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Wallaby

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Tout ce qui a été posté par Wallaby

  1. http://www.youtube.com/watch?v=WnU5g-SyTzU Assemblée générale en direct. Programme : http://gadebate.un.org Dans quelques minutes ce sera le tour du président malien.
  2. http://www.calameo.com/read/00055811518cd27420334 Sommaire du N° d'octobre de Défense Nationale consacré à la politique africaine de la France avec une large place faite à l'intervention au Mali. http://gadebate.un.org/sites/default/files/gastatements/68/ML_fr.pdf Discours du président malien à l'ONU aujourd'hui.
  3. La BBC vient de mettre à jour le "profile" en anglais de la république centrafricaine : http://www.bbc.co.uk/news/world-africa-13150040 La République centrafricaine (RCA) a été instable depuis son indépendance de la France en 1960 et est l'un des pays les moins avancés dans le monde. Elle a subi plusieurs coups d'Etat et une période connue sous un empereur autoproclamé, Jean-Bedel Bokassa, qui a dirigé un régime brutal. L'ère Bokassa a pris fin en 1979, quand il a été renversé par un coup d'Etat dirigé par David Dacko et soutenu par les commandos français basés dans le pays. Après seulement deux années de son mandat M. Dacko a été renversé par André Kolingba, qui a finalement permis des élections présidentielles multipartites et a été dûment rejeté dès le premier tour. Le successeur de M. Kolingba, Ange-Félix Patassé, a dû composer avec des troubles graves qui ont abouti à des émeutes et des pillages en 1997 par des soldats impayés. Lorsque cette année-là les Français se sont retirés, il y avait la crainte d'un vide de pouvoir, donc Paris a financé un groupe des pays africains de langue française afin de créer une force de maintien de la paix. Cette force a ensuite été transformée en Mission des Nations Unies en République centrafricaine ou MINURCA. En 1999, M. Patassé a battu neuf autres candidats pour redevenir président, mais il y avait des allégations de fraude électorale. Il a été renversé par un coup d'Etat en 2003 et s'est exilé au Togo. Les armes illégales se multiplient à travers la RCA, héritage d'années de troubles. Les troubles ont déplacé des dizaines de milliers de Centrafricains; beaucoup d'entre eux ont traversé la frontière vers le Tchad. Des progrès vers la stabilisation du pays ont été fait entre 2008 et 2012, avant que la nouvelle alliance rebelle Seleka ne se dirige vers le sud et ne capture la capitale en mars 2013, renversant le président François Bozizé. La RCA possède des ressources agricoles, hydriques et minérales considérables. Mais la corruption est monnaie courante et sape les industries du bois et des diamants. Le pays est doté de forêts vierges et possède certaines des plus fortes densités de gorilles et d'éléphants de forêt en Afrique.
  4. Je crois que je me suis trompé dans l'utilisation de Google qui donne bien "nation" (et non "État"). Quelle différence y a-t-il avec أمّة (oumma) ? Et si c'est la même chose, alors pourquoi est-ce que cela s'écrit différemment ?
  5. http://www.joshualandis.com/blog/major-rebel-factions-drop-exiles-go-full-islamist/ (24-25 septembre 2013) Commentaire d'Aron Lund sur la déclaration anti-SNC du 24 septembre.
