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Australie
fraisedesbois a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Politique etrangère / Relations internationales
Oui, 8 tubes c'est ce qu'indique le wiki pour la classe Attack. Et nos Suffren, c'est 4 effectivement. -
Le 5è classe Kalvari, l'INS Vagir commissionné par la Navy ce jour, après seulement 11 mois d'essais à la mer... En outre, l'AIP indigène avance bien. Communiqué du MoD ce jour: Aatmanirbhar Bharat : Le système de propulsion indépendante de l'air basé sur des piles à combustible du DRDO sera bientôt installé à bord de l'INS Kalvari, ce qui améliorera considérablement son endurance sous-marine. Le DRDO et Naval Group France signent un accord pour intégrer en toute sécurité le système indigène dans les sous-marins de la classe Kalvari. Posté le : 23 JAN 2023 8:21PM par PIB Delhi Dans un élan majeur pour " Aatmanirbhar Bharat ", le système de propulsion indépendante de l'air (AIP) à base de piles à combustible du Laboratoire de recherche sur les matériaux navals (NMRL) du DRDO sera bientôt installé à bord de l'INS Kalvari. Un accord a été signé entre les hauts responsables du NMRL et de Naval Group France à Mumbai le 23 janvier 2023 pour étendre la coopération afin d'entrer dans la phase de conception détaillée pour l'intégration de l'AIP indigène dans les sous-marins de classe Kalvari. Dans le cadre de cet accord, Naval Group France certifiera la conception de l'AIP en vue de son intégration dans les sous-marins. L'AIP a un effet multiplicateur de force sur la létalité d'un sous-marin diesel-électrique car il améliore l'endurance en immersion de plusieurs fois. Il présente des avantages en termes de performances par rapport à d'autres technologies et est unique car l'hydrogène est généré à bord. Cette technologie a été développée avec succès par le NMRL avec le soutien de partenaires industriels indiens. La technologie a maintenant atteint le stade de maturité pour l'industrialisation. Il convient de mentionner que le prototype terrestre de l'AIP du NMRL a été testé avec succès. Ce nouvel effort constituera une étape importante vers la certification de la conception détaillée du module énergétique, qui sera réalisée par le NMRL en collaboration avec l'industrie indienne, et vers la conception des plates-formes concernées par l'intégration de l'AIP indigène dans le sous-marin indien par Naval Group. Ces actions ouvriront la voie au démarrage de la localisation et de l'industrialisation de l'AIP, y compris la fabrication de la coque par l'industrie indienne, en vue d'une future installation à bord des sous-marins. S'exprimant à cette occasion, le président-directeur général de Naval Group France, M. Pierre Eric Pommellet, a déclaré : "Nous sommes fiers de coopérer avec les acteurs indiens pour intégrer en toute sécurité le PIA dans les sous-marins de la classe Kalvari, qui ont été construits par Mazagon Dock Shipbuilders Limited. Il s'agit d'une extension naturelle de la coopération stratégique bilatérale entre l'Inde et la France dans le domaine de la défense et de la dissuasion sous-marines, qui s'inscrit dans le cadre de l'engagement continu de Naval Group envers la politique gouvernementale "Aatmanirbhar Bharat". Raksha Mantri Shri Rajnath Singh a félicité la DRDO, la Marine indienne et le MDL pour avoir fait avancer l'initiative Aatmanirbhar Bharat dans le domaine sous-marin. Samir V Kamat, secrétaire du département de la R&D de la défense et président du DRDO, a également félicité le NMRL, la marine indienne, le MDL et Naval Group France pour ce partenariat stratégique. Le "refit" de l'INS Kalvari (1er de la classe) est prévu pour l'année prochaine.
