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Cricrisius

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Tout ce qui a été posté par Cricrisius

  1. S'il s'agit du manque de blindage,ni de réservoirs auto-obturants, c'était par choix stratégique. Les Japonais donnaient priorité à la maniabilité et au rayon d'action, pour cela, la légèreté maximale des avions étaient recherchée (à la manière de nos Tigres et Gazelles actuelles). Quelque part, cela a sauvez la vie de beaucoup de pilote au début du conflit. Il est vrai que, dans le même temps, les pilotes ne réclamaient pas de blindage par honneur, pour ne pas passer pour des couards face au feu ennemi. Un autre soucis, par la suite, était un manque de moteurs puissants pour permettre de blinder et équiper leurs avions (contrairement aux américains).
  2. Voici un article interressant sur l'espionnage informatique, vu des USA, et de France. http://www.slate.fr/story/74761/france-nid-espions
  3. Je suis d'accord avec toi Jojo67, heureusement que l'histoire fait un grand retour dans les kiosques. Je rajouterai que les docus et docu-fictions TV sont devenus très très bon (et ont du succès): ludiques, instructifs et raisonnablement vulgarisés pour que cela soit facilement accéssible au plus grand nombre. On est loin des documentaires des années 60/70/80 ou on voyait un historien (aussi bon soit-il) nous parler durant 1 heures, d'un ton monocorde et plutôt à l'attention des initiés. Cela finissait souvent par endormir le téléspectateur lambda :lol:.
  4. Cette baisse des connaissances s'explique, en partie, par le nouveau programme d'histoire-géo un peu "four-tout" et en étudié en "zapping". Certaines mauvaises langues diront qu'il est politiquement "gauchisant" (après avoir été longtemps "droitisant"), "communautariste", "euro-mondialiste", "politiquement correct".... Des personnalités historique en feraient les frais: Napoléon, Louis XIV, Charles Martel, Clovis, François 1°... http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2011/08/27/01016-20110827ARTFIG00002-ce-que-nos-enfants-n-apprennent-plus-au-college.php
  5. Tiens, ça me rappele une scène dans Y a-t-il enfin un pilote dans l'avion: quand l’hôtesse annonce qu'il n'y a plus de café à bord ! :lol:
  6. De plus, en Russie, la politique de terre brulée de Koutouzov, n'a pas fait les affaires de Napoléon, aggravant les problèmes logistiques de la Grande Armée. Il ne semble pas y avoir eu de famine, sous Napoléon, mais des pénuries comme le sucre de canne, le coton, les céréales, le café... (remplacé en partie par la pomme de terre, le sucre de betterave, la chicoré, la laine....) http://www.napoleon.org/fr/salle_lecture/articles/files/branda_blocus_sn472_2007.asp Sous le directoire, il y a eu de gros achats de blé en Algérie (mais qui ne seront payés). Cela a permis d'améliorer une situation alimentaire assez tendue sur le moment.
  7. Oh Putain, bien vu ! :lol: Question crédibilité, heureusement que pour la limaille, c'est confirmé, ailleur, par d'autres documents ;)
  8. L'article traite surtout du sabotage dans l'aéronautique, en particulier chez FARMAN, on peut citer aussi: (trouvé sur un autre forum) chez Wiki: http://fr.wikipedia.org/wiki/Parti_communiste_fran%C3%A7ais_pendant_la_dr%C3%B4le_de_guerre Se rajoute, aussi, divers stratégies pour freiner la production. Ces sabotages et ralentissements de productions, existent bel et bien, mais malheureusement, ça se rajoute aux problèmes techniques, industriels et d'organisation déjà existants sur nos points faibles en productions militaire: l'aéronautique, les canons anti-char... Il est difficile d’apprécier l'ampleur et l'impact de ces actes. Personnellement, j'ai tendance à croire qu'ils ne sont pas de nature à changer le cours des évènements.
  9. Les armées de Napoléon comptent beaucoup (trop?) sur les pays traversés pour subvenir à leurs besoins immédiats (nourriture, eau...),à part quelques sujets (chaussures, poudres...), la logistique n'est pas une chose très importante pour l'Empereur. C'est la guerre moderne (mécanique) qui va rendre la logistique prédominante.
  10. les britanniques avaient étudier cette attaque par les airs et cela posait des soucis: -Avions torpilleur: objectif trop loin (pas assez de rayons d'action). -Bombardiers lourds: pas de certitudes quand aux résultats + grands risques de pertes civils (habitations très proches) -Dans les 2 cas, survol trop long et risqué aux dessus de la France (DCA + Luftwaffe) Mais l'attaque des portes intérieures du bassin-écluse était quand même prévue à la torpille (par la vedette lance-torpilles). Les munitions ne semblent pas avoir posé de problème puisque 2 porte-avions (le Soryu et le Hiryu) furent directement détachés de la flotte revenant de Pearl-Harbor, et envoyés sur l'île de Wake. les raisons principales évoqués pour refuser la fameuse troisième vagues sur Pear-harbor sont: -Risque de manquer le rendez-vous avec les pétroliers-ravitalleurs. -Américains en alertes, donc risque de pertes élevées. -Dégâts jugés suffisants sur la flotte ennemie. -Incertitude quant à la position des portes-avions américains. Reste que certains objectifs importants n'ont pas été attaqués: les grands stocks de carburant, les ateliers de réparations navals, les usines électrique, la base de sous-marins... Mais il faut bien considérer que l'objectif des japonais était la destruction, ou du moins, la neutralisation de la flotte ennemi (surtout les portes-avions), ce qui fut fait en grande partie.
  11. @Drakene, après lecture de l'article ci-dessous, je dois bien avoué avoir sous estimé la difficulté de mise en œuvre d'une tête nucléaire, et donc mal évalué la portée de ton post (je pensais que quelques dizaines de spécialistes et techniciens suffisaient) :-[ http://www.alterinfo.net/Le-Pakistan-et-le-mythe-de-la-bombe-islamique_a34770.html
  12. Bof, pas plus qu'avec le nuage de Tchernobyl, ou les américains avec Fukushima. A priori, on peut se faire livrer un container un peu partout en France, sans trop de problème, et donc y planquer ce que l'on veut dedans. Maintenant, faut pas que les terroristes le fasse passer par Marseille, il risque de rester bloquer au port... avec les grèves de dockers. :lol:
  13. Cricrisius

