
fraisedesbois
Members-
Compteur de contenus
1 597 -
Inscription
-
Dernière visite
Tout ce qui a été posté par fraisedesbois
-
tadaaaa... edit: com. de randomradio sur SFF: En juin. J'espère simplement que les révisions techniques commenceront avant les élections, afin que les essais en vol puissent se terminer à la fin de 2024. Et j'espère aussi que tous les prétendants seront prêts. Ensuite, la sélection se fera en 2025, le choix de l'avion en 2026 et les négociations dureront de 1 à 1,5 an. Avec un peu de chance, un contrat sera signé fin 2027, et le premier jet sera livré en 2030. Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
-
Asie centrale post-soviétique
fraisedesbois a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Et bien c’est édifiant, je ne savais pas. Pour être direct: on parle dans la vidéo-conférence de « génocide culturel » et de « crimes contre l’humanité » perpétrés au Pamir (connu aussi sous le nom d’Oblast Autonome du Gorno-Badakhshan, GBAO) par le gouvernement central. On assiste à une entreprise semble-t-il méthodique de destruction de la société civile pamirie: arrestations ciblées, ou de masse/enlèvements/tortures/jugements à huis clos/emprisonnement de défenseurs des droits de l’homme, de blogueurs, d’hommes d’affaires, de journalistes, d’avocats, de dirigeants de la société civile et de militants pamiris. En mai 2022, les services de sécurité ont tiré au hasard sur la foule dans la région de Korough (capitale du GBAO). Steve Swerdlow évoque une quarantaine de morts. Pour Bruce Pannier, la situation au Pamir est « l’une des plus horribles choses qu’il pense avoir jamais vue depuis qu’il couvre l’Asie Centrale »… Selon Genocide Watch, qui distingue dix étapes avant la perpétuation d’un génocide proprement dit, le Tadjikistan est entré dans la phase huit en persécutant sa minorité pamirie. Ces gens des montagnes (par opposition aux tadjiks des plaines) ne sont pas sécessionnistes. Selon Pannier ils souhaitent « simplement » être représentés au Parlement. Depuis l’indépendance du Tadjikistan, le GBAO a toujours été un bastion de l’opposition. Seulement voilà, le président Rakhmon, au pouvoir depuis 1992 (et qui était déjà « député populaire » au Soviet suprême du temps de la République Socialiste Soviétique Tadjike) ne veut pas d’opposition. Au fil du temps, tous les partis, toutes les organisations d’opposition (« Groupe 24 », « Parti de la Renaissance Islamique du Tadjikistan », « Alliance Nationale du Tadjikistan », « Parti Démocratique du Tadjikistan », « Commission 44 », etc.) ont été interdits, étant qualifiés de « terroristes » et/ou « extrémistes ». Fermez le ban. L’Occident ne bronchait pas: le Tadjikistan était un soutient dans la lutte contre les taliban voisins (Afghanistan). D’ailleurs, aujourd’hui encore le pays soutient les tadjiks afghans qui luttent contre l’Émirat taliban… et bénéficie pour cette raison de la totale bienveillance de la Chine, alors que depuis l’Ukraine la Russie est sur le reculoir en Asie Centrale. -
Guerre de l'information et propagande
fraisedesbois a répondu à un(e) sujet de Bat dans Divers non-conventionnel
Bonjour, tu mets sur un même plan une œuvre artistique, pardon: une production culturelle, fictionnelle hollywoodienne, avec l'agit-prop mensongère et anonyme russe sur les réseaux? ps: un autre "machin" hollywoodien anti français, qui se passe au Mali (déjà), tourné en 2003 (ie: post Villepin//ONU). Sahara:- 802 réponses
-
- 1
-
-
- propagande
- information
-
(et 3 en plus)
Étiqueté avec :
-
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
fraisedesbois a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
... le soviet éponge (je sors) -
Océanie
fraisedesbois a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
