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Wallaby

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Tout ce qui a été posté par Wallaby

  1. http://www.independent.co.uk/news/world/americas/brazilian-president-dilma-rousseff-postpones-us-visit-over-nsa-spying-8823515.html (18 septembre) En froid après la découverte du programme d'espionnage révélé par Snowden, la présidente du Brésil reporte sine die sa visite aux USA - un bon dîner d'État avec Obama - qui était prévu en octobre. Mais c'est trop tard pour inverser le choix des Boeing et revenir aux Rafales. http://www.stamfordadvocate.com/local/article/2-teens-face-charges-in-powder-hoax-4822993.php (17 septembre 2013) Deux adolescentes se sont rendues à la police après avoir appris qu'elles étaient recherchées pour avoir distribué des enveloppes contenant de la poudre dans deux boîtes à lettre du voisinage.
  2. C'est de bonne guerre, vu l'empressement de Paris à tenir compte du point de vue suédois dans l'affaire syrienne.
  3. Wallaby

    Lexique des acronymes du forum

    N'est-il pas un peu gênant que les acronymes s'activent y compris pour les noms communs écrits tout en minuscules comme le mot "sas" dans l'exemple suivant ?
  4. http://www.challenges.fr/monde/20130914.REU2325/assad-aurait-mis-a-l-abri-son-arsenal-au-liban-et-en-irak.html (14 septembre 2013) Le général Idriss a dit qu'il est prêt à faciliter le passage des inspecteurs du démantèlement chimique. Un autre chef militaire de l'insurrection, Kassim Saadeddine, a pour sa part rejeté purement et simplement l'accord de Genève. "Au diable ce plan Kerry-Lavrov ! Nous le rejetons et nous ne protégerons pas les inspecteurs (de l'Onu). Nous ne les laisserons même pas entrer en Syrie", a-t-il lancé. http://www.buzzfeed.com/susannahgeorge/meet-the-syrian-group-behind-the-case-for-war (14 septembre 2013) Article sur Elisabeth O'Bagy et le Syrian Emergency Task Force
  5. http://www.washingtonpost.com/opinions/we-can-stop-syria-by-using-lessons-from-iraq/2013/09/13/2e9749a4-1c9b-11e3-82ef-a059e54c49d0_story.html?tid=auto_complete (13 septembre 2013) C'est un article qui insiste sur la nécessité de tirer les leçons des inspections internationales ayant abouti au démantèlement chimique et biologique de l'Irak, pour que le démantèlement chimique de la Syrie puisse aussi être un succès.
  6. http://carnegie-mec.org/2013/08/13/la-tunisie-sortira-t-elle-de-la-crise-politique-et-sécuritaire/gj8w (13 août 2013) A l’intérieur du pays, dans les villes marginalisées au niveau du développement et déçues par les promesses non tenues des nouveaux dirigeants, l'autorité centrale perd du terrain face au mouvement de protestation engagé par les comités régionaux du Front de salut national, une coalition de partis demandant la dissolution du gouvernement. Dans certaines villes, ces comités ont remplacé les autorités locales. A Sidi Bouzid, le berceau de la révolution et de Mohamed Brahmi, le gouverneur a été chassé, le siège d'Ennahda a été incendié et la ville est maintenant dirigée par un comité de jeunes.
  7. http://carnegieeurope.eu/publications/?fa=52712# (21 août 2013) C'est un article qui revient sur l'accord de Meseberg de 2010 sur la Transnistrie entre Merkel et Medvedev, recherchant les raisons pour lesquelles il a échoué, et mettant l'accent sur la différence entre les méthodes de travail et les représentations de l'autre. Merkel l'avait joué "à la Sarkozy" c'est à dire en solo sans consulter ses partenaires européens ni même son propre ministère des affaires étrangères. Medvedev avait sous-estimé sa capacité à vaincre les résistances, c'est à dire à fournir des compensations aux intérets russes en Transnistrie.
