Wallaby

http://www.thestar.com.my/News/World/2014/01/23/Merkel-outraged-over-Ukraine-crackdown/ (23 janvier 2014) Merkel est « très inquiète », mais rejette l'idée de sanctions européennes à ce stade. http://www.eubusiness.com/news-eu/russia-ukraine.t50/ (23 janvier 2014) Gorbachev, qui rappelle que sa mère et feu son épouse étaient ukrainiennes, demande à Obama et « Vladimir Vladimirovich » (Poutine) d'organiser des pourparlers entre gouvernement et opposition.

http://www.charlotteobserver.com/2014/01/23/4633593/widespread-looting-hits-c-african.html (23 janvier 2014) Les événements de PK13 par Associated Press.

Je pense qu'il y a une part de vérité dans les critiques faites contre les "programmes d'ajustement structurel" du FMI : http://www.afriqueexpansion.com/le-fmi-et-lafrique/6748-le-fmi-et-lafrique-une-relation-longtemps-controversee-.html (7 janvier 2013) Ainsi, dans les années 1980 et 1990, de nombreux pays d’Afrique subsaharienne avaient souffert des « programmes d’ajustement structurel » (PAS) accompagnant les plans d’aides, accusés d’imposer une libéralisation des marchés draconienne. Beaucoup ont donc accusé le FMI d’avoir fait plus de mal que de bien avec ces fameux PAS, véritables traitements de choc imposés à ces pays emprunteurs déjà très en difficulté financièrement, victimes d’un endettement excessif. En effet, lorsqu’un de ces États sollicitait un prêt auprès de cette institution, cette dernière lui imposait, afin de pouvoir rembourser sa dette, d’appliquer une politique de rigueur économique, qui consistait essentiellement à opérer des privatisations, comprimer les dépenses publiques et les budgets sociaux, ouvrir le marché intérieur aux capitaux étrangers et aux produits nord-américains et européens, abandonner toutes les protections, notamment les subventions dont bénéficiaient les producteurs locaux http://fr.ufpweb.org/spip.php?article157 (25 avril 2007) Pour se procurer les devises nécessaires au remboursement de la dette, les pays africains doivent accroître leurs exportations. Pour cela, ils sont amenés à réduire les cultures vivrières destinées à l’alimentation des populations (comme le manioc ou le mil par exemple) et se spécialisent généralement sur un (ou quelques) produits agricoles d’exportation, une (ou quelques) matières premières à extraire du sous-sol ou des activités primaires comme la pêche. Ils deviennent alors économiquement très dépendants de cette ressource ou de cette monoculture. (...) [selon des chiffres publiés en 2004] Trois produits représentent plus de 80 % des exportations de 31 pays, une part qui atteint les 95 % pour 19 d’entre eux (Algérie, Angola, Botswana, Cap-Vert, Congo, Ethiopie, Gabon, Guinée, Guinée équatoriale, Libye, Mali, Mauritanie, Niger, Nigeria, Ouganda, République démocratique du Congo, Rwanda, Tchad et Zambie) [31]. » (...) Au Mali, sur les 612 000 tonnes de coton-graine produites en 2003-2004, 99 % sont exportées. http://www.afribone.com/spip.php?article13637 (août 2008) Depuis 1989, le Mali s’est engagé, à l’instar d’autres pays africains, dans un programme dit d’ajustement structurel (...). L’impact spécifique des programmes d’ajustement structurel sur l’école s’est traduit entre autres par le départ massif des enseignants parmi les plus expérimentés à la retraite anticipée, dégarnissant ainsi des milliers de classes ; par le gel du recrutement dans la fonction publique de nouveaux personnels, enseignant aussi bien que technique, réduisant les structures et l’Etat à des solutions palliatives telles que l’engagement de vacataires et de contractuels ;

L'article cité ci-dessus par Chronos ( http://www.lalibre.be/actu/international/un-battlegroup-sans-mission-52e0c9513570ba3e1840f019 ) a l'air d'expliquer que le battlegroup utilise l'anglais comme langue : Les soldats enrôlés doivent être capables de parler correctement l’anglais et se revoient à intervalles réguliers aux différentes étapes menant à l’activation de l’EUBG

Au minutage 40:53, Christine Ockrent pose la question « Il faudrait demander à la Chine de participer ? » et ses invités n'ont pas répondu. Elle n'a pas l'air au courant que les militaires Chinois sont déjà au Mali pour participer à la sécurisation de Gao.

http://www.lecourrierderussie.com/2014/01/22/les-russes-evacuent-les-armes-chimiques-de-syrie/ (22 janvier 2014) Le dispositif russe pour le désarmement chimique en Syrie : Actuellement, c’est le croiseur Amiral de l’Union soviétique Nikolaï Kouznetsov de la flotte du Nord qui s’apprête à prendre le relais du croiseur Pierre le Grand. L’Amiral ne viendra pas seul : il sera accompagné par un destroyer, un bâtiment de débarquement de chars, un bateau-citerne et un remorqueur. La flotte russe de la mer Noire, de son côté, envoie en soutien de l’Amiral quatre bâtiments de débarquement de chars supplémentaires.