  6. Il a écrit un bouquin [en 2001] disant que même si les USA et l'ONU étaient intervenus au Rwanda, avec une petite intervention, cela n'aurait pas sauvé grand monde la plupart des victimes. Et il traite de l'intervention française dans le chapitre 5, pages 38 à 52. Dans l'article de Foreign Affairs http://www.foreignaffairs.com/articles/55636/alan-j-kuperman/rwanda-in-retrospect (janvier/février 2000) il s'en prend à l'idée qu'une force de seulement 5000 hommes aurait pu empêcher le génocide (ce qui ne veut pas dire qu'elles auraient été incapables de réduire significativement le nombre de victimes). On peut trouver une recension du livre sur http://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=1366985 (1er janvier 2002) Une grande partie du raisonnement de Kuperman semble se baser sur l'étude des problèmes de logistique face à une situation d'urgence. Dans son hypothèse maximale, compte tenu des problèmes de logistique, c'est à dire une force de 26550 tonnes et 13373 hommes, il conclut qu'un quart des victimes du génocide auraient pu être sauvées (et que donc les trois quarts des victimes n'auraient pas pu être sauvées). Pour l'auteur de la recension, l'hypothèse de Kuperman sur la date possible de lancement d'une opération est en avance de 3 semaines sur la date réelle de prise de conscience par la communauté internationale de l'existence d'un génocide qualifié comme tel, ce qui aboutit à un nombre de personnes sauvées cinq à dix fois plus faible que dans le calcul de Kuperman.
  7. On trouve un plus long résumé de l'article sur http://belfercenter.ksg.harvard.edu/publication/23387/lessons_from_libya.html Ainsi, le conflit était sur le point de se terminer, à peine six semaines après avoir commencé, avec un bilan d'environ 1000 morts, ce qui comprend des soldats, des rebelles et des civils pris entre les tirs. En intervenant, l'OTAN a permis aux rebelles de reprendre leur attaque, ce qui a prolongé la guerre pour sept autres mois et a causé au moins 7000 morts de plus. On peut aussi trouver quelques extraits dans http://bosco.foreignpolicy.com/posts/2013/07/18/did_nato_intervention_make_libyas_war_bloodier (18 juillet 2013) Bien que le gouvernement ait effectivement répondu par la force aux rebelles, il n'a jamais visé de civils ou eu recours à une force "indiscriminée", comme ont pu le dire les médias occidentaux. En effet, les premiers compte-rendus de presse ont exagéré le nombre de morts par un facteur dix... Du 5 mars au 15 mars, les forces du gouvernement libyen ont repris toutes les grandes villes prises par les rebelles, sauf une, ce qui inclut Ajdabiya, Bani Walid, Brega, Ras Lanuf, Zawiya, et la majeure partie de Misrata. Le régime n'a visé des civils en représailles dans aucune de ces villes, et a fortiori il n'y a pas commis de bain de sang.
  8. Merci pour les liens. La phrase de l'article du Monde sur "l'intéret de la nation (islamique)" semble provenir du point 4, où l'on trouve : الامة على مصلحة D'après Google, مصلحة c'est l'intéret, et الامة c'est l'État. Et على est une préposition. Donc le mot "(islamique)" ne figure pas dans ce point 4.
  9. Je rappelle que quand j'ai lancé le sujet sur le tourisme, c'était sur la base d'articles anglophones. Personnellement j'avais plutôt en tête des touristes américains ou européens, avec le soucis de la concurrence des destinations comme Londres ou Rome ou que sais-je, Honolulu ? Il me semble d'ailleurs que si Eurodisney s'appelle Eurodisney, c'est dans l'idée d'attirer des visiteurs européens. Cela dit je lis la discussion à propos de la Chine et des touristes chinois qui est intéressante aussi.
  10. http://www.mitpressjournals.org/doi/abs/10.1162/ISEC_a_00126 (juillet 2013) Le récit habituel [de l'opération en Libye] est entaché d'erreurs dans sa façon de décrire d'une part la nature de la violence en Libye avant l'intervention et d'autre part l'objectif final pour l'OTAN de changement de régime. L'examen de l'évolution de la violence en Libye avant et après l'action de l'OTAN montre que l'intervention s'est révélée contraire à l'effet recherché. L'intervention a multiplié la durée de la guerre par six et le nombre de morts par sept à dix ; elle a exacerbé les violations des droits de l'homme, la souffrance humanitaire, l'extrémisme islamique, ainsi que la prolifération des armes en Libye et dans les pays voisins. Si c'est une « intervention modèle », comme le dit un haut gradé de l'OTAN, alors c'est un modèle de fiasco.