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scaf [SCAF] "politique ": imbroglio des coopérations, des participants...
fraisedesbois a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Europe
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
fraisedesbois a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Oh, depuis un peu plus longtemps que ça. La tradition remonte à la deuxième moitié du XIXè siècle, je dirais à la louche. "Le grand jeu". -
[France] Armée de l'Air et de l'Espace
fraisedesbois a répondu à un(e) sujet de Henri K. dans Europe
Et heu "gosnold" a lui aussi publié un article: https://satelliteobservation.net/2023/01/10/france-debates-its-near-space-policy/ -
oui, le gars mélange pas mal de choses (c'est pourtant le "journaliste défense" du HT). Mais "à la fin", les allemands s'étant retirés du P-75I (et nous autres, et les russes) il ne reste qu'un seul soumissionnaire, la Corée. Ce que le droit des marchés, en Inde, proscrit, dans le cadre d'un appel d'offres. Sur le forum indien SFF, les sous-marins coréens ont mauvaise réputation de fiabilité. Par ailleurs pas mal de voix s'élèvent pour que la Navy zappe ce projet 75I et passe à autre chose. Les indiens sont bien conscients que leur sous-marinade est largement insuffisante. Pour le plaisir, la couve du n° de décembre du mag. Geopolitics.in: "Scorpène: the game changer"
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hum, (hindustantimes, 11jan.) La marine indienne pourrait renouveler sa commande de sous-marins de classe Kalveri La marine indienne est prête à enterrer toute nouvelle acquisition dans le cadre du projet 75 I et pourrait renouveler la commande du projet 75 à MDL avec un système de propulsion indépendant de l'air, éprouvé et testé par le DRDO, installé dans les nouveaux sous-marins dans le cadre du programme "Aatmanirbhar Bharat".
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c'est d'la merd pardon: c'est eurasiantimes. on est d'accord, c'est bien un Talios (quoique honnêtement, avec ce que je vois (la "tête" du pod est dans l'ombre), je ne saurais pas le distinguer d'un Damoclès; mais je ne vois pas l'intérêt de montrer, en 2023, un Rafale RB monté d'un Damoclès; ça n'a pas de sens) Après, la vidéo est bizarre. La séquence d'intro est complètement "déconnectée" des figures de voltige "à poil" qui suivent (c'est ce que fait remarquer bubzy). Cependant la vidéo est logotypée IAF. Donc...
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Bin ça y ressemble beaucoup pourtant. "tally ho"? gné?
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Talios, n'est-ce pas?
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A titre perso, je trouve que cela explique pourquoi un certain nombre de F-35Adir sont cloués au sol, (depuis le crash du F-35B US, qu'on nous a dit, muhahahaha!)...
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La formulation est bizarre: on pourrait croire que l’IAF utilise des F-35B. Or donc 11 F-35I sont cloués au sol. Etonnant.
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Chine - Inde : Relations bilatérales
fraisedesbois a répondu à un(e) sujet de leclercs dans Politique etrangère / Relations internationales
Carte mise directement, une base aérienne pour les Rafales est juste à la frontière du Bouthan. Collectionneur -
Marine de la République de Singapour
fraisedesbois a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Asie / Océanie
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Spatial militaire France et Europe (actualités)
fraisedesbois a répondu à un(e) sujet de Bechar06 dans Militarisation de l'espace
Pour la Fr. le CNES développe un démonstrateur, YODA, "constitué de deux nanosatellites d’un poids de 10 à 20 kg, qui évolueront en orbite géostationnaire afin de valider les technologies de rapprochement d’un satellite, dimensionner les charges utiles d’opération de proximité et entraîner les opérateurs du commandement de l’espace aux opérations dans l’espace" (...) "Si ce patrouilleur spatial donne satisfaction, un engin « plus lourd et véritablement opérationnel pourra ensuite être lancé vers 2030 ». Le satellite pèserait alors une centaine de kg et permettra alors à l’Hexagone de conduire « une défense active de l’espace ». Et dans l’espace." mystère mystère -
