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Les forces de l'armée et de la marine impériale japonaise
Janmary a répondu à un(e) sujet de Kiriyama dans Histoire militaire
Effectivement. Entre autre - comme en Allemagne Nazie - des cobayes humains furent utilisés pour des expériences douteuses ! Les travaux de cette unité sont celles de la guerre bactériologique = > Appliqués par les Japonais sur la population en Chine, > Et dont les responsables furent soustraient aux procès de Tokyo pour crimes de guerre en échange desdits travaux remis aux USA ! Des applications d'armes biologiques auraient été utilisées durant la guerre de Corée (1950-1953) par les Américains mais sans preuve apparemment : < La guerre biologique les secrets, Les expérimentations japonaises par Peter Williams et David Wallace Chez Albin Michel -
Les forces de l'armée et de la marine impériale japonaise
Janmary a répondu à un(e) sujet de Kiriyama dans Histoire militaire
Il faut être très clair = En chine continentale - pendant la guerre Sino -Japonaise - de 1933 à 1945 - les ordres donnés par le général et Prince de la famille Impériale Asaka ainsi que le général lMatsui commandant les forces Japonaises furent = C'est "l'Opération tue tout, pille tout, brûle tout" et cela fut parfaitement exécuté par les forces Impériales Japonaises sur le terrain qui en firent leurs cris de guerre. Je vous engage à lire l'ouvrage concernant le général Ishiwara, celui même qui provoqua l'incident Mandchoue et de sa propre autorité qui plus est pour conquérir totalement la Chine continentale. Ses propos donnent une lumière de ses intentions et ce qu'il pensait des Chinois. > Ishiwara, l'homme qui déclara la guerre Par Bruno Birotti chez Armand Colin, Arte Éditions. Ouvrage basé sur les archives et fit l'objet d'une émission de TV (sur la chaine Histoire et cette émission est diffusé assez régulièrement) sur le rôle de ce général ou l'on apprend qu'il ne fut pas jugé au procès de Tokyo et il mourus de sa belle mort. La somme colossale des éléments à charge (comme au tribunal de Nuremberg en Allemagne) contre les responsables de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité (qui furent secondaire au procès de Tokyo) fit que le général Matsui fut pendu et que le général Prince Asaka ne fut pas poursuivi au titre de membre de la famille Impériale suivant "l'accord" de reddition du Japon concernant la souveraineté de l'Empereur et de sa famille. Aux procès de Nuremberg et de Tokyo et les preuves de crimes de guerre apportées lors de ses audiences est pharaonique puisque celui de Nuremberg concerne 26 volumes pour l'édition Française (disponible à la bibliothèque National et pendant . un temps à la bibliothèque centrale de la SNCF, place Valhubert) Bien qu'il est eu deux juges Français à celui de Tokyo (deux frères jumeaux) ils n'ont pas relatés leurs mémoires et les seuls éditions sont de source Américaines et Australiennes. Il y a quelques temps, quelques anciens soldats de l'Armée Impériale (comme certains kamikaze du reste) ayant combattu en Chine continentale (ou dans le Pacifique pour les kamikaze) parlent de ces ignominies et massacres en Chine continentale. Nombres de ces "confidences" ont faits l'objet d'émissions de TV (toujours sur la Chine Histoire ou National Géographique) et sur les ouvrages précédemment cités. Janmary -
Les forces de l'armée et de la marine impériale japonaise
Janmary a répondu à un(e) sujet de Kiriyama dans Histoire militaire
Nous parlons bien de la guerre Japonaise en Chine continentale précédant le second conflit mondial et durant ce conflit..Taïwan et la Corée furent traités différemment de la Chine continentale puis que étant une extension de l'Empire Nippon. Le massacre de Nankin - qui n'est pas un cas isolé - est l'illustration du comportement de l'Armée Nipponne en Chine. Si ce massacre fut connu et rapporté en Amérique et en Occident - avec photographie et films à l'appui en particulier de John Magee entre autre - ce fut le fait des Concessions Internationales dont - entre autre - John Rabe - Nazi Allemand à la tête de la firme Siemens Nazi ou l'Américaine Minnie Vautrin - qui s'opposèrent et assumèrent une aide et assistance des Chinois dans une zone de sécurité de la Concession Allemande. Il est appelé le "Juste de Nankin" par les Chinois qui lui ont élevé une statue et l'on aidé financièrement après fin de la guerre car ce dernier fut détenu par la Gestapo à son retour puis par les Alliées (pour être un nazi) et mourra dans la misère. Les combats dans le Nord de la Chine furent des massacres permanents et les crimes furent à l'identique de ceux de Nankin.Ce ne fut pas une guerre en dentelle pour arriver à 20 millions de mort en Chine durent le conflit mondial qui en fit 60 millions parmi tout les belligérants. Les propos que je cite ne sont d’ailleurs pas de moi, mais furent cités par des témoins au process de Tokyo lors de l'audition du général Matsui commandant les forces Japonaises (à défaut du Prince Asaka de la famille Impériale qui ne fut pas poursuivi après la capitulation Japonaise suite à "l'accord" sur la famille Impériale) ainsi qu'un certain nombres d'auteurs. Les ordres donnés étaient bien "l'Opération tue tout, pille tout, brûle tout". Les rares confidences de vieux citoyens Japonais qui furent soldats en Chine, confirment - malheureusement - ces propos qui sont rapportés de façon différentes dans les ouvrages déjà cités= > Le Japon en guerre 1931 -1945 par Haruko Taya Cook et Théodore F;Cook chez Éditions de Fallois 2015 > Le viol de Nankin par Iris Chang aux éditions Payot et Rivages 2007 > L'Armée de l'Empereur (Violences et crimes du Japon en guerre 1937-1945) par Jean-Louis Margolin chez Armand Colin 2007 Cordialement. Janmary -
