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Janmary

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Tout ce qui a été posté par Janmary

  1. Exact. Les équipages restaient éveillés durant 3 à 4 jours avec aucun repos pendant prés de 3 semaines et ont permis des avancées de jour comme de nuit de dizaines de kilomètres Comme les ordre étaient donnés par radio sans l'Armée Allemande - alors que dans l'Armée Française c'était par estafette et téléphone, nous avions toujours un temps de réaction très inappropriée. Facile à exprimer et à écrire des années plus tard, même si cela est vrai pour le généralissime Gamelin. L'armée Française et le soldat de base professionnel était très compétent- et Hitler l'a reconnue en taxant de meilleur soldat le militaire Français après le soldat Allemand)- mais entrainé sur une doctrine de 14-18 et non dans le cadre d'irruption d'un groupement de chars rapide. La manœuvre Nazie dans les Ardennes fut une offensive de prise en tenaille stratégique remarquable.Parlez en à vos grands-pères qui étaient dans les Ardennes et qui ont fait 14-18. La France avait épuisé ses budgets avec la ligne Maginot, avec la reconstruction d'une flotte de combat, avec une modernisation de l'Armée en tant que chars (plus lourd que les chars Allemands et voir à ce sujet le procès de RIOM) et de cavalerie avec chars léger et transport de troupes blindés). Tous pris dans la nasse Belge. L'aviation, après les Nationalisations des entreprises, doublèrent le nombre d'avions sortis de fabrication. Trop peu et surtout trop tard car le pleine production fut atteinte en Juin 1940 (Dewoitine entre autre). Plus de 800 victoires aérienne soit plus que lors de la bataille dite d'Angleterre. Les cadres dont vous cités l'inaction ont attendus les ordres après la rupture du front dans les Ardennes. Pas d'ordre et pour cause car ils sont arrivés plusieurs jours après (doctrine de 14-18, estafettes et téléphones).! Un seul responsable, le généralissime Gamelin qui refusa de voir la manœuvre Allemande et après la guerre guerre persista dans ses convictions.alors que l’aviation avait détecté et rapporté la traversée des Ardennes par le corps blindé Nazi. Que se serait-il passé avec une masse de 500 blindés eussent contre attaqués les Panzer Allemands sur leurs flancs avec le soutien COORDONNÉE de l'aviation et en étant resté sur leurs positions préparés et non d'aller en Belgique et d'étaler ses unités au long des routes ? En retard d'une guerre ! C'est le politique et le militaire subordonné qui en furent la cause principale (Je conseil de se pencher sur les décisions politique de la III° République qui est un élément fondamental de notre défaite en Mai 1940.). Voir les débats de l'Assemblée Nationale sur ce sujet. Il y a beaucoup à dire sur cette période et ce sont nos pères (ou grands-pères) qui ont payés le prix avec 5 années derrière les barbelé en Allemagne sans parler des civils qui ont portés un tribut sir les roues de France ('réfugies). Résultat lamentable !
  2. Pa toujours die kraft ! Pas toujours.! (Humour). Durant la guerre du Pacifique, la Marine, l'aviation, les Marines et l'infanterie avec la reprise des atolls et des iles furent leurs faits. Le débarquement de Saïpan fut exécuté le même mois que le débarquement de Normandie, le tout avec des moyens énormes. De même l'intervention contre l'Irak fut bien mené et ce fut le contingent américain qui fit l'essentiel du travail. Par contre, en Corée, au Vietnam, en Afghanistan, en Irak, cela n'a pas été tout seul, force est de le reconnaitre !
  3. Oui, je le pense. Il y a eu u duel entre ces deux hommes, Jean de Lattre de Tassigny dit le Roi Jean et Ho Chi Minh dit l'Oncke Ho Il faut reconnaitre que le général Français dès sa nomination en imposa par sa superbe en discipline, repris en main le corps expéditionnaire, et fit la première contre offensive avec napalm qui surpris le Vietminh (Vinh Binh je crois). Lucien Bodard 'dit le Chinois parce que né en Chine d'un père Consul) montra les limites quand même. Attaché auprès du Roi Jean, il vit que celui ci fit construire nombre de fortifications dans le Delta du Tonkin (bien inutile d'ailleurs car pas du tout étanche de par la population que se mouvait partout et surveillait de fait ces bastions), et n'alla pas chercher le Vietminh dans ses foyers et bases. Le pouvait-il d'ailleurs ? En avait-il les moyens ? Pas sur du tout ! Après le décès du Roi Jean, il était évident que la situation était irréversible quand au résultat final. D’où Navarre, se mette en situation de force, etc. Nous connaissons la suite ! En fait deux hommes ont vus clair dans le Jeu et le dispositif Viet. Le premier fut Leclerc qui comprit la situation de la France dans les colonies Françaises et lors de la reconquête du Sud, il compris le rôle de l’insurrection populaire. Il négocia avec Ho Chi Minh. Accepta un gouvernement Viet dans le cadre des Institutions Indochinoise. Sa garde personnelle était composée de moitié soldat su corps expéditionnaire, moitié Viet, etc. Il fut limogé par le Haut Commissaire Thierry d'Argenlieu, nouvellement nommé. Ho Chi Minh alla en France (invité par le gouvernement Français....qui n'avait plus de gouvernement quand il arriva das notre pays...et rentra faute de négociateurs après avoir vainement attendu. Que d'occasions ratés ! Le second fit le général Salan (lui aussi appelé le Chinois) du fait qu'il contra ombre d'offensives Vietminh par étude des comportements tactique de ce dernier. L'Histoire de ce pays est passionnant et le gouvernement Vietnamien regrette aujourd'hui que la France ne soit pas présente d’avantage dans l’économie et le Culturel . Les accords entre USA et ce pays se sont beaucoup développés. Pragmatique les Vietnamiens.!
  4. Je pense BCPs que le bétonnage n'aurait pas servi à grand chose réellement. Les Japonais, puis le Vietminh et le Nord Vietnam ont fait des "fortifications" ou plus exactement des "refuges" en profondeur efficace.En fait l’État-major n'a pas cru que le vietminh qui avait mobilisé la population fut capable d'avoir une artillerie conséquente en calibre et en nombre. Redoutable erreur, car les travaux de protection et/ou de fortifications n'étaient pas apte à protéger de cette artillerie et la contre-batterie inefficace du fait de tirs Vietminh à contre-pente. D’où la perte rapide des bastions tenus pourtant par la Légion ! A cette époque, j'avais 12 ans et nous écoutions la radio avec mon père. Nous étions stupéfait des éventements d'un petit pays qui semblait prendre le dessus sur une armée Européenne, descendante de Napoléon et de l'époque de la conquête avec Galliéni au Tonkin. Quand nous avons entendus que cette armée "populaire" tirait des orgues de Staline sur nos positions pour en terminer avec les combats, ce fut un monde qui 'écroulait ! La fin de l'Indochine, Mai 40, etc. Et l'Algérie débuta ! J'étais loin d'imaginer que je serais amener à servir - peu de temps - dans ce nouveau contexte !