  8. J'ai perdu la référence de l'article où j'avais lu cela, mais quelqu'un expliquait (je ne sais plus si c'est parmi les rebelles les plus compatibles avec l'Occident ou si c'est en général) on trouve en particulier des rebelles organisés en tant que groupe d'auto-défense surveillant leur quartier, leur maison, etc. Et qu'il serait difficile de les convaincre par exemple d'aller mener une grande offensive sur Damas, parce que pour eux, partir pour une offensive dans une autre région, cela veut dire abandonner la défense de leur quartier où ils ont leur maison et leurs amis. Donc ce type de combattant-là, au contraire, est un combattant qui non seulement n'ira pas à l'étranger, mais refusera également d'aller se battre dans une région de la Syrie qui n'est pas la sienne.
  9. Wallaby

    Lexique des acronymes du forum

    Voir la liste d'acronymes de l'OTAN sur la dernière page (page 12) de http://www.ndc.nato.int/download/downloads_fr.php?icode=369
  10. http://www.strategicstudiesinstitute.army.mil/pubs/display.cfm?pubID=1161 (28 juin 2013) Rapport de 53 pages sur la mission de l'OTAN Operation Unified Protector. Extrait du résumé : Si le gouvernement est incapable de reprendre le contrôle de la sécurité, la Libye pourrait fort bien se diriger vers un scénario d'État failli - ce qui, bien sûr, jetterait aussi une ombre sur l'opération de l'OTAN. L'euphorie provoquée par la fin d'un régime brutal qui a duré quatre décennies en Libye ne devrait pas travestir le fait que les conséquences de Operation Unified Protector ne sont pas encore pleinement visibles. En effet, nombre de leçons à en tirer pourraient n'apparaître que plusieurs années après la fin de la mission Operation Unified Protector. Ce serait une erreur de penser que l'aventure de l'OTAN en Libye s'est terminée avec le retrait de la mission militaire ; Que l'Alliance le veuille ou non, sa réputation est en jeu dans le long processus de reconstruction de la Libye. http://www.ndc.nato.int/download/downloads_fr.php?icode=369 (mars 2013) « La stratégie maritime de l'OTAN et la crise en Libye vue de la mer » (12 pages en français). Extrait : Certains alliés empêchèrent que leurs navires de surface soient impliqués dans un tir d'appui d'artillerie navale, d'autres refusèrent que leurs ports nationaux soient utilisés pour réaliser des opérations de visite de navires marchands. Les États-Unis décidèrent pour leur part de ne pas s'engager dans les missions offensives d'OUP, en ne fournissant pas (comme mentionné auparavant) de groupe aéronaval complet.
  11. http://www.strategicstudiesinstitute.army.mil/pubs/display.cfm?pubID=1164 (8 août 2013) Rapport de 128 pages sur les 5 ans de l'AFRICOM. Extrait du résumé, pages 2-3 : Jusqu'à présent le gouvernement des États-Unis a dû recourir lourdement à des régimes autocratiques en Ouganda, Rwanda et Éthiopie pour contribuer au gros des troupes de trois récentes missions de maintien de la paix de l'Organisation de l'Unité Africaine et des Nations Unies. Bien que le Département d'État ait un rôle prépondérant dans l'entrainement des forces de maintien de la paix africaines, l'AFRICOM a néanmoins été critiquée en Afrique comme soutenant des régimes autocratiques, en partie parce qu'elle est confondue comme étant le visage de tels entrainements. Pour supprimer définitivement ce problème, le gouvernement américain devrait donner une priorité claire aux démocraties émergentes lorsqu'elle sélectionne les pays dont les militaires recevront des équipements et des entrainements financés par les États-Unis. Extrait de la page 81 : En tant que nation, nous faisons la sélection Leahy pour nous assurer que les individus recevant une formation militaire américaine ne sont pas d'anciens auteurs de violations des droits de l'homme. En tant que nation, nous devrions essayer d'être plus sélectifs en choisissant les nations que nous entrainons pour les missions de maintien de la paix de l'Organisation de l'Unité Africaine et des Nations Unies. (...) Le système politique américain empêche déjà au gouvernement des États-Unis de fournir un entrainement au maintien de la paix aux régimes africains les plus flagrants tels que l'Éritrée ou le Zimbabwe.