Peut-être que vous avez accès à des informations qui n'ont jamais été révélées au grand public, mais jusqu'à présent il n'a jamais été rapporté dans les médias que les militaires français aient procédé à des inspections du matériel militaire du MNLA. Pour moi, jusqu'à plus ample informé, le MNLA est en possession de matériel libyen. Pages 76 et 77 de « Les rébellions touarègues au Sahel » http://www.cdef.terre.defense.gouv.fr/content/download/4228/59572/file/Rebellions_touaregues.pdf , Mériadec Raffray écrit Un mois avant la chute de Tripoli en octobre, les mercenaires libyens d’origine touarègue fuient à travers le désert avec armes et bagages, direction plein sud. Au total, environ 4 000 quitteront le pays. Une minorité entre au Niger, où le gouvernement parvient à les désarmer. La majorité opte pour le Nord-Mali. Avant leur départ, ces mercenaires ont pris soin de dévaliser les arsenaux du colonel Kadhafi. Ils apportent avec eux des transports de troupes blindés, des 4x4, des lance-roquettes multiples de type Katiouchka, des missiles sol-air portables, des bulldozers et même, selon certaines sources, des hélicop-tères en pièces détachées 143. Page 77 Mériadec Raffray a ajouté une photographie qui montre des touaregs sur un véhicule, avec la légende « Véhicule 4x4 venu de Libye équipé de lance-roquettes ». Page 79 de ce même rapport, il y a une photo montrant un alignement de véhicules 4x4 avec la légende « Combattants Touaregs d’Ansar Dine avant un rezzou. ». Pour vous, ces 4x4 d'Ansar Dine ne viennent pas de Libye ? Ce sont des véhicules pris à l'armée malienne ? Il y a peut-être eu des exagérations et de mauvaises sources d'informations à propos des missiles ou des hélicoptères, mais est-ce qu'il y a lieu de douter que le gouvernement nigérien ait récupéré des armes libyennes lorsqu'il a désarmé ces groupes ? Je ne vois aucune raison d'en douter, et donc d'estimer qu'une autre partie de ces armes libyennes ait pu se retrouver au nord Mali. On peut lire aussi http://www.jeuneafrique.com/Article/JA2663p010-012.xml1/ (27 janvier 2012) [En avril 1992, Mohamed Ag Najem] regagne la Libye, où il s'engage définitivement dans l'armée, en prenant la nationalité libyenne. Ses états de service et ses aptitudes guerrières lui valent une promotion rapide et le commandement d'une unité d'élite à Sebha, dans le Sud libyen. La déliquescence du régime de Kaddafi accélère son retour dans son pays natal. Son irrédentisme n'a pas été entamé par ce long exil. Il installe deux camps dans le désert, l'un à Tigherghar, aux confins de l'Algérie, l'autre à Zakak, dans la région de Kidal, déterminé à y préparer ses hommes à la lutte pour l'indépendance. Ses troupes grossissent au fil des jours. Il parvient à fédérer trois factions touarègues locales, puis est rejoint par une vague de déserteurs de l'armée malienne, dont plusieurs officiers supérieurs. Tous lui font allégeance. C'est ainsi qu'il devient chef d'état-major général du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA). Donc il est commandant d'une unité d'élite libyenne, mais il ne réussit pas à emporter des armes libyennes avec lui quand il rentre au Mali ?

http://www.rfi.fr/emission/20140122-le-fleau-obesite-mexique (22 janvier 2014) Au Mexique, l’obésité est devenue un véritable problème de santé publique. 76 millions de personnes, 73 % des Mexicains, sont trop gros.

source : http://www.france-allemagne.fr/Journee-franco-allemande-22-01-14,8749.html http://www.rfi.fr/europe/20140122-bulgarie-immigration-mur-europe-barbeles- (22 janvier 2014) Le gouvernement bulgare a commencé la construction d'un « mur » le long de la frontière avec la Turquie.