Les forces de l'armée et de la marine impériale japonaise
Janmary a répondu à un(e) sujet de Kiriyama dans Histoire militaire
Oui, en effet et cela m’a toujours surpris. Les Japonais ont toujours perçus les chinois comme des sous sous hommes en dessous des larves....qui du reste leurs rendent bien la pareille en les traitants encore aujourd'hui de tout les noms dans le Sud-Est Asiatique. Peur du Japon au vue des tensions entre les États-Unis - Chine et Corée du Nord et plus particulièrement d'un abandon de protection militaire des USA. La Chine considère une grande zone de la région - mer jaune et plusieurs iles qu'elle revendique - sans concession et avec menace y compris des ilots appartenant au Japon. Compte tenu de l'animosité entre ces deux pays avec une armée normalement interdite par la Constitution (seul une armée dite d'auto-défense imposée par le général Mac Arthur) , les Japonais ne sont pas fiers de leurs situations ! -
Les forces de l'armée et de la marine impériale japonaise
Janmary a répondu à un(e) sujet de Kiriyama dans Histoire militaire
D’après les archives et les historiens Japonais, c'est bien cet élément (l'offensive Soviétique ) qui fut déterminante pour la fin de ce conflit. Oui, c'est le cas de l'Indochine dans sa partie Sud (En attente des Britanniques, puis des Français) La plupart des Japonais prisonniers par l'Armée Rouge et l'Armée Chinoise ne revinrent pas de leurs captivités. Ceux qui furent libérés étaient des communistes convaincus qui fichèrent la pagaille en rentrant au Japon. Le général Mac Arthur pris des mesures drastiques en revenant et en oubliant un peu l'ouverture syndicale et politique dans le pays dont il avait la charge ! Apparemment, un beau livre bien écrit Kiriyama ! -
Les forces de l'armée et de la marine impériale japonaise
Janmary a répondu à un(e) sujet de Kiriyama dans Histoire militaire
J'ignorais cet épisode des événements. Comme à Guadalcanal et en Birmanie plus tard, les Japonais n'avaient peu ou pas d'intendance ni de service médical digne de ce nom.L'armée nippone devait vivre sur le dos de la population ! On vit les désastres lors de la retraite de Birmanie du reste. La campagne de Chine - en fait très peu connue - est passionnante à plus d'un titre. Guérilla très importante au Nord de la Chine avec déplacement par souterrain (la guerre de Corée (1950 - 1953) fut calquée sur ces types de stratégie et de tactique après la période des contre-offensives Chinoise et Nord-coréenne. Et l'Histoire de deux hommes remarquable en Chine. Ci-dessous, écrit de 2008 en réponse à un internaute sur un forum aujourd'hui disparu = J'aimerai apporter une petite contribution historique à l'expression concernant la phase suivante dans son message du 21 aout 2007 : De plus ils ont très mal digéré qu'une armé d'à peine 1 million de Japonais ait conquis 1 milliard de chinois. Cette assertion est inexacte et fausse de surcroit. > D'abord, à cette époque, il n'y avait pas 1 milliard de chinois mais de l'ordre de 400 millions, > La Chine n’a pas été conquise par le Japon et loin s'en faut, Les troupes Japonaises avaient conquis le Nord, le Nord Est et les villes côtières mais tenaient avec difficultés l'intérieur du pays malgré une férocité que l'on à rarement vue dans l'histoire sauf médiéval : voir le sac de Nankin ( des documents sont désormais accessible sur Internet ) ou l'extermination de la population fut totale : viols, meurtres d'enfants, assassinat des prisonniers à la mitrailleuse ou à la baïonnette ! > En fait, le théâtre d'opération Chinois fut le tombeau de l'armée Impériale Japonaise et ceci pour plusieurs raisons, 1° L'immensité du territoire et la violence des troupes Nippones fit que les forces Chinoise du Général Chang Kai Che aidés par 2 hommes d’exceptions allaient contenir l'invasion et se battre vraiment, 2° Les pertes de la population civiles chinoise furent estimées entre 11 millions et 17 millions de personnes suivant que l'on prenne en compte ou pas la guerre interne entre les forces nationalistes et communiste, Les pertes de l'armée chinoise furent de 3 200 000 soldats sur 5 600 000 militaires engagés dans le conflit, Les pertes Japonaises furent de 1 100 000 soldats sur ce territoire alors que l'ensemble des pertes japonaise sur tous les fronts fut de 1 220 000 soldats : on voit que ce ne fut pas une petite guerre d'autant plus que les Japonais réalisent des expérimentations médicales importantes réalisé par l'unité 731 de Shiro Ishii crée dès 1935 ! D’où le ressentiment très fort de la Chine contre le Japon, qui fut et qui est le seul pays de l'Axe à ne pas s'être excusé pour ce quasi génocide, On peut comprendre le problème du Yukikaze dans ces conditions même si cela est regrettable ! 