  12. Reuters est une agence de presse britannique. Il faut prendre ses « analyses » avec une petite pincée de sel.
  13. http://www.consilium.europa.eu/uedocs/cms_data/docs/pressdata/EN/foraff/138737.pdf (13 septembre 2013) Déclaration de Catherine Ashton au nom de l'Union Européenne déplorant la peine de mort et invitant le Japon à débattre sur la possibilité de rejoindre la tendance mondiale à l'abolition de la peine de mort. http://www.euinjapan.jp/en/media/news/news2013/20130910/164346/ (10 septembre 2013) La Délégation de l'Union Européenne au Japon organise une exposition et un symposium sur la peine de mort le 10 octobre prochain à la Maison de l'Europe à Tokyo, pour la journée mondiale contre la peine de mort.
  14. Je pense que la reconnaissance de l'opposition syrienne en novembre 2012 a été un « pont trop loin ». Si cette opposition avait eu en face d'elle une victoire facile, ç'aurait été un très joli coup, mais pas de chance... Je n'ai pas souvenir qu'on le lui ait demandé auparavant. J'ai souvenir qu'on lui ait demandé d'abandonner le pouvoir, pas d'abandonner les armes chimiques. C'est tout à fait exact, et ce, en laissant entendre que rien - pas même un démantèlement chimique - ne pouvait faire fléchir la détermination française à « punir », c'est à dire à violer la Charte des Nations Unies et la Convention sur les armes chimiques de 1993 (laquelle stipule que seul le Conseil de Sécurité est habilité à décider ce type de punition). Je n'emploierais pas le mot « saboté ». Je dirais que les députés britanniques travaillistes ont permis de « donner du temps au temps », créant ainsi les conditions pour que naisse cette possibilité de démantèlement chimique de la Syrie (qui reste un chemin semé d'embûches, mais pas irréaliste vu qu'il y a le précédent du démantèlement chimique de Kadhafi, qui n'était pas non plus un enfant de choeur).
  15. http://breakingdefense.com/2013/09/11/the-pentagons-own-road-to-damascus/ (11 septembre 2013) Pour Nathan Freier, professeur au US army war college, la crise Syrienne révèle l'inadaptation de la nouvelle doctrine américaine au monde tel qu'il est. Cette nouvelle doctrine, inscrite dans le Defense Strategic Guidance de 2012 définit trois principes : 1 - Se reconcentrer sur les adversaires étatiques. L'idée sous-jacente est qu'un État qui se comporte de façon irresponsable est toujours un plus grand danger qu'un acteur non-étatique. 2 - Se concentrer sur les conflits traditionnels qui pourraient défier le potentiel américain de frappes de précision à haute dose. À titre annexe, cela permet aussi d'avoir une capacité de frappes de précision utilisable contre des terroristes. 3 - Faire faire le "sale boulot" des opérations "face à face" (il veut dire au sol ?) aux alliés. C'est mal parti quand on voit la trajectoire budgétaire britannique et le récent vote au parlement de Westminster. La réalité est tout autre. La réalité est que les États-Unis demeurent le « captif non consentant » de la « nouvelle normale » du Proche-Orient. Une « nouvelle normale » qui est, grosso-modo, le chaos, activé par des forces incontrôlables telles que la démographie, les injustices et les haines. Les Etats-Unis peuvent tout au plus atténuer ces conflits, mais pas les résoudre. La domination sans rival par les États-Unis de l'air, de la mer et de l'espace adjacent ou impactant un théâtre ne garantit pas que la situation va évoluer comme les États-Unis le souhaitent.