Indonésie
fraisedesbois a répondu à un(e) sujet de aviapics dans Politique etrangère / Relations internationales
(asialyst, 10déc.) Indonésie : économie en pleine croissance, incertitudes politiques Au moment où la croissance chinoise s’enlise, l’attention se porte sur le reste de l’Asie pour mieux situer les relais de croissance du continent. L’Indonésie de Joko Widodo a su capter la lumière médiatique avec le sommet du G20 en novembre dernier. L’archipel est désormais plus visible sur la carte des investisseurs internationaux car il démontre aujourd’hui une stabilité et un potentiel qui tranchent avec les incertitudes de la situation en Chine. Pour autant, la route du rattrapage est encore longue pour l’économie indonésienne, et les risques d’une crispation populiste sont réels à l’occasion des prochaines élections présidentielles en 2024. « Bhinneka Tunggal Ika », ou « l’unité dans la diversité » est la devise de l’État indonésien. Cet archipel de 13 500 îles, 276 millions d’habitants et plus de 1100 groupes ethniques est le troisième géant d’Asie, un géant qui a jusqu’à présent vécu dans l’ombre des deux autres (Chine et Inde). Mais son importance stratégique s’accroît pour des raisons à la fois économiques et géopolitiques (...). https://asialyst.com/fr/2022/12/10/indonesie-economie-croissance-bientot-superieure-chine-archipel/ -
ZEE française La France d'Outre-mer et son voisinage
fraisedesbois a répondu à un(e) sujet de Gibbs le Cajun dans Politique etrangère / Relations internationales
(revueconflits, 28nov.) Australie-Pacifique : le poulet sans tête de la stratégie française Un an après le référendum en Nouvelle-Calédonie, le Pacifique et l’espace océanien sont toujours des impensés de la stratégie française. Aucune vision, aucune analyse pour penser une projection française dans cette zone pourtant essentielle. La Revue stratégique de défense et de sécurité nationale de 2017 nous avait annoncé, non sans quelque triomphalisme, que la France « développ[ait] avec l’Australie un partenariat structurant et de longue durée », tandis qu’« avec l’Inde, la France a[vait] noué un partenariat stratégique majeur » (§§211-212). Cela nous donnait, un an plus tard, l’axe Paris-New Delhi-Canberra du Président de la République, « axe indopacifique nouveau » censé « se prolonge[r] de Papeete à Nouméa » (discours de Garden Island et Nouméa, mai 2018). Une matrice effondrée Quatre ans plus tard, la Commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale n’a guère eu d’autre choix que de constater que cette « matrice de notre stratégie indopacifique » s’était « effondré[e] » (rapport d’information no5041 sur « l’espace indopacifique : enjeux et stratégie pour la France », février 2022, pp. 69, 90). En réalité, elle n’avait jamais existé que dans l’esprit de M. Macron, dont la « pensée complexe » avait relié d’un trait la France aux deux plus grands clients de son industrie d’armement dans les océans Indien et Pacifique. Clients d’alors puisque, comme chacun sait, l’Australie a rompu en septembre 2021 le « contrat du siècle » avec Naval Group pour forger une alliance militaire (de plus) avec les États-Unis et le Royaume-Uni. MM. Macron et Le Drian, Mme Parly, se sont alors rendu compte, penauds, que l’Australie n’était pas notre alliée, le nouveau best friend forever (BFF) qu’on s’était imaginé à Paris. J’aurais pu le leur dire – comme je peux aussi leur dire, avant qu’elle ne dénonce son contrat à elle, que l’Inde n’est pas non plus notre « BFF ». Pas plus d’ailleurs que l’Indonésie, dont la France semble avoir soudainement découvert l’existence : lui ayant vendu des Rafale, elle voudrait en faire sa nouvelle Australie (rapport précité, pp. 10, 100). Il suffisait de connaître un peu l’Australie pour savoir que les Australiens n’étaient ni nos amis ni nos alliés ; comme il suffisait d’ailleurs de lire la presse australienne pour savoir que