  11. http://www.mitpressjournals.org/doi/abs/10.1162/ISEC_a_00124 (juillet 2013) Tout calcul fait, l'idée que cela rapporte économiquement sous la forme de préférences commerciales, de faire la guerre et d'être hégémonique, est exagérée.
  12. http://www.idlewords.com/2005/08/a_rocket_to_nowhere.htm (août 2005) Les archéologues du futur qui essaieront de comprendre quel était le but de la navette spatiale auront un beau sac de noeuds entre les mains. Pourquoi une fusée aussi puissante utilisée uniquement pour atteindre des orbites très basses, où la résistance de l'air et les débris limitent la durée de vie effective à quelques années ? Pourquoi y avait-il à la fois une grosse soute et un gros compartiment d'équipage ? Quel type de mission pouvait bien nécessiter une assistance humaine pour déployer une énorme charge ? Pourquoi la navette avait-elle été délibérément handicapée en ne pouvant pas atterrir par pilote automatique ? Pourquoi s'embêter à y mettre de grandes ailes si ce n'est pas pour y mettre des réacteurs et si elle plane aussi bien qu'une brique ? Pourquoi construire des moteurs principaux complexes, ajustables, pour finalement s'appuyer sur l'équivalent de deux gros feux d'artifice pour fournir le gros de la poussée au décollage ? Pourquoi utiliser un bouclier thermique en verre, plutôt qu'un bouclier ablatif en technologie bas de gamme ? Et après avoir choisi une méthode de protection thermique aussi fragile, pourquoi avoir placé le module orbital sur le côté de la fusée, là où tombent les objets durant le décollage ? Sur la base des résultats accomplis, la navette donne l'impression d'un véhicule conçu pour être lancé répétitivement à des orbites basses, sous la responsabilité de cinq à sept passagers sans se soucier de leur sécurité, nécessitant des soins et des préparatifs extravagants avant chaque vol, avec une insistance presque fétichiste sur la réutilisation. Clairement cet avion spatial primitif doit avoir été un objet sacré, utilisé dans des rituels religieux pour accomplir un sacrifice destiné à un dieu du ciel.
  13. http://www.lowyinterpreter.org/post/2013/09/18/First-female-foreign-minister-is-a-milestone.aspx (18 septembre 2013) Julie Bishop est la première femme ministre des affaires étrangères. Elle sera handicapée dans sa tâche de porter la bonne parole de l'inclusion des femmes en politique dans les pays du Pacifique, par le fait qu'elle est la seule femme du gouvernement australien.
  14. Est-ce que quelqu'un sait - en vérifiant la source en arabe et non en retraduisant à l'envers - quel est le mot arabe qui a été traduit par « nation (islamique) » ? Cette traduction en forme d'oxymore me parait au premier abord assez maladroite.
  15. http://www.n-tv.de/wirtschaft/Chinesen-schlucken-US-Hot-Dog-Riesen-article11433091.html (24 septembre 2013) Le chinois Shuanghui rachète le géant de la charcuterie américain Smithfield, qui détient notamment la marque Aoste.
  16. Le fait de créer un "code de la sécurité intérieure" qui rogne sans le dire (*) les protections offertes au citoyen dans le code pénal, à propos du secret des correspondances, et j'imagine à propos de toutes sortes de choses, me parait être un exemple flagrant de malfaçon législative (**). (*) sans que ce soit noté explicitement dans le code pénal (**) Cf discours du président du conseil constitutionnel, 1er janvier 2005 : http://www.conseil-constitutionnel.fr/conseil-constitutionnel/francais/cahiers-du-conseil/cahier-n-18/voeux-du-president-du-conseil-constitutionnel-m-pierre-mazeaud-au-president-de-la-republique.51930.html
  17. J'avais trouvé courageux de rappeler qu'Obama avant d'être président avait dénoncé un certain nombre de choses et qu'il est maintenant à contre-pied par rapport à ses propres arguments d'il y a quelques années. Je me suis peut-être emballé à cause de l'effet de surprise, n'ayant pas suivi avec ce niveau de détail ce qu'Obama a pu faire avant d'être président. Est-ce qu'en Europe on est plus exigeant ? Par exemple l'autre jour le Spiegel a parlé de la frégate allemande qui est allée faire des ronds en face des côtes syriennes pour espionner les communications des généraux syriens. A fortiori ils ont probablement intercepté aussi des communications privées, commerciales, etc... Est-ce qu'on peut mettre un filtre quelque part pour dire aux militaires allemands ce qu'ils doivent faire, là où ils doivent s'arrêter et demander des autorisations supplémentaires ?
