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Janmary

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Tout ce qui a été posté par Janmary

  1. C'est exact Kalligator. Si les Nazis ont exterminés des centaines de milliers de soldats soviétique (des sous-hommes d’après eux), il faut reconnaitre que les conditions de détention des soldats Allemands en Sibérie ont dû être des plus dures (transport à pieds, faim ovni-présente, etc.) et cela durant presque 10 années avant d'être libérés !. Par ailleurs, c'était un ennemi de classes tout comme les officiers Polonais exterminés à Katyn et dans d'autre lieux (environ 20.000 je crois) . Ce fut une guerre totale exterminant civils et militaires avec pour ordre de raser complétement les populations mâles de Leningrad, Moscou (qui devait être transformée en vaste lac) et Stalingrad et rayer ces villes de la carte. Mais heureusement pour elles, ces villes ne furent pas conquises par les Nazis.
  2. Ceci est particulièrement mis en évidence dans l'ouvrage (en plusieurs volumes) de la "Grande guerre patriotique". Il fallait démontrer la sournoiserie Nazie attaquant l'URSS qui ne recherchait que la Paix. Oublié la division et occupation très dure de la Pologne, le massacre des officiers Polonais à Katyn et ailleurs, etc. En fait le régime fut la terreur à l'intérieur et la guerre fomentée à l'extérieur. Un point à noter. Il fut glorifié par Staline lui même le rôle des pilotes de guerre féminines. Or, des la fin de celle-ci, ce fut terminé = Aux femmes le rôle de femmes et plus d’activités aéronautique. Il fallut attendre la période des satellites habités pour qu'une femme soit représentée !
  3. Les Soviétiques, à cette époque terrible pour leur pays, avaient besoin de mettre en évidence le patriotisme de tout à chacun, exaltant les sacrifices pour la "Mère patrie" (Voir l'ouvrage 'La Grande guerre Patriotique") y compris l'engagement des femmes qui furent utilisées dans des unités combattantes indépendantes, tel des formations de pilotes, des tireurs d'élites, etc. La propagande de l'Armée Rouge fut intense pour démontrer la combativité des Soviétiques. Au point que nombre d'archives sont tronquées par de la surenchère. C'est sans doute la cas pour cet ouvrage. Un point cependant, c'est les lieux. J'ai connu plusieurs anciens combattants aux USA revenant sur les lieux de l'action qu'ils avaient menés en leur temps (Gi's dans les Ardennes notamment) et peu ont reconnus les lieux après tant d'années.Mais ce n'est pas la généralité et les historiens retrouvent bien des lieux y compris de 14-18. Qui est l'auteur de cet ouvrage, Kiriyama ?
  4. Merci Rochambeau sur ce rappel concernant la Bleuite:. Pratiquement, deux à six mille cadres et militants FLN. furent exécutés par leurs frères de combats, cassant littéralement la résistance intérieure du FLN. Lors de l'indépendance, ce fut l'armée des "frontières" (Basée en Tunisie et au Maroc de l'ordre de 20.000 hommes)) qui pris en main les décisions du fait de la quasi disparition de la résistance intérieure. Un document assez complet est passé il y a quelques mois sur la Bleuite:dans le cadre de l'Histoire / Toute l'Histoire à la télévision.
  5. Exact. Mes excuses Pascal. Une série de sites sur le Ju 290 = https://www.google.fr/search?source=hp&ei=YceEXcK2GqGSlwSGrr3QCQ&q=ju+290&oq=ju+290&gs_l=psy-ab.1.0.0j0i22i30l9.446222.448796..452212...0.0..0.560.2406.2-1j2j2j1......0....1..gws-wiz.......0i131.DS9h6lCENjQ
  6. Oui, c'est une information qui à couru longtemps. Un Ju 390 examoteur (rien ne le laisse supposer), peut-être un FW "Condor" amélioré comme cité plus haut. J'ai lu les deux versions.Il y a eu parfois des "Condor" basé à Biscarosse (Erreur, il s'agit de Mérignac. Mes excuses.) et sur des aéroports sur le littoral atlantique pour la recherche et l'attaque des convois alliés..Rien n’a confirmé, soit par des archives, soit des compte rendus de missions de pilotes. Il serait parti de la base de Biscarosse en France.Compte tenu des rayons d'action de ces appareils, cela était réalisable en particulier sans charge autre que du carburant en sus des réservoirs propres à l'appareil (supplémentaire).. Mais - par exemple - le décès de Saint Exupéry disparu sur un P38 de reconnaissance