http://www.mali-cikan.fr/?p=3942 (19 janvier 2014) Ce blog ne sera plus accessible à compter du 31 janvier 2014 Les troupes maliennes défilent, le 20 janvier 2014, fête de l'armée. Source : http://www.eutmmali.eu/?attachment_id=2086 Les formateurs européens défilant. Source : http://www.eutmmali.eu/?attachment_id=2102 http://www.dw.de/la-bundeswehr-en-afrique/a-17380061 (22 janvier 2014) 170 soldats allemands sont présents au Mali pour participer à la formation de l'armée malienne. La Bundeswehr serait en mesure d'envoyer des soldats supplémentaires pour protéger la mission européenne à Bamako et Koulikoro.

http://www.japantoday.com/category/world/view/france-to-boost-africa-military-presence (22 janvier 2014) Le Drian rencontrera Chuck Hagel et Susan Rice à Washington plus tard cette semaine. En amont il a accordé une interview à Associated Press qui a demandé à Mark Schroder, analyste Afrique chez Stratfor de commenter : « [En Afrique], la France soulage la tâche des Etats-Unis en lui évitant d'avoir à répondre aux pays en crise dans lesquels il n'a pas d'intérets incontestables ». « Il n'y a pas de menace envers la sécurité nationale des États-Unis. Les menaces portent plus sur les alliés de l'Amérique, ou indirectement sur les intérets de l'Amérique ».

Source http://www.dvidshub.net/image/1152664/us-transports-rwandan-soldiers-into-car Transport des soldats rwandais dans un C-17 Globemaster III originaire de la base McChord dans le Washington. source : http://www.dvidshub.net/image/1152657/us-transports-rwandan-soldiers-car Une série de 30 photos prises le 19 janvier 2014 est disponible sur http://www.dvidshub.net/search/?filter%5Bunit%5D=USAFE&page=1

Je n'avais pas vu les commentaires en bas de l'article. Eh oui ils sont assez truculents.

Je ne sais pas ce qui est prévu en Ukraine, mais en Russie la loi permet aux organisations financées par des dons de l'étranger de continuer à fonctionner, à condition de se soumettre à des obligations déclaratives (en France les associations doivent être déclarées en préfecture, publier leurs comptes, etc.), et ce qui est nouveau c'est qu'elles doivent placer la mention "agent étranger" bien en vue lors de leurs relations avec les usagers. Les sanctions ne sont prévues que pour les associations qui ne se soumettent pas à ces obligations (en France aussi le préfet peut dissoudre une association qui ne respecte pas ses obligations déclaratives). Si les Ukrainiens sont à ce point europhiles, alors dès qu'ils verront "agent étranger" dans les papiers de l'association ils n'aimeront cette association que plus fort. Le peuple russe étant - dit-on - assez xénophobe et encore imbibé de la mentalité de la guerre froide, je comprends que cela fasse du tort aux associations de les obliger de mentionner "agent étranger" dans les relations avec l'usager. Mais je ne vois pas pourquoi cela devrait faire du tort aux associations en Ukraine si le peuple ukrainien est europhile.

Déjà le nord du département de Moselle est traditionnellement une région de langue allemande, comme on le voit dans la toponymie (Sarreguemines, dans le département de Moselle, est la francisation de Saargemünd). Mais Sarrelouis, actuellement en Allemagne, est une place forte créée ex nihilo par Vauban. Ce qu'il faut avoir à l'esprit, c'est que l'Allemagne est un pays très récent, créé, inventé par Bismarck (et quelques autres inventeurs comme Fichte, etc..) en 1870. Jusqu'au XVIIIe siècle cette région était le duché de Lorraine, regroupant des régions francophones au sud et germanophones au nord. L'article de Die Welt dit que quelques mots français sont passés dans la langue allemande parlée en Sarre, tels que Plümmo (plumeau, duvet), "Troddwa" (trottoir), "Schesslong" (chaise-longue), "Däätz" (tête), "pressiert" (pressé) "dussma" (doucement).

http://www.welt.de/politik/deutschland/article124090161/Das-kleine-Saarland-wird-jetzt-zweisprachig.html (21 janvier 2014) La région de Sarre (Saarland) se dote d'un plan pour devenir complètement bilingue (allemand-français) d'ici 2043. La moitié des écoles maternelles auront bientôt des institutrices chargées de l'éveil à la langue française. Le français sera au programme de l'examen pour devenir fonctionnaire. La région a d'ores et déjà recours à la main d'oeuvre frontalière avec 18000 Lorrains qui travaillent en Allemagne.