le contrat des sous-marins, dont la conclusion avait dû beaucoup aux aléas électoraux antipodéens (et qui ne correspondait pas aux besoins de défense de Canberra), allait être remis en cause tôt ou tard. Mais y a-t-il quelqu’un à Paris qui lise même la presse australienne ? Naufrage de la pensée stratégique Ce à quoi nous assistons, en Australie et dans le Pacifique, c’est au naufrage de la pensée stratégique de la France. Notre pays confond amitié et vente d’armes, alliances (véritables) et « partenariats stratégiques » ne valant guère que le papier sur lequel ils sont écrits. Il ne connaît rien, ou presque, à une région où lui-même n’est d’ailleurs ni connu ni plus guère respecté. Les récents référendums en Nouvelle-Calédonie (2018, 2020, 2021) ont démontré que ni nos gouvernants ni nos concitoyens ne s’intéressaient à ces morceaux de la France vivant à l’heure Pacifique, pas plus qu’ils ne les comprenaient ou, plus fondamentalement, ne les aimaient. Nos diplomates tournent à une vitesse affolante, comme si les régions du monde étaient interchangeables et que les connaître, les comprendre – établir ces réseaux, ces rapports humains sans lesquels il est impossible de construire quoi que ce soit de durable – était sans importance. Les compétences linguistiques de nos élites, civiles ou militaires, nous ridiculisent et nous empêchent d’agir. À l’École spéciale militaire, où je m’occupe régulièrement d’officiers-élèves partant en semestre international, j’ai essayé d’en envoyer – enfin ! – un ou deux en Indonésie, pays du monde sans doute le plus sous-étudié au regard de son importance stratégique (principale puissance d’une Asie du Sud-Est qui compte aujourd’hui 600 millions d’habitants à la confluence de l’Inde et de la Chine) : même cela, apparemment, est trop compliqué pour une armée qui, dans le même temps, nous explique sans ciller qu’elle ambitionne de former ses officiers, no less, à « affronter demain ce qui n’a jamais été ». Ces mêmes élites, militaires ou civiles, viendront ensuite se lamenter que notre pays soit déclassé sur la scène internationale. Comment pourrait-il en être autrement quand il navigue ainsi à vue (qu’il court, dirait-on en anglais, comme un poulet sans tête) ? Dans le Pacifique, où nous avons failli perdre l’une de nos plus belles provinces dans une indifférence quasi-absolue, où nous avons été « poignardés dans le dos » par notre best friend forever australien, où en juillet 2021 la Marine nationale n’avait plus un seul bâtiment disponible à Nouméa, nous récoltons les fruits de nos propres fautes. Sous-investissement dans la sécurité Nous n’avons pas été capables d’investir dans notre propre sécurité, que nous avons cru pouvoir délocaliser à Washington, à Bruxelles ou dans des partenariats diluant toute responsabilité. Notre tant vantée « remontée en puissance » s’est pour l’instant traduite, dans la région australo-pacifique, par l’arrivée d’ici quelques mois d’un patrouilleur d’outre-mer à Nouméa (pour donner un ordre de grandeur, le temps que soit construit l’Auguste Bénébig, la Chine avait mis à l’eau l’équivalent du tonnage entier de la Marine française). Nous n’avons pas su essayer de connaître, de comprendre, d’aimer ces pays. Tant que nous resterons enfermés dans notre ignorance, teintée d’arrogance, rien ne sera possible : nous continuerons notre lent déclassement, le saupoudrant à intervalles périodiques de mots qui sonnent bien et de vœux pieux. (Loin de battre sa coulpe, M. Macron a ainsi osé affirmer, six mois après l’humiliation planétaire infligée par M. Morrison, que « nos partenariats avec les pays de la zone [avaient] atteint un niveau de coopération inédit » (ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, La stratégie de la France dans l’Indopacifique, m.