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ZONEBOURSE / Matières premières : La crise de l'énergie diffère du choc pétrolier des années 1970, prévient la BRI 19/09/2022 | 15:45 Zurich (awp/afp) - La crise énergétique actuelle diffère du choc pétrolier des années 1970, prévient lundi la banque des règlements internationaux (BRI) dans une analyse qui examine le risque de contagion aux produits agricoles et à l'industrie à l'heure où les banques centrales bataillent contre l'inflation. "Les événements actuels sont souvent comparés aux chocs pétroliers des années 1970, mais l'économie mondiale est très différente aujourd'hui", expliquent Fernando Avalos et Wenqian Huang, économistes pour la BRI dans une étude publiée aux côtés du rapport trimestriel de cette institution considérée comme la banque centrale des banques centrales. Le gaz naturel et les énergies renouvelables jouent désormais un rôle bien plus important dans la production d'électricité, ce qui fait émerger "de nouveaux défis", selon eux, en raison de l'interaction entre le pétrole et les marchés agricoles au travers des biocarburants, "inexistants" à l'époque. Si les prix des matières premières agricoles ont quelque peu reflué depuis le début de la guerre en Ukraine, une hausse "large et persistante" des prix du pétrole risque cependant de faire aussi grimper les prix des récoltes utilisées pour produire de l'éthanol ou des biodiesels. Le maïs est un composant majeur de la production d'éthanol, notent les économistes de la BRI. Rien qu'aux Etats-Unis, l'éthanol a absorbé 40% de la production de maïs en moyenne au cours des cinq dernières années, chiffrent-ils. Et depuis le milieu des années 2000, les prix du maïs et du pétrole évoluent donc "en tandem", observent-ils. La hausse des prix du pétrole incite à davantage d'éthanol, ce qui augmente la demande de maïs et pousse ses prix à la hausse. Mais cette pression peut aussi rapidement se répercuter sur d'autres matières premières agricoles comme le soja, qui est en concurrence avec le maïs pour les surfaces cultivés. Le maïs et le soja sont également utilisés pour l'alimentation du bétail, ce qui fait que "les perturbations persistantes des marchés globaux de l'énergie peuvent déborder pour faire augmenter les prix d'un large éventail de produits agricoles", préviennent-ils. A la différence des années 1970, le pétrole pèse désormais beaucoup moins lourd dans la production d'électricité. Mais le gaz naturel a gagné en importance, sa consommation ayant doublé en trente ans, notent également les économistes de la BRI. Les chocs sur le gaz naturel sont donc susceptibles d'avoir un impact "substantiel" sur les prix de l'électricité, et par ricochet sur l'industrie qui représente en moyenne "plus de 40%" du total de la consommation au niveau mondial. Selon eux, les restrictions sur les exportations d'énergie russes vont "donc probablement garder les prix de l'énergie élevés". Elles pourraient toutefois "accélérer la transition verte, et ainsi réduire le dépendance de l'économie mondiale aux énergies fossiles", présagent-ils. afp/rp © AWP 2022 -
Contrat signé avec les FMS : le prix est contraignant mais on ne sait pas comment. Il y a un doute dans le sens ou la Suisse signe avec les FMS et pas avec LM. Imaginