capmat
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Je suppose qu'il faut du range…. Dassault c'est pas mal. Une paire de 8X c'est pas donné, mais ce serait le mieux en endurance et durée de vie.
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Sur un écureuil, le montage et démontage des pales est une opération rapide et pas vraiment lourde. Pour l'Astrolabe, il semble effectivement logique qu'un hélicoptère reste sur place entre la première et dernière rotation. Il semble évident que sur l'Astrolabe, l'hélicoptère voyagera "en soute". J'ai participé a des OPS utilisant aussi des écureuils. Pour les mises en place les hélicos étaient convoyés en conteneurs jusqu'au port et en vol pour la suite.
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Merci a tous ceux qui participent aux éclaircissements sur l'Astrolabe. C'est clairement un navire tourné vers la logistique. L'utilisation de l'hélicoptère ne semble pas prévue dans les périodes de transit. Dans le précédent Astrolabe, l'hélicoptère semblait surtout servir dans les périodes ou la glace empêchait le navire d'approcher du "port". Peut être aussi que l'hélicoptère servait aux relèves de personnels avec la station "Europa" ( je n'en sais rien ). Concernant la partie relève de l'Albatros, c'est a dire dans son rôle de patrouilleur dans les TAAF, si il y a utilisation d'hélicoptère, ce serait surtout dans des rôles logistiques. Si la MN souhaite utiliser un hélicoptère dans d'autres rôles, par exemple la surveillance et l'interception, il sera intéressant d'observer avec quel type d'hélicoptère et selon quelles procédures. Le carburant "hélico" est probablement compté dans la capacité "cargo". A part la zone d'appontage, toute la partie "hélico" semble prévue sous forme de "kit" traité comme du cargo. Le document "Piriou" signale un "hélideck pour accueil hélicoptères".
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Il y a un cas nouveau qui est le statut mixte du nouvel "Astrolabe". Le précédent "Astrolabe" opérait un ou deux hélicoptères (simultanément) vers la terre Adélie. Je n'ai jamais su si le précédent "Astrolabe" disposait d'un hangar hélico, mais j'ai aperçu sur des photos un écureuil bâché sur le pont. Si pas de hangar, cela suppose qu'il y a eu deux écureuils bâchés. Entre la Tasmanie et la Terre Adélie, le temps n'est pas réputé des plus cléments. Mais durant la transition, les hélicos restent stockés. D'après ce que j'ai observé ces hélicos sont immatriculés en Australie, donc ce sont des affrètements auprès de compagnies civiles. Il me semble que le nouvel Astrolabe dispose d'un hangar hélico, mais je n'en suis pas sûr. Je suppose qu'en mission Antarctique la pratique d'affrètement d'hélicos civils sera maintenue. Dans le transit entre la Tasmanie vers les TAAF, j'en conclue qu'il n'y aura pas d'hélico à bord. Sur le Marion Dufresne, l'hélico embarqué est aussi un écureuil. C'est un affrètement civil. j'ignore si le Marion dispose d'un hangar hélico, mais aussi dans ce cas l'hélico n'est probablement pas utilisé lors des transitions. Sur les FS ce sont, soit des Alouettes 3, soit des Dauphins mais qui sont de la dotation MN. J'ai vu que sur l'Adroit, il y a un hangar pour hélico de 5 tonnes et une plate forme apte a accueillir un hélico de dix tonnes. L'aptitude 10 tonnes me semble concerner des opérations logistiques ou des opportunités opérationnelles. La capacité hangar des futurs patrouilleurs devra être portée à la taille 6 tonnes pour accueillir le H160 et un petit plus pour un drone.
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Sur un hydro / océanographe... il y en a peut être actuellement avec des hangars rétractables.... combien dans la MN ?
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Si il n'y a qu'un hélicoptère embarqué, sa disponibilité dépendra de sa bonne protection et de sa maintenance.
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Ou on équipe un navire d'une vraie plate forme d'appontage et d'un vrai hangar, ou on n'en met pas. Je suis farouchement contre les demi-mesures.
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Et tant qu'a faire, que les Indiens mettent un ou deux vrais porte avions sous les pneus du Rafale M.
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Son expertise consiste a démontrer que tout ce qui n'est pas made in USA est de la daube.
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ça y est, ça le reprend !
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Maintenant, ce qui compte, c'est la prochaine manche. Concernant l'appel d'offre Finlandais, je me garderais bien de faire le moindre pronostic.
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Je ne pense rien, je me souviens simplement de la communication initiale concernant le remplacement des F5. Ensuite, ce que tu dis est tout a fait logique.
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Initialement, il s'agissait de remplacer des F5. Le remplacement des F18 était supposé intervenir plus tard. Pour remplacer du F5, le Gripen est un mieux. Pour remplacer du F18, c'est le Rafale qui est un mieux. "l'arnaque" vient de l'assimilation F5-F18.
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Et quand ce n'est pas en situation de guerre. Il ne faudrait tout de même pas oublier que le rôle de l'armée en temps de paix est de gérer et de développer des capacités indispensables pour les temps de guerre. Et là les RTT perdent leur actualité.