Excellent.

http://www.spiegel.de/international/germany/german-military-faces-a-difficult-year-in-africa-and-afghanistan-a-944553.html (21 janvier 2014) Quelque difficile qu'y soit la situation, l'Afghanistan ne sera pas le seul défi que devra affronter la ministre [allemande de la défense Ursula Von der Leyen]. La Bundeswehr devra aussi renforcer son déploiement en Afrique. La France demande un soutien en Centrafrique et une plus forte implication allemande au Mali. Lundi, les ministres des affaires étrangères européens se sont mis d'accord sur une mission de l'UE en Centrafrique, où l'Allemagne ne devrait contribuer qu'à un soutien logistique. Merkel a exclu la participation de troupes au sol. Les soldats de la Bundeswehr participent déjà à une mission d'entrainement au Mali. Mais le président français François Hollande veut plus, et Berlin probablement ne refusera pas. Longtemps, Berlin ne voulait pas reconnaître que les soldats allemands devraient risquer leur vie en Afrique. Soudainement, cela ne peut plus être exclu. Cette semaine, aussi bien Von der Leyen que le ministre des affaires étrangères Frank-Walter Steinmeier avaient dans leur agenda une visite à Paris pour discuter de la forme d'une contribution allemande. Il devient clair au gouvernement à Berlin qu'ils ne peuvent pas simplement laisser la France faire le sale boulot. Jusqu'à présent la contribution allemande a été limitée à des vols de soutien - et le ministère de la défense voudrait s'y limiter pour la Centrafrique. Mais Berlin voit une possibilité d'aider la France au Mali. Bientôt un contingent plus important, plus robuste, de soldats allemands devrait soutenir l'effort d'entrainer des troupes là-bas. Les militaries allemands sont déjà impliqués dans l'entrainement de troupes dans la ville méridionnale malienne de Koulikoro. Le projet est d'ouvrir un nouveau centre d'entrainement pas très loin à Ségou, sur la rive du fleuve Niger. L'Allemagne y a entrainé des soldats maliens avant le putsch de 2012. Par ailleurs, l’Allemagne projette de déplacer sa base aérienne pour les transports de troupes de Dakar, Sénégal, au Mali. Cela assurera à la Bundeswehr une plus grande flexibilité pour répondre aux demandes des unités militaires aussi bien maliennes que françaises dans le pays. http://www.sueddeutsche.de/politik/mali-und-zentralafrikanische-republik-bundesregierung-bereitet-afrika-einsatz-vor-1.1865908 (17 janvier 2014) Le gouvernement fédéral se prépare à une opération en Afrique. Selon les informations de la Süddeusche Zeitung, la brigade franco-allemande devrait renforcer la mission en cours au Mali. L'opération au Mali doit être décidée pour le conseil de défense franco-allemand du 19 février. L'Allemagne devrait selon les avant-projets fournir les troupes maliennes en vêtements, chaussures et camions.

La Suisse, la Norvège, etc... "profitent" de l'Europe puisqu'ils sont, j'ai cru comprendre, dans une sorte de libre-échange avec l'UE. Mais il ne faut pas oublier que cette situation les oblige à respecter les normes de l'UE (sur le nombre de trous dans le gruyère, etc...) sans qu'ils ne puissent participer à l'élaboration des normes de l'UE (puisqu'ils n'ont pas de députés européens au parlement de Bruxelles-Strasbourg). Mais heureusement Zorro est arrivé sous la forme de l'accord de libre-échange euro-étatsunien (TTIP) en cours de négociation. Pour les étatsuniens, les lois ne doivent pas être discutées par les citoyens et leurs représentants que sont les députés. Pour les étatsuniens, les lois doivent être discutées par les stakeholders, les « parties-prenantes », c'est à dire par les entreprises. En gros, ce que les étatsuniens appellent "démocratie" est en fait une "lobbiocratie", où les lobbies discutent entre eux des normes qui sont les meilleures pour eux. Donc que vous soyez citoyen ou pas citoyen, peu importe. Si vous êtes une-entreprise-présente-sur-le-marché, une entreprise locale ou étrangère, nationale ou multinationale, vous-êtes un stakeholder (« partie prenante ») et c'est vous qu'on doit écouter. Je m'appuie sur les informations de l'article suivant paru le 15 octobre 2013 sur le site internet de The National Interest http://nationalinterest.org/commentary/will-regulations-sink-eu-us-free-trade-9229?page=show Les constructeurs automobiles japonais qui sont en Angleterre entendent utiliser le gouvernement anglais pour demander que les normes européennes en matière d'automobile (consommation en litres au cent kilomètres, pollution, etc...) leurs correspondent. Si l'Angleterre n'est plus dans l'UE, alors les entreprises japonaises, comme Toyota auront tout intéret à laisser tomber l'Angleterre et à mettre le paquet dans leur site... de Valenciennes pour continuer à faire un lobbying du même type. Donc pour la France, il serait plutôt une bonne chose que l'Angleterre sorte de l'UE, pour que Toyota mette le paquet sur Valenciennes. Sauf si l'UE dit amen aux Américains qui veulent une lobbie-cratie plutôt qu'une démo-cratie. Dans une lobbie-cratie le lobbie doit être entendu même s'il ne fournit pas d'emplois aux citoyens, et même si sa présence sur le territoire est globalement négative.

