polybe Posté(e) vendredi à 13:50 Share Posté(e) vendredi à 13:50 il y a 13 minutes, Clairon a dit : Sans doute parce qu'il est rattaché à la 11e BP, et qu'il y a aussi un autre régiment/bataillon d'instruction qui porte le n° 6 : le 6e BCA de la 27e BIM devenu le 6e GIM (Groupement d'Instruction Montagne) Clairon ...et derrière ça : C'est une attaque coordonnée ! ...c'est dredi... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kamelot Posté(e) samedi à 11:34 Share Posté(e) samedi à 11:34 Il y a 21 heures, Polybe a dit : C'est une attaque coordonnée Oui, chacun veut rester dans ses certitudes et postures en fonction de ses origines et désirs pour récupérer des troupes et des crédits... Frères d'arme qu'ils disent. Les "Paras" sont avant tout des unités légères projetables avec une grande proportion d'Infanterie. D'ailleurs ses armements et équipements sont majoritairement les mêmes. C'est aussi une école de résilience et d'engagement avec ses qualités et défauts, comme les autres... L'emploi aéroporté n'est pas plus stupide que l'héliporté, l'assaut à la mer ou une charge de blindés bille en en-tête dans une ligne de defense organisée. C'est l'emploi dans un contexte donné qui mérite une attention particulière et particulièrement la mise en place des forces sur un champs de bataille observable. Avec les "Paras", une fois débarqué, le rembarquement est plus problématique, il est vrai. De l'opération Market Garden à Bien bien fu les effets ont laissé des traces. Mais est-ce la faute de la nature des unités utilisées ? Avec de grands espaces, des zones lacunaires ou une percée dans la 3D et les moyens modernes de projection tactique et stratégique, l'usage n'est pas forcément obsolète. Le combat de haute intensité en Europe ou ailleurs peut avoir plusieurs facettes. Il faudra bien évoluer et s'adapter à certaines évidences par la force des choses. À ce sujet : https://opexnews.fr/burkhard-menaces-strategiques-russie-chine-iran/ Là aussi des évidences... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kamelot Posté(e) samedi à 12:13 Share Posté(e) samedi à 12:13 (modifié) Il n'y a pas pas que l'optronique et les drones : https://www.opex360.com/2025/08/01/la-direction-generale-de-larmement-teste-une-nouvelle-version-du-radar-murin-utilise-par-larmee-de-terre/ Peut-être une nouvelle capacité de détection des drones ? L'éther va se charger... Pour mémoire : https://www.forcesoperations.com/des-radars-murin-supplementaires-pour-larmee-de-terre/ Modifié samedi à 12:18 par Kamelot Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Polybe Posté(e) samedi à 14:58 Share Posté(e) samedi à 14:58 Il y a 3 heures, Kamelot a dit : Oui, chacun veut rester dans ses certitudes et postures en fonction de ses origines et désirs pour récupérer des troupes et des crédits... Frères d'arme qu'ils disent. Les "Paras" sont avant tout des unités légères projetables avec une grande proportion d'Infanterie. D'ailleurs ses armements et équipements sont majoritairement les mêmes. C'est aussi une école de résilience et d'engagement avec ses qualités et défauts, comme les autres... L'emploi aéroporté n'est pas plus stupide que l'héliporté, l'assaut à la mer ou une charge de blindés bille en en-tête dans une ligne de defense organisée. C'est l'emploi dans un contexte donné qui mérite une attention particulière et particulièrement la mise en place des forces sur un champs de bataille observable. Avec les "Paras", une fois débarqué, le rembarquement est plus problématique, il est vrai. De l'opération Market Garden à Bien bien fu les effets ont laissé des traces. Mais est-ce la faute de la nature des unités utilisées ? Avec de grands espaces, des zones lacunaires ou une percée dans la 3D et les moyens modernes de projection tactique et stratégique, l'usage n'est pas forcément obsolète. Le combat de haute intensité en Europe ou ailleurs peut avoir plusieurs facettes. Il faudra bien évoluer et s'adapter à certaines évidences par la force des choses. À ce sujet : https://opexnews.fr/burkhard-menaces-strategiques-russie-chine-iran/ Là aussi des évidences... Le para français, c'est aussi un régiment motorisé standardisé. Lambda oserai-je dire, mais ça pour le coup ça les ferait bien plus hurler ! ^^ Le fait est que le modèle para' de déploiement d'une grosse unité en HI ou en COIN a vécu, s'il n'a jamais été pertinent (dans les années 40). Sauf, comme tu le dis, en marge des opérations. Parce que demain je pense qu'effectivement on doit se taper les russes, je pense que la BP est tout à fait capable de taper rapidement le CA/Wagner (et autres...) en Afrique. Un flanc que nous ne pourrions pas négliger, et qui nous reviendrait certainement assez naturellement. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hadriel Posté(e) samedi à 15:14 Share Posté(e) samedi à 15:14 Il y a 3 heures, Kamelot a dit : Le 01/08/2025 à 15:50, Polybe a dit : Oui, chacun veut rester dans ses certitudes et postures en fonction de ses origines et désirs pour récupérer des troupes et des crédits... Frères d'arme qu'ils disent. Les "Paras" sont avant tout des unités légères projetables avec une grande proportion d'Infanterie. D'ailleurs ses armements et équipements sont majoritairement les mêmes. C'est aussi une école de résilience et d'engagement avec ses qualités et défauts, comme les autres... Le soucis c'est que les élèves officiers brillants choisissent beaucoup les paras (il faut voir la quantité de para dans les étoilés), ce qui introduit un gros biais institutionnel vers le léger et facile à projeter. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Polybe Posté(e) samedi à 15:18 Share Posté(e) samedi à 15:18 il y a 2 minutes, hadriel a dit : Le soucis c'est que les élèves officiers brillants choisissent beaucoup les paras (il faut voir la quantité de para dans les étoilés), ce qui introduit un gros biais institutionnel vers le léger et facile à projeter. On a vu des CEMA et CEMAT cavalos, et ça revient au goût du jour. Et la fin de Barkhane/l'Ukraine a remis pas mal de chose en perspective (voir la tribune des Méca' dans Infanterie Magazine). 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pol Posté(e) hier à 09:23 Share Posté(e) hier à 09:23 Il y a 17 heures, hadriel a dit : Le soucis c'est que les élèves officiers brillants choisissent beaucoup les paras (il faut voir la quantité de para dans les étoilés), ce qui introduit un gros biais institutionnel vers le léger et facile à projeter. Il suffit d'enlever la prime à l'air pour voir de nombreux changements... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kamelot Posté(e) il y a 22 heures Share Posté(e) il y a 22 heures (modifié) Il y a 22 heures, Polybe a dit : Parce que demain je pense qu'effectivement on doit se taper les russes, je pense que la BP est tout à fait capable de taper rapidement le CA/Wagner (et autres...) en Afrique. Un flanc que nous ne pourrions pas négliger, et qui nous reviendrait certainement assez naturellement. Rien n'est certain, tout reste hypothétique..., là est la difficulté tout en faisant "la guerre à la guerre". La BP est une Brigade légère spécialisée au sein de SCORPION. Elle est aussi prédestinée, comme la BIM, au combat urbain et terrains difficiles. Elles se prépare à la HI dans des contrées éloignées, en Estonie par exemple, avec des tactiques similaires à celles de l'armée Finlandaise. Il y a beaucoup à apprendre des uns et des autres... Mêmes les FS ou intervention dans la profondeur par les "classiques" ont des usages sous blindés ou sous voilures... Comme quoi une action, en fonction des circontances et de la menace, peut faire feu de tout bois. Un engagement frontal avec des masses de blindés lourds et des appuis puissants n'est pas la seule façon d'envisager les conflits futurs, même s'il faut s'y préparer et surtout le montrer. Il en est de même avec l'ALAT considérée comme obsolète et dispendieuse par beaucoup. Et pourtant l'Opération Harmattan et son "no boots on the ground" en a surpris beaucoup et pas des moindres, à l'époque. https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Opération_Harmattan O tempora o mores, les interrogations et doutes posées aujourd'hui valent pour toutes les Armes et Formations. L'avènement des drones, du Cyber et des menaces hybrides ont bouleversé la vision que l'on pouvait avoir sur les conflits futurs, tout comme l'opposition théorique de la masse contre la technique. Le rapport de force sous tous ses aspects et le "recul strategique" sont plus parlants. Avec une Division opérationnelle "temps de paix", un EM "cadre" de corps d'Armée et des Forces résiduelles pour un autre front de faible intensité, il est évident que nous n'irons pas loin - seul -. Notre Défense ne repose pas que sur notre nombril et l'emploi du Nucléaire en premier n'est pas envisageable, de part notre Dogme. Qui sait, l'insigne de télé-pilote de drone ou celui d'opérateur Cyber-numérique seront portés fièrement par les officiers et officiers supérieurs (qui sont tous "interarmes") à l'avenir, en sus de celui des TAP très prisé même chez les "Cavalos", au demeurant ? Modifié il y a 22 heures par Kamelot Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Polybe Posté(e) il y a 22 heures Share Posté(e) il y a 22 heures il y a 22 minutes, Kamelot a dit : La BP [...] Elle est aussi prédestinée, comme la BIM, au combat urbain et terrains difficiles. Elles se prépare à la HI dans des contrées éloignées, en Estonie par exemple, avec des tactiques similaires à celles de l'armée Finlandaise. Il y a beaucoup à apprendre des uns et des autres... Plait-il ? Ce que tu écris n'a rien de spécifique à la BIM ou à la BP... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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