  5. Oui, en effet ARPA. Le souci, dans le cadre d'un conflit de guerre asymétrique (Indochine, Vietnam, Algérie ou Afghanistan) c'est que les voies de communications logistique ne sont pas celles d'une guerre conventionnelle (avec chemin de fer, convois routiers, ponts, etc.) mais "diffuses", multiples et variées (comme la piste Ho Chi Minh en donne en exemple et qu'elle ne fut jamais coupée malgré des moyens colossaux aériens et même une offensive contre le Cambodge.. Ce fut l'un des enseignements du camp retranché de Na Sam, du reste. En théorie, l'expérience ne devait pas être renouvelée (général Gilles). Sans faire débat, pourquoi le général Cogny, commandant au Tonkin, fonça avec Diên Biên Phû ? Pour remercier le nouveau général, commandant en Chef, Navarre qui lui donna une promotion à son arrivée ? Pour se déchirer avec lui des les premiers revers dans la cuvette ! Le souci évoqué du sujet est que la cuvette était trop loin du rayon d'action des appuis feux aériens et le coté du temps entrainant des restrictions aériennes fut mal pris en compte. La base fut considérée comme offensive du fait de mettre un cavalier comme commandant et des chars en appuis (Capitaine Hervouët) avec de l'artillerie (Colonel Piroh dit le manchot du fait d'un bras handicapé). Nous pensions vaincre pour avoir des bases de négociations; Les archives de l'Assemblée National en font états. Pour couper les communications ennemies, il eut fallu d'autre moyens, assurément, que nous n'avions pas à cette époque. Une aéro-moblité plus importante aurait été un plus, certainement. C'est en Algérie que fut appliqué les enseignements des concepts propre à la guerre révolutionnaire (ou autre appellation, tel guérilla, asymétrique, etc.).
  6. Que vient faire cet officier avec des propos non injurieux ? Je viens de repasser le film en question. Il s’agit du film = « KOKODA, Jamais vaincus » (Sous entendus, les Australiens engagés dans ce combat) Un film de 1h30 réalisé et présenté par l’Historien Patrick Lindsay Avec des séquences filmées sur Rabaul et la base souterraine, la piste de Gona à Port-Moresby en passant par Kokoda, des séquences filmées d’époque et des auditions des survivants en particulier de 39° et 2/16° bataillon de la 21° Brigade (général Arnold Potts). Générique du film = C’est un lieu, un nom, une histoire qui ont marqué la mémoire collective Australienne. Retour, avec un long métrage documentaire, sur la campagne de la piste Kokoda qui a sauvé l’Australie en 1942, en pleine guerre du Pacifique. Lors de l’action contre 2500 Japonais sur Kokoda, les Australiens « collèrent » aux Japonais sur le terrain avec des reculs et des avances. Les Japonais furent battus et se retirent. Félicitations des officiers aux hommes fourbus. Passage en revue par le général Blamey inquiet des événements qui arrivait alors par avion. Loin de féliciter les survivants de ces combats très dur = « Il reprocha à ces derniers d’avoir été battus par des forces moins fortes et moins nombreuses » (Citation). Et il rajouta = « Ce n’est pas l’Homme au fusil qui se fait descendre, mai le lapin qui s’enfuit » (Citation toujours). Citation de l’ex-soldat Reg Newman du 2/16° bataillon lors de l’audition par l’Historien Patrick Lindsay = « Ce fut très dur de contrôler les troupes » - « Ca été quelque chose qu’un homme comme lui, qui n’était pas sur le terrain, qui ne savait pas qu’il s’y passait, est l’audace de critiquer. Nous étions amer, très amer ».- « Ce sont leurs supérieurs qui ont empêchés une émeute ». Citation de l’ex-soldat Phil Kemps du 2/14° Bataillon = « Si quelqu’un avait eu un fusil chargé, il serait mort sur le champs » Citation de l’Historien Patrick Lindsay = « Les hommes et les officiers n’ont jamais pardonné, eux qui étaient les survivants. Son nom était banni. » Voila. (Phrase retirée par Janmary). Ce sont les propose de ce général que nous évoquions au début du notre débat.(Texte modifié)..
  7. Pour une fois, Gibbs le Cajun,, je ne comprend pas. Pour moi, un homme - qui que ce soit - qui insulte (gratuitement de plus) des personnes, ses salariés, ses amis, sa famille, des soldats dont il a la charge, mérite à minima "Un pan sur le bec". Point. Maintenant si nous voulons rechercher d'avantage, les questions sont = Pourquoi ces hommes n'étaient pas entrainés ?. - Pourquoi certaine n'avaient -ils jamais tirés au fusil ? - Pourquoi aucune logistique d'hommes qui furent épaulés, soignés par les locaux (porteurs, guides, éclaireurs) ? - Pourquoi ? Il ne s'agit pas de salir un officier. Il s'agit de dire qu'il s'est comporté ce jour là comme un rustre. Il à eu son pendant, en la personne de de Lattre de Tassigny en Indochine. Mécontent, le "Roi Jean", lors d'une réception, avait copieusement insulté une femme enceinte à sa table du fait de son état (!!??) du fait qu'il avait eu une altercation avec le mari de cette dame quelques heures auparavant. Un rustre notre cher général ce jour là. Et pourtant ses compétences étaient là et il fut nommé Maréchal à titre posthume (Ouvrage de Lucien Bodard "La guerre d'Indochine" qui était à la table du Roi Jean et qui suivait ce dernier durant le conflit dans ce pays). Quel que soit la personne ou la personnalité, des erreurs d’interprétations, de jugements, de propos disproportionnés sont dites. Cela n’enlève rien a la valeur intrinsèque de l'individu. Mais le reconnaitre lui donne une valeur supplémentaire. Après "La guerre souterraine", je prépare un autre document relatif aux tirs artilleries à très longue portée (200 km) suivant des documents que je possède. Un peu de temps est nécessaire car je me remet que doucement de mon hospitalisation d'il y a 15 jours.
  8. Je comprend bien ton opinion Gibbs Le Cajun. C'est l'Amiral Nimitz qui à dit a ses subordonnées = "Quand on est aux commandes, on commande" Sous entendu, on prend ses responsabilités et on agit. Je pense que l'homme fut d'une parfaite pondération durant ce conflit du Pacifique. Quand Kokoda vit arriver par avion, une centaine d'Australiens portés a 200 hommes devant l'avance de 2.000 Japonais avec de l'artillerie tractée dans la jungle, personne n'a donné bien cher de la survie de ces hommes là. Contrairement à des Patton, Leclerc ou Mac Arthur, le général Blamey ne s'est pas rendu sur cette position critique pour rassurer, animer, encourager ses propres unités.Après la bataille , il critique de façon inapproprié avec ce qui ressemble à la limite du vomis. C'est cela que je refuse d'accepter. Parce que, sa responsabilité ne doit pas ce faire sur le dos de ceux qui ont sauvés une situation, Port-Moresby et peut-être l'Australie. J'ai été cadre supérieur et adjoint au chef de mon service (avec un salaire de cadre moyen d'ailleurs). J'ai pris des et mes responsabilités. Je me suis fais "allumé". Rien à dire. Je n’aie pas transféré sur ma secrétaire ou sur mon réseau de distribution. Au contraire.i J'ai salué leurs travail et leurs agissements. A l'identique, en Algérie, ce sont des Lieutenants et Capitaines avec un certain nombre de colonels qui ont faits le travail à la base. Un certain nombre venait d'Indochine.Je ne critique pas, mais force est de constater que lorsque une bande du FLN était encerclée par nos forces avec artillerie, préparation de l'aviation et c'est tout le monde qui voulait commander l'opération alors. Entre le secteur local, le secteur plus élevé et même le Préfet revendiquait le commandement ! Quand la bande (en général une Katiba / une compagnie) arrivait à se faufiler dans le dispositif et en sortir, c'est vraiment curieux le rejet des uns sur les autres. Pour en revenir à notre sujet,de la 2° guerre mondiale, Patton aussi fut mis sur la touche pour avoir giflé des soldats. Mais il se montra un meneur d'homme, de bagarreur. IL était un peu maudit par ses hommes parfois car il n'avait de cesse que d'avancer malgré l'épuisement d ces derniers, mais ces hommes l'admirait également et nombre de combattants blessés demandèrent à revenir à leurs ancienne unités au lieu d’être affectés ailleurs. Je ne crique pas la stratégie, la tactique, l'Homme (car je n'en possède pas les compétences) que fut le général Blamey, mais une façon d'avoir été injuste , une fois, envers ses hommes. Et l'injustice est certainement un événement qui ne passe pas chez les humains en général et qui "taraude" encore des années plus tard. C'est du moins ce que pensaient les "anciens qui s’exprimaient. Cordialement.
  9. Peu de discussion sur ces deux généraux en effet Rob1 En fait, la majeure partie des anciens vivants en Algérie, étaient dans les troupes coloniales..L'offensive de Nivelle et de Mangin ont contribuais à "casser" les coloniaux en terme de pertes et blessés. Certains (comme mon Grand-père paternel du reste, même très critique envers les généraux en général) reconnaissent en la personne de Pétain à Verdun; la rotation des effectifs, les relèves, les permissions et surtout la primauté de la défensive sur l’offensive à tout vent. Sur Joffre; un seul d'entre eux, professeur d'Histoire (au vue de mes notes) avait parlé de Lanrezac (lors de la bataille initial) et de Gallieni (avec les taxis de la Marne) contre l'avis de Joffre au départ pour prendre les Allemands de flan après leur pivot vers Paris. Heureusement que je tenais un cahier journalier, car j’aurais oublier certainement tout cela. Avec le temps, je me suis mis à étudier cette guerre , "pour savoir". car à cette époque, Lanrezac et Gallieni m'était inconnu.
  10. Les généraux de 14-18, de même de 39-45, quelque que soit l'armée Nationale dans laquelle ils servent sont souvent bien jugés par leurs propres troupes. Les anciens combattants de 14-18, globalement, traitaient les généraux de Bouchers hormis certains d'entre eux tel Gallieni, Lanrezac (qui vit tout de suite les intentions Allemande et fit pivoter son armée pour éviter d'être pris de flanc), Pétain,Etc. Mes sources sont ds conversations avec nombre d'entre eux en Algérie...qui nous rappelaient ce qu'ils avaient endurés et fait Ils ne fallait surtout pas leurs parler de Nivelle ou Mangin par contre ! J'ai connu dans ce même contexte, des Capitaines et Colonels soucieux de l'engagement de leurs bonhommes sous leurs ordre. D'autre qui en avaient rien à faire. Le bétail des appelés étaient à leurs dispositions. Je pense que pour le général Blamey, il en était de même. Il n'avait pas à insulter SES hommes qui avaient combattus en infériorité numérique (son discourt - traduit pour le téléfilm lui aurait mérité un désaveu car n'était pas celui d'un commandant n'ayant pas eu vraiment connaissance des conditions de combat de ses forces engagées ni l'état de la logistique). Ce sont bien des subordonnées qui ont pris de leurs propre initiatives des décisions judicieuses de dernier moment. Le général Mac Arthur, qui alternait les décisions brillantes (Débarquement d'Inchon en Corée par la suite; les sauts de puces du Pacifique Central) alternait avec les leçons à tout à chacun. Par de débarquement à Iwo Jima ou Okinawa trop défendus, (pour l'Amiral Nimitz) mais lui même c'est permis quelques débarquements hasardeux et lourd en pertes humaines (Peleliu par exemple). Il n'y a pas critique en soit.Mais nous devons aussi nous rappeler cela. Il y a des personnalités qui sont donneurs de leçons et qui se moquent totalement des efforts d'autrui pour remplir les missions. Et c'est vrai que la plupart des grands Chefs de 14-18 et certains autre en 19-45 n'ont pas versés dans la dentelle. C'est en ce sens que cela me choque et que je cite. Pour moi, bien de Grands Commandants d'Unités dans l'Histoire, sont à considérer avec des pincettes. C'est en ce sens que j'ai rapporté les propos de ce téléfilm. Tout simplement pour citer ce qui est devenu de l'Histoire aujourd'hui.