#ÉtatsFédérésdeMicronésie (reuters10/02) Alors que la Chine rôde, les États-Unis signent un protocole d'accord avec la Micronésie WASHINGTON, 10 février (Reuters) - Les États-Unis ont annoncé vendredi avoir signé un protocole d'accord avec les États fédérés de Micronésie, reflétant une compréhension commune de l'avenir de l'assistance américaine au pays insulaire du Pacifique, que Washington tient à maintenir hors de l'orbite chinoise. L'annonce du Département d'État signifie que Washington a maintenant signé des protocoles d'accord sur une assistance future avec trois pays insulaires clés du Pacifique alors qu'il négocie des renouvellements d'accords de coopération qui donnent aux États-Unis l'accès à d'immenses étendues du Pacifique à des fins de défense. Washington a déclaré avoir signé le mois dernier des protocoles d'accord avec les Îles Marshall et les Palaos et avoir atteint un consensus sur les conditions de l'aide économique, mais Washington n'a pas fourni de détails. La Micronésie n'a pas immédiatement répondu à une demande de commentaire. La déclaration de vendredi a déclaré que le dernier protocole d'accord affirmait "notre partenariat étroit et continu et reflétait notre compréhension commune atteinte sur les niveaux et les types d'assistance future des États-Unis à demander aux États fédérés de Micronésie". "Le protocole d'accord a été signé dans le cadre des négociations en cours sur le Pacte de libre association et confirme notre vision commune d'un partenariat solide et durable qui continuera de profiter aux deux nations et à l'ensemble de la région du Pacifique", indique le communiqué. Les Etats Unis. Cette décision intervient alors que Washington et ses alliés sont préoccupés par les ambitions militaires de la Chine dans la région indo-pacifique. En vertu des Compacts of Free Association (COFA) conclus pour la première fois dans les années 1980, Washington conserve la responsabilité de la défense des trois nations insulaires tout en leur fournissant une assistance économique. Les dispositions du COFA expireront en 2023 pour les Îles Marshall et les EFM et en 2024 pour les Palaos. Bien que les nations insulaires entretiennent toujours des liens étroits avec Washington, les critiques avertissent qu'un échec à finaliser l'aide économique pourrait les inciter à se tourner vers la Chine pour obtenir des financements ou accroître le commerce et le tourisme. /g**gletrademerdre- 239 réponses
-
- 2
-
-
Actualités des Patrouilleurs et des BSA en Metropole et OM
fraisedesbois a répondu à un(e) sujet de Scarabé dans Europe
La Résolue rencontre les marins du 9ème district naval du Brésil à Manaus Direction : Marine / Publié le : 09/02/2023 Déployé dans les eaux brésiliennes du 10 au 30 janvier 2023, le patrouilleur Antilles Guyane (PAG) La Résolue a effectué la remontée du fleuve Amazone jusqu’à Manaus, à la confluence du Rio Negro et du Solimões. L’objectif principal de cette mission exceptionnelle, qui n’avait pas été effectuée depuis 2011, était de participer au rayonnement de la France dans la région et renforcer la coopération avec les partenaires brésiliens, notamment le 9ème district naval du Brésil, flotte fluviale en charge de l’Amazone et du soutien des villages riverains. Pour atteindre Manaus, cette ville de 2 millions d’habitants située en plein cœur de la forêt amazonienne et de l’Amérique du Sud qui n’est pas reliée par la route au reste du Brésil, le PAG La Résolue a effectué une navigation hors normes : un transit fluvial de 1 600 nautiques aller-retour sur un fleuve pouvant faire plusieurs kilomètres de large et aux fonds dépassant parfois la centaine de mètres. Au cours des six jours cumulés de pilotage entre les débris flottants et une météo difficile, l’équipage de La Résolue a traversé de nombreuses zones remarquables : Macapa, Santarém, la démarcation des eaux noires du Rio Negro pour enfin atteindre Manaus. Outre la technicité importante demandée par cette navigation, la mission Amazone 2023 a été l’occasion de renforcer la coopération entre les deux marines. Les marins de La Résolue ont ainsi pu profiter d’une visite de la base navale de Manaus et d’un navire hôpital brésilien, avant de s’entraîner avec les patrouilleurs fluviaux Roraima et Rondonia, en vue d’acquérir un solide retour d’expérience en termes de navigation fluviale. En parallèle, l’escale à Manaus a permis aux marins français d’accueillir à bord du patrouilleur de hautes autorités militaires brésiliennes et des représentants du corps diplomatique français. Riche de cette coopération opérationnelle avec la marine brésilienne, La Résolue a fait route retour vers la Guyane pour reprendre le cours des opérations de police des pêches, cette fois-ci en mer, théâtre d’opérations privilégié des marins des forces armées en Guyane. -
Marine Australienne: modernisations, acquisitions et exercices navals.