à.j. février 2022, p. 4).) Travaillons, évidemment, avec tous les autres pays du Pacifique – y compris l’Australie, qui n’est certes pas une alliée ou une amie, mais demeure, bien sûr, un pays important de la région. Vendons, pourquoi pas, des armes à ceux qui souhaiteraient nous en acheter, y compris Canberra le cas échéant. Mais si nous voulons cesser de décliner, si nous voulons avoir une véritable stratégie australo-pacifique, il nous faudra remettre une tête sur le coq gaulois. Il nous faudra comprendre à nouveau (re-saisir) qui nous sommes – ce que cela veut dire d’être français à 17.000km de Paris ; quel lien réel nous avons avec l’Australie (qui, en France, connaît Saint-Aloüarn, Baudin ou l’histoire des blackbirders ?). Et de là, comprendre où nous voulons aller. Que veut la France dans le Pacifique : quelle est notre ambition en tant que communauté politique ; comment faire rayonner le fait français dans cette partie du monde ? Absence de moyens militaires Comment espérer répondre à ces questions si on ne se les pose même pas ? Tant que nos « stratégies » ministérielles consisteront à enchaîner des lieux communs n’ayant rien de français (ni d’ailleurs d’australo- ou indopacifique) – « s’impliquer » dans « le règlement des crises » et « les organisations régionales », « lutter » contre « le changement climatique » et « le terrorisme », sans oublier bien sûr de « renforcer [l]a diplomatie publique à l’égard des jeunes » (toujours, il va sans dire, dans « le dialogue » et en impliquant « nos partenaires européens » : ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, Stratégie française en Asie-Océanie à l’horizon 2030 : vers un espace asiatique indopacifique inclusif, 2019, pp. 1-7) – le déclassement continuera. Inéluctablement. Nous n’avons aujourd’hui quasiment plus de moyens militaires ; nous n’avons pas d’alliés dans la région ; nous ne savons pas même ce que nous voulons. Nous naviguons à vue, de crise en crise, sortant de chacune un peu plus affaiblis encore. Le point de départ d’une stratégie véritable pour la « France Pacifique » serait de se rendre compte que nous sommes seuls à défendre nos intérêts ; pour cela, qu’il nous faut non seulement les moyens de défendre ces intérêts, mais, avant tout, l’intelligence de comprendre ce qu’ils sont : par-delà les poncifs sur papier glacé, qui ne vont plus pouvoir faire illusion bien longtemps. /fin -
[sur un blog défense indien, 11déc.] La France va offrir un ALCM hypersonique à l'Inde et aux autres opérateurs de Rafale. La France [MBDA] travaille sur un missile de croisière hypersonique à lanceur aérien (ALCM) qui sera équipé sur son Rafale standard F5 et qui lui donnera la capacité de remplir la mission de suppression et de destruction des défenses ennemies (SEAD). La France a proposé le Rafale standard F4 à l'Inde dans le cadre de l'appel d'offres MRFA de l'armée de l'air indienne, qui aura la capacité d'emporter de nouveaux armements tels que le Meteor-NG (Beyond Visual Range Air to Air Missile - BVRAAM), la variante Mica-NG et la variante 1000 kg du Hammer, mais il emportera également le missile de croisière hypersonique lancé par voie aérienne, car ce missile sera rétrocompatible avec les Rafael F3R et F4 standard, qui ont de fortes chances d'être acquis dans le cadre de l'appel d'offres MRFA. /deepl
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Exportation du Rafale: prospects et clients potentiels
fraisedesbois a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
De plus, pour l’évaluation à Goa/Hansa, Boeing avait envoyé deux… monoplaces! -
Scorpene malaisiens (defensestudies ((MYMilitaryTimes), 06dec.) 30 nouveaux sous-mariniers de la RMN sont diplômés KOTA KINABALU - Le quartier général du commandement des sous-marins a organisé la cérémonie de demande d'insigne d'expertise sous-marine 2022, à laquelle a assisté le chef de la marine, l'amiral Tan Sri Mohd Reza bin Mohd Sany, au quartier général du commandement des sous-marins, à Kota Kinabalu. La cérémonie de demande d'insigne d'expertise sous-marine a permis à 30 étudiants du cours de qualification sous-marine de niveau 1, dont 11 officiers et 19 autres gradés de divers corps de métier, de recevoir leur insigne d'expertise et de recevoir le titre de sous-marinier de la RMN. Ces personnes sont passées par plusieurs phases de formation et ont réussi tous les aspects testés. Depuis 2011, le centre de formation des sous-marins (PLKS) est l'unité responsable de la production de nouveaux sous-mariniers RMN afin de garantir que les deux sous-marins RMN sont dotés d'équipages compétents et formés. À ce jour, un total de 148 membres du personnel de la RMN ont terminé avec succès le cours au PLKS et sont devenus des sous-mariniers de la RMN. En outre, divers cours de qualification et d'expertise visant à améliorer les capacités et les compétences des sous-mariniers de la RMN sont également systématiquement mis en œuvre. Sous-marin supplémentaires Le chef de la marine a souligné que le défi que représente l'exploitation de moyens obsolètes et les contraintes budgétaires de la défense affecte en effet l'état de préparation et les capacités de la RMN et met indirectement en danger la sécurité des citoyens de la RMN dans l'exercice des missions qui leur sont confiées. En l'absence de dispositions appropriées, cela peut affecter la capacité à maintenir un haut niveau de préparation et à agir contre toute menace, notamment en matière de sécurité nationale. Par conséquent, la RMN espère que le nouveau gouvernement sera en mesure d'ajuster le budget de la sécurité de 1% à 1,5% afin que la capacité de défense puisse être adaptée au scénario actuel du paysage sécuritaire. En outre, le gouvernement devrait poursuivre l'ajout d'actifs sur la base du plan 15-5 prévu par la RMN, notamment l'acquisition de deux nouveaux sous-marins ainsi que la poursuite du projet de navire de combat littoral (LCS) et du projet de navire de mission littoral (LMS) de deuxième série. Il a également exprimé sa fierté et rappelé que le niveau de préparation des sous-marins et la compétence de chaque sous-marinier de la RMN sont maintenus au plus haut niveau à tout moment. Il souhaite que la force sous-marine de la RMN continue à s'efforcer de maîtriser le domaine de la guerre sous-marine et les connaissances liées aux sous-marins. L'utilisation du Conseil de l'insigne d'expertise des sous-marins a prouvé la capacité de la RMN à utiliser des systèmes de haute technologie et peut économiser les coûts de formation en réduisant la dépendance de la formation à l'étranger. /deepl
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DGSE et Services de Renseignement Européen.
fraisedesbois a répondu à un(e) sujet de AkarSaren dans Divers
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Ça ma rappelle le TARPON de l’opé Thalathine au large de la Somalie, en 2008, le sauvetage du Ponant, puis la capture (à terre) des pirates… https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/affaires-sensibles/operation-thalathine-a-l-assaut-des-pirates-du-ponant-4104872
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(sciences&avenir, 27nov.) REPORTAGE. La cyberguerre a déjà commencé Le bâtiment jaune pâle de 120 mètres de long, massif, domine la base militaire du quartier Stephant à Saint-Jacques-de-la-Lande, en périphérie de Rennes (Ille-et-Vilaine). Abritant salles de serveurs et plateaux techniques, il a été inauguré en octobre 2019 pour héberger le Groupement de la cyberdéfense des armées (GCA), la composante opérationnelle du Commandement de la cyberdéfense, ou Comcyber. C'est là que sont analysées et détectées les menaces visant les systèmes d'information du ministère de la Défense et des armées françaises. C'est de là que ces derniers sont protégés. De là, également, que sont surveillées des opérations d'influence, utilisant notamment les réseaux sociaux, susceptibles de mettre en danger des forces françaises sur le terrain. Et c'est en ces lieux que s'élabore la lutte informatique offensive de la France. En clair : élaboration de virus, logiciels espions, riposte à une agression numérique. Ces opérations font l'objet d'une doctrine militaire officielle depuis janvier 2019, dont les modalités restent confidentielles. Actuellement en plein bouleversement, la base a vocation à rassembler d'autres unités de cyberdéfense présentes à Paris, Rennes et Bruz (Ille-et-Vilaine), et deux nouveaux bâtiments doivent sortir de terre d'ici à 2025. Preuve s'il en est d'une dimension cruciale