sur les cotes de la Méditerranée - fut longtemps inconnu. Hors Pierre Closterman (premier chasseur de France) avait rencontré plusieurs pilotes allemands qui lui indiquèrent la date, le lieu et le nom du pilote qui abattit notre pilote et écrivain.Cela fut relaté dans une revue aéronautique que je ne retrouve plus parmi mes revues. A partir de la, ce fut aisée de retrouver les archives de l'escadrille du pilote et de constater qu'il abattit bien un P38 "Lightning" le jour indiqué; Il faut donc être toujours un peu méfiant sur le manque d’information officiel. C'est sur cette base 'et d'autre) que fut retrouvé l’appareil et la montre de l'écrivain.Bien des archives de 14-18 ou de 39-45 dorment sans être ouverte et l'on retrouve régulièrement des informations oubliées ou méconnues. Il y avait aussi le projet ci-dessus décrit par Capitaineconan
  7. Oui, en effet. Et en attendant la bombe atomique, ce bombardier devait transporter une bombe "sale" de résidus atomique. Les plans des destructions on bien été retrouvés avec les cercles de contamination de la ville portée sur un plan, mais rien ni aucune source ne peut en dire plus sur ce sujet. La soute avait été agrandie pour tenir compte de l'épaisseur des parois de la bombe pour éviter la contamination extérieure. Un test de radioactivité aurait été effectué en Allemagne par un petit engin, mais les contradictions des mesures sur le site reste improbable à ce jour. Rappelons que l'Allemagne Nazi possédait beaucoup de minerai d'Uranium (saisi par les armées américaine et soviétique) et que c'est les savants Allemand Otto Hahn et Lise Meitnerqui qui ont découvert la fission nucléaire, a savoir, un neutron lancé sur un atome d'Uranium provoque la scission en deux de cet atome par émission de deux neutrons et en provoquant une formidable énergie et le cycle recommence avec les deux neutrons, etc. http://www.laradioactivite.com/site/pages/ladecouvertedelafission.htm https://fr.wikipedia.org/wiki/Recherches_atomiques_sous_le_régime_nazi
  8. Effectivement, c'est vrai. Dans son délire, il exposait et décrivait sa vision de New-York en feu et croulant sous les bombes devant des auditoires un peu stupéfait (témoignages au Procès de Nuremberg).. La Luftwaffe créa même un bombardier pour frapper les USA. Il s'agissait du Me264 dit "Amerikabomber" qui fit son premier vol le 23 décembre 1943. Il pouvait emporter 2 équipages de 3 hommes, 3 tonnes de bombes, 3 mitrailleuses de 13 mm et deux canons de 20 mm et recevait l'assistance de 6 fusées pour les décollages en surcharge. Il devait faire l'aller-retour de New-York, soir 30 heures de vol au départ des cotes Françaises.Une version hexamoteurs avec envergure agrandie et une version avec des turbines à vapeur furent prévues Le prototype fut détruit lors d''un bombardement allié.en juillet 1944. Selon diverses sources, un appareil modifié issu des "Condor" - sans charge de bombes - aurait décollé de Biscarosse (Landes) (Erreur, il s'agit de Mérignac. Mes excuses.) et serait allé jusqu'à 10 kms des cotes américaines. Ce ne fut jamais confirmé à ce jour. Oui, ce fut un modèle d'absurdité. Je ne dis pas "Amateurs" car des amateurs auraient mieux fait ! Méconnaissance absolu des USA, de la langue et surtout bonne initiative de jeunes américains en observation des plages. La corde fur le résultat de l'opération.
  9. Avant guerre , un concept de torpilles fusées fut présentés (toujours dans l'ouvrage précité sur "L'aviation de bombardement). C'était des roquettes de 100 ou 200 kgs propulsées par poudre sur une partie de la la trajectoire aérienne. Le nez se brisait à l'impact sur l'eau pour présenter un nouveau nez tronqué pour éviter les rebonds sur l'eau. La distance sous-marine devait être courte (car sans propulsion), de l'ordre inférieur d'une centaine de mètres pour avoir la possibilité de frapper la coque. La tête explosive, était celui d'un canon, c'est à dire que la charge 'sous calibré était propulsées par une charge permettant de percer la coque et le blindage et d'exploser dans les œuvres vives. La multiplicité des coups étant la règle pour ces torpilles légères emportés par avions. Cela donne une idée du problème et de la densité importante de l'eau (probleme des torpilles qui ne bénéficient pas d'une forme propre à la vitesse qui plus est) vis à vis de l'air. Les Nazis avaient commencés à étudier ce genre d'armes à la fin du conflit.