  11. Une émission de télévision à diffusée assez récemment (Chaine 121 et 122 d'Orange, Toute l'Histoire et Histoire) un documentaire assez complet sur la bataille de la piste de Kokoda Combat entre Japonais et Australien peu entrainé, peu nombreux, peu armé; et aucune expérience du combat. Ineffable général Blamey., après la bataille - gagnée de justesse, mais gagnée, insulta littéralement ses troupes lors d'une revue après les combats. Rage des combattants qui voulurent lui faire un sort séance tenante. Bref un général qui se moquait ouvertement de ses subordonnées et de ses troupes. Il faut dire qu'il était sous le commencement du général Mac' Arthue. Le même Mac'Arhur et le même général Blamey.peu après récidivèrent du fait que Buna n'était pas prise en assaut frontal comme prévu. Un colonel sur le terrain décida d’attaquer par un crochet sur le flan et prit Buna. Mépris ou contrariété des deux généraux, ce colonel fut ignoré. Comment osait-il prendre une position autrement que par les ordres qu'il avait reçu ? Il y a des réputations qui sentent le grillé et bien sulfureuse !
  12. Oui, en effet, c'est très exact. Hitler à été nommé Chancelier par le Président Hindenburg (fortement conseillé par le Directeur de la Banque Allemande et futur Ministre de l'économie et d'autre appuis tel certains industriels.. Mussolini fut nommé parle Roi d'Italie.
  13. Je me permet une petite intervention sur ce sujet dramatique en comparant avec les événements de Mai 1968 auquel j'ai participé (j'avais 26 ans). La gréve était vraiment total. Nous occupions nos établissements (et y dormions par roulement) et j'avais acheté un vélo pour me rendre sur les lieux d'occupations des locaux de mon entreprise car l'essence manquait, les stations étant fermées. Le analystes et économistes étaient unanimes ! Nous n'allions pas nous en remettre. Il était temps que le conflit s’arrête effectivement (les denrées commençaient à manquer dans les magasins). Un accord salarial - entre autre - qui fut englouti par la suite dans la reprise économique A la la fin du mois, notre bulletin de salaire indiquait "Zéro Franc" ! Pour une fois, les syndicats se firent muets et les gens se mirent au travail de façon débridée (dont mon service.de réalisations de réseaux de télécommunications analogique, numérique et par paquets, entre autre). Les résultats de l'année économique avaient été partiellement rattrapées ! Il est sur, que la contamination par le coronavirus es d'une tout autre ampleur et sa durée bien plus longue avec des désastres plus profond. Je pense - de façon raisonnable - que le travail des salariés à 40 heures par exemple, pour un temps, pourrait - partiellement - compenser une partie des pertes subies sur les plans salariaux, de production, et des chiffres d'affaires. Mais rien n'est gagné compte tenu de l'incertitude de événements et de la propagation de cette nuisance extrême qu'est le Covid-19. Note (hors sujet) = 1968 a apporté au départ "Il est interdit d'interdire". Chaque corporation a eu ses avantages. Plus d'uniforme dans la rue de la Police hors travail, des jeunes militaires pendant leurs services militaires, Etc.Etc.
  14. Pour échapper aux coups, il faut échapper à la vue. Depuis des temps immémoriaux et face aux invasions, les populations n’ont eu de cesse que de se protéger dans des grottes, des tunnels naturels ou creusés avec de l’alimentation et de l’eau pour tenir durant un temps maximum contre les exactions de toutes natures. Par la suite, ce fut également un refuge militaire pour la sauvegarde des troupes et des bases de contre-attaque. L’Histoire abonde de ces opérations de protection des populations et de combats. Au Moyen-âge en Cappadoce, en France, en Algérie, au Vietnam, en Afghanistan, en Palestine et au Liban, cette façon de combattre s’est souvent traduit par la mise en échec de l’ennemi malgré sa supériorité technologique écrasante. 1° - Un ouvrage que je conseille fut édité par deux frères qui ont planchés et recherchés longtemps sur ce sujet. Cet ouvrage historique qui étudie s’est arrêté aux confins de la seconde guerre mondiale. Donc la guerre Sino-japonaise, la guerre du Pacifique, la guerre de Corée, la guerre du Vietnam (sauf la guerre du Liban et de la Palestine pour contourner les blocus) n’y figure pas. La guerre souterraine – Sous terre, on se bat aussi Par Jérôme et Laurent Triolet - Chez Perrin 2011 2° - J’avais entendu parler des tunnels de Cu-Chi au Vietnam. J’ai eu loisir de visiter ce pays avec un ami né en Indochine pendant prés d’un mois pour visiter ces contextes entre autre (Voir ci-dessous). Un ouvrage à été édité sur ce sujet. Les tunnels de Cu Chi - L'incroyable histoire de la guerre souterraine au Vietnam Par John Penycate et Tom Mangold - Chez Albin Michel 1986 3° - J’avais évoqué par ailleurs les tunnels Nord-Coréen durant la guerre de Corée lors de mes déplacements professionnels aux USA avec d’anciens combattants du Vietnam et de Corée de mon groupe dans lequel je travaillais (Litton Ptecision Product Inc.). Puis j’ai acquis un ouvrage concernant ces tunnels par un journalise connu qui traversa , avant la seconde mondiale, l’URSS par le Transsibérien, resta en Poste à Tokyo durant le second conflit mondiale et suivi par la suite la Guerre de Corée (Voir ci-dessous). Il écrivit un ouvrage sur ce sujet et d’autres (Voir ci-dessous). Orient Extrême - Par Robert Guillain - Chez Le Seuil 1986 4° - J’avais posté – ici même - dans le sujet « La guerre de Corée », ces éléments ci-dessous rapportés pour l’essentiel. J’avais été contesté par un internaute sur ces affirmations de tunnels à 60 mètres de profondeurs en Corée. J’ai retrouvé sur un de mes Disque durs amovible, le texte Francisé du texte américain de plusieurs conflits avec l’utilisation des tunnels. La traduction fut faite par le système de traduction automatique. Il donne des informations sur la longueur des tunnels, des profondeurs et des volumes de la terre déplacée. J’ajoute donc ces nouvelles données à ce file. 5° - Un point sur la guerre du Pacifique. Le général Mac Arthur avait décidé d’isoler, puis de prendre la formidable base Japonaise de RABAUL (Ex-possession allemande comme la Nouvelle Guinée dont la prononciation est RA-BA-AUL). Impossible. Un document récent paru à la télévision sur les Chaines « Histoire » et « Toute l’Histoire » nous ont fait visiter ce contexte souterrain. 100.000 soldats Nippons se sont réfugiés dans ces labyrinthes creusés par eux même. Pas étonnant que l’aviation et l’aéronavale US n’ait pas pu les déloger. 