    Guerre de course

    C'est vrai, ce n'est qu'indicatif, car il semble que la fraude fût très importante. Les corsaires s'arrangeaient souvent pour ne pas déclarer les prises, leurs marchandises, ou leur quantités (pots de vins au percepteurs, reventes de la marchandise dans un port moins bien surveillé ou neutre, contre-bandes...), mais là, nous n'aurons jamais les chiffres.... Edit: Ces prises sont celles enregistrés officiellement aux registres des ports, par les officiers d'états, donc ne sont pas reprises, sauf cas très très exceptionnel (capture du port). Si l'on devait compter les prises, reprises en mer par les anglais (ou autres), pas si courant que ça, il faudrait augmenter ces chiffres !
  14. Perso, si j'était terrosiste, j'aurai choisi Paris directement, mais pour un port, disons: Toulon ou Brest, histoire de paraliser une partie de la marine, en plus des dégats civils ! C'est vrai, mais d'une part, durant la guerre froide l'agresseur aurait été un état ou alliance (URSS + PV) identifiés et surveillés. D'autre part, il y avait très peu d'occidentaux ou de "neutre" dans ces pays là, donc pertes minimes :P... Içi il s'agit d'une attaque terroriste, supposé (ou non): non-gouvernementale. Je ne vois pas bien quel serait la cible. Si on atomise Karatchi (oeil pour oeil), alors que les terros sont plutôt au nord... voir même, en Afghanistan, ou est l'interêt? les terros n'ont, généralement, pas de territoire sous leur contôle, et donc c'est impossible de cibler quelque chose. Je me demande, aussi, comment réagira le Pakistan si nous lui atomisons une de leur ville alors qu'ils n'y sont pour rien (c'est ce qu'ils clameront, que ce soit vrai ou faux).
  15. Une torpille sur une des portes de chaques cales-sèches, les auraient rendues indisponible pendant un bon bout de temps (remplacement des portes). Et donc bloqué la réparation des navires, P-A compris.
  16. Cricrisius