  16. http://breakingdefense.com/2013/09/12/navy-to-hasc-were-about-to-sign-sub-deals-we-cant-pay-for/ (12 septembre 2013) C'est un article sur les programmes de construction de sous-marins. Il y a une restriction budgétaire d'environ 15% qui est programmée pour l'ensemble du budget de la défense, le fameux "sequester". Le contre-amiral Johnson dit qu'il veut maintenir le programme de fabrication de 10 sous-marins d'attaque de classe Virginia. Un autre article ( http://breakingdefense.com/2013/04/09/save-our-subs-prioritizing-the-attack-submarine/ 4 septembre 2013) rappelle que l'Amérique avait 100 sous-marins d'attaque en 1987, qu'ils ne sont que 53 aujourd'hui et que faute de construire les 10 classe Virginia, cela va tomber bientôt à 40. Pour les chantiers qui doivent être démarrés maintenant, cela revient à avoir de l'argent pour payer les chantiers navals mais pas pour payer les équipements. En fait le contre-amiral Johnson a dit qu'il comptait récupérer les 15% manquants des classe Virginia sous la forme de rallonges budgétaires. Apparemment en cannibalisant les autres budgets du ministère de la défense. http://breakingdefense.com/2013/09/13/vcjcs-winnefeld-tells-army-to-forget-long-land-wars-congress-get-out-of-our-way/ (13 septembre 2013) Le vice chef d'état-major, l'amiral Winnefeld a fait un discours le 12 septembre à l'Association of the United States Army dans lequel il a expliqué les grands choix stratégiques, en particulier en indiquant que les longues guerres au sol de plus de 10 ou 12 ans sont peu probables. Au contraire il faut se préparer prioritairement à des guerres courtes mais plus dures, où l'ennemi utiliserait les mêmes hautes technologies qui font les succès actuels de l'armée américaine : moyens de surveillance et de reconnaissance avancés, armes téléguidées de précision, etc. Et puis il y a quelques piques contre les hommes politiques sur la manière de mener à bien les restrictions budgétaires. Pour caricaturer, ce qui compte pour un député, c'est d'avoir une base militaire dans sa circonscription, et peu importe si les avions qui sont dessus sont capables de voler. Donc l'État-major voudrait fermer plus de bases plus vite, pour dépenser l'argent à des choses plus utiles, mais les politiciens freinent (trop?).
  17. http://freebeacon.com/declining-power/ (13 septembre 2013) Le contre-amiral Breckenridge a dit jeudi au Congrès que la flotte de sous-marins américaine va décliner de 15% ces 15 prochaines années soit une diminution de 30% du nombre de sous-marins, passant de 75 à 52.
  18. http://freebeacon.com/russian-defense-radar-missiles-worry-u-s-officials/ (3 juillet 2013) Le nouveau radar d'Armavir permettrait de détecter les missiles au dessus de la France ou de l'Espagne.
  19. C'est un portrait assez fouillé - sur cinq pages - de Serguei Lavrov et de ses démêlés avec les diplomates américains, et même avec Sarkozy. C'est biaisé par l'aspect très guerre froide de la vision américaine de la Russie, mais je pense que c'est malgré tout plus intéressant que ce qu'ont sorti Le Monde ou Le Figaro ces derniers jours sur Lavrov sur seulement une page.
  20. Je croyais avoir écrit "test de la bonne volonté" et non "terminer le programme". J'entends par "munitions non chargées" des munitions vides de produits chimiques. D'où la possibilité de simplement les écraser avec un bulldozer. Je ne vois pas ce qu'il y a de difficile à comprendre là dedans. http://www.theguardian.com/world/2013/sep/12/john-kerry-syria-chemical-weapons-surrender?commentpage=1 (13 septembre 2013) Kerry et Lavrov ont fait une conférence de presse à Genève. Kerry est selon le Guardian "modérément optimiste", en disant "je crois qu'il y a moyen de faire faire cela". Il a modéré son langage en disant que si la Syrie ne tient pas ses engagements, cela aura "des conséquences", sans dire précisément lesquelles, ce qui parait aller dans le sens de la demande russe de cesser les menaces de frappes. Lavrov a semblé vouloir faire comprendre à Kerry qu'il parlait trop : « la diplomatie requiert le silence » a-t-il dit. Kerry, peut-être gêné par la traduction, n'a pas eu l'air de comprendre.