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C'est un sujet important. Pour cette question il faut regarder le globe terrestre vu "du dessus". Au Nord du parallèle 60° se répartissent comme des parts de camembert : - L'Alaska (USA), - Le Canada, - Le Groenland, - L'Island, - La Norvège, - La Suède, - La Finlande, - La Fédération de Russie. Tout ces pays sont très proches en distance par le Nord, ce sont des voisins. Deux "frontaliers" avec la Fédération de Russie : - Les USA (Alaska) par le détroit de Béring, - La Finlande dans la partie Européenne. il faut signaler la Norvège dont une bande de territoire "couvre" au Nord la Suède et la Finlande et rejoint physiquement la Fédération de Russie. Les deux antagonistes en présence sont les USA et la Fédération de Russie. Le choix d'un avion de combat par la Finlande concerne directement la stratégie des USA face à la Fédération de Russie au sein du "club polaire". Le Rafale est issue d'un pays ne faisant pas partie du "club" et donc il se situe naturellement en position d'outsider.
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L'extension des capacités portuaires et aéroportuaires vont de paire. Bien entendu, l'extension des capacités civiles sont utiles aux capacités militaires. Concernant les capacités aéroportuaires, la longueur de piste est un aspect important, mais il y a aussi les capacités en surface de parking, en stockage de carburant et en support technique. Si un jour Mayotte doit être utilisée comme point d'appui d'une intervention militaire d'envergure, les capacités actuelles seraient trop limitatives.
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Il me semble évident que Mayotte doit étendre ses capacités portuaires et aéroportuaires avec les logistiques associées. Je n'ignore pas les caractéristiques physiques de l'île.
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La France et ses programmes UAV/UCAV
capmat a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Mon expérience est celle d'un opérateur, pas celle d'un concepteur. Je n'ai donc pas d'avis ni de préjugé sur vos observations que je trouve intéressantes. -
La France et ses programmes UAV/UCAV
capmat a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Je me souvient que dans les années 1970-1980 les bimoteurs a pistons avec cellule pressurisée ont été abandonnés au profit des bimoteurs a turbine a cause des casses moteur lors de descentes trop rapides. Il ne s'agissaient que de niveaux de vols inférieurs au niveau 300. Alors à plus de 40000Ft le problème ne sera pas simple. Un autre aspect a ne pas négliger concerne les questions d'anti givrage. Dans le cas d'une turbine avec hélice propulsive, l'hélice est naturellement anti givrée parce que située juste en arrière des tuyères. D'autre part, un piquage d'air chaud sur le compresseur de la turbine permet de faire circuler l'air chaud le long des bords d'attaque des ailes, des empennages et des lèvres d'entrée d'air des moteurs. Ce piquage d'air chaud peut accompagner la fonction de bleed de décharge dans les couches denses de l'atmosphère ou se situe le risque de givrage. Pour un compresseur taillé pour les hautes altitudes, il faudra effectivement décharger le compresseur au décollage avec une fermeture progressive des bleed de décharge en cours de montée. -
La France et ses programmes UAV/UCAV
capmat a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Le problème d'un moteur a piston si il monte en haute ou très haute altitude, c'est que pour descendre il faudra réduire son régime pour que le "planeur" ne passe pas la VNE. Cette réduction ne permettra pas de tenir une température du moteur suffisamment élevée pour éviter la casse des culasses. On pourrait imaginer un taux de descente faible pour maintenir un régime moteur suffisant pour rester dans des températures acceptables pour le moteur. Mais le drone doit s'intégrer dans l'ensemble du trafic dans le cas de l'Europe, ce qui impose un taux de descente minimal de 2000ft/mn. Dans le cas de la turbine, on peut descendre plein réduit sans aucune conséquence néfaste. -
Vous avez bien raison sur ces points. Il est temps de sortir de la période "d'après vente de la seconde guerre mondiale". Essayons de regarder ce que sera le monde dans 10 ans, 20 ans, 30 ans et que serons nous à chaque étape ? J'ai tendance a être optimiste bien que nôtre marge d'erreur possible se réduise ( en proportion de nôtre endettement ).
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Vous êtes un passionné, personne ici ne vous le reprochera car si nous participons au forum c'est que nous partageons ces passions. Les questions que vous vous posez, nous nous les posons tous. Pour chaque spécialité, il y a des spécialistes. Il faut savoir faire confiance aux autres. Il n'y a pas que les avions ou les navires ou les armes terrestres, il y a aussi les situations où ils servent et les formes et intensités variables des conflits. Ne vous stressez pas trop sur les questions budgétaires, c'est avant tout de la politique. On n'a jamais l'arme qui convient pour la forme de conflit qui nous est imposé avec sa part de surprise. On fait avec ce qu'on a en espérant qu'on ne s'est pas trop trompé sur les formes de crise que nous souhaitions anticiper. Une "puissance" doit aujourd'hui entretenir plusieurs niveaux de prévention : - La dissuasion, entre "puissances", - La guerre classique, entre armées, - La guerre dissymétrique, entre armée d'une part et "autre chose", - La guerre informationnelle...... Nous essayons de répondre à ces différents niveaux avec des outils "polyvalents" pour essayer d'éviter les gaspillages. -
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Nous disons tous des conneries, c'est ainsi que l'on apprend par les réponses des autres. Mais quand la dose est trop élevée, la capacité de réponse est saturée.
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Si vous permettez, gargouille, je vais y ajouter quelques questions : Combien neoretro a d'heures de vol sur avions d'entrainement...+ CAS ? Combien sur avions de combat ? Combien sur hélicoptères ? Combien de temps passé en Afrique ? Au Moyen Orient ? Expériences en zones très chaudes ? .....très hautes ? ......très froides ? Simplement pour souligner qu'il y a sur ce site des personnes blanchis sous le harnais avec des expériences considérables et qui ne parlent ou n'écrivent qu'avec prudence et modestie.