3° Donc les forces chinoises se replièrent dans la région sud prés du Tibet, à savoir le Yunnan avec pour capitale Kunming, L'armée chinoise fut entrainée par deux hommes remarquables, Le premier fut le général Allemand Alexander Von Falkenhausen (29/1/1878 à 31/07/1966) qui fut conseillé de Chiang Kai Shek de 1930 à 1937, Lors de la retraite de l'armée chinoise vers le Yunnan, ce général introduisit les méthodes de guérilla qui valurent des pertes très sévères aux forces Japonaises à tel point que le gouvernement Japonais exigea son rappel en Allemagne ce qui fut fait, ( Il devint gouverneur de Belgique pendant l'occupation Allemande de ce pays, se passionna pour une Belge et termina sa carrière dans les prisons de la Gestapo puis Américaine comme criminel de guerre pour fait d'atrocités contre des partisans Belge ), 4° Enfin, le deuxième fut le général Claire Lee Chennault qui organisa la défense aérienne de la Chine avec les célèbres Tigres Volants (AGV) puis 14° Air Force et qui fut ravitaillé par le pont aérien de l’Himalaya, dit aussi "la bosse", Ces formations obtinrent des palmarès remarquables en nombre de victoires aériennes et en nombre de bombardements des convois maritime Japonais entre la Chine et le Japon, 5° Voilà donc, de façon sommaire, ce qui est historique et confirmé par les archives et témoignages des anciens combattant ( Américains, Britanniques, Hollandais et Français d'Indochine qui sera mon prochain mail), J'ai en effet rencontré aux USA le fils d'un pilote des Tigres Volants (Larry M. Pistole ) et en France, à Bordeaux le soldat Cron, témoignage à venir sur les soldats Japonais, Attention: Il ne faut pas confondre les forces Japonaises de la WWII et le Japon d'aujourd’hui même si le gouvernent Japonais refuse les excuses à toutes les puissances engagées dans ce conflit, En tant que cadre supérieur (!! Je n'y peux rien) dans un groupe américain, j'ai travaillé avec des firmes Nippones et tous les gens rencontrés étaient adorables, peut être parce ceinture de Aïki Do, j'avais une petite vue sur la façon de voir les choses de leur point de vue : En effet, reconnaitre les exactions, c'est perdre la face pour un asiatique ! C'est impensable dans leurs traditions bien que lesdites traditions aient été mise un peu à mal par l'occupation du Japon par les américains ! A plus Janmary P.S = Certains éléments (tel les excuses Japonaises aux belligérants) ont été apportés depuis comme les pertes civiles et militaires avec plus de précision (22 millions de civils). -
Tentatives d'assassinat sur Hitler
Janmary a répondu à un(e) sujet de Kiriyama dans Histoire militaire
Je partage ce point de vue, d'autant qu'il avait quand même la "baraka" ! 1° - A son retour d'un déplacement de l'URSS en avion , l'un des officier voyageant dans cet appareil avait une bombe dans une sacoche donné par un autre officier et à remettre à un autre officier à l'arrivée de l'avion (officiellement des bouteilles de liqueurs à remettre à un autre officier à l'arrivée de l'avion) Bombe de type Britannique Or, le percuteur n’a pas fonctionné dû au froid à l'altitude de vol alors que l'acide avait bien fait son œuvre en sectionnant le fil suivant un temps donné permettant au percuteur de déclencher l'explosion ! C'est quand même une sacrée "baraka" ! 2° - Il est vrai que ses changements fréquent d'horaire lui on permis d’éviter bien des tentatives d'attentats ! -
Les forces de l'armée et de la marine impériale japonaise
Janmary a répondu à un(e) sujet de Kiriyama dans Histoire militaire
Merci pour cet extrait Wallaby que j'avais un peu oublié ! Il est à noter que ce sont souvent les militaires de haut rangs qui émettent des doutes sur un conflit à venir ou partisans de la Paix. Nous pouvons citer, l'Amiral Yamamoto qui fut en poste aux USA et fut négociateur du traité naval de Washington, les généraux d'Hitler et ceux de Mussolini, et plus proche de nous divers hommes politiques et anciens militaires qui orientèrent qui donnèrent l'indépendance à des colonies ou s’engagèrent sur la voie de la paix. Que ce soit le général et Premier ministre Tôjô, Hitler ou Mussolini , tous se refusèrent à admettre les réalités stratégiques tel l'immensité du Pacifique et la logistique qui serait nécessaire, la profondeur de l'URSS qui allait de la frontière Polonaise au Pacifique d'une part et d'autre part les réalités industrielles des USA ou de l'URSS vis à vis de leurs propres possibilités. Le mépris d'autrui fut la règle. > "Un coup de pieds et tout cet édifice pourri s'effondrera" (Hitler en parlant de l'URSS) > "Les Américains ne savent fabriquer que des lames de rasoirs" (le Reich marshal Nazi) > Les japonais avaient un mépris profond des Américains et Européens avec un sentiment de supériorité total. Effectivement, mais cela était trop tard. comme vous l'écrivait Kiriyama au vue de la "gifle" subie par les USA qui se retrouvait de surcroit avec une déclaration de guerre de l'Allemagne nazi. Le Président Roosevelt qui espérait trouvait une opportunité de conflit avec les Allemands avait ainsi les possibilités d'assister la Grande-Bretagne et de s'engager fermement contre le régime Hitlérien. Alors pourquoi, faire la Paix avec l'Empire du Japon alors que 15% des ressources (source de Pascal) étaient allouées au conflit du Pacifique ? Depuis longtemps, le plan Orange qui prévoyait un conflit sur les deux océans avait sa justification ! Seul problème = Les USA n'étaient pas prêt à la guerre et allait démontrer sa formidable puissance industrielle. -