  10. Un petit comparatif avec les caractéristiques des "bombes sismiques" de Barnes Wallis de chez l’avionneur Vickers, qui créa ces engins. Ces informations sont issue de l'ouvrage de Paul Brickhill "Les briseurs de barrages". = I° - La bombe sismique de 10 tonnes (dite "Poing géant") , dont 7 tonnes d'explosif, prévu pour un largage de 13.000 mètres, devait atteindre la vitesse de 480 m/s (1728 km/h) et devait s'enfoncer à une profondeur de 48 mètres dans le sol. Il n'y aurait pas eu de cratère a partir de 43 mètres de profondeur. A 13 mètres de profondeur, l'explosion devait créer un cratère de 33 mètres pour un diamètre de 85 mètres avec 12.000 tonnes de terre déplacée ! Les hauteurs de lancement par Avro Lancaster de ces bombes furent en fait de 6.000 mètres car le bombardier proposé par Barnes Wallis - appelé "Bombardier de la Victoire" - ne fut pas réalisé ! II° - La bombe de 6 tonnes (dite Gros cigare), larguée à 6000 mètres, longue de 7 mètres, pourvue d’ailettes de rotation, créait un entonnoir de 25 mètres de profondeur et de diamètre de 30 mètres. Sa profondeur de pénétration pouvant être de 30 mètres dans le sol avec un déplacement de 10.000 tonnes de terre. Sur un toit en béton de 7,50 mètres, le "Poing Géant" créait un trou de 10 mètres (fortifications navales pour sous-marins). III° - Les comparaisons entre bombes accélérant par l'effet de gravité et celle d'obus tirés avec une vitesse initiale élevé n'ont pas le même résultat sur l'objectif dû à des différences balistique. Mais c'est toujours intéressant d'étudier ces différences. > Un obus de Marine de 406mm pesait une tonne. > L'obus du canon sur rail Nazi de 800 mm "Schwerer Gustav" était de 4,8 tonnes et tirait à 47,1 km. > Les mortiers Nazi "Mörser Gerät 040" tiraient des obus de 2,2 tonnes au calibre de 600 qui pénétrait 2,50 mètres de béton. Janmary
  11. Et par Hitler lui même qui répugnait à des attaques suicides par ses pilotes ! Cas du V1 piloté. .La vitesse résultante des obus ayant un prolongement de trajectoire sous-marine est parfois suffisante pour percer un blindage. 1° - C'est le cas des bateaux à voiles dont la vitesse résultante du boulet était suffisante - sous l'eau - pour percer la coque du vaisseau. Cela était même conseillé de tirer les boulets de cette façon. 2° - Lors du premier conflit mondial, (et même avant) des bâtiments de guerre furent endommagés et coulés de cette façon, par des tirs courts d'obus explosif explosant parfois dans les ouvres vives du batiment, munitions ou machines... Il existe des explications dans les ouvrages de Camille Rougeron, ingénieur du Génie Maritime, qui fut un grand innovateur en matériels de guerre et rattaché au Ministère de l'Air avant la seconde guerre mondiale sous la forme de = L'aviation de bombardement en deux volumes de 1936 (!) réédité chez Lavauzelle en 2003 qui explique les fondements de base des armes tels bombes, torpilles, perforation, dégâts, etc.). Un vrai cours d'armement ! 3° - En ce qui concerne le dépôt de munitions sous l'eau, je doute, en effet, Rob1 . Dans l'Armée, pour se débarrasser de matériels divers et de munitions, on jette à l'eau. La baie de Nouméa (matériels US) et celle d'Alger (lors de notre départ) en 1961/1962 en sont l'exemple. Sous l'eau, les munitions doivent être - normalement - protégées par un ouvrage ou par caisson dument étanché. D'autant qu'à 30 mètres sous l'eau, la pression est de 30/10,33 = environ 3 kg par mètre carré !. Sous terre, l'onde de choc d'un obus ou d'une bombe à une atténuation de 10 fois moindre qu'à l'air libre (dont la loi d'atténuation du souffle décroit comme la racine cubique de la distance). Ce phénomène fut appliqué par Barnes Wallis de chez l’avionneur Vickers, qui créa les bombes dite "sismique" explosant à grande profondeur sous terre, contre les barrages de la Ruhr et bien d'autres applications comme les fondations des viaducs qui s’effondraient par suppression de leurs fondations, etc. Sans compter tout ce qui était sous terre ! > Un obus de gros calibre, avec un détonateur à déclenchement retardé afin de pénétrer assez profondément dans le sol, peut donc faire exploser un dépôt souterrain à cette profondeur. > Sous l'eau, les variables sont le poids de l'obus (donc gros calibre) et vitesse résultante importante au contact de l'eau.Les lois du hasard y sont aussi pour quelque chose à mon avis ! Bonne question Rob1
