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Tout ce qui a été posté par Bon Plan
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oups ! D..... corrigé !
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Putain => P***in => Pin CQFD. Pin (voir précédent post).... t'es devenu une vraie star !
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Donc engin moyen capable non pas d'encaisser un 120mm ou un Hellfire, mais un engin moyen qu'une automitrailleuse bête et con ne pourra pas dégommer à coup de 40mm. Plus j'y pense plus j'imagine un engin moyen de la classe des 40t sur roues.
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Il n'y a pas la place pour un 40mm CTA ou pas en coaxial. En coupole? ca fait une sacrée coupole ! et tu mets encore au dessus de la coupole les optiques de détection et désignation de cible? Ca va faire un engin d'une sacré hauteur => pas concrètement imaginable. Le fameux système de stabilisation ? Le Leclerc a déjà ce qui se fait de mieux. Y a quelque chose de nouveau dans les tuyaux ? Que le chassis, le moteur et la boite soient allemands, ca ne choque pas, surtout pour les 2 derniers items. Je pense que c'est une solution du 20eme siècle. Pas du 21. Absolument ! J'ai oubli de l'indiquer dans l'article de départ. C'est le (seul?) moyen non actif de protéger l'équipage efficacement avec un tonnage qui reste raisonnable (que ce soit 40 ou 60 tonnes) ben... quand même. L'AMX40 avait pleins de vertus. Il ne lui manquait que celle l'équiper l'AdT. Idem Super Mirage 4000.
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Je ne propose pas un engin léger, mais au minimum "moyen", dans la gamme des 40 tonnes. 4 essieux pour 40 tonnes, ca le fait je pense. La mobilité est en retrait, mais la vitesse et l'autonomie en nette hausse.
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Je comprend ta lecture. Perso je ne l'avais pas prise comme cela. Comme quoi c'est pas toujours simple de faire passer une idée universellement comprise.
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La DGA s’intéresse aux catapultes électro-magnétiques dans le cadre des études sur le futur porte-avions http://www.opex360.com/2018/10/17/la-dga-sinteresse-aux-catapultes-electro-magnetiques-dans-le-cadre-des-etudes-sur-le-futur-porte-avions/
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Hostile à l’offre française sur les Rafale, Steven Vandeput, le ministre belge de la Défense, va démissionner http://www.opex360.com/2018/10/16/hostile-a-loffre-francaise-sur-les-rafale-steven-vandeput-le-ministre-belge-de-la-defense-va-demissionner/
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Pour la roue je parie dessus à 30%. Autonomie, vitesse, faible entretien. Ca peut jouer. Le calibre 140 a déjà été au moins partiellement testé. Il me semble que c'était une initiative franco allemande déjà. Ce que tu dis à propos des technologies de l'information est trés juste et milite, selon moi, pour un engin plutôt moyen que lourd. donc roues etc... ? Pas sur du tout. Les hommes sont rares... (au sens être humain. pas spécialement mâle !). Il vaut mieux les mettre dans les régiments d'infanterie. Et puis l'IA va prendre en charge certaines tâches. Il me semble évident qu'en parallèle d'un (ou plusieurs) armements principaux (canon de 120 à 140, missiles, obus de mortiers ...) il faut un secondaire. Le 20mm coaxial de l'AMX30 a été fortement regretté. Perso je verrais bien un 25mm pour la cohérence avec le VBCI. OUI dans les guerillas qui sont menées ces 15 dernières années contre un adversaire style groupe de terroriste. Il en serait tout autre si on doit se frotter à un pays structuré (style Irak en 1991).