6° - CHINE et VIETNAM Je suis allé près d'un mois au Vietnam (voyage parmi la population, donc peu onéreux avec un groupe d'amis) et malheureusement pas en Chine ou j'aurais aimé aller au Yunnan (fief des Tigres Volants en Chine durent le second conflit mondial par le petit chemin de fer en voie de 60 cm construit par les Français qui relie Hanoï à Kumming et qui n'existe plus.(Lors de la saison chaude, les résidents de Hanoï allaient au Yunnan, sur les hauts plateaux, pour "respirer". Sacré voyage !). Les techniques de combat ancestrales développées par la Chine furent employés par les forces communistes de la chine du Nord contre les Japonais, par utilisation de tunnels de villages en villages, grottes et salles en sous-sol pour la protection des villages, techniques d'embuscades dans ces labyrinthes, Etc.Etc. Les forces communistes ont survécus malgré des pertes dues aux différences d'armements entre ces derniers et les Japonais. Outre le fait d'avoir inventé la boussole, la poudre, les Chinois (et les Vietnamiens pour se protéger de son grand voisin) ont mis au point dès cette époque - donc ancestrale - des techniques de défense avec bambous acérés pour empaler dans des trous les pieds des "étrangers" (toujours valable au Vietnam avec les américains) et des herses dans la forêt ou jungle. Un proverbe vietnamien dit, du reste, "L'autorité de l'Empereur s’arrête à la herse de bambous du village" Les techniques de guérilla en Chine et au Vietnam furent mises au point dès cette époque contre les envahisseurs de tout poils et utilisés encore aujourd'hui (Corée, Vietnam, etc.) En Chine, avant le second conflit mondial, c'est un allemand, le général Alexander von Falkenhausen, conseiller militaire du général Chiang Kaï-Shek (Avant que ce fut le général Claire Lee Chenault avec ses « Figres Volants ») qui remis la guérilla à l'honneur en Chine contre les forces Japonaises sur une grande échelle au point que les Japonais demandèrent aux autorités allemandes de la relever de son poste et de le faire repartir en Allemagne (en 1937) au vue des dégâts commis par les Forces Nationalistes de la guérilla envers des divisions entières japonaises (s'il vous plait) "L'Empire du Milieu" à de solides bases ancestrales en matière de combats et qui ont évolués que dans le sens de l'armement malgré une modernisation des autres vecteurs de l'armement (nucléaire, missiles, etc.). Dans la Chine du Nord, Les Japonais combattirent contre les forces Chinoise dans les tunnels. Lors des bombardements massifs américains sur le Nord-Vietnam, les habitants des villages trouvaient refuge dans les sapes en profondeurs reliées entre elles. La France à utilisé au cours des siècles, la protection souterraine par tunnels, grottes, etc. Un ouvrage récent est à lire et étudier en ce sens pour les passionnés. -La guerre souterraine – Sous terre, on se bat aussi Par Jérôme et Laurent Triolet - Chez Perrin 2011 Un autre ouvrage a également était édité sur les tunnels de "Cu Chi" que je n'avais pas en partant au Vietnam mais j'ai retrouvé les photos des entrés des tunnels qui sont "visitables" par les occidentaux. Ces tunnels, prés de Saigon, jusqu'à 40 mètres de profondeur – limité par les nappes d’eau plus en profondeur – avait une « garnison » égale à une division. Au dessus d’eux, une division d’infanterie américaine ! Les tunnels de Cu Chi - L'incroyable histoire de la guerre souterraine au Vietnam Par John Penycate et Tom Mangold - Chez Albin Michel 1986 LA PREMIÈRE ÉTUDE APRÈS GUERRE FUT LA CORÉE 1950 = Attaque Nord Coréenne en Corée du Sud. Les forces US et ROK (Republic Of Korea ou Corée de sud) se retrouvèrent dans le sud, dans le réduit de Fusan. Guerre perdue ? Le général MacArthur, organise après la retraite sur Pusan, en bas de la péninsule, le débarquement à Inchon, au niveau de Séoul, du corps amphibie US avec la « First of Marines » (1° de Marines) – et une division d’infanterie - dont tous les militaires avaient combattus dans les iles du Pacifique (Tarawa, Peleliu, Eniwetok, Saipan, Iwo-Jima, Okinawa, etc.) et rappelé sous les drapeaux. Gros succès du débarquement et offensive générale américaine et ROK qui arrive presque au Yalu à la frontière Chinoise. Formidable contre offensive Chinoise (400.000 hommes portés à 1 million d’hommes pour la suite pour «libérer » la péninsule) La 1° Division de Marine est encerclée au réservoir de Chosin par des températures Sibériennes. Citation célèbre de son chef, le major-général Edward Almond « Nous ne battons pas en retraite, nous attaquons dans une autre direction ». Rembarquement sur les navires de la flotte à Wonsan après avoir percé les lignes chinoises. L’aviation américaine fait un massacre. Le front se stabilise à la ligne entre les deux Corées sur le 38° parallèle. Offensive de part et d’autres. Toujours autour du 38° parallèle. De guerre lasse, négociations à Panmunjun sur la ligne du 38° parallèle de 1945. D’un coté, les officiers généraux américains et de l’autre les artistes de la rouerie. Et l’on amuse la planète, et c’est la guerre psychologique, bref, il reste les BON chinois et Nord Coréens et les « CRIMINELS » américains ! Et de reprendre les armes ! Seulement là, problème ! Les Chinois et Nord-Coréens s’étaient enterrés ! Dans le sol et dans la montagne à plus de 60 mètres (source de mes collègues américains) de profondeurs avec des cavernes pour des trains de ravitaillement. Impossible de prendre seulement une de ces montagnes ! Obus de 406 (1 tonne) des cuirassés de la Marine (le célèbre « Missouri » sur lequel avait été signée la capitulation Japonaise), bombe de 250, 500 et 1000 kg, napalm à profusion. Rien n’y fit. Les offensives se soldaient par des milliers de morts sans rien apporter. Les noms de ces montagnes sont connus = La crête sanglante, le hachoir à viande, etc. La situation se figea et c’est à la mort de Staline – 1953 - que l’armistice fut rapidement signé ! 1° - LA GUERRE DE CORÉE Par Robert Leckie (Ancien Marine de la 1° Division de Marines du Pacifique et de Corée). - Robert Laffont 1963 (Écrivain et Journaliste d’investigation). Aujourd’hui, le livre et les mémoires de Robert Leckie font l’objet d’une série (Band of Brothers) « L’enfer du Pacifique » sous le titre original de « The Pacific » chez Warner DVD Club.com et qui vient de repasser à la télévision. 