  21. Je suis tombé sur cet éditorial du 11 septembre du « Beloit Daily News » : http://www.beloitdailynews.com/opinion/bill-barth-let-the-syrians-sort-out-syria/article_ada055b2-1afa-11e3-87be-001a4bcf887a.html . Beloit, c'est une petite ville du Wisconsin, à la limite de l'Illinois, à l'ouest de Chicago. L'éditorialiste ne doit pas souvent avoir l'occasion de faire son éditorial sur la politique étrangère. Alors c'est style Crédit Agricole, le bon sens près de chez vous, au pays de « la Petite Maison dans la Prairie ». Il dit : moi je n'ai pas fait l'armée, mais j'ai un fils qui était dans l'armée de l'air. Il rappelle le Viet Nam. Il prend la guerre d'Irak de 1991 pour modèle : large coalition, but clair, et sage décision du président de ne pas s'aventurer plus loin après avoir reconquis le Koweit. Il termine en rappelant ce que lui disait son grand-père, un sage fermier : c'est les vieillards qu'on devrait envoyer à la guerre, pas les jeunes qui ont leur vie devant eux. Et au lieu de cela, les vieillards démarrent des guerres où c'est les jeunes qui meurent.
  22. Jacques Chirac parlait le russe. « M. Chirac a lui-même raconté en 2005 avoir été "élevé en partie entre 15 et 20 ans par un professeur de russe" » ( http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/article/detail/282538/2008/05/20/Jacques-Chirac-recoit-le-Prix-d-Etat-russe.dhtml ) donc la dimension russe faisait partie de son logiciel. Ses successeurs, probablement beaucoup moins.
  23. Voir aussi http://theatrum-belli.org/syrie-la-france-a-contre-emploi/ (9 septembre 2013) sur le blog Theatrum Belli, qui dit « la position [Russe] est d’ailleurs comme le copié-collé de l’ex-argumentaire irakien de l’Elysée et du Quai d’Orsay » C'est ce que j'ai pensé en lisant la tribune de Poutine dans le New York Times. À part lorsqu'il dit que ce sont les rebelles qui ont fait l'attaque chimique sans annoncer dans la foulée qu'il va en fournir les preuves, j'ai trouvé que Poutine volait le discours qui est normalement celui de la France. Quel faisceau de causes peut-on tenter d'avancer ? - Un calcul électoral, et donc l'accomplissement d'une promesse électorale, comme l'explique l'article http://www.lemonde.fr/international/article/2013/09/10/comment-francois-hollande-a-choisi-l-option-militaire_3473857_3210.html - Un manque de travail d'analyse : l'essoufflement de l'opinion publique britannique et américaine n'était-il pas prévisible ? Le grand écart entre les promesses électorales d'Obama (plus de guerres stupides) et les promesses électorales de Hollande ne devait-il pas être perçu ? - Une absence de dimension franco-russe (si l'article http://www.lemonde.fr/international/article/2013/09/10/comment-francois-hollande-a-choisi-l-option-militaire_3473857_3210.html qui n'en parle pas est complet) : cela pourrait être aussi un manque de travail : ne pas passer le temps qu'il faut avec les diplomates français spécialistes de la Russie. - La poursuite de l'aventure Libyenne. On repart avec le même logiciel : la France et l'Angleterre en remorqueur qui tire le porte-avion américain. Sans tirer les leçons de la confusion politique en Libye. Sans mesurer l'épuisement de la bonne volonté russe, surtout avec le changement de locataire au Kremlin. Là aussi, un manque de travail sur ce retour d'expérience libyenne. Paresse de reprogrammer un nouveau logiciel plus performant. - La notion de "lead from behind" (l'Amérique qui reste en arrière, en donnant quelques coups de main par ci par là) en Libye et au Mali n'était-elle pas finalement la vraie ligne jaune qu'Obama n'entendait pas dépasser ?
  24. http://www.nationalreview.com/article/358432/test-russias-intentions-robert-joseph (13 septembre 2013) L'auteur, sous-secrétaire d'État chargé de la limitation des armements qui avait négocié avec Khadafi son désarmement chimique, propose trois tests de la bonne volonté du gouvernement syrien : - Pour que les militaires syriens coopèrent, l'engagement à détruire toutes les armes chimiques doit venir « d'en haut » (J'imagine qu'il veut dire Bachar). [Le message de Bachar à la télévision russe ne lui suffit pas ?] - Demander une liste complète des personnels militaires civils et militaires affectés aux armes chimiques, et comparer avec ce qu'on sait déjà. - Demander la destruction immédiate des munitions non chargées associées aux armes chimiques (obus, bombes, ogives de missiles). Ca peut être fait très simplement en les écrasant avec un bulldozer. Les trois choses peuvent être faites en deux semaines.
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