J'avais posté le lien suivant à propos de Sibut, une ville située à l'est de Bangui : Ce qu'explique le journaliste, c'est que les Séléka et les anti-Balaka se sont partagé le territoire, de telle sorte que chacun reste dans son territoire, ce qui évite les malentendus. Donc ils restent armés, mais il y a une sorte de politique du "chacun chez soi" qui s'instaure, de telle sorte que normalement les uns ne devraient pas aller dans le territoire des autres et réciproquement. Peut-être qu'un beau jour tout ce monde-là sera désarmé, mais ce que je ne comprends pas trop, c'est qui fera la police le jour où tout le monde sera désarmé ? Il ne faudrait pas faire un EUTM-Centrafrique pour refaire une armée centrafricaine comme on fait un EUTM-Mali pour refaire une armée malienne ?

Plus précisément, je voulais dire : il est déjà défini comme et il faudrait rajouter à la suite la possibilité "Check Point".

L'acronyme CP ci-dessus n'est pas défini. On pourrait proposer la définition suivante : Checkpoint (barrage policier) Faut écrire ca alors ;) CP : Check Point (point de contrôle)

La page http://www.air-defense.net/forum/topic/17691-lexique-des-acronymes-du-forum/ n'a pas l'air accessible. J'obtiens :

http://www.journaldebangui.com/article.php?aid=5965 (17 janvier 2014) Reprise timide du trafic [fluvial - il n'y a pas de pont] entre Zongo [République démocratique du Congo] et Bangui. http://www.radiondekeluka.org/item/18477-des-personnes-arrêtées-à-bangui.html (20 janvier 2014) Des personnes arrêtées à Bangui. « le pillage des édifices publics et privés ne saurait rester impuni ». http://fr.africatime.com/republique_centrafricaine/articles/centrafrique-la-lituanie-prete-envoyer-un-avion-de-transport-et-dix-hommes (20 janvier 2014) La Lituanie prête à envoyer un avion de transport [spartan] et dix hommes [pendant un mois]. http://www.bbc.co.uk/afrique/region/2014/01/140119_corps-rca.shtml (19 janvier 2014) Une centaine de soldats français de l'opération Sangaris et des unités de la Mission internationale de soutien à la Centrafrique (MISCA) ont lancé vendredi [17 janvier] une opération sur l'axe entre Bangui et Bossembélé, afin de "faire cesser les exactions", selon des sources militaires françaises.

Débat (video) en deux parties sur France 24 (dernière mise à jour le 8 janvier 2014) : partie 1 http://www.france24.com/fr/20140107-le-debat-centrafrique-crise-operation-sangaris-france-elections-djotodia-misca-onu-partie-1/ partie 2 http://www.france24.com/fr/20140107-le-debat-centrafrique-crise-operation-sangaris-france-elections-djotodia-misca-onu-partie-2/ avec : Denise YAKAZANGBA Réseau des femmes en action pour le développement Christophe BOISBOUVIER Journaliste RFI et Animateur de l'émission quotidienne « l'invité Afrique » Hissein Brahim TAHA Ambassadeur de Tchad en France Romain NADAL Porte Parole du Ministère des Affaires Etrangères Mathieu MABIN Envoyé Spécial France24 à Bangui Denise Yakazangba participait à une réunion avec des opposants tchadiens le 3 janvier 2014 à la Maison de l'Afrique à Paris. Thème du débat : "quelles solutions à la crise centrafricaine ?" : http://afrikarabia2.blogs.courrierinternational.com/archive/2014/01/05/centrafrique-le-probleme-c-est-deby-49501.html (5 janvier 2014) Une partie des interventions de Denise Yakazangba à la Maison de l'Afrique sont transcrites sur http://www.journaldebangui.com/article.php?aid=5895 (8 janvier 2014)