2° - Orient Extrême - Par Robert Guillain - Chez Le Seuil 1986 Ou l’auteur, journaliste, fit le voyage du Transsibérien en 1937, couvrit la guerre Sino-Japonaise à Shanghai en 1937-1938, se trouva bloqué au Japon pendant toute la seconde guerre mondiale, objet de livre remarquable. « La guerre au Japon », chez Stock) 1979, et réédité sous le titre « J’ai vu bruler Tokyo », chez Arléa 1990), « La Corée 1951-1953 », « Diên Biên Phû » 1954, etc. Il écrivit, concernant la Corée « La grande surprise pour les alliés à été de découvrir le fabuleux réseau des fortifications souterraines de l’adversaire [...].En surface la tranchée est peu profonde, mais on y découvre un puits étroit, on y descend et on se trouve dans un « métro » avec galeries interminables, salles souterraines, logements, soutes à munitions ou à réserves, garages de camions ou même de locomotives, silos pour pièces d’artillerie »..... Le tout, sous la montagne et les ponts sous la surface de l’eau comme au Vietnam par la suite. COMPLÉMENT = DOCUMENT US (TRADUCTION AUTOMATIQUE) CONCERNANT LES TUNNELS SOUS TERRAIN SINO - NORD-COREEN. Subtitle 4: guerre de Corée Sur la péninsule coréenne de la guerre souterraine a atteint une échelle massive. De l'expérience dans la Seconde Guerre mondiale aux États-Unis avait compté sur l'aviation. Forces nord-coréennes avaient subi de lourdes pertes de frappes aériennes qui les ont contraints de construire des abris souterrains. Initialement fortifications souterraines ont été construites de façon indépendante par des unités individuelles et leur placement était chaotique. Par la suite fortifications souterraines ont été réunis en un seul système. L'ampleur de la guerre souterraine est attestée par les faits suivants. La longueur de l'avant était de 250 kilomètres tandis que la longueur des tunnels souterrains était de 500 kilomètres. Donc, pour chaque kilomètre de l'avant, il y avait deux kilomètres de tunnels souterrains. Un total de 2.000.000 mètres cubes de roche ont été extraits. La Corée du Nord a développé une théorie de la guerre souterraine. Manpower, entrepôts et de petit calibre des canons ont été complètement logés souterrain qui les rend moins vulnérables aux frappes aériennes et d'artillerie. Sur la surface de fausses cibles (bunkers...tranchées et des entrées de leurre au système de tunnel) qui a rendu difficile la détection de véritables cibles américaines forçant les forces de gaspiller des munitions. Directement sous la surface des casernes spacieuses ont été construites, permettant des unités entières à être rapidement ramenées à la surface pour un court laps de temps et aussi rapidement retournés à l'abri souterrain. La Corée du Nord a même créé des abris souterrains pour l'artillerie. Pendant les bombardements d'artillerie a été roulé dans des bunkers situés à l'intérieur des montagnes. Quand une accalmie est venu les canons ont été annulées sur une zone spéciale devant le bunker. Quelques obus ont été tirés et les canons révulsés dans le bunker à nouveau. Contrairement à d'autres exemples de la guerre souterraine troupes nord-coréennes ne pas seulement rester dans les tunnels. forces nord-coréennes avaient trouvé refuge dans les tunnels du bombardement et des bombardements et des États-Unis en attente d'attaque à la baïonnette. Lorsque les forces américaines ont atteint le sol dans la zone des tunnels, choisi unités nord-coréens émergeraient de se livrer à la main-à-main en profitant de leur supériorité numérique. Actuellement la stratégie nord-coréenne est de construire autant installations souterraines que possible pour l'usage militaire dans le cas d'une attaque des États-Unis. La profondeur des installations souterraines atteint 80 à 100 mètres qui les rendent difficiles à détruire, même avec l'utilisation d'armes nucléaires tactiques. Dans la guerre de Corée la tactique de la guerre du tunnel a été employée par les forces chinoises elles-mêmes. "La station chinoise à la guerre du tunnel, et les pertes dévastatrices aux soldats américains, ont conduit à la fermeture des tunnels entrées par Commandement des Nations Unies. Selon prisonnier plus tard des interrogatoires de guerre, les officiers chinois avaient tué un certain nombre de leurs propres soldats dans les tunnels, parce que ce dernier avait voulu creuser leur chemin et se rendre au commandement des Nations Unies ». Janmary Note = D’autres document de ce type disponible sur d’autre conflits disponible. Il s’agit d’une présentation courte sur ce sujet qui est toujours d’actualité et reste des plus importants.
  15. Janmary

    Conflits méconnus

    Je me souviens de ces événements. Je ne possède pas de sources particulière sur ce sujet.. A l'époque, à la télévision, il y avait eu un reportage filmé (il n'y avait qu'une seule chaine de télévision en ce temps là) sur les "incidents de frontière" entre URSS et Chine. Document Soviétique à priori. On y voyait des troupes Soviétique, calme, en ligne, opposées à des soldats Chinois, un peu excité, agitant le livre Rouge de Mao. Impressionnant. J’espère de ne pas me tromper d'année. Cela avait été frappant de voir ces événements filmés.C'était étonnant aussi de voir deux "Pays frères" se "chicaner" ainsi, officiellement pour des problèmes de frontière, en fait, pour des divergences politique de fond. C'est un peu une constante que de provoquer des incidents pour diverses raisons tant de l'URSS (Blocage de Berlin pour protester contre l'introduction d'une nouvelle monnaie dans le secteur occidental et pont aérien des alliés en 1949, mur de Berlin pour protéger des évasions de personnes etc.), que de la Chine (Les Quesmoy et les Matsu appartenant à Taïwan qui sont situées prés du littoral de la Chine continentale). Encoure aujourd’hui, la France vient d'avoir un souci avec la Chine par des insultes dans un journal Chinois.L'Ambassadeur Chinois convoqué par notre Ministre des Affaires Transgenres. Le cause, en fait, est la demande de plusieurs parlementaires Français de demander que Taïwan soit intégré à l'OMS. Pour la Chine, Taïwan c'est une partie de territoire. On ne touche pas. Donc, action anti-Française.
  16. En effet, les archives principales se trouvent à Coblence. Mes excuses. A Cologne , se sont des archives particulières sur certaines sources si mes souvenirs sont exacts.
  17. Il y a le Musée - toujours en Allemagne - de l’aéronautique de Munich qui ont conservés nombre d'appareils de la seconde guerre mondiale. Merci pour le site des archives Allemandes. Je crois - sans certitude - que les archives relatives à ces sujets sont à Cologne.