  12. Il y avait également le Fieseler Fi 103 R "Reichenberg", version pilotée de la bombe volante V1. Il était construit avec le fuselage de la V1, du pulsoréacteur, avec un cockpit, un poste de pilotage et de pédales de commandes du gouvernail. Les premières versions étaient instables et tuèrent plusieurs pilotes lors des essais. Ce fut la célèbre aviatrice Hanna Rieitsch qui le testa, trouva la cause du problème (un décentrage) et se blessa grièvement lors de l’atterrissage. Cet engin n’a jamais volé au combat. https://fr.wikipedia.org/wiki/Fieseler_Fi_103R_(Reichenberg) https://fr.wikipedia.org/wiki/Hanna_Reitsch
  13. Il s'agissait d'une ile flottante ou aéroport(s) dans l'Atlantique pour la traversée de cet océan sans passer par l’itinéraire Nord (Canada, Groenland, Irlande et Écosse). Il(s) étaient constitués de flotteurs de forme hexagonales en liège de plusieurs mètres de hauteur (fonction des charges des appareils pouvant utiliser cet aéroport). Ils étaient réunis par des tendeurs et une grosse toile formant raidisseur de surface pour qu'à l’atterrissage (et décollage) , le poids de l'appareil repose sur une grande surface. Un petit aéroport à été construit pour tester la validité du système qui ne fut pas entrepris du fait de l'immensité nécessaire pour un trafic important d'avions lourds (bombardiers, transports, etc.) . Des photos existent toujours car celles que je possède sont de 1945/1946 dans diverses revues de l'époque..
  14. Quand le général Mac Arthur pris le commandement des forces d'occupations au Japon, il pris plusieurs mesures assez rapidement dans le cas du traitement des militaires Japonais et du Japon = 1° - Il ne poursuivi pas en Justice les principaux acteurs de l'Unité 731 sous réserve de collaborer avec les Autorités US (comme les scientifiques Nazis d'ailleurs comme Von Braun et bien d'autre) sur leur réalisations et les travaux futurs à développer !.. 2° - Il fit ramasser tous les sabres de Samouraï y compris des plus anciens et les fit immerger en fosse profonde dans l'Océan Pacifique. 3° - Il fit détruire les synchrotrons et synchrocyclotron croyant que ces appareils de recherche atomique pouvaient contribuer au développement et à la réalisation d'armes atomique ! Ainsi vont les événements !
  15. https://fr.wikipedia.org/wiki/Far_Away_:_Les_Soldats_de_l'espoir Sur la chaine OCS "ACTION" (N° 58 d'Orange) = aujourd'hui à 15h01 Rediffusion Mardi 10 sept. 2019 à 14h41 Rediffusion Samedi 14 sept. 2019 à 13h01 Rediffusion Lundi 16 sept. 2019 à 22h38 Rediffusion En Replay Sur Action jusqu'au 05 octobre Replay
  16. Merci Kiriyama. Vos commentaires sur cet ouvrage m'incite à l'acheter. Je connais un peu les éditions Heimdal car il y a fort longtemps, j'avais rencontré un auteur dans une librairie de la cote Normande à Blonville dans le Calvados avec lequel j'avais discuté des livres et éditions diverses et de la visite des ouvrages souterrains à visiter avec précaution dit de la "Corniche" . Il était souhaitable d'avoir un guide pour ne pas se perdre dans ces ramifications importantes de ce contexte ! J'avais acheté les deux volumes de "Randonnées et patrimoine en pays D'Auge" dédicacé par cet auteur, Mr Jacques Lalubie en septembre 1983 !
  17. Merci Pascal pour cette information. Je vais acquérir cet ouvrage de ces éditions. Passionné d'Histoire, c'est quand même les conflits du Pacifique et de la Chine qui reste en tête de mes pôles d'intérêts ! Guérillas et aéronautique en Chine et les combats sur de vastes océans mêlant bateaux et avions de tous types avec des troupes aguerris aux débarquements et au combats de jungle me semble des plus difficiles à coordonner dans le cadre d'opérations combinées aéronaval ou aéroterrestre. Nombre de sujets traitants ces sujets sur ce forum sont des plus passionnants et instructifs. N'est pas Pascal ?
  18. Oui, Kitiyama, un bon condensé sur ce conflit édité par cette revue.
  19. Janmary