Les forces de l'armée et de la marine impériale japonaise
Janmary a répondu à un(e) sujet de Kiriyama dans Histoire militaire
Dans le cadre de "Orange War Plan" (OWP), concernant un éventuel conflit entre l'Empire du Japon et les USA, il était prévu par ce plan que les garnisons des Philippiennes devaient tenir jusqu'à l'arrivée de la grande flotte américaine (?) ce qui était déjà irréaliste dès la conception de ce plan. Les stratèges procédèrent à une réévaluation totale de leurs plans tandis que le Président américain dégageait un milliard de dollars pour le "Naval Expansion Bill" qui allait élever la puissance navale américaine à + 20% au dessus de la limite fixée par les anciens traités navals. Des que le congres eut adopté le projet; l'US Navy se lança dans une couse axée sur le but suprême de la capacité "Bi-Océans" (Pacifique et Atlantique). Mais l'objectif immédiat restait de se mettre à niveau égal avec le Japon dans la compétition qui courrait avec la Pacifique. Note = Le Plan de guerre orange concernait une guerre avec l'empire du Japon mais à la suite de l'attaque de Pearl Harbor et de la prise des Philippines, celui-ci ne put être effectué durant les campagnes du Pacifique. Couleurs et Plans de guerre des USA = https://fr.wikipedia.org/wiki/Plan_de_guerre_des_États-Unis -
Les forces de l'armée et de la marine impériale japonaise
Janmary a répondu à un(e) sujet de Kiriyama dans Histoire militaire
Je souscris à vos écrits, Kiriyama. Oui et c'est assez curieux. 1° - D'un coté, le Président Roosevelt cherche l'intervention contre l'Allemagne Nazie et reste persuadé que le Japon fera la guerre aux puissances présentes dans le Pacifique . Comme suite au conflit Japon - Chine et à l'occupation de l'Indochine, Le Président commence à bloquer les avoirs Japonais, puis les livraisons d''acier et enfin - arme ultime - le pétrole. Le tout sans apparence de provocations et dans l'espoir de négociations semble t-il. 2° - Les Britanniques et la Royal Navy - et bien avant le conflit du Pacifique - ne pouvant plus assumer une protection aux Indes, Australie et Nouvelle Zélande, ces deux derniers pays demandaient aux USA leurs protections en cas de conflits. La Grande-Bretagne par ailleurs coupa la route de Birmanie (entre Chine et le port de Rangoon à travers la Birmanie) qui alimentait la Chine en ravitaillement divers.à la demande Japonaise afin de ne pas avoir de soucis avec l'Empire Nippon. Oui, en effet. Et l'Union Soviétique pensait qu'en intervenant - à la demande des alliés de surcroit - contre le Japon, il pourrait occuper ce pays qui lui servirait de barrière protectrice contre les Américains avec une extension sur l'Océan Pacifique qui plus est ! C'est le général Mac Arthur en tant que "Consul" de l'occupation du Japon qui refusa tout net, à la fois tout militaire de l'Armée Rouge sur le sol Nippon et tout gestionnaires Soviétiques des affaires Inter-Alliés sur le sol Japonais.. Il faut reconnaitre que ce sont des pages d'Histoires vraiment passionnantes ! -
Les forces de l'armée et de la marine impériale japonaise
Janmary a répondu à un(e) sujet de Kiriyama dans Histoire militaire
L'un ouvrage également intéressant est celui de John Costello. Historien Britannique, Il a écrit également "La Bataille de l'Atlantique" et "Jutland 1916" La guerre du Pacifique aux éditions Pygmalion - Gérard Waldet 1982 basé exclusivement sur les archives. > Tome 1 = Des origines du conflit A Midway et Guadalcanal > Tome 2 = Des prémices d la Victoire A l'Apocalypse de Hiroshima L’intérêt de cet ouvrage est qu'il commence dès que le Japon est en contact avec les Européens et Américains; Le Commandant Perry, la politique du "Gros bâton Américain, la politique de la canonnière, le péril Jaune, la stratégie du Potomac, traités en papier, Incidents en Chine, le Pacifique, etc. En parlant du de la bataille navale du Jutland en 1916, une information donnée par Henri Le Masson dans son ouvrage "Forces sur la Mer" = > Les Britanniques mirent 2,2 % de tirs au but sur les navires Allemands, > Les Allemands mirent 3,3 % de tirs au but sur les navires Britanniques Toute artilleries confondues. -
Les lasers de 1.064 nm correspond à l'infra-rouge (> 850 nm) et 532 nm au vert. C'est ce type de lasers du type YAG (Neodymium = Yttrium Aluminium Garnet ou Erbium également) sur lesquelles j'ai travaillé et commercialisé ce type de lasers pour la firme Amoco Laser Company de chez Litton Industrie. Le 532 nm (vert) était obtenu à l'aide d'un cristal KDP mis devant un laser 1.064 nm. Les puissances n'avaient rien de comparable avec celles obtenus aujourd'hui !
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Quelques compléments et précisions = 1° - Une arme à fission ordinaire consomme environ 1kg de combustible fissile (uranium ou plutonium); la fission complète de cette quantité fournit une puissance explosive équivalente à celle de 17 millions de kilogrammes , soit 17 kilotonnes équivalent de TNT. La bombe qui à détruit Hiroshima contenait environ 60 kg de d'uranium 235 presque pur et sa puissance de 13 kilotonnes (on à pensé 17 kilotonnes très longtemps); donc 13/17 kilotonnes, soit 0;8 kg seulement ont effectivement fissionné; donc ce qui donne un rendement de 0,8 / 60, soit 1,3%. le reste de l'uranium à été dispersé dans l’atmosphère avec ds produits de fission très radioactifs (ce qui donne une idée des conséquences des expérimentations à l'air libre des puissances nucléaires). La bombe de Nagasaki contenait 6 kg de plutonium et sa puissance était de 22 kilotonnes, correspondant à la fission d'environ 1,3 kg de plutonium, ce qui donne environ 1,3 / 6 = 20% de rendement à comparer avec celle Hiroshima à l'uranium. Ces informations sont extraites du remarquable ouvrage (simple et compréhensible à lire) == De Tchernobyl en Tchernobyls Par Georges Charpak (Prix Nobel de physique et membre de l'Académie des sciences) Richard L.Garwin (Physicien et membre de l'Académie des sciences des États-Unis) Venance Journé (Docteur en Physique des particules) Chez Odile Jacob 2005 2° - Pour ceux qui aimeraient un gros dictionnaire de physique ou toutes les parties sont traitées et compris la mécanique quantique (nucléaire, particules, mécanique ondulatoire, physique du solide, effet photoélectrique, etc.etc.). Toute la physique Par Horst Stöcker, Francis Jundt et Georges Guillaume (par des professeurs Allemands et Français) Chez Dunod 2007 3° Il ciste le même type d'ouvrage (par un même auteur) en mathématiques incluant la "Logique floue" en informatique" Toutes les mathématiques et les bases de l'informatique Par Horst Stöcker Chez Dunod 2005 Toutes les mathématiques et les bases de l'Informatique
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Pour les Allemands de toutes façons se serait posé le problème de la miniaturisation puis, en effet, du vecteur. Installer "la bombe" sur un V2 me paraît complexe. Les deux bombes atomique américaine lancées sur Hiroshima "(Tall Boy" à uranium) et sur Nagasaki ("Flat Man" à plutonium) pesait 5 tonnes. La V2 de 13 tonnes emportait une charge de 1 tonne sur 300 km. A l'époque, la taille et les masses d'uranium ou de plutonium pour réaliser la fission n'était pas connu avec exactitude et les rendements des deux bombes atomiques qui allaient suivre étaient d'un rendement très faible d’où des masses fissiles plus importantes. Aujourd'hui, ces masses ont considérablement diminuées du fait des rendements améliorés dû aux géométries des cœurs des engins. Aujourd'hui un obus de 280 mm (ou une torpille marine ou un missile aérien) emporte la charge minimum, c'est à dire le poids de quelques kilos pour amorcer la fission, avec quelques kilotonnes de puissance au lieu des 17 Kilotonnes de puissance des bombes sur les deux villes Japonaises. Les bombes thermos-nucléaire (bombe H ou Hydrogène), ou nucléaire (dont l'ancienne appellation était "atomique") doivent posséder des systèmes de sécurités (pour éviter que des neutrons déclenchent l'explosion accidentel ou un emballement thermique entre autre ou que des fréquences émises de l'extérieur puissent amorcer l'explosion, d’où un spécialiste de contre-mesure dans les deux bombardiers B-29 sur le Japon) et des conditionnements de température pour éviter "L'emballement thermique") ce qui fait des engins plus lourd que le seul cœur permettant la fission. C'est le rôle des expérimentations de vérifier par des tirs aériens ou sous-terrain, la validation des calculs théoriques, la géométrie du cœur de l'engin, la miniaturisation de l'engin, etc. La bombe H n'est guerre plus lourde car possédant une sphère contenant la bombe atomique pour amorcer la fusion de quelques millions de degrés et des manchons latéraux contenant du deutérium pour l'un et du tritium pour l'autre (isotopes de l’Hydrogène d’où le nom de bombe H).. Il existe aussi la bombe 3F, à savoir fission avec une bombe A, fusion H (les deux isotopes de l’Hydrogène précités et une troisième couche pour diverses application. Il existe les bombes à rayonnement renforcées, à savoir bombe A plus une couche de métal fissile fortement radioactif pour émettre un rayonnement intense et qui contamine longtemps le sol. Le cout des bombes A ou H n'est pas proportionnelle à la puissance. La partie onéreuse est la partie bombe A du cœur de l'engin et les couts varient ensuite de façon (presque) linéaire en fonction des puissances. D’où, deux approches différentes lors de la guerre froide. Des engins de très fortes puissances avec explosion haute pour les Soviétiques et des engins plus petits avec des "systèmes de tirs inertiels" de tirs au bit pour les USA de façon globale et générale. Janmary
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La flotte soviétique durant la Deuxième guerre
Janmary a répondu à un(e) sujet de Kiriyama dans Histoire militaire
Il y a eu quelques convois escortés par la marine Soviétique d’après l'ouvrage de Georges Blond ."Convois vers l'URSS", paru chez Arthème Fayard en 1950. Effectivement, la marine Soviétique à joué un rôle secondaire dans ce domaine durant la "Grande Guerre Patriotique" comme la surnomme les historiens et l'Armée Rouge. Merci Clemor pour ce site. -
La flotte soviétique durant la Deuxième guerre
Janmary a répondu à un(e) sujet de Kiriyama dans Histoire militaire
Au point que les Soviétiques avaient demandés en compensation de la partie économique du pacte de non agression de 1939 (livraison de pétrole et de blé) des livraisons d'un certain nombre de croiseurs (Classe Blucher - Admiral Hipper - Prinz Eugen et Seydlitz je crois de 10.000 tonnes et VIII canons de 203) et de bombardiers Heinkel 111. Il n'en fut rien. Et les Soviétiques avec l'agression Nazie sur leur sol de juin 1941 durent s'assoir sur la dette non payée du dictateur Allemand ! Ils se vengèrent avec l'occupation de l'Armée Rouge en Allemagne en démontant la majorité des usines ! En zone occupée Française, on ne se priva pas pas non plus de pratiquer des démontages d'usines à la grand colère des populations qui oublièrent que la France occupée fut rançonnée en toutes choses comme les autres pays occupés. -
La flotte soviétique durant la Deuxième guerre
Janmary a répondu à un(e) sujet de Kiriyama dans Histoire militaire
Oui, en effet Rob1 et ce fut de terribles drames. Je ne me souviens plus du nom des paquebots qui sont donnés dans une émission que l'ai enregistré sur "Toute l'Histoire"concernant ces événements de l'Est. 1° - Sur "Les Flottes de Combat 1940" ou sont donnés (pages 698 à 726) l'ensemble des informations concernant les flottes et unités de combats navals de l'URSS. Les Soviets ont décidés de posséder et donc de créer une grande flotte océanique à partir de 1930 et ont fait ou construire nombre de bâtiments = > par l'Italie (confirmé par ailleurs) = Un contre-torpilleur (le Tashkent, livré en1939 avec pour caractéristique 2.895 tonnes - 139,75 m - 13,70 m - tirant 'eau de 3,70 m - 95.000 ch - 42 nœuds - VI x 130 mm - VI x 45 mm - VI x mitrailleuse de 13,2 mm AA - IX x T 533 soit III x 3) deux canonnières de 900 tonnes livrés en 1934. > En URSS = 2 cuirassé de 35.000 tonnes - 7 croiseurs légers de 8.000 tonnes - 2 porte-avions de 12.000 tonnes - 6 contre-torpilleurs de 700 tonnes et 1.800 tonnes - 25 sous-marins de 200 tonnes - 12 sous-marins de 500 tonnes - 12 sous-marins de 1.040 tonnes - 4 mouilleurs de mines de 450 tonnes - 6 dragueurs de mines de 400tonnes - 6 ravitailleurs de sous-marins de 2.800 tonnes - 22 vedettes rapides. > Soit 110 bâtiments déplaçant environ 218.000 tonnes 2° - Sur "Les Flottes de Combat 1952" sont donnés (pages 301 à 334), en date au 1° octobre 1951) = > 4 bâtiments de ligne - Croiseurs (4/5 "Tchkalov" et 8/10 "Kirov") - Contre-torpilleurs, 65 unités dont (12 x "Obrazovanny" - 1 ex T38 - 7 x "Lastrer" - 10 x "Molnia"), etc.etc. > Au 1° septembre 1949 = Sous-marins = 20 x XXI - 4 x VII - 1 x IX (ex-Allemand) et 15 (?) type K Note = Sur les deux ouvrages figurent les affectations des unités en fonction de l’Extrême-Orient et des Mers (Baltique, Blanche et Noire) et les caractéristiques techniques de bâtiments cités. Janmary -
En fait, les Japonais étudiaient le coté scientifique de l'atome et des particules avec les cyclotrons / Synchrocyclotrons.... plus particulièrement. J'ignore si les Japonais ont envisagés l'utilisation de particules radio-actives (matières fissiles) contre les forces alliés. Nous pouvons en douter du fait qu'ils utilisèrent l'envoi de ballons incendiaires contre les USA avec peu d'efficacité malgré le grand nombre et le débarquement sur trois autres villes du littoral des USA (dont San Diego) de commandos (par sous-marins I-400) contaminés et porteurs du bacille de la peste ! Opération annulé par crainte de réciprocité des Américains de guerre chimique. Le général MacArthur envoya ce matériel scientifique au fond de l'Océan (dans la grande fosse du Pacifique) croyant à du matériel apte à créer une bombe atomique malgré un tollé des milieux scientifiques des USA et d'autres pays. Dans la foulée, il envoya aussi toutes les armes historiques ou pas, tel les katanas (sabres), tanto (couteaux), etc. dans la même grande fosse afin de démilitariser le Japon et de le couper de ses racines guerrières. Les Allemands par contre envisageaient bien ce procédé de particules radio-activités d'un métal fissile contre la ville de New-York . Des plans et des études avec les réacteurs ont été retrouvés en avril et mai 1945 avec divers réacteurs expérimentaux tel le G III, ainsi que les plans de l'avion dit "Amerika", etc..