  18. Absolument d'accord avec toi cracou.et avec les autre intervenants. Il y a de la débilité dans l'air ! Ce n'est pas compliqué de monter quelques étages à pieds, de rester chez soit et sur son balcons quand on en possède un.. De prendre un petit chiffon imbibé d'eau de javel pour nettoyer au préalable la barre du caddie lors de nos courses, etc. Dans notre cage d'escalier, deux dames remplacent la femme de ménage et désinfecte tout les jours le digicode, poignées de partes, mains courantes de la cage d'escalier ET nous lavons les mains au savon de Marseille (conseillé par un professeur en biologie de l'Université de Tours). Nous avons même un petit commerce fermé (couturière avec son mari infirmier) qui s'est mise a fabriquer des masques en tissus répondant aux besoins autre que médicaux, du type que ceux qui vont être mis en circulation à venir. Nous avons déjà reçu ce nouveau masque par notre infirmière qui nous suit sur le plan du cabinet médical, nous les cardiaques, ou diabétiques, etc. Infirmière qui à institué des groupes de marche pour le moment supprimé. Le résultat global est qu'il a peu de cas en Touraine. Nos hôpitaux sont "réquisitionnés" et nos hospitalisations (mon cas) dont déportés en Mai...peut-être. Bon courage à tous et portez vous bien !
  19. Un petit rajout en ra pellant que le canon de 47 mm Français fut l'un des meilleurs anti-chars de cette époque,, omis l e 75 mm bien sur. Il fut vendu à la Tchécoslovaquie tardivement. C'est une autre histoire que de le monter sur les chars alors en service dont le canon de 37 mm (poids, affut) convenait mieux, effetivement Benoitleg.. A cette même époque, nous avions créé les obus en sous-calibrage pour faire face au canon conique de 28/20 mm Gerlach Allemand. Deux types qui furent employés par l'armée allemande par la suite. Le premier fut le 105/88 mm et le second le 75 (?) mm. L'avantage était d'augmenter de façon très significative la vitesse initiale et donc la portée et la pénétration des l'obus dans des blindages plus importants. En gros, l'obus était d'un calibre donné (par exemple 105 mm) avec soit une enveloppe entre 88 et 105 mm qui s’éjectait à la sortie fi tube, soir des ergots maintenant le calibre de 105 mm dans le tube pendant le tir. La pression s'appliquait au final sur l'obus "vrai" de 88 mm alors que la détonation été celui d'un obus de 105 mm. Certains chars Français avaient des flans latéraux inclinés qui étaient bien pensés.
  20. Janmary

    Guerre du Vietnam

    Je viens de retrouver les propos de Henry Kissenger, secrétaire d’État Américain sur la guerre du Vietnam = Nous avons mené une guerre militaire, Nos adversaires ont menés une guerre politique, Nous avons recherchés l’usure physique, Nos adversaires ont recherchés notre épuisement psychologique, Du coup, nous avons oubliés la maxime fondamentale de la guérilla, La guérilla gagne si elle ne perd pas, L’armée conventionnelle perd si elle ne gagne pas. 1° - Cela peut être appliqué à toutes les guerres non conventionnelles, asymétriques, révolutionnaires ou d’indépendance comme l’on veut. L’Indochine et l’Algérie furent dans ce cas. 2° - Peut-être que le Secrétaire d’Etat à oublié une autre maxime, Française celle là = Les militaires veulent gagner la guerre. Les politiques se doivent de gagner la Paix. Faute de l’avoir un peu oublié, le traité de Versailles de 1920 à engendré un autre conflit mondial à venir. L’humiliation, la vengeance, les territoires perdus en furent la base.
  21. Oui, c'est vrai Deres. Je pense que des enlèvements par ballons eussent été possible dès 1942/1945. Après tout, il avait été testé un avion accroché sous un dirigeable pour combattre et assurer la défense de ce dernier et se raccrocher. Le système des deux avions superposés Britanniques ou l'un portant l'autre afin d'avoir une grande autonomie de l'appareil plus petit qui se décrochait pour terminer sa course. Les idées ne manquaient pas. Les USA avaient des DC3 (C-47) et des planeurs (Waco) pour les charges non parachutable (Jeep, Canons, et des hommes ) et c'était bien pratique (oui, enfin, avec les risques insérant de se faire abattre par la DCA ou de se brisaient en arrivant au sol) pour se poser avec tout cela. Les Britanniques avaient mis au point les "Horsa" plus important que les Waco (personnels ou canons, Jeep) et les "Hamilcar" qui transportaient des chars légers. Les Britanniques avaient parachutés des Jeep en Bretagne lors du débarquement de Normandie par des bombardiers "Hallifax" dont le matériel était logés en soute. En particulier pour les SAS Français du colonel Bourgoin. Ce dernier conflit à vue bien des avancées dans tout les domaines. L'aéronautique et le spatial on continué dans la lancée. Je viens de trouver le lien suivant sur Internet avec les photographies en question...et le texte. Mon document datait de 1947.= http://claudel.dopp.free.fr/Les_planeurs/Histoire/Remorque-avion-en-vol/Remorque-avion-en-vol.htm
  22. Ci-dessous l e texte transcrit de façon intégral et mot pour mot.. Les deux petites photographies ne figurent pas. LA PRISE EN REMORQUE D’UN PLANEUR PAR UN AVION EN VOL. La guerre dans les jungles de Birmanie et des iles du Pacifique, ou bien souvent, aucun aérodrome ne pouvait être aménagé et ou pourtant l’envoi de renfort, de ravitaillement et l’évacuation des troupes se faisait par la voie des airs a exigé de l’avion des taches tout à fait extraordinaire entrainant parfois des manœuvres acrobatiques. L’une d’entre elles est maintenant de pratique courante : c’est la prise en remorque de planeurs par un avion en vol. Cette opération permet l’évacuation des blessés par la voie des airs, là ou un avion ne pourrait pas se poser ni décoller de nouveau. Les photographies ci-dessous représentent la capture d’un planeur Waco « Adrian II » par un avion de transport « Dakota » dans un camp d’entrainement Anglais. Photos = La capture du câble de remorquage d’un planeur Waco « Adrian II par un avion de transport Douglas « Dakota ». En haut = l’avion arrive en passant à coté du planeur. En bas = La boucle qui termine le câble de remorquage est saisie par le crochet qui l’attellera à l’avion. Les deux problèmes qu’il faut résoudre dans la prise en remarque sont l’accrochage du câble de remorquage avec le câble de capture, et, d’autre port, la répartition de l’accélération nécessaire au décollage du planeur sur une période de temps suffisante, faute de quoi il se produirait un véritable choc qui pourrait rompre le câble ou provoquer des accidents dont seraient victimes soit le planeur, soit