fraisedesbois a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Asie / Océanie
ahem, thesun, 12février: Le Royaume-Uni conclut un accord historique de 2 milliards de livres sterling avec l'Australie concernant un sous-marin nucléaire. LE ROYAUME-UNI a accepté de fournir à l'Australie des sous-marins nucléaires dans le cadre du premier accord de ce type jamais conclu, ce qui représente des milliards pour l'industrie britannique. Les ministres seraient ouverts "en principe" à l'idée de construire des sous-marins conventionnels à propulsion nucléaire, comme ceux de la classe Astute, qui coûtent près de 2 milliards de livres chacun. L'accord pourrait permettre la construction d'un sous-marin britannique, à partir de modèles existants, dans les plus brefs délais. Rishi Sunak devrait dévoiler plus de détails sur l'accord AUKUS lors de sa visite à Washington DC le mois prochain. Cet accord historique permettra aux Aussies d'obtenir un sous-marin de haute technologie dès que possible, dans le cadre du pacte de défense AUKUS, afin de faire face à la menace croissante de la Chine. Selon les initiés, les ministres seraient ouverts à la construction d'un sous-marin pour un autre allié - comme l'Australie - à Barrow-in-Furness, dans le comté de Cumbria, ce qui permettrait d'économiser des milliards de livres et de garantir des milliers d'emplois pour une génération. Le pacte AUKUS espère mettre en service un nouveau type de sous-marin pour l'Australie d'ici le milieu des années 2040. Mais cet accord pourrait permettre à l'Australie de disposer d'un sous-marin de fabrication britannique, utilisant des conceptions existantes, dès que possible. Toutefois, le gouvernement a exclu de prêter un sous-marin de la Royal Navy à Canberra. Ce projet s'inscrit dans le cadre d'un plan plus large intitulé "Indo-Pacific tilt", qui vise à renforcer nos liens de sécurité dans la région. Le Premier ministre Rishi Sunak devrait dévoiler ce plan ainsi que de plus amples détails sur l'accord AUKUS lors de sa visite à Washington DC le mois prochain. L'Australie s'est retirée d'un accord de 65 milliards de livres sterling avec la France en faveur de la construction de sous-marins nucléaires dans le cadre du pacte AUKUS, ce qui a déclenché une importante dispute diplomatique en 2021. /deepl -
La situation au Soudan
fraisedesbois a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
On reparle de la base navale russe à Port Soudan: https://apnews.com/article/politics-sudan-government-moscow-803738fba4d8f91455f0121067c118dd -
Guerre de l'information et propagande
fraisedesbois a répondu à un(e) sujet de Bat dans Divers non-conventionnel
- 802 réponses
-
- 2
-
-
- propagande
- information
-
(et 3 en plus)
Étiqueté avec :
-
SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
fraisedesbois a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
11 janvier. Compte rendu Commission de la défense nationale et des forces armées — Audition, à huis clos, de l’amiral Pierre Vandier, chef d’état-major de la Marine, et du vice-amiral d’escadre Jacques Fayard, commandant les forces sous-marines et la force océanique stratégique (ALFOST), sur la dissuasion nucléaire. https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/16/comptes-rendus/cion_def/l16cion_def2223032_compte-rendu -
[Russie] Marine Russe - VMF (sujet général)
fraisedesbois a répondu à un(e) sujet de Francois5 v2.1 dans Asie / Océanie
-
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
fraisedesbois a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
(bloomberg, 05fev.) #Inde #UralOil La nouvelle carte du pétrole : Comment l'Inde transforme le brut russe en carburant pour l'Occident. La nation asiatique a augmenté ses achats de brut russe depuis la guerre. Les carburants sont envoyés aux États-Unis et dans l'Union européenne dans le cadre de nouveaux flux commerciaux visant à garantir l'approvisionnement. L'Inde joue un rôle de plus en plus important sur les marchés pétroliers mondiaux, en achetant de plus en plus de pétrole russe bon marché et en le raffinant pour en faire du carburant pour l'Europe et les États-Unis. Pourtant, New Delhi n'a subi que peu de réactions publiques parce qu'elle répond au double objectif de l'Occident de réduire les revenus énergétiques de Moscou tout en évitant un choc pétrolier. Et alors que l'Europe renforce ses sanctions, l'Inde ne peut que devenir plus centrale sur la carte mondiale du pétrole, redessinée par la guerre que Vladimir Poutine mène depuis un an en Ukraine. "Les responsables du Trésor américain ont deux objectifs principaux : maintenir le marché bien approvisionné et priver la Russie de revenus pétroliers", a déclaré Ben Cahill, chargé de recherche au Center for Strategic and International Studies, un groupe de réflexion de Washington. "Ils sont conscients que les raffineurs indiens et chinois peuvent réaliser des marges plus importantes en achetant du brut russe à prix réduit et en exportant des produits au prix du marché. Ils sont d'accord avec cela". L'Inde a expédié environ 89 000 barils par jour d'essence et de diesel à New York le mois dernier, le plus grand