    Guerre de course

    Même si parler "défondrement" est très exagéré, à mon sens, il y a bien une baisse de la course française après Louis XIV. Voici les prises des corsaires français au XVIII° siècle: Ligues d'Ausbourg (durée 9 ans) = 6436 prises estimées (très largement moins en réalité, à peu près la moitié ?) > soit en moy. 715/an Guerre de succession d'Espagne (12 ans) = 5900 prises (en métropole) >moy. 492 /an Guerre de succession d'Autriche (8 ans) = 1183 prises > moy. 216/an Guerre de 7 ans (7 ans) = 2600 prises > moy. 371/an Guerre américaine (5 ans) = 1380 prises (+ 900 / 1000 pour la Royale) > moy. 276/an Guerre républicaine (6 ans) = 2193 prises > moy. 366/an Ainsi après Louis XIV, d'une moyenne de 492 prises/an nous redescendons autours des 300 prises/an, chez nos corsaires, avec des haut et des bas. Il faut bien dire que Louis XIV faisait exception en ce qui concerne le domaine maritime, mais aussi que les navires n'étaient pas les même, ni la Navy aussi puissante qu'à l'époque de Napoléon. Il n'y a, malheureusement, que très peu de statistique avant Louis XIV, mais il semble que sa periode constitue, plutôt, un pic "haut" chez nos corsaires. Si on se réfère aux prises de Dunkerque, seule, on passe de 384 prises (guerre de Hollande, 6 ans) à 945 (guerre d'Ausbourg, 9 ans) puis 1726 prises (guerre d'Espagne, 12 ans), soit 2x plus de prises (en moy.), entre le début et la fin de son règne !
  17. Cricrisius

    Guerre de course

    C'est surtout vrai pour les guerres napoléonnienne, qui voit (malgrés quelques rares exceptions notables tel Surcouf), la fin progressive des corsaires, à cause de la Royal Navy surpuissante, mais aussi de l'évolution de la puissance militaire des navires. Sur l'étude cité précédement: http://www.sfhm.asso.fr/documents/guerrecourse.pdf
  18. Oh, je sens une petite "stormshadowisation" des débats :lol:. Sachant que les villes Pakistanaises ont des étrangers (de toutes origines) croyez-vous que ces nations laisserons les français atomiser leur ressortissants, par vengeance, pour un groupe terroriste au ramifications étatiques incertaines et improuvées. Pas forcement, les terroristes auront surement eut des techs ou des spécialistes nucléaire pakistanais sous la mains: en les retournant (grosse sommes d'argent), sous contrainte (familles en otage), ou volontaire (ethniquement proche, ou par conviction religieuse)... ou "prêt"/"coup de main" de l'état Pakistanais, aussi, c'est possible ! Quelque soit le coupable faudra enquêter... ça c'est certain !
  19. Cricrisius