    Albert Speer

    Qui peut affirmer qu'il possède les ouvrages des travaux d'historiens ou d'analystes Historique au sein de services de d’État qui soit à la fois complet, objectif et évaluant les problèmes posés à sa juste place ? Art difficile ! Nous avons eu plusieurs débats sur l'importance des sujets traités et des sources apportées de différents auteurs cracou. Sources contestables pour les uns et sources basées sur l'expérience vécues par d'autres. Par exemple, les services Soviétiques durant la seconde guerre mondiale ont largement falsifiés les rapports de combats. Et c'est tout à l'honneur dû au travail d’Historiens que de rétablir ces contre-vérités. Ou l'emploi des bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki dont les archives sont "déclassifiés". Ces archives apportant toujours des plus à la connaissance avec le temps. Les connaissances livresque sont presque toujours sujettes à caution sur un point ou sur sur une page d'Histoire qui sont fonctions des périodes d'études par un auteur. Cordialement à tous.
  20. Janmary

    Albert Speer

    Ces procès et recherche de tableaux ont fait l’objet de plusieurs émissions sur les chaines Histoire et Toute l'Histoire à la télévision. Le trafic élaboré par Albert Speer (via des officines d'acquisitions et ventes de tableaux avec des membres qui lui était acquit) à été en particulier "démonté" et disséqué" ainsi que les vols pratiqués par les plus "hauts dignitaires" Nazis. Une journaliste très bien connue en France qui fut également présentatrice d'émissions à la télévision a ainsi retrouver une grande partie des biens spoliés à ses parents / Grand-parents.
  21. Janmary

    Albert Speer

    Si l'on se base sur son livre - Au cœur du troisième Reich - il semble que ce soit une lente évolution de sa pensée basée sur les réalités et les données qu'il, avait en sa possession sur le fonctionnement de l’État Nazi. C'est lui qui était en charge de la production et c'est lui qu avait les estimations des productions estimées des USA et de l'URSS dont Hitler et son entourage se gaussait.. C'est lui qui s'exprimait le plus avec Hitler sans subir des litanies de propos par trop incohérents du fait de leurs passions communes de l'architecture. De ce fait, il compris vite le gouffre entre les réalités et les pensées et propos d''Hitler. Homme très intelligent et très opportuniste - et cela a été bien dit et souligne dans ce sujet par nombre d'intervenants - Il s’empressa (ce n'est dit dans le livre) d’acquérir des tableaux de Maitre spoliés aux Habitants Juifs qu'ils expulsaient de leurs maisons au titre de rénovations du quartier ou pour loger des personnes de l'entourage Mais rien ne fut fait directement. Tout se passait par intermédiaires. Aujourd'hui, en RFA et en France et dans d'autre pays, il y a encore des procès des ayants droits à la possession de ces œuvre d'arts. Nota = - le lendemain raid massif de B24 avec 2000T de gaz sur une cible quelconque. Par exemple un gros centre industriel. Attaques dispersées de moskitoes avec des dispersants (effet faible mais panique totale dans les villes allemands vu l'utilisation de persistant). Il s'agit du Mosquito, mon appareil préféré. Je suis souvent allé au Mosquto Museum de de Haviland en G.B ou le prototype est toujours exposé et au RAF muséum ou est exposé une version de cet appareil polyvalent, bimoteur, construit en bois, et très rapide.en version chasseur ( 4anons de 20 mm et 4 mitrailleuses de 7.7 mm) , chasseur-bombardier (Plus 8 roquettes de 60 livres égale à un impact de obus de 155 mm) , bombardier (4 bombes de 225 kg ou une version avec une bombe de 1800 kg jusqu'à Berlin), reconnaissance photos, pathfinder (éclaireur) de localisation de cibles par navigation et de bombardement radio OBOE, GEE, ou SHORAN, localisation d'objectifs par bouquet de fusées colorées sur l'objectif pour les bombardiers, version navale (avec un canon de 57 mm anti-navire), etc.
  22. Janmary