  18. http://nationalinterest.org/commentary/burmas-nuclear-program-whos-charge-9120 (24 septembre 2013) Plusieurs incidents ces derniers temps (un général qui trafique avec la Corée du Nord, une armée qui attaque les rebelles sans que le gouvernement en soit informé) laissent penser que Thein Sein, président élu plus ou moins démocratiquement, à qui la junte est censée avoir passé le pouvoir, ne contrôle pas tout. En particulier on se demande s'il tiendra sa promesse de se conformer aux exigences de l'AIEA en matière de nucléaire.
  19. Ce n'est pas vraiment le domaine de la culture, mais Sciences Po forme des journalistes et des hommes politiques, et je suis tombé sur le document suivant, qui parle du pivot américain vers l'Asie, mais qu'importe : http://www.sciencespo.fr/ceri/sites/sciencespo.fr.ceri/files/n16_25062013.pdf (juin 2013) Alors pardon de ne pas écrire en français, mais je me contente de citer ce qui est écrit et rien n'est écrit en français dans cet objet littéraire. C'est une revue au nom branchouillard de Ceri Strategic Papers ( ils n'auraient pas pu dire, je ne sais pas, Les bonnes feuilles d'analyse stragégique du Ceri ?). Ensuite il y a écrit : This paper is based on the proceedings of the eponymous conference organized by CERI with the collaboration of the Association of the United States Army and the support of the Royal United Services Institute, the University of Notre Dame, and the US Embassy in Paris. Editors: Peter HERRLY and Hugo MEIJER Conference report: Natalie BOLL. Ce qui veut dire : Cet article se fonde sur les actes de la conférence éponyme organisée par le CERI avec la collaboration de l'association de l'armée de terre américaine et le soutien du Royal United Institute [une institution britannique], de l'Université Notre Dame [une université du côté de Chicago, dans l'Indiana] et de l'ambassade des États-Unis à Paris. Sous la direction de : Peter Herrly et Hugo Maijer. Compte-rendu de conférence : Natalie Boll. Maintenant voyons le pedigree de tout ce beau monde : Peter Heerly : colonel en retraite de l'armée de terre américaine. Hugo Meijer : chercheur au CERI et à l'IRSEM, diplomé de Sciences Po Paris, avec une carrière universitaire qui l'a ammené à Rome et à Washington. Natalie Boll : étudiante à Notre Dame (donc aux Etats-Unis) Michael McDevitt : contre-amiral américain en retraite Joanna Spear : prof à George Washington University (une université à Washington) Guillaume de Rougé : prof à sciences po, Paris 8 Isabelle Facon : chercheuse à la Fondation pour la recherche stratégique, Paris Emmanuel Puig : chercheur au Asia Centre, Paris Guibourg Delamotte : chercheur à l'INALCO, Paris et au CERI, Paris Eric Frécon : prof à l'école navale, chercheur au Asia Centre, Paris Michael Desch : prof à l'université Notre Dame (États-Unis) David Hogg : représentant des États-Unis à l'OTAN Donald Campbell : commandant général de l'armée de terre américaine en Europe Eva Gross : analyste à l' EU Institute for Security Studies, Paris Nicola Casarini : analyste à l' EU Institute for Security Studies, Paris David Hogg : lieutenant de l'armée de terre américaine en retraite Donald Campbell : lieutenant de l'armée de terre américaine en retraite Frédéric Charillon : Directeur d'un institut à l'IRSEM, prof à l'ENA, à Sciences Po Guy Swan : Vice-président de l'Association de l'armée de terre américaine Christian Lequesne : directeur du Ceri Pour moi tout cela est très très américano-centré. Je ne vois pas comment une pensée indépendante peut naître dans autant de dépendance, entre le financement par l'ambassade des États-Unis, et la soumission à la domination culturelle de la langue anglaise. En revanche j'ai été plus rassuré sur l'indépendance de Sciences-Po Lyon en m'apercevant que la jeune journaliste qui a écrit l'article du Monde ci-dessous avait été formée à Sciences-Po Lyon : J'ai dû relire l'article deux fois tant ça me paraissait improbable que le journal Le Monde puisse être aussi critique vis à vis des États-Unis. L'avantage minimal qu'on peut retirer de tout cela est que cela permet de se faire une idée de ce qu'ont ressenti les peuples colonisés à l'époque où c'était la France qui colonisait le monde.