    Guerre de course

    Mise à part les prêts de grosses unités, fait par le roi aux capitaines renommés, cela dépend aussi des moyens financiers des actionnaires/armateurs (souvent des marchands qui arment à crédit, ou des nobles), de leurs "objectifs d'entreprise", qui trouvent, dans la course, un substitut au commerce en temps de guerre. Par exemple, à Saint-Malo (grands ports marchands), les finances sont là et ils ont les moyens de voir "grand", mais cela varie aussi d'une guerre à l'autre, comme à Dunkerque, par exemple, célèbre cité corsaire et marchande devenue plus "modeste" par la suite. Oui et non, avec les guerres, les activités économiques classiques sont souvent perturbés, cela provoque du chômage dans les ports, et donc des marins disponibles. Ceux-ci optent vite pour la course, car la Royale paie tellement mal et de façon irrégulière, que les marins préféraient plutôt embarquer et tenter leur chance chez les corsaires. La Royale embauche peu dans cette réserve théorique de 50000 marins, faute de moyen (les marins coutent cher à l'année), et les besoins en hommes sont différents selon les périodes, de 31 navires à armer (en 1661) elle passe à 130 (en 1688) puis à 78 (en 1744) (contre 120 à la Navy), 67 (en 1762)(pour 248 à la navy), 123 (en 1781)... La Royale en est donc réduite à devoir embarquer beaucoup de "terriens" et à essayer de les former aux métiers marins, avec des résultats souvent médiocre face à la navy, qui elle, à beaucoup plus de marins disponible. Pour comparer, la population maritime anglaise passa à 48 000 hommes sous Jacques 1er (vers 1600) pour 100 lettres de marques annuelles. Mais les anglais aussi ont du de mal, parfois, à trouver des marins, ils auront même de grave problème diplomatique, avec leur rafles systématiques dans les ports, même des étrangers s'y retrouvent embarqués. (comme les américains, bien que neutre). En 1812, pour 716 navires, la Navy embarque 150 000 hommes ! La guerre de Succession d'Autriche, par exemple. http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_la_marine_fran%C3%A7aise Pour une fois qu'un article de Wiki est fort bien détaillé et référencé sur le sujet, profitons en: Ainsi, la course compense les pertes commerciales en temps de paix, et rapporte énormément aux armateurs corsaire, (ceux-ci arment plusieurs navires afin de minimiser les risques). Selon la stratégie de course de l'entreprise, des finances et de la localisation du port, les navires sont plus ou moins grands. De 1740-1748, pour 2528 prises britannique, il y a 3300 navires anglais capturés, si l'on retire les 800 à 1000 prises espagnoles, les chiffres s’équilibrent de part et d'autre. Dans ce cas précis, il n'y a donc pas de prédominance des corsaires anglais ! La guerre suivante, les corsaires anglais ne prennent "que" 1500 navires, côté corsaire français, on capture le double de la guerre d'Autriche, soit 2600(?)/5000 (?) navires. La Navy siphonnant ressources humaines et prises, les corsaires anglais disparaissent peu à peu. Cela me parait beaucoup, 2% de pertes chaque années, sur 22 ans... (c'est pas loin de la moitié de sa flotte commerciale). A ce sujet, il semble que la flotte commerciale anglaise soit de 25 000 navires (?) à l'époque. Dans L'histoire de la Marine à voile (sacré pavé, soit dit en passant ;)) précise-t-il le nombre de navires saisis par la Royale et la Navy ? cela serait intéressant ! Pour ceux que cela intéresse, voici une étude détaillé et chiffré sur les corsaires français, tonnage et prix des navires, salaire des corsaires, revenu des prises... http://www.sfhm.asso.fr/documents/guerrecourse.pdf
  20. Sans compter que l'on ne saura pas combien de TN auront atterries entre les mains des terroristes, ni si d'autres TN ne sont pas déjà planquées à Paris, New-York ou Londres... prêtent à sauter si nous exerçons des représailles sur les terros ou le Pakistan.
  21. Qui dit que l'on va attaquer ou punir le Pakistan ? Si c'est une attaque terroriste, (car je ne vois pas le Pakistan encore assez fou pour le revendiquer), l'arme peut très bien avoir être volée dans un dépot pakistanais (par les talibans ou autres). Ce scénarios avait été envisagé, par les américains, il y a pas très longtemps lors de l'offensive talibane. De même que la disparition de l'URSS avait suscité pareil crainte.. Donc, si un groupe terroriste revendique l'action, je vois pas comment on vas larguer nos TN sur les villes pakistanaises. Pas plus que les américains ont attaqués l'Arabie saoudite après le 11/09/2001. Tout au plus on enverra nos militaires sur le terrain éradiquer la menace, avec l'aide des pakistanais trop heureux de pas se prendre des TN sur la tête "gratuitement".
  22. Cricrisius