    Albert Speer

    Formulation en inéquation du fait que les effets chimiques, radiologique, thermique, mécanique des deux armes sont totalement différentes. Vouloir les comparer sur le plan des applications militaires c'est cibler les objectifs pour atteindre un effet maximum (rendement) des armes employées sur des cibles précises et définies. La formulation citée de comparaison entre les deux armes est basée sur l'efficacité des équivalences du rendement de ces armes rapportée au "tonnage" déversée sur l'objectif. En cela, nous pouvons accepter cette formulation avec la précision qui va de pair. Je suis d'accord avec votre comparaison citée Ioki. Dans le cas de la seconde guerre mondiale dans le conflit entre Nazi et Alliés, les armes chimiques ont "joués" un rôle de dissuasion mutuelle en fait - à mon avis - qui sera reprise par les dissuasions nucléaires. Bien à vous.
  23. Janmary

    Albert Speer

    1° - Oui en effet Kiriyama, puisque les Allemands n'avait pas de réacteurs atomique (nom de l'époque) tel que celui d'Oak Ridge aux USA et n'avaient pas mobilisés les scientifiques et l'économie dans ce but. Les sources recueillies furent celles des scientifiques Allemands dont Heisenberg qui furent détenus dans un château en Grande-Bretagne et les conversations enregistrées (en 1945). Par contre et c'est étonnant, l'Allemagne possédait des quantités de minerais d'Uranium en futs en plusieurs endroits du territoire. La chasse pour récupérer tous les travaux scientifiques par les Alliés commencèrent immédiatement en suivant les Armées et c'est les USA qui remportèrent (suivi par l'URSS) le maximum et de scientifiques et de minerais d'Uranium qui permis de fabriquer les bombes de test d'Alagormo au Nouveau Mexique et d'Hiroshima à l'Uranium. https://fr.wikipedia.org/wiki/Werner_Heisenberg 2° - Churchill fut - à mon avis - l'homme de la situation en Grande-Bretagne pour gagner la guerre en refusant toutes négociations (contrairement à Lord Halifax) avec les Nazis et Hitler. Il fut dénommé le "Vieux Lyon" de par sa personnalité batailleuse et agressive sans concession. Mais il fit aussi d'horrible erreurs. On lui doit finalement la Liberté retrouvée ce qui est fondamental.
  24. Janmary

    Albert Speer

    E effet, je souscris aux propos de Ioki et de Shorr kan. Il à toujours été affirmé par les Autorités militaire et politique des USA que la bombe A était destiné à Berlin. Le principal belligérant dangereux étant l'Allemagne Nazie pour les Alliés par crainte de la possession de l'arme atomique par les Nazis qui était fort loin de la posséder du reste.. Nous pouvons imaginer le choc créé en plein centre de l'Europe par une telle destruction avec une Armée Rouge arrivant sur une ville contaminée par des déchets radioactifs (comme le furent Hiroshima et Nagasaki). Il faut se rapper que la bombe A à l' Uranium sur Hiroshima de 15 Kilotonnes (en non 20 comme souvent affirmé) fut d'un rendement de 7%. C'est à dire que 93% de l'Uranium fissile s'est dispersé au sol. Bombe dite "Little Boy" - Petit garçon - du fait que l'uranium repartie en deux masses furent projetées l'une contre l'autre dans la bombe pour atteindre la masse critique) . Contre 20% de rendement pour la bombe au plutonium sur Nagasaki (de 22 Kilotonnes celle-ci) et 80% de plutonium dispersée dans la ville (Bombe dite "Flat Man" - Gros bonhomme - du fait de sa forme sphérique ou 64 explosifs concentrique "compressent" la masse de plutonium pour atteindre l'explosion. Quand à des bombardements au gaz de combat sur la population civile Allemande (et certainement quelques uns en retour sur les Iles britannique) cela eut été un génocide absolu avec une défense passive complétement submergée ! Il est vrai que Sir Winston Churchill fut un premier Ministre et Chef de Guerre fougueux (sa vie en est la preuve) mais la logique et l'appréhension de événements n'étaient pas toujours envisagés et pris en compte dans ses réflexions. L'un des reproches fait au Premier Ministre fait par les Historiens fut que Sir Winston s'empressa de soutenir Staline dès l'agression Allemande contre l'URSS sans négociation sur le sort de la Finlande, de la Pologne, des prisonniers Polonais par l'Armée Rouge, et l'aide militaire apportée à ce pays en fonction de l'objectif de la Victoire. Heureusement pour nous et l'Europe, le conflit cessa avant l’expérimentation de toutes ces armes des plus destructrices !
  25. Janmary