l’avion remorqueur, par suite d’une brusque perte de vitesse. La solution du premier problème ne représentait pas de difficultés : la capture au vol de certaines charges, en particulier du courrier, est de pratiques courante dans l’aviation commerciale. Le remorquage du « Waco » s’effectue à l’aide d’une corde en nylon (qui possède une certaine élasticité) de 70 m de longueur. A l’extrémité de cette corde se trouve se trouve une boucle triangulaire dont on accroche deux sommets à l’extrémité de deux poteaux de 4 m de hauteur et distants de 7 m environ. Cette boucle sera saisie par l’avion remorqueur son passage. Le dispositif de capture installé à bord du « Dakota » pèse un total de 590 kg. Il comprend un câble d’acier de 350 m de longueur enroulé sur un tambour freiné à l’extrémité duquel se trouve un crochet qui saisira la boucle du planeur. Pour la capture du planeur, ce câble d’acier est légèrement déroulé, et le crochet est guidé par un bras articulé éclipsa blé placé au dessous de l’avion. Apres accrochage de la boucle par le crochet, l’effort de traction qui s’exerce sur les deux câbles provoque le déroulement du câble d’acier. Ainsi le choc qui se produirait si l’attelage était rigide se trouve amoindri et le planeur est progressivement accéléré. Le Douglas « Dakota » est un avion de 16,5 tonnes en plaine charge, muni de deux moteurs de 1200ch. Le planeur Waco « Adrian II » pèse 3600 kg. La vitesse à laquelle vole normalement le « Dakota » au moment de la prise en remorque est de 160 à 200 km/h, mais le Waco décolle à partir de 115 km/h. Le décollage s’effectue en 70 m environ. Dans ces conditions, si l’on admet que le mouvement du planeur est uniformément accéléré, l’accélération est de l’ordre de 6m/s et la traction exercée sur le câble serait de l’ordre de 2200 kg, compte non tenu du freinage exercé par le sol sur le planeur. De toute façon, cette traction ne dépasse pas normalement 3000 kg. Le câble d’acier est ensuite est ensuite enroulé de nouveau sur son tambour grâce à un petit moteur de 2,5 ch. Des sécurités sont prévues pour le cas ou, pour une cause quelconque, un des deux appareils se trouverait en difficulté. Le câble en nylon présente en effet un point faible dont la rupture se produit quand la traction vient à dépasser la valeur de 7 tonnes. Enfin, il est possible de couper instantanément le câble d’acier à l’aide d’une petite charge d’explosif dont on commande la détonation si le tambour vient à fonctionner de façon défectueuse. Je viens de trouver le lien suivant sur Internet avec les photographies en question...et le texte. Mon document datait de 1947.= http://claudel.dopp.free.fr/Les_planeurs/Histoire/Remorque-avion-en-vol/Remorque-avion-en-vol.htm
  23. Bonjour ARPA Pour information, la poste aérienne aux USA, entre les deux guerres mondiale, utilisait cette technique pour qu’un aéronef puisse prendre le courrier sans se poser. Peu de documents disponibles, même aux ÉDITIONS TIME LIFE, le volume consacré à LA POSTE AÉRIENNE, Chapitre LES POSTIERS VOLANTS AMÉRICAIN, évoque juste je fait, sans photos que l’on peut trouver ici ou là dans une revue dédiée à cette époque. J'ai dû voir une fois ou deux cette photo. Par contre, un film relatif à un opération des "Chindits" en Birmanie, à savoir "Objecticve Burma" (Objectif Birmanie) sous le titre Français d' "Aventure en Birmanie" avec Errol Flynn, montre des parachutages (venant assister un commando qui vient de réussir sa mission ,d'une part, et, d'autre part, ces parachutistes vont participer à une offensive), l’atterrissage de planeurs Waco avec du matériel (Jeep, canons) et la prise d'un de ses planeurs par un C-47 par la méthode du "crochetage" avec le "commando qui sera ainsi acheminer sur sa base arrière. Les séquences sont visiblement prises lors de manœuvre ou par un cinéaste des armées de l'époque. Le film est disponible en DVD chez Warner Home Video. Ne pouvant plus scanner (malheureusement) le document et l'afficher directement sur le forum je vais rapidement réécrire le texte comme je le fait parfois. Je fais au plus vite. Cordialement.
  24. https://fr.wikipedia.org/wiki/Douglas_C-47_Skytrain On peut dire que le C-47 fut la bête de somme du transport aérien US et des parachutages massifs (avec planeurs remorqués également du type "Waco CG4-A") tant en Europe (Sicile, Normandie, passage du Rhin) que dans le Pacifique et en Birmanie, sans parler du pont aérien de "la bosse" entre Birmanie et Chine au dessus de l’Himalaya, etc.. Il est à noter que lors de la campagne des "Chindits" en Birmanie qui furent transportés sur le champs de bataille par C-47 Dakota, ces derniers avaient deux planeurs Waco à tirer....avec quelques soucis. C'est également des "Waco" (en général chargé de blessés) qui furent arrachés du sol par des C-47 Dakota à l'aide d'un crochet de queue qui "crochetait" une boucle du câble de remorquage montée sur deux pylônes au sol. (J'ai un document complet sur ce sujet si vous désirez des précisions). https://fr.wikipedia.org/wiki/Waco_CG-4 Les Britanniques ont reçus de nombreux DC-3 des USA qui furent appelés "Dakota". Les planeurs Anglais (du Type "Horsa" de forte capacité avec 28 hommes, avec jeep et moins d'hommes transportés, un canon, etc.) étaient tirés par des avions ex-bombardiers convertis pour cette tache. Mais ce ne fut ps systématiquement le cas .Les Short "Stirling" , les Handley Page "Halifax" ,furent utilisés; https://fr.wikipedia.org/wiki/Airspeed_AS.51_Horsa https://fr.wikipedia.org/wiki/Douglas_C-47_Skytrain Les sources sont assez nombreuses. On peut citer entre autre = 1° -D-Day Gliders - Les planeurs américains du Jour J - par Philippe Esvelin - Chez Heimdal 2001 (En Français et Anglais). - 2° - Le DAKOTA - Jasques Borgé et Nicolas Viasnoff - Editions E.P.A 1980 (L'Histoire du DC-3 de sa conception jusqu'aux années 1970 quand à son utilisation). Je connais mal les sous-marins de cette époque. Merci pour toutes ces informations.
  25. Oui, Rob1. Je souscris. A ma connaissance, les Curtiss C-46A "Commado" furent utilises les derniers mois du conflit en Europe. Ils furent utilisés entre autre pour le rapatriement des prisonniers de guerre de concert avec les C-47. Les Douglas C-54A "Skymaster" furent utilisés essentiellement sur le réseau ATC américain, c'est à dire les liaisons transatlantique et Pacifique pour le transport fret et passagers. Oui, de nombreux parachutages d'armes - entre autre aux maquis - furent effectués par des bombardiers dont au Vercors.effectivement.
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