nombre depuis près de quatre ans, selon la société de renseignement Kpler. Les flux quotidiens de diesel à faible teneur en soufre vers l'Europe ont atteint 172 000 barils en janvier, soit le plus haut niveau depuis octobre 2021. L'importance de la nation asiatique devrait s'accroître après l'entrée en vigueur dimanche des nouvelles sanctions de l'Union européenne sur les exportations de pétrole russe. L'interdiction retirera un énorme volume de diesel du marché et verra davantage de consommateurs, notamment en Europe, puiser dans l'Asie pour combler le déficit d'approvisionnement. Cela rendra le pétrole russe bon marché encore plus attrayant pour l'Inde, qui dépend des importations pour couvrir environ 85 % de ses besoins en brut. Les raffineurs du pays, y compris les entreprises publiques chargées de satisfaire la demande intérieure, ont augmenté leurs exportations l'année dernière afin de profiter de la hausse des prix internationaux. Alimenter l'Occident "L'Inde est un exportateur net de produits raffinés et une grande partie de ces produits ira vers l'Ouest pour aider à atténuer les tensions actuelles", a déclaré Warren Patterson, responsable de la stratégie des produits de base chez ING Groep NV à Singapour. "Il est assez clair qu'une part croissante de la matière première utilisée pour ce produit provient de Russie." Selon les directives de l'UE, l'Inde agit probablement dans les règles. Lorsque le brut russe est transformé en carburants dans un pays extérieur à l'Union européenne, comme l'Inde, les produits raffinés peuvent être livrés dans l'UE car ils ne sont pas considérés comme étant d'origine russe. Les pays du Groupe des Sept sont désireux de réduire autant que possible les revenus de Moscou, mais ils ont également intérêt à ce que le pétrole et les produits raffinés russes continuent à circuler pour éviter une pénurie mondiale, a déclaré Serena Huang, analyste principale pour l'Asie chez Vortexa Ltd. Le pétrole de l'Oural russe se négocie avec une forte décote par rapport au Brent Un élément clé du mécanisme visant à réduire les revenus du Kremlin et à maintenir une certaine quantité de pétrole sur le marché a été le plafonnement du prix du brut russe, une mesure dont les États-Unis ont été le fer de lance. L'Inde n'a pas dit publiquement si la nation adhère ou non à la limite, mais les sanctions ont fait passer le pétrole du producteur de l'OPEP+ sous le plafond de 60 dollars le baril. Un porte-parole du Conseil national de sécurité des États-Unis a déclaré qu'un plafond de prix avait été mis en place et que les pays, dont l'Inde, pouvaient en tirer parti pour maintenir la stabilité des marchés de l'énergie, tout en limitant les revenus du Kremlin. "La volonté de l'Inde d'acheter davantage de brut russe à un prix plus élevé est une caractéristique, et non un problème, du plan des nations occidentales visant à imposer une douleur économique à Poutine sans l'imposer à elles-mêmes", a déclaré Jason Bordoff, directeur fondateur du Center on Global Energy Policy de l'université Columbia et ancien conseiller de l'administration Obama. Des cadres et des responsables de pays et de sociétés, dont l'Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, les États-Unis et Abu Dhabi National Oil Co., se réunissent à Bangalore lundi pour un forum de trois jours sur l'énergie organisé par le ministère indien du pétrole et du gaz naturel. /deepl -
Inde : politique intérieure et internationale
fraisedesbois a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
Dépenses d'investissement pour les services de défense 2023-2024: https://www.indiabudget.gov.in/doc/eb/sbe21.pdf Un commentaire: Le budget de la défense tombe en dessous de 2 % du PIB, l'accent étant mis sur les infrastructures frontalières Pour la première fois depuis des décennies, les allocations de défense de l'Inde sont passées sous la barre des deux pour cent du produit intérieur brut (PIB) nominal. Sur les 45 03 097 crore* prévues dans le budget de l'Union pour l'exercice 2023-24, le ministère de la défense a reçu 593 373 crore. Cela représente 1,97 % du PIB, soit 13,2 % des dépenses publiques. Le budget de la défense comprend une allocation de 138 205 crore pour les pensions de la défense, qui ont diminué de manière significative pour la première fois au cours de cette décennie. L'année dernière, les allocations pour les pensions étaient de 153 414 crores. Les allocations de défense pour 2023-24 représentent une augmentation de 68 371 crore, soit 13 %, par rapport aux allocations budgétaires de 2022-23. Toutefois, si l'on compare les allocations de cette année avec les allocations révisées de 2022-23, l'augmentation est d'un minuscule 1,5 %. Les dépenses d'investissement de la défense pour la modernisation des équipements et le développement de l'infrastructure sont passées à 171 375 crore. Le gouvernement a présenté cela comme une augmentation de 57 % depuis 2019-20. Cependant, par rapport aux allocations budgétaires de l'année dernière, les dépenses d'investissement ont été augmentées de seulement 7 %. Pour pouvoir soutenir les petites industries de haute technologie et