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@Patrick @Gibbs le Cajun @Kiriyama @LBP @Philippe Top-Force @g4lly @Bat @tom @pinpon42100 Je crée ce fil pour échanger sur la (ou les) formes que pourrait prendre le futur char principal Franco Allemand. j'ai réfléchi au sujet et me suis dit que l'engin ne pourrait être que moyen (gamme des 40 tonnes) ou lourd (50-65 tonnes). Pourquoi? Parce qu'il devra être en mesure de résister à minima à des mines, et à du calibre moyen rencontré à l'improviste (ca serait ballot qu'une automitrailleuse puisse le dégommer au détour d'un chemin). A roues ou a chenilles ? Si 50 tonnes et plus la chenille s'imposera. A 40 tonnes, ca peut se discuter. La roue apporte la vitesse et l'autonomie, aujourd'hui essentielles. Quel(s) armement(s) ? Pour percer un char moderne, le 120mm est presque déjà limite. Il faut peut être passer à 130 ou 140mm. mais plus la munition est grosse et moins on en embarque. Et idem en logistique. Perso je verrais une combinaison canon moyen (75 à 90 mm) pour l'appui infanterie et tout ce qui n'est pas fortement blindé (pourquoi pas du 76mm, automatique ou semi automatique, histoire d'embarquer l'Italie avec OTO Melara dans l'aventure?). Et de compléter soit par des missiles antichars, à tir tendu ou verticaux, soit par un mortier de 120mm a chargement automatique et munition guidée ou avec autodirecteur (pour frapper le char ennemi par son plus faible blindage : le toit). Quelles aides (drones) ? Je pense que le drone terrestre et le drone aérien tactique, tous deux pour aller voir ce qui se passe de l'autre côté de la colline, vont s'imposer. Drone armé? A trancher. J'aimerai avoir vos avis sur la question.
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https://www.usinenouvelle.com/article/les-5-dates-cles-pour-comprendre-la-polemique-autour-de-la-vente-des-rafale-de-dassault-en-inde.N754854#xtor=EPR-418& Les 5 dates clés pour comprendre la polémique autour de la vente des Rafale de Dassault en Inde Un appel d'offres annulé, une instrumentalisation politique en Inde, une bourde impromptue de François Hollande, des "offset" qui sèment le doute... Ces derniers mois, la vente par Dassault Aviationdes 36 Rafale à l'Inde a pris la tournure d'une affaire politico-industrielle de grande ampleur. Elle agite tout le milieu politique indien et pourrait mettre à mal les ambitions de l'industriel dans ce pays. 23 septembre 2016 : Dassault signe un contrat pour 36 Rafale Ce jour-là, Dassault Aviation signe un contrat pour la vente de 36 Rafale à l’Inde, représentant un marché d’environ 8 milliards d’euros. Le deuxième succès du Rafale à l’export, après l’Egypte, était pourtant bien mal engagé. Certes, en 2007, l’appel d’offres lancé par l’Inde concernait au total 126 appareils. Mais il prévoyait que Dassault vende directement 18 appareils puis que les 108 restants soient assemblés sur le sol indien. Remporté en 2012 par Dassault, l’appel d’offres fait long feu en raison d’un écosystème indien aéronautique insuffisant. Et se transforme en 2015, à l’occasion de la venue du Premier ministre indien Narendra Modi à Paris en avril, en un contrat de "seulement" 36 Rafale. L’Armée de l’Air indienne, qui opère une flotte vieillissante composée notamment d’appareils russes d’ancienne génération, a un besoin urgent de nouveaux appareils. Mais avec le contrat signé en 2016, il s’agit bien de l’achat d’appareils assemblés par Dassault sur son site historique français de Mérignac (Gironde). Les premières livraisons sont prévues pour fin 2019 et sont étalées sur trois ans environ. "Make in India" oblige, le français se voit imposer des "offset", des investissements compensatoires. Bien connu dans l’industrie, et dans l’aéronautique en particulier, ils consistent pour celui qui remporte un contrat à investir - en production, en formation… - un pourcentage de la valeur de ce contrat dans le pays qui achète. Dans le cadre du contrat Rafale avec l’Inde, Dassault Aviation s’est engagé à réaliser des offset à hauteur de 50 % de la valeur du marché. En octobre 2016, l’industriel annonce s’associer avec l’entreprise indienne Reliance, un conglomérat dirigé par l’homme d’affaire Anil Ambani. 