  20. L'auteur renvoie à un article de l'Institut Von Mises, qui lui-même renvoie à l'ouvrage Frontier Violence: Another Look (La violence dans le Frontier : un réexamen) d'Eugene Hollon, paru en 1970. J'en ai trouvé un résumé très intéressant dans http://frontierghost.blogspot.fr/2007/04/book-review-frontier-violence-another.html (2007). La thèse principale de Hollon est que : L'état de non-droit du Frontier fut principalement le résultat, plutôt que la cause de notre société violente. C'est passionnant. Cela veut dire que la cause est à chercher ailleurs que dans le Far West lui-même : dans une violence présente dès le début de la colonisation de l'Est en réaction à un environnement hostile, et avec des sentiments racistes anti-amérindiens et anti-mexicains. La violence du Far West n'en est qu'un avatar, tout comme le sont la guerre d'indépendance ou peut-être la violence urbaine actuelle. L'article de Contrepoints évoque les statistiques de Dodge City en 1878. Mais Dodge City est au Kansas, et le Kansas est devenu un État des États-Unis en 1861. Cela veut dire qu'après 1861, le Kansas n'est plus considéré comme faisant partie du Frontier, mot difficile à traduire dont la traduction peut-être la plus juste pourrait être "marche" au sens de "marche de l'Empire" comme on dit à propos de l'empire carolingien. C'est la zone en train d'être colonisée qui est derrière, plus à l'ouest, que la frontière du dernier État des États-Unis. Les territoires de Louisiane, dont fait partie le Kansas, achetés à la France en 1803 étaient dans ce cas. Les statistiques de Dodge City en 1878 n'invalident pas la théorie de la violence dans les territoires du Frontier, qui est un territoire glissant, qui glisse d'Est en Ouest. Ce que prouvent ces statistiques, c'est qu'en 1878 le Frontier avait déjà glissé plus à l'ouest que Dodge City. L'article sur le Kansas http://en.wikipedia.org/wiki/Kansas#History indique qu'en 1861, la violence avait déjà régressé au Kansas. L'article sur le Frontier http://en.wikipedia.org/wiki/American_frontier#Law_and_order cite l'article Some Aspects of Crime and Punishment on the Arkansas Frontier de Waddy W. Moore (1864) qui établit la forte criminalité dans l'Arkansas Frontier dans les deux décennies 1820 et 1830. Les dates sont importantes. L'intitulé Arkansas Frontier indique bien qu'il ne s'agit pas de l'État d'Arkansas (Arkansas State), qui n'existe pas encore, mais de ce qui a précédé la création de l'État.
  21. Le lien indiqué précédemment : donne accès à un article ponctué de renseignements précis, donc se prêtant à une vérification. Si c'est une histoire montée de toutes pièces, on pourrait s'attendre à ce que depuis le temps, son caractère imaginaire ait déjà été dénoncé. Mais je peux me tromper.
  22. Il est quand même député et payé à ce titre par le budget de l'État. C'est du même niveau que Depardieu, et on devrait pourvoir s'attendre à un peu mieux de la part d'un député.
  23. ..........................................................
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