les start-ups, le programme iDEX (innovations pour l'excellence de la défense) a reçu 116 crore. Le ministre de la défense, Rajnath Singh, a qualifié le budget de l'Union de 2023-24 d'orienté vers la croissance. Il a déclaré que cela contribuerait à faire de l'Inde une économie de 5 000 milliards de dollars en quelques années. Afin de maintenir les forces armées prêtes au combat, la partie non salariale des dépenses a été augmentée de 44 %, passant de 64 869 crore dans les prévisions budgétaires pour 2022-23 à un peu plus de 90 000 crore pour l'année à venir. "Ces dépenses devraient permettre de combler les lacunes critiques dans les capacités de combat et d'équiper les forces en termes de munitions, d'entretien des armes et des actifs, de réserves militaires, etc. Alors que l'armée de terre, forte de 1,3 million d'hommes, s'est vu attribuer la part du lion des budgets de recettes et de pensions, l'Indian Air Force a obtenu la plus grande part de l'allocation de capital : 57 137 crore. La marine a reçu 52 805 crore, tandis que l'armée de terre se contentera du plus petit budget d'investissement : Rs 37,242 crore. Selon le ministère de la défense, l'un des principaux objectifs du budget était de renforcer les infrastructures, notamment le long de la frontière sino-indienne. Pour cela, l'allocation de capital à la Border Roads Organisation (BRO) a été augmentée de 43 %, passant de 3 500 crore pour l'exercice 2022-23 à 5 000 crore pour l'exercice 2023-24. Selon le ministère de la défense, l'allocation de la BRO a doublé en deux ans depuis l'exercice 2021-22. "Cela stimulera l'infrastructure frontalière, créant ainsi des actifs stratégiquement importants comme le tunnel de Sela, le tunnel de Nechiphu et le tunnel de Sela-Chhabrela", a déclaré le ministère de la Défense dans un communiqué de presse. /deepl (* 1 crore = 10 millions de roupies) -
Exportation du Rafale: prospects et clients potentiels
fraisedesbois a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
Dépenses d'investissement pour les services de défense 2023-2024: https://www.indiabudget.gov.in/doc/eb/sbe21.pdf -
Exportation du Rafale: prospects et clients potentiels
fraisedesbois a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
il n'y a pas de limitation au nombre de mandats. -
Relations et Rivalité Chine / Etats-Unis
fraisedesbois a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
-
Marine Australienne: modernisations, acquisitions et exercices navals.
fraisedesbois a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Asie / Océanie
(australian financial review, 19jan.): L'Australie va devenir une plaque tournante pour les sous-marins américains L'Australie est sur le point de devenir une plaque tournante majeure du Pacifique occidental pour la maintenance des sous-marins américains, dans le cadre de l'accord AUKUS, afin de renforcer la présence américaine dans la région, alors que Canberra attend la livraison de ses propres sous-marins à propulsion nucléaire. Des centaines d'entreprises australiennes sont susceptibles d'être intégrées dans la chaîne d'approvisionnement pour contribuer à l'entretien des sous-marins en visite, à condition qu'elles respectent les normes strictes d'assurance qualité et de sécurité exigées par les États-Unis, notamment l'interdiction d'utiliser des pièces fabriquées en Chine. L'intensification de l'activité industrielle permettra également de former les entreprises australiennes afin qu'elles puissent jouer un rôle dans la construction locale de sous-marins nucléaires, selon plusieurs sources. L'Australian Financial Review a également appris que les trois constructeurs de sous-marins nucléaires - Electric Boat et Huntington Ingalls Industries aux États-Unis, et BAE Systems au Royaume-Uni - ont également accepté de prendre jusqu'à 250 travailleurs australiens dans chacun de leurs chantiers navals pour les former à la construction de sous-marins à propulsion nucléaire. Ces travailleurs, qui comprendront probablement des ingénieurs et des superviseurs, pourraient partir à l'étranger dès le milieu de l'année et commenceront à former le noyau de la main-d'œuvre australienne des sous-marins nucléaires. "Il y aura tout un éventail de personnes qui partiront à l'étranger", a déclaré une source. Le gouvernement Albanese devrait dévoiler en mars ce qu'il a décrit comme la "voie optimale" pour que l'Australie puisse acquérir des sous-marins à propulsion nucléaire avec l'aide des États-Unis et du Royaume-Uni dans le cadre du pacte AUKUS. Les experts estiment que ce n'est pas avant la fin des années 2030, au plus tôt, que la marine australienne recevra des sous-marins à propulsion nucléaire dont l'équipage et le commandement seront entièrement assurés par des Australiens. Le défi que représente la construction de sous-marins a été amplifié le mois dernier lorsque le sénateur démocrate américain Jack Reed, qui préside la puissante commission des forces armées du Sénat, et son ancien homologue républicain James Inhofe ont écrit au président américain Joe Biden pour l'avertir que la base industrielle des sous-marins américains pourrait être poussée à son "point de rupture" en raison de l'AUKUS. La longue attente d'un bateau contrôlé par l'Australie, ainsi que la nécessité de former les marins australiens et d'établir un régime national pour soutenir les sous-marins à propulsion nucléaire, entraîneront des mesures provisoires pour atténuer le risque d'un manque de capacité. Ces mesures incluront probablement le déploiement d'au moins deux sous-marins nucléaires américains qui seront basés à Perth, où se trouve la flotte australienne de sous-marins de classe Collins. Une suggestion est qu'il s'agira de navires plus jeunes de la classe vieillissante des sous-marins Los Angeles, prêtés ou loués à l'Australie, ce qui serait politiquement plus acceptable du point de vue américain que de partager la classe plus moderne des sous-marins Virginia. Le Congrès américain a adopté le mois dernier un budget de la défense qui mentionne spécifiquement l'étude de la fourniture de "sous-marins américains hérités" à l'Australie. Mais des sources ont déclaré qu'il était prévu que d'autres sous-marins américains fassent également des escales plus régulières à Perth. Le Pentagone poursuit une politique de dispersion des forces américaines dans le Pacifique afin d'offrir une plus grande protection en cas de conflit avec la Chine. La marine américaine exploite actuellement des sous-marins à partir de Guam, une cible de choix pour une attaque potentielle, et le renforcement d'une base de soutien aux sous-marins à Perth les mettrait hors de portée. Faire de Perth une plaque tournante pour les opérations sous-marines permettrait d'entreprendre la maintenance planifiée, ainsi que les réparations urgentes, a déclaré une source. Une partie de la maintenance des sous-marins de la classe Collins est déjà effectuée au chantier naval Henderson de Perth. La source a estimé que jusqu'à 1500 entreprises australiennes devraient être formées pour aider à soutenir les opérations des sous-marins, ce qui nécessitera une injection de fonds gouvernementaux. Certaines seraient des entreprises locales, d'autres des filiales américaines ou britanniques. "C'est une toute nouvelle façon de faire des affaires", a déclaré la source. Une autre source a déclaré qu'un engagement important était nécessaire avec la chaîne d'approvisionnement, mais "vous pouvez amorcer le système en le construisant". Le ministre de la Défense, Richard Marles, a déclaré que l'annonce de l'AUKUS était en bonne voie pour le premier trimestre de l'année. "Ce que nous avons fait avec les États-Unis et le Royaume-Uni est véritablement un effort de collaboration". /deepl "Par ailleurs", (aumanufacturing.au, 27jan.): Austal remporte de nouveaux contrats dans le domaine de la construction de sous-marins aux États-Unis Austal, le constructeur naval international de Perth, a remporté un nouveau contrat dans le domaine de la construction de sous-marins aux États-Unis, ce qui lui ouvre la voie pour devenir un fournisseur de composants pour les futures constructions de sous-marins de l'alliance Aukus. Dans une brève annonce, Austal a déclaré avoir obtenu un contrat en temps et en matériel de la part de General Dynamics Electric Boat (GDEB) pour la fabrication d'assemblages structurels en soutien au programme de sous-marins de classe Virginia de la marine américaine. Le contrat, d'une valeur de 35,1 millions de dollars (25 millions de dollars US), s'inscrit dans la continuité des "efforts précédemment annoncés" pour soutenir Electric Boat dans le cadre de la base industrielle américaine. Il permet la construction de modules de pont de commandement pour les sous-marins Electric Boat - y compris potentiellement le navire de classe Virginia qui est envisagé par l'Australie comme base de la future flotte de sous-marins. Le secteur américain de la construction navale a eu du mal à suivre le rythme de la construction des sous-marins à propulsion nucléaire commandés par la marine américaine. Cette situation a suscité des inquiétudes quant à la nécessité d'augmenter la base industrielle américaine, britannique et australienne si l'Australie devait acquérir des sous-marins nucléaires, comme le prévoit le gouvernement fédéral. Le PDG d'Austal, Paddy Gregg, a déclaré qu'un contrat antérieur visant à former le personnel dans le domaine des sous-marins avait été un facteur déterminant pour le nouveau contrat. Gregg a déclaré : "Ce type de contrat est une reconnaissance de l'expertise d'Austal en matière de construction navale et permet une diversification et une expansion importantes des revenus." Le gouvernement fédéral a récemment réaffirmé qu'Adélaïde est le chantier naval qui construira les futurs sous-marins australiens, étant donné l'expérience d'ASC dans la construction et la maintenance de la flotte de la classe Collins. Un nouveau chantier de construction de sous-marins construit par le gouvernement est partiellement achevé à Osborne, à Adélaïde. Cependant, d'autres sites industriels devront également contribuer à la construction de la future flotte, y compris potentiellement les constructeurs de navires de Perth, dont Austal. /deepl (merci au posteur originel, @Seignelay) -
oui.