10 février 2017 : Dassault crée une société commune avec Reliance Dans le cadre de la réalisation d’une partie de ces offset, Dassault Aviation créé une société commune avec son nouveau partenaire indien Reliance : Dassault Reliance Aerospace Ltd (DRAL), le 10 février 2017. Dassault y investit pour sa part 100 millions d’euros. Les deux industriels visent notamment à construire une usine commune, à Nagpur. La première pierre est posée le 27 octobre 2017. Le site produira d’abord des pièces pour le Falcon 2000 puis pour le Rafale. Si le Français jouit d’une réputation mondiale dans l’aéronautique, le groupe Reliance n’a en revanche pas d’expérience en la matière. C’est le choix de ce partenaire industriel indien, détenu par le milliardaire Anil Ambani, qui va peu à peu générer en Inde la suspicion. L’Inde ne possède-t-elle pas un constructeur aéronautique maison, Hindustan Aeronautics (HAL) ? A la fin de l’année 2017, l’opposition s’enflamme. Rahul Gandhi, le président du Parti du Congrès, fait naître la polémique : Reliance aurait bénéficié du contrat en raison de sa proximité entre son patron et Narendra Modi, le chef du gouvernement indien. Cette accusation de favoritisme en faveur de Reliance va peu à peu se transformer en "affaire Rafale". Elle fait régulièrement la Une des journaux et alimente le gros des débats politiques en vue des élections générales, prévues en 2019. 21 septembre 2018 : François Hollande ravive la polémique L’opposition indienne n’en attendait pas tant. Dans une interview accordée à Mediapar, le vendredi 21 septembre, l’ancien président de la République François Hollande apporte de l’eau au moulin à Rahul Gandhi. François Hollande affirme que la France n'avait "pas eu le choix" du partenaire indien du constructeur Dassault. Et d’ajouter : "C'est le gouvernement indien qui a proposé ce groupe de services et Dassault qui a négocié avec [le magnat Anil] Ambani". Des propos qui s’expliquent, toujours selon Mediapart, par la volonté de l’ancien président de se dédouaner : Reliance a participé au financement du film "Tout là-haut", dans lequel joue sa compagne Julie Gayet. La sortie de François Hollande n’agite pas que les politiques indiens. "Je trouve que cette petite phrase prononcée à l'étranger, s'agissant de relations internationales importantes entre la France et l'Inde, ne rend service à personne et ne rend surtout pas service à la France", avait réagi sur Radio J le secrétaire d’État français aux Affaires étrangères Jean-Baptiste Lemoyne, cité par l’AFP. Il n’aura d’ailleurs pas fallu beaucoup de temps pour que François Hollande effectue un rétropédalage. "Dassault s'est retrouvé avec Reliance sans que le gouvernement français ait été consulté (...), dira-t-il un peu plus tard. Ce sont des partenaires qui se sont choisis eux-mêmes." 11 octobre 2018 : Dassault monte au front pour se défendre Face à la polémique croissante, et suite à la sortie de François Hollande et à la (très) mauvaise tournure que prend l’affaire, Dassault, pourtant habitué à observer la plus grande discrétion, sort du bois. L’industriel publie le 11 octobre 2018 un communiqué de presse, précisant de nouveau les contours du contrat passé avec l’Inde. "Pour réaliser une partie de ces offsets, Dassault Aviation a décidé de créer une joint-venture avec le groupe Reliance qu’il a librement choisi", précise l’avionneur. Qui en profite pour souligner la multiplication de partenariats passés avec d’autres industriels indiens, tels que BTSL, DEFSYS, Kinetic, Mahindra, Maini, SAMTEL… Pas de hasard dans le choix de communiqué ce 11 octobre : ce jour-là, la ministre indienne de la Défense, Nirmala Sitharaman, en visite à Paris, nie de nouveau toute implication de son gouvernement dans le choix du partenaire indien de Dassault. Pour enfoncer le clou, le patron de Dassault Aviation se fend d’une interview accordée à l’AFP. Le dirigeant cherche à relativiser l’importance de Reliance dans le contrat des 36 Rafale et précise que les compensations avec ce partenaire ne représentent que 10 % du total. "Nous sommes en négociation avec une centaine d'entreprises indiennes, dont une trentaine avec lesquelles des partenariats ont déjà été conclus", précise le dirigeant. Printemps 2019 : les indiens vont aux urnes Nul doute que la polémique autour de la vente des Rafales de Dassault en Inde devrait perdurer au moins jusqu’aux élections générales, prévues en avril-mai 2019. L’opposition indienne tient là l’arme politique qui lui permet de dénoncer la collusion supposée entre les politiques et les grands industriels. Victorieux, Rahul Gandhi laissera-t-il tomber la ficelle ? Perdant, persistera-t-il à affirmer que les règles entourant ce type de contrat ont été contournées ? Côté Dassault, la polémique exaspère. Elle ternit l’image de l’industriel qui espère vendre davantage que ces 36 Rafale. L’avionneur lorgne deux nouveaux appels d’offres. Le premier concerne 57 appareils pour la marine indienne, Dassault espérant convaincre avec ses Rafale Marine. L’autre représente l’un des plus gros contrats militaires du moment : 110 avions de combat. En plus de devoir se battre pour maintenir sa réputation, Dassault va affronter des concurrents tels que Lockheed Martin (avec son F16), Saab (avec le Gripen), Boeing (et son F18), Eurofighter (avec le Typhoon) sans oublier le MIG 35 russe. PS : J'ai mis l'article quasi en entier, n'étant pas sur du lien.