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Vous avez toujours des apports passionnants ARMEN56. Je prends copie de vos informations (et d'autres intervenants) pour mes sources personnelles. Note = Absent pour quelques jours...normalement.
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C'est si vrai, que le traité de Washington qui avait limité les Porte-Avions à 23.000 tonnes (classe Ark-Royal et Illustrious par exemple), puis 27.000 (classe Essex par exemple) et les cuirassés à 35.000 tonnes (avec de l'artillerie de 406 maximum), passèrent à 45.000. tonnes (P.A et Cuirassé) pour les constructions navales durent la guerre afin d'avoir une "Équation de poids" plus satisfaisante (cuirasses, armements, compartimentages, bordée de carène), le tout avec une vitesse égale à celles des escadres en déplacements (32 nœuds pour l'ordre d'idée) Les puissances navales avaient bien vue l’insuffisance des déplacements autorisés par le traité, mais il s'agissait de limiter la course aux armements, aux tonnages des bâtiments pour des raisons essentiellement budgétaire. Les crises économique étaient passés et avaient laissés les grandes puissances exsangue sur les plans économiques -financiers. Juste avant guerre, les Allemands et Japonais (Bismarck, Tirpitz), Japonais (Yamato en poids et en artillerie) avaient dénoncés de fait le traité naval et avaient repris (sans le dire) leurs libertés dans le domaine sur plusieurs classes de navires. Pour faire un tel saut dans les tonnages (35.000 à 45.000) on peut imaginer les efforts des architectes navals qui furent fait pour limiter tout les paramètres de poids pour l'obtention d'un 35.000 tonnes bien équilibrés.
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1° _ Nous parlons de bâtiments de la seconde guerre mondiale construit avant celle-ci avec les limitations de poids des cuirassés, croiseurs lourds et légers, porte-avions avec les limitations en calibre d'artillerie et en nombre de bâtiments de par le traité de Washington 2° - Le gros probleme des architectes navals étaient ces équations de poids - en fonction d'un déplacement donné - pour avoir, un blindage, une ceinture et une artillerie importante capable de se mesurer avec leurs congénères. Le probleme supplémentaire des USA et du Japon étaient les grandes distances dans le Pacifique, d’où l'autonomie.. 3° - Ensuite il est là pour réduire le poids du système sauf que sur les navires on n'est pas à 200kg près. Sur un tank c'est fondamental mais sur un navire c'est un pourcentage ridicule. Des allégements sont important tant d'affuts que par le fait que sur un croiseur de 8 canons de 155 mm (exemple que je possède dans mes notes), une tourelle supplémentaire de 2 canons auraient pu être installés. Pas en augmentation de calibre puisque limité par le traité. Par ailleurs, un problème jamais évoqué est l’asservissent (mécaniques puis par commande électro-mécanique) des tourelles qui est un casse tête également Ce n'est pas la partie la plus simple d'un cours d'électronique. Asservir des tourelles de 1500 tonnes ou plus avec des moments d'inertie considérable complique sérieusement le calcul de base du servomécanisme et la masse des systèmes (avec les fonctions de transfert en critères de Nyquist-Cauchy, réseaux correcteurs, les diagrammes constitutionnels et les mathématiques sur les transformées de Laplace et de Laplace -Carson).. J'ai personnellement chuté partiellement pour l’épreuve de servomécanisme lors de la présentation de mon mémoire d’ingénieur en électronique ou l'un des sujets portait sur l’asservissement d'une fraiseuse (machine-outil). Ces systèmes sont lourds et occupent des volumes pouvant être important sur un navire. 4° - Le frein de bouche génère aussi des perturbations qui nuisent à la trajectoire. Sur un canon AT à 2000m c'est pas trop grave mais sur un canon naval à 15km cela génère une dispersion démente. C'est la raison pour laquelle, afin d'éviter cette perturbation, que les canons pourvu d'un frein de bouche tire à haute vitesse initiale d'une part, permettant également une grande précision sur l'objectif, et, d'autre part, effectivement, une batterie d'artillerie dispose ses canons avec un espace de 15 à 25 mètres par exemple suivant le calibre. Pour le 105 mm d'appui feu en Algérie, c'était 25 m. L’allégement par frein de bouche peut-être important puisque pour le canon de 155 mm "Caesar" de l'armée Française il est monté sur un camion. Pascal à raison de dire que la proximité des canons d'une tourelle peut engendrer des sérieuses perturbations. Il suffit d'assister au tir d'un canon de prés (105 mm par exemple) et le souffle et la dépression (oreilles) sont est déjà conséquent. Sur un batiment, on diffuse au mieux les effets de recul qui sont diffusés vers la structure porteuse qui doit utilisé les charpentes renforcées et d'autres dont l'ensemble peuvent encaisser de tels recul. Ce qui limité le choix du calibre et du nombre de pièces.