des conflits : aujourd'hui, les pays s'affrontent aussi dans le cyberespace, à savoir notre environnement de réseaux informatiques, de logiciels, de câbles et de matériels toujours plus connectés. Des signaux faibles indiquent qui est derrière une attaque "Le cyberespace du ministère des Armées a des réseaux dont on se sert pour travailler - comme celui d'une entreprise du CAC 40 -, des réseaux plus classifiés qui ne sont pas reliés à Internet, mais aussi des systèmes faisant fonctionner nos infrastructures (climatisation, refroidissement des datacenters) et nos matériels, résume le colonel Pierre-Arnaud Borrelly, commandant du GCA. Sur un véhicule blindé d'infanterie, on trouve les mêmes calculateurs que sur un camion civil, mais susceptibles d'être attaqués. " S'y ajoutent les systèmes d'armes, par définition extrêmement surveillés, nécessitant des moyens tels, pour les atteindre, qu'ils ne constituent paradoxalement pas des cibles privilégiées. Historiquement, c'est la vaste cyberattaque subie par l'Estonie en 2007, attribuée à la Russie, qui a déclenché une prise de conscience qu'un État pouvait recourir à des telles "armes" (voir la chronologie ci-dessous). En 2010, le virus Stuxnet, lancé contre les centrifugeuses iraniennes d'enrichissement d'uranium, a démontré l'impact matériel d'une telle opération. "L'Ukraine, en 2014, est un autre jalon, ajoute Julien Nocetti, maître de conférences à l'académie militaire de Saint-Cyr-Coëtquidan (Morbihan). Pendant les périodes de guerre dans le Donbass, la Russie a visé des centrales électriques, des infrastructures portuaires, énergétiques… Avec le recul, on comprend que la Russie a testé grandeur nature ses armes numériques. " Selon un rapport de Microsoft publié en juin, la Russie a en effet multiplié les attaques contre l'Ukraine, par logiciels destructeurs ou chiffreurs de données, dans les premiers mois de son invasion de février dernier. Il reste que, mis à part le cas d'un conflit ouvert, l'ambiguïté est de mise. Les États revendiquent rarement une action dans le cyberespace, et des groupes cybercriminels employés comme mercenaires peuvent servir de paravent. "Le coût d'une attaque informatique a fortement baissé, poursuit le colonel Pierre-Arnaud Borrelly. Maintenant, sur le darkweb, on trouve des kits d'attaque tout prêts. " Des petits pays peuvent ainsi en attaquer de gros, ce qu'un arsenal conventionnel n'aurait pas permis. La nature même du monde cyber autorise à brouiller les pistes. "Les frontières n'y sont pas celles du monde physique. L'opérateur qui conduit l'attaque ne se trouve pas forcément dans le pays d'où elle vient ", note François Deruty, directeur des opérations chez l'éditeur de cybersécurité Sekoia. "Certains programmeurs savent qu'ils vont se faire analyser" Pour faire face, l'arsenal des cybercombattants du quartier Stephant s'apparente aux outils bien connus des entreprises de la cybersécurité : veille sur des vulnérabilités, rétro-ingénierie de logiciels malveillants, surveillance et défense en temps réel des réseaux par des SOC (Security operations center), utilisation de "bacs à sable" numériques pour rejouer une cyberattaque et l'analyser. "Certains programmeurs (de logiciels malveillants, ndlr) savent qu'ils vont se faire analyser, explique Fabio*, expert sous contrat au Centre d'analyse en lutte informatique défensive, une autre unité du Comcyber. Ils vont donc mettre au point des techniques d'anti-analyse, mais nous savons qui procède ainsi. Toute une série de signaux faibles permettent de dire qui est derrière. " Pour Thierry Berthier, maître de conférences en mathématiques à l'Université de Limoges et chercheur en cyberdéfense, la robotisation des matériels militaires va aussi exiger le recours à la version embarquée d'un outil de cybersécurité typique des entreprises, le Siem (système de gestion des événements et des informations de sécurité). Le principe consiste à surveiller tout ce qui se passe dans un système et à en déduire un modèle de normalité. "Le Siem va détecter toute déviation de ce modèle et enclencher une alerte qu'il faudra