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Decoding the Rafale controversy October 16, 2018 00:02 IST Updated: October 16, 2018 00:43 IST The opacity in the Rafale deal only raises doubts, with its fallout on national security and the ‘Make in India’ programme. The controversy over Prime Minister Narendra Modi’s decision to go in for an outright purchase of 36 Rafale fighter jet aircraft, after scrapping the old negotiations, is unlikely to die down. The Congress party has yet to find a smoking gun and hopes that a joint parliamentary committee probe might reveal it. The government has meanwhile tied itself up in knots by making opaque, and often, contradictory statements, in turn raising more doubts and questions. From 126 to 36 There are three questions that the government needs to address to neutralise the snowballing controversy. The first is the rationale for the announcement made by Mr. Modi, during his official visit to France, in April 2015, that India would buy 36 Rafale aircraft in a government-to-government deal, thereby scrapping ongoing negotiations with Dassault Aviation for 126 aircraft. The process for acquisition of 126 aircraft to replace a part of the aging fleet in the Indian Air Force (IAF) had begun in 2000. After prolonged deliberations, a Request for Information was issued and based on the responses, technical specifications drawn up and a global tender issued in 2007 for 126 aircraft, with 18 to be delivered in flyaway condition and 108 to be assembled by Hindustan Aeronautics Limited (HAL) with gradually increasing domestic content. Six bids were received and technical evaluations over four years led to the short-listing of two — the Eurofighter Typhoon and the Rafale. Evaluation of financial bids in 2011 led to the Rafale’s selection and negotiations commenced with Dassault in 2012. The Indian Air Force strength had reduced to around 32 squadrons against its authorised level of 42. Instead of fast tracking the negotiations, former Union Defence Minister A.K. Antony was indecisive, thereby prolonging the process. Negotiations were carried forward by the Modi government and in the run-up to Mr. Modi’s visit, official statements indicated that negotiations were in final stages. Inexplicably, these were jettisoned. Then Defence Minister Manohar Parrikar acknowledged that he was unaware of the decision. The decision for 36 aircraft was only formalised by the Defence Acquisition Council and the Cabinet Committee on Security after the visit and the formal cancellation of the negotiations for 126 aircraft announced in the middle of 2015, generating speculation about the Paris announcement. Last week, a bench of the Supreme Court, headed by the Chief Justice of India, Ranjan Gogoi, sought details of the ‘decision making process’ before the next hearing on October 31. The aircraft are to be delivered between 2019 and 2022. Meanwhile, the government invited Expressions of Interest in April 2018 for 110 fighter aircraft, 17 in flyaway condition and the balance to be assembled in India, but assembly was not restricted to HAL. It has since received responses from the same six manufacturers. This makes it clear that the shortfall will not be made up by the indigenous Tejas aircraft which is suffering from delays and cost over-runs (HAL has raised the cost of Tejas Mark I from ₹135 crore in 2006 to ₹268 crore and Tejas Mark IA, in design stage, is quoted at ₹463 crore). The second question relates to pricing. Since the earlier negotiations for 126 aircraft were never concluded, a straightforward comparison is not feasible. Earlier negotiations did not cover weapon systems or the performance guarantees and spares. However, since the Modi government boasted that it had negotiated a better deal and promised to provide details, it has now been hoisted with its own petard. It proudly announced that it had obtained a 50% offset undertaking which would give a boost (nearly ₹30,000 crore) to the ‘Make in India’ programme in the defence sector. Perhaps, it failed to realise that the higher offset would be factored into the aircraft price, driving