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Merci pour vos réponses. Merci Rob1. J'ai omis d'afficher une figure concernant le frein de bouche. Merci Pascal. En effet, une bordée peut engendrer des flux de souffle latéraux et non dirigés de ce fait en totalité vers l'avant. Merci ARMEN56. Cette photo est "parlante" en soit.Le canon sans recul que vous avez affiché était appelé canon sans recul "Davis" par son créateur américain après la première guerre mondiale.Il fut donc créé tôt.
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Un complément sur l’artillerie et plus particulièrement le « Frein de bouche » Pourquoi aucune application navale de ce type n’est –elle pas utilisée ? La seconde guerre mondial à vue deux applications d’artillerie utilisées au combat. L’une est le Frein de bouche des canons et l’autre le canon sans recul. Il s’agit pour la première, d’une invention Française du colonel Treuille de Baulieu vers 1840. Partisan du tube rayé et du chargement de l’obus par la culasse, il eut l’idée de l’utilisation d’une partie des gaz comme masse reculant des gaz de poudre que des aubages redresseurs placées à la bouche du tube renvoyaient vers l’arrière. De 1918 à 1939, les fortes pressions et les tubes épais avaient la prédominance et le Frein de bouche à été lent à s’imposer d’autant qu’il est valable pour des vitesses initiales élevées (850 mètres par seconde pour donner une idée et qui diminue de 40% le recul) Les conservateurs ne voyaient pas l’intérêt de cette innovation du fait que le Frein hydraulique convenait bien pour limiter et stopper la masse importante du recul du canon sur son affut. L’un des gros avantages est la diminution du poids de l’affut qui subit des moindres efforts et permet donc d’en diminuer le poids. Nous pouvons discuter du problème des avantages et inconvénients si nous le désirons. Je possède les notes sur ce sujet. Tout au plus, il fut construit les canons de 20 mm Hispano en 1936 pour la chasse Française, puis Britannique ; les canons anti-char Français de 47 mm et la mitrailleuse anti-aérienne Soviétique de 13 mm entre autre. Note = Le canon sans recul est du principe que le poids de la charge par la vitesse sortant du tube est égal à la masse des gaz par leurs vitesse projeté vers l’arrière. Il y eut des applications avant et pendant la guerre avec – entre autre - un canon de 350 mm (Gerät 104) tirant sa charge (compensée par une masse égale de métal et de graisse éjectée par l’arrière) sous le ventre d’un bombardier. La question que je me pose encore aujourd’hui est pourquoi les freins de bouche ne sont-ils pas utilisés dans l’artillerie navale entre autre quand les navires Japonais montaient allégrement 10 canons de 203 mm tel la classe Atago de 7.100 tonnes , voire 15 canons de155 mm tel la classe des croiseurs de 8.500 tonnes « Mogami » quand même un peu chargés haut, c'est-à-dire avec un centre de gravité plus haut que la normale introduisant une instabilité plus élevée en cas de torpillage impliquant à coup sur la perte du bâtiment ? Cela est valable aussi pour les alliés quand on connait les problèmes de renforcement des ponts pour introduire des mortiers anti-sous-marins sur les ponts de petites unités d’escortes ou de commerces ! Une diminution du poids des affuts et des structures eussent été bienvenue me semble t-il ! Cela aurait permis outre l’allégement, mais également d’augmenter le calibre ou le nombre de canons sur une unité navale Tradition, impossibilité particulière ? Janmary
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Passionnant ARMEN56. Je recherchais depuis assez longtemps ces "camemberts" représentatif de l'équation de poids d'un batiment. Je note que le "Richelieu" (cuirassé) était à prés de 40% de poids en protection. Les croiseurs en fonction de leurs tonnages (globalement) de l'ordre de 21% (croiseur 1° classe Algérie), 17% (Croiseur 2° classe la Galissonnière,) et 12 % pour les unités plus légères ou l'aspect propulsion prenait l'essentiel du devis de poids avec prés de 40% (Croiseur léger MOGADOR) au profit de la vitesse.. Merci pour les références.
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Effectivement Rob1. Il peut y avoir erreur et confondre les deux qui sont deux systèmes différents. J'ai appelé abusivement les deux systèmes "Téléscripteurs"...parce que au départ, les nazis avaient utilisés le téléscripteur classique, bien incommode du fait d'utiliser Enigma ET le téléscripteur. Il n'y eu que des tests sur cette façon de procéder. "L'émission en rafale" ne fut jamais opérationnel à ma connaissance sur le sujet. Les essais repris après le conflit par les alliés ont montrés que la non détection n'était nullement assuré même avec ce dernier procédé.. Ne parlons pas d'aujourd'hui.