-
(corlobe, 02fév.) De nouveaux problèmes techniques retardent la livraison des nouveaux sous-marins S80 de la marine espagnole Le programme de sous-marins S80 de la Marine prend une nouvelle fois du retard. La première unité devrait être en service depuis plus de 10 ans selon la planification initiale. En avril 2021, l’Isaac Peral a enfin été mis à l’eau, quelques jours après avoir été parrainé par la princesse des Asturies. Il était alors prévu que ce 1er sous-marin soit livré en avril ou mai de cette année. Hélas, au début de cette année, le ministère espagnol de la défense a donné quelques indices que les choses ne se passeraient pas comme prévu. Il a modifié le calendrier officiel du programme disponible sur internet pour repousser la date de livraison dans le courant de 2023, sans plus de précisions. Ce lundi, la ministre Margarita Robles a confirmé la chose, parlant de « motifs techniques ». En décembre dernier, des problèmes ont été détectés sur l’Isaac Peral, sur le système de sonar qui doit être amélioré. Il y a aussi des retards de livraison sur des matériels de la part de certains fournisseurs. Par conséquent, une partie des essais en plongée n’ont pas pu être effectués à la date prévue, ce qui oblige à repousser la livraison, pour l’instant à l’automne. Mais cet incident n’est pas le seul qui touche les sous-marins de la classe S80. Navantia est actuellement touché par un conflit social qui pourrait retarder la construction des 3 autres sous-marins : le Narciso Monturiol, le Cosme García et le Mateo García de los Reyes dont la livraison est prévue pour la fin 2024, 2026 et 2028. Selon les syndicats, il manquerait 300 ouvriers pour terminer la construction des sous-marins à la date prévue. Depuis la semaine dernière, le personnel a cessé d’effectuer des heurs supplémentaires. /fin
-
AHAHAHA sur le forum SFF, le gars randomradio (je j'apprécie beaucoup, je précise) est surnommé "resident optimist".
-
https://www.strategicfront.org/forums/threads/lockheed-martin-f-35-lightning-and-f-22-raptor-news-discussion.239/page-218#post-237060
-
Asie centrale post-soviétique
fraisedesbois a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
(wiki) #Pamir Tadjikistan : Les défenseurs des droits de l'homme sont confrontés à des menaces croissantes dans un climat de peur, déclare l'experte des Nations unies Mary Lawlor, rapporteuse spéciale sur la situation des défenseurs des droits de l’homme. En guise d'intro, dans LeMonde, en 2022, deux papiers sur ce qui se passe au Pamir: en juillet: Sanglante répression sur le « toit du monde » tadjik Une cinquantaine de manifestants auraient été tués à la mi-mai par les forces spéciales du Tadjikistan sur les hauteurs du Pamir, dans une région proche de l’Afghanistan. Des opposants au régime de Douchanbé viennent d’être condamnés à de lourdes peines de prison. et en août: Au Tadjikistan, répression massive contre la minorité pamirie Depuis juillet, les tribunaux ont prononcé plus de 5 000 verdicts assortis de peines lourdes contre des membres de cette ethnie ismaélienne chiite. Une centaine de personnes placées en détention, dont sept journalistes, attendent de passer en procès. (ps: je suis en train de regarder une vidéo de décembre dernier du Davis Center avec Suzanne Levi-Sanchez, Bruce Pannier et Steve Swerdlow. Je ferai un petit compte-rendu) -
(opex360, 01fév.) Une réparation « défectueuse » a été découverte à bord du sous-marin britannique HMS Vanguard huhu, faut que les mecs arrêtent la colle.
-
En tous cas, sur le forum indien SFF cette affaire, ainsi qu'un certain documentaire à charge de la BBC consacré à Modi, sont considérés comme des manœuvres "de l'ouest" pour affaiblir/déstabiliser l'Inde, suite à la position de cette dernière vis à vis de la Russie/Ukraine.