it higher. Number crunching From the sketchy details provided, it would appear that the total outlay is €7.87 billion (₹59,000 crore at 1 euro to ₹73.88). This includes cost of weaponry (€710 million) and a performance guarantee of 75% (current performance level of the Sukhoi-30 fighter assembled by HAL is 50%) with spares (€2.16 billion). This brings the cost of the 36 aircraft, with the India-specific enhancements to €5 billion (₹36,900 crore or ₹1,025 crore per aircraft). However, Union Minister of State for Defence, Subhash Bhamre has put the cost at ₹670 crore per aircraft. Of course, the Congress claims that it was negotiating on the basis of a price per aircraft of ₹526 crore but omits to mention what this related to or the exchange rate. The government has taken refuge behind the 2008 Agreement with France regarding Exchange and Reciprocal Protection of Classified or Protected Information, which it renewed in March 2018. This is unconvincing as the French President Emmanuel Macron has publicly declared that the French government has no objection to the Indian government sharing pricing details with Parliament. Therefore, the government’s obfuscation regarding pricing only generates doubts. Offsets and coincidences The third question relates to the offset share given to Dassault Reliance Aerospace Ltd, or DRAL (a 51:49 joint venture between Reliance Aerostructure Ltd and the Dassault Group). The Congress has cited ₹30,000 crore while the Dassault Chairman, Eric Trappier, has stated that the figure is 10% of it as it has signed offset partnerships with more than 30 other Indian partners and the choice of Indian partners was its independent decision. This is inconsistent with former French President François Hollande’s statement to a French news website, Mediapart, in September that Reliance was proposed by the Indian government and that the French did not have a choice in the matter. Adding to this is a set of timing coincidences. Reliance Defence Ltd was registered in March 2015, weeks before Mr. Modi’s visit to France. Reliance Aerostructure was registered on April 24. The offset guidelines were amended in August 2015, weeks after scrapping the negotiations for 126 aircraft, relaxing the obligation on the foreign vendor to provide technical details about the Indian offset partner at the time of winning the contract by postponing it to when the offset credits are claimed or a year before it is due. This has permitted the government to feign ignorance about DRAL’s offset share. The agreement for 36 aircraft was signed by the two Defence Ministers on September 23, 2016. DRAL was registered on October 3 while FDI in defence had been liberalised to permit 49% through the automatic route in June of the same year. In October 2017, the foundation stone of the DRAL facility was laid in Nagpur in the presence of Maharashtra Chief Minister Devendra Fadnavis and Union Minister Nitin Gadkari. Conflicting statements have been made about whether DRAL would produce components for the Rafale or for Dassault’s business jets. ... The casualty is national security because the IAF’s squadron strength will drop to 23 in 2032, unless there is fresh acquisition beyond the 36 Rafale and 123 Tejas fighter aircraft. The second casualty is the much-touted ‘Make in India’ defence programme. Sadly, this could have been prevented if only the government had chosen to address the three questions with candour and transparency. https://www.thehindu.com/opinion/le...controversy/article25230283.ece?homepage=true
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??? rhétorique anti communiste tu veux dire. Je crains que ton explication ne soit un peu courte. voir carrément trop courte. Le succès allemand c'est selon moi : se positionner sur le haut de gamme / moins de charges car l'état est moins omniprésent et moins obèse / beaucoup d'entreprises de taille moyenne / Un capital qui restent globalement familial et pour longtemps. Un ami qui a travaillé et en France et en Allemagne dans l'industrie mécanique m'a fait part de la confidence d'un de ses patrons allemands : "vous les français vous êtres comme des fourmis : vous bouger beaucoup, mais dans tous les sens et chacun pour soi. Nous les allemands on bouge moins vite, mais tous ensemble et dans le même sens". C'est plutôt bien dit. Je ne prétend pas que cela s'applique à l'aéronautique, qui est un des domaines ou nous sommes devenus meilleurs qu'eux. Mais l'electroménager (y en a plus de français...), l'automobile, la construction ferroviaire.... c'est autre chose.