analyser. C'est très efficace pour bloquer des menaces qui n'ont pas encore été documentées. " Ce travail d'analyse et d'anticipation alimente des exercices d'entraînement simulant des situations réalistes d'attaque. Parfois en utilisant des virus existants prisés du cybercrime. "Nous développons aussi nos propres armes pour surprendre, car le jour où cela arrivera, nous ne serons peut-être pas frappés par quelque chose que tout le monde connaît ", prévient l'adjudant Sébastien, en charge de ces entraînements. D'autant que les "frappes" sont loin de se résumer à effacer des données ou à provoquer le blocage ou le dysfonctionnement d'équipements chez l'adversaire. Espionnage et intrusion dans des réseaux en prévision d'actions futures tiennent encore le haut du pavé. D'après Microsoft, le renseignement russe s'y est livré contre 128 organisations de 42 pays aidant de près ou de loin l'Ukraine, avec 29 % de réussite. "Le terme de cyberguerre a une connotation martiale et technique, complète Julien Nocetti. Je parle plutôt de conflictualité numérique, qui associe cyberattaques et opérations informationnelles, désormais omniprésentes et qui ont davantage d'impacts sur les décideurs et les populations. " Twitter, Facebook et YouTube utilisés pour manipuler et déstabiliser, c'est aussi ça, l'art de la cyberguerre. * Le prénom a été changé. 15 ans de cyberguerre Avril 2007 : À la suite du déplacement d'une statue célébrant les soldats soviétiques, l'Estonie subit une vague inédite d'attaques par déni de service (envoi de multiples requêtes pour saturer un serveur) sur les sites Internet du Parlement, de ministères, de banques et de médias. Accusée, la Russie a nié en être l'instigatrice. 2008-2010 : Stuxnet, un virus informatique sophistiqué, provoque la destruction de centrifugeuses d'enrichissement d'uranium à Natanz, en Iran. Il a été développé pendant trois ans par les États-Unis et Israël pour stopper le programme nucléaire iranien. Novembre 2014 : Un groupe nord-coréen pirate Sony Pictures, vole des données et menace les États-Unis d'un attentat pour empêcher la sortie du film "L'Interview qui tue !", qui tourne en dérision le leader nord-coréen Kim Jong-un. Décembre 2015 : En Ukraine, des coupures d'électricité sont provoquées par un logiciel malveillant envoyé dans les systèmes informatiques de plusieurs centrales. L'attaque est attribuée à la Russie. Juin 2017 : NotPetya, un faux rançongiciel dévastateur, se répand dans le monde entier. Pour beaucoup, il s'agit d'une opération russe contre l'Ukraine qui a dégénéré. Avril 2020 : Une cyberattaque coordonnée vise les installations hydrauliques israéliennes. Accusant l'Iran, Israël riposte par une cyberattaque créant le chaos dans le port iranien de Shahid Rajaee. Mai 2021 : Un rançongiciel paralyse le fonctionnement de l'oléoduc américain Colonial Pipeline, provoquant des pénuries de carburant. Le président Joe Biden estime que les autorités russes ont une part de responsabilité. Janvier-février 2022 : Une opération de défacement (modification de pages Web), de destruction de données et de déni de service cible les sites gouvernementaux ukrainiens. La Russie envahit l'Ukraine le 24 février.
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ZEE française La France d'Outre-mer et son voisinage
fraisedesbois a répondu à un(e) sujet de Gibbs le Cajun dans Politique etrangère / Relations internationales
pas de soucis, c’est ma faute. nombreux sont tes messages qui suscitent en moi (et en beaucoup d’entre nous j’en suis sûr) de vives émotions de tristesse, de colère, d’incompréhension, d’impuissance rageuse. Ce qui fait que je me trouve incapable d’élaborer des réponses à ces messages. D’autant moins, que je n’ai pas d’idées, de « force de proposition ». C’est la m…. mode lâcheté: Heureusement que je ne suis pas en charge J’en suis réduit à réagir par des émojis. Et je suis désolé si tu as l’impression de soliloquer. -
ZEE française La France d'Outre-mer et son voisinage
fraisedesbois a répondu à un(e) sujet de Gibbs le Cajun dans Politique etrangère / Relations internationales