-
Pakistan et ses voisins
fraisedesbois a répondu à un(e) sujet de cvs dans Politique etrangère / Relations internationales
(anadolu, 27jan.) Le pétrole russe aidera le Pakistan "partiellement", disent les experts. Islamabad affirme qu'il commencera à recevoir du pétrole de Moscou à un prix réduit à partir de mars. La Russie et le Pakistan, autrefois ennemis jurés, s'efforcent actuellement de répondre à la demande croissante de pétrole et de gaz de ce dernier, une initiative accueillie avec prudence par les analystes locaux. Le ministre d'État pakistanais du pétrole, Mussadiq Malik, a déclaré lors d'une conférence de presse jeudi dans la capitale Islamabad que la Russie avait accepté de fournir du pétrole au Pakistan à des prix réduits afin de répondre aux besoins énergétiques domestiques et industriels croissants d'Islamabad. À partir du mois de mars, a-t-il ajouté, le Pakistan s'approvisionnera en pétrole à Moscou à un prix réduit, car "toutes les formalités" relatives à l'accord bilatéral seront finalisées d'ici là. Le Pakistan, selon lui, achètera du pétrole brut, de l'essence et du diesel à la Russie. Islamabad signera également des contrats à long terme avec Moscou pour l'approvisionnement en gaz, a-t-il affirmé. Les deux parties sont parvenues à cet accord après une série de visites bilatérales au cours des derniers mois, la dernière en date étant la visite à Islamabad d'une délégation russe de haut niveau conduite par le ministre de l'énergie Nikolay Shulginov la semaine dernière. - Une solution partielle L'approvisionnement en pétrole a longtemps été au centre de la politique locale, notamment après la visite de l'ancien Premier ministre Imran Khan, un jour seulement avant que la Russie ne lance sa guerre contre l'Ukraine le 24 février 2022. Khan, évincé par un vote de défiance au parlement en avril, a affirmé que sa visite à Moscou était l'une des raisons de son éviction. Samiullah Tariq, un expert en énergie basé à Karachi, estime que l'accord avec la Russie aiderait le Pakistan à atténuer partiellement l'augmentation de sa demande énergétique et de sa facture d'importation de pétrole. Néanmoins, selon lui, cela ne suffirait pas à résoudre le problème dans une large mesure, car Islamabad doit prendre lui-même certaines "mesures clés". L'ensemble du secteur de l'énergie doit être vu à travers un prisme commercial", a déclaré Tariq à Anadolu. Citant la facture d'importation de pétrole de 26 milliards de dollars de l'année dernière, il a déclaré que le pays a besoin d'un passage " aussi rapide que possible " aux sources d'énergie renouvelables, principalement le solaire et l'éolien, pour répondre à ses besoins. La production d'électricité se taille la part du lion dans les importations de pétrole, ce qui a des effets en cascade sur l'économie du pays, déjà en difficulté. Il faut réduire cette part et la réorienter vers le gaz local et les sources d'énergie renouvelables", a-t-il déclaré, appelant à de nouvelles explorations gazières dans le pays. - Il est peu probable que les États-Unis s'y opposent Munawar Hussain Panhwar, professeur associé de relations internationales à l'Université internationale Quaid-I-Azam d'Islamabad, a déclaré qu'il était peu probable que l'allié de longue date du Pakistan, les États-Unis, s'oppose à l'accord, compte tenu de la grave crise énergétique actuelle dans le monde après l'invasion de l'Ukraine par la Russie l'année dernière. Plusieurs alliés des États-Unis, de l'Amérique du Sud à l'Asie, ont rejeté la résolution de sanctions parrainée par Washington aux Nations unies. Ils ont gardé leurs options ouvertes pour répondre à leurs besoins énergétiques par le biais de Moscou", a déclaré M. Panhwar à Anadolu. Par conséquent, il pense qu'il y a peu de chances que les Etats-Unis s'opposent à cette initiative. En fait, je pense qu'il existe un accord tacite entre Islamabad et Washington sur cette question", a-t-il affirmé. Commentant la condition posée par Moscou pour le paiement du pétrole dans les devises des pays "amis", M. Panhwar a observé qu'elle serait bénéfique pour le Pakistan, compte tenu de l'épuisement de ses réserves en dollars. - Le CPEC a contribué à améliorer la capacité électrique Les pannes d'électricité sont courantes dans ce pays nucléaire d'Asie du Sud, principalement en raison de la médiocrité des infrastructures et du laxisme des normes de maintenance. En été, la demande d'électricité du pays atteint 28 000 mégawatts, laissant un déficit d'approvisionnement de 4 000 à 6 000 MW. En hiver, l'écart entre la demande et l'offre est de 8 000 MW. Le Pakistan, a observé Tariq, a considérablement amélioré sa capacité électrique d'au moins 14 000 MW, principalement après la mise en œuvre du projet de corridor économique Chine-Pakistan (CPEC) de plusieurs milliards de dollars signé en 2015. La production d'électricité représente la plus grande partie de ce mégaprojet de 64 milliards de dollars, suivie par le développement des infrastructures. Farhan Mahmood, un autre chercheur en économie et en énergie basé à Karachi, a soutenu ce point de vue, affirmant que le pays a la capacité de faire face à sa demande énergétique. Néanmoins, selon lui, la hausse des prix du pétrole et du gaz et les systèmes de distribution et de transmission "primitifs" constituent des obstacles majeurs à la satisfaction des besoins réels. S'adressant à Anadolu, Mahmood a appelé à améliorer l'utilisation de l'énergie, en particulier en hiver, par le biais des activités industrielles. Le Pakistan a une activité industrielle moindre par rapport à sa capacité énergétique. Les centrales électriques coûtent cher en frais de fonctionnement même si elles ne produisent pas d'électricité, surtout en hiver", a-t-il déclaré. La réduction de la consommation de pétrole et le recours aux sources d'énergie renouvelables seront bénéfiques dans les deux sens. Cela permettra non seulement de réduire la fuite des dollars, mais aussi de soutenir le secteur industriel du pays, qui est au ralenti", a affirmé M. Mahmood. /deepl