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parce que je crois que c'est le "discount" obtenu par la dernière administration indienne par rapport aux négos du départ (si c'est pa 9 c'est un chiffre de ces parages là). Ils ne sont pas que cons les indiens : sur que les couts fixes de développements de leur standard et une partie du matériel de maintenance ne serait pas dupliqués. Je dis juste qu'une nouvelle administration, même si elle s'est farouchement opposée au deal Rafale actuel, pourrait toujours en recommander en mettant en avant un argument du style "vous voyez, je l'ai obtenu pour moins cher que les autres".
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Tu as des sources? j'ignorais totalement.
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J'adore le ton du tract de la CGT... Il y a encore peu (et peut être est ce encore le cas aujourd'hui), il était demandé à chaque délégué par sa centrale locale ce qu'il "avait fait pour faire chier son patron cette semaine" ! C'est aussi à cela qu'on voit le gouffre qui nous sépare de l'industrie germanique. Bilan des courses : l'industrie pèse 10% du PIB en France, contre 25% en germanie....
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régle de trois ? 40/25 = 1.6. Portée max annoncée du MICA = "gamme des 80km". 80 x 1.6 = 128km. trop beau pour être vrai je dirais. Portée validée du MICA (tir depuis un M2000 Taiwanais sur un drone cible) = 67km. 67 x 1.6 = 107km.
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U.S. Army to procure latest version of 155mm BONUS precision-guided munitions "the latest version of BONUS defeats heavily armored targets and can be fired from any 155-millimeter artillery system, including M777 lightweight towed howitzers and the M109 self-propelled howitzer family of vehicles." https://defence-blog.com/army/u-s-army-to-procure-latest-version-of-155mm-bonus-precision-guided-munitions.html
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Houthi rebels destroy M1 Abrams tank in Jizan https://defence-blog.com/army/houthi-rebels-destroy-m1-abrams-tank-in-jizan.html
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Houthi rebels destroy M1 Abrams tank in Jizan https://defence-blog.com/army/houthi-rebels-destroy-m1-abrams-tank-in-jizan.html
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Une "Union Européenne" ... vous pensez que ça à un avenir?
Bon Plan a répondu à un(e) sujet de Bon Plan dans Politique etrangère / Relations internationales
Si c'est ca, c'est à l'initiative et au seul profit des allemands. Et toujours si c'est ça, et bien l'issue est la même que lorsqu'on a grand ouvert les portes du commerce à la Chine : on pensait les noyer d'airbus, de TGV, de technologies etc.... et en fait c'est eux qui nous inondent de produits qui tapent de plus en plus dans la haute technologie.... -
Une "Union Européenne" ... vous pensez que ça à un avenir?
Bon Plan a répondu à un(e) sujet de Bon Plan dans Politique etrangère / Relations internationales
Très juste ! Mais je pense que chacun voit midi à sa porte. Le cas de la Pologne est pour moi, Français, très édifiant : ils ont reçus des milliards d'euros pour remettre leurs infrastructures civiles et professionnelles au niveau (cas des fabricants de foie gras, a qui on a financé les lampes à UV pour tuer les insectes, et le carrelage de leurs salles de transformation). Et qui est aujourd'hui des freins sur beaucoup de sujets, voir nous montre une dérive autocratique inquiétante. -
Une "Union Européenne" ... vous pensez que ça à un avenir?
Bon Plan a répondu à un(e) sujet de Bon Plan dans Politique etrangère / Relations internationales
In fine tu veux dire quoi ?