    Guerre de course

    En ce qui concerne les "corsaires allemands" du XX°s, c'est un abus de langage, le but de guerre et le financement est différent. Tout au plus, il y a une ressemblance dans le mode opératoire des courses, mais la comparaison s'arrête là. Enfin, ils ne devraient pas s'appeler "corsaires", vu que la Prusse, puis l'Allemagne, à signé le traité d'interdiction des corsaires au XIX°s. Drake, c'est le seul exemple que j'ai trouvé qui collerait, à peu près, à la 1° question de trfyrktrv :P. Je sais bien qu'il n'a pas coulé l'Invinsible armada, mais il est devenu leur "bête noire" des espagnols, avec ses attaques dans leurs colonies. Une partie de sa renommé vient, effectivement, de l’exagération des anglais mais aussi des espagnols eux-même. Pas de soucis là dessus, les navires corsaires de l'époque Louis XIV (et contrairement au début du XVI°s), sont adapté pour la course au large et n'ont pas soucis de rayon d'action (ce sont très souvent des 2 mats). Ils peuvent se ravitailler en chemin, dans tous les ports non-ennemis, tant qu'ils ne sont pas catalogués comme "pirates". Avoir un faible rayon d'action, c'est attaquer les anglais près de leurs côtes et c'est très dangereux, on risque de croiser des navires de guerre à tout moment. Au contraire des caraïbes et de l'océan indien, beaucoup moins bien surveillés par la Navy. Non, il y a plus de corsaires français. D'une part, beaucoup de marins anglais se retrouvent dans la Royal-Navy (raflés ou non), celle-ci a des besoins en effectifs plus important que la Royale (car plus de navires), ou bien dans les nombreux bateaux de commerce des compagnies des indes ou autres. D'autre part, la France est plus peuplée que l'Angleterre, et la Royale à moins de navire que la Navy. Donc, il y a beaucoup plus marins français disponibles pour les courses, que d'anglais. Par contre, il y avait plus de pirates anglais que français ! On retrouve ces proportions dans les "hit parades" des meilleurs corsaires et pirates. Ne pas oublier qu'en cas de guerre avec nos voisin d'outre manche, le roi de France sait très bien son commerce sera, au mieux, fortement entravé (voir perdu) par la Navy, corsaires ou pas. Ainsi, les pertes des 2 flottes de commerces s'équilibraient, plutôt à cause de la marine, pour l'un, plutôt à cause des corsaires pour l'autre. L'avantage du roi de France, c'est qu'il n'avait pas à financer et entretenir une couteuse flotte de guerre pour arriver au même résultat que les anglais. La Hollande est aussi dans notre cas. Avec, hier comme aujourd'hui, des choix budgétaires à faire dans le militaire.
  23. Cricrisius

    Guerre de course

    Le soucis c'est que les corsaires et la guerre de course ne peuvent pas vaincre, à eux seul, une puissance maritime. Tout au plus gêner les opérations ennemis ou désorganiser momentanément les lignes de communications de l'adversaire. Car dès que la flotte de guerre arrive, les corsaires n'ont généralement, ni la puissance, ni la tactique, ni le nombre, pour l'affronter en bataille rangée... et doivent donc se disperser ou fuir. Il y a une exception notable, avec l'Angleterre et les corsaires de Francis Drake, qui arrivent à repousser/vaincre l'invincible armada (fortement aidé par une tempête), et vraiment désorganiser les espagnols avec ses attaques tout azimut.
  24. @ trfyrktrv, petite précision, les russes ont (aussi) utilisés le parachutage, en Mandchourie, pour le ravitaillement de leurs troupes de pointes (surtout les blindés). Chose peu courante à l'époque, et qui fera ensuite partie intégrante de leur tactique... avec les risques que cela comporte (selon l'adversaire).
  25. Les anglos-américains ont aussi essayés la même tactique, à Arnhem, et ce fût un échec qui leur à servi de leçon. Étrange que les soviétiques n'en est pas suffisamment tenu compte! Bonsoir et bienvenue sur le Forum. Pas de soucis pour la vision de cette campagne plutôt du côté russe (vu que le thème principale de l'article c'est la tactique soviétique) ;). Oui, les japonais se sont tout de même défendu, (et certaines batailles "locales" sont très acharnée), mais dans l'ensemble de l'armée du KuangToung, c'est soit la retraite, soit la débandade (armées de Mandchoukouo peu enclin à se battre). Il faut préciser que les japonais font un très très grosse erreur d’appréciation, ils pensent que l'offensive soviétique s'arrêtera après 400 Km, faute de ravitaillement, et laissent donc les russes "venir". Ils prévoyait, ensuite, d'en profiter, avec une grosse contre-attaque devant la frontière coréenne, mais la fin de la guerre arrivera entre-temps (avec le recul, on peut douter de la réussite d'un tel plan)
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