    Albert Speer

    Bonsoir à tous. Voici ce que j'avais écrit il y a un certain temps = La 5° plaie d’Egypte Quand la seconde guerre mondiale fut commencée sur le front de l’Ouest, après la percée de Sedan et Dunkerque, la Grande-Bretagne était isolée et ne voulu rien entendre à un compromis de Paix avec l’Allemagne Nazie (ouf !) Hitler, envisagea alors de « traiter » le pays par les gaz de combat (procès de Nuremberg). Finalement il s’abstint par peur des représailles Britanniques, également avec des gaz de combat (re-ouf). Il avait à sa disposition, les agents neurotoxiques comme le tabun (1936), le sarin (1939), puis le soman (1944) qui furent découverts par le chimiste allemand Gerhard Schrader. Ce sont essentiellement les Américains qui s’empareront de ces stocks. Ce qu’il ignorait, c’est que les Iles Britanniques n’avaient pratiquement pas en sa possession de ces gaz, en particulier aussi efficace que ceux que la technologie (terme pas encore employée à l’époque) Allemande avait développé. Sir Winston Churchill et les stratèges de l’État-major, conscient de ces faiblesses, lancèrent un plan dit « La 5° plaie d’Égypte » qui consistait en 2.690 bombardiers, larguant 40.350 bombes à bactéries. Chacune de ces bombes de 250 kg aurait suffi à contaminer une étendue de 20 hectares en rase campagne ou 2 hectares en agglomération. Bilan escompté = 3 millions de tués, soit 25 fois Hiroshima et Nagasaki (bombardement atomique au Japon) réunis ! Ce fut l’opération pour riposter aux tirs des V1 et V2 allemands. D’après la direction du Laboratoire Expérimental de la Défense Chimique de Porton Down, si ce plan avait été exécuté, les villes de Berlin, Stuttgart, Francfort et Hambourg eussent été inhabitées durant des lustres ! La genèse de l’affaire se situe au début de la seconde guerre mondiale. Les chercheurs Britanniques sont convaincus que Nazis et Japonais travaillent sur des armes nouvelles redoutables tant chimiques que biologiques. La vérité apparaitra qu’en 1946/1948 avec l’unité 731 Japonaise à Harbin et les travaux Allemands à partir de 1943 sur la guerre biologique. C’est le docteur Paul Fildes qui est chargé de cette développement de bacilles. Il porte son choix sur le « Bacillus anthracis » ou Anthrax que l’on trouve sous l’appellation de « maladie de Bradfort » (en France chez les laitiers et dans la ville de Bradfort en Grande-Bretagne). Une bombe fut rapidement fabriquée à Porton Down, bien que cette maladie soit assez rare chez les humains, et plus spécialement répandus chez les moutons, les vaches, les chevaux et les chiens. Il existe un vaccin, créa par Louis Pasteur, mais il ne confère l’immunité qu’au bout de 7 mois ! Ce fut sur l’île de Gruinard, aux Petites Hébrides, 3.000 mètres de long sur 800 mètres de large, à moins d’un kilomètre de l’Écosse qui fut choisie et le test par une petite bombe déposée par l’équipe – très protégé par des équipements tel que cagoules, gants, etc. – du major Allan Younger. Consistant a verser un liquide dans une boite de 35 X 20 cm. Des le lendemain de l’explosion, les premiers moutons décédèrent. Par la suite, 6 autres bombes furent lâchées par avions. Tous les scientifiques pensèrent que la durée de vie ne dépasserait pas 10 ans. En 1951, ce fut revu à 30 années. Plus tard, ce fut révisé en une centaine d’année. A Gruinard, seuls les lapins ont survécus, les bacilles ne les affectant pas. Parfois, un rapace emporte un lapin qu’il dévore dans les Highlands en contaminant par contrecoup une quarantaine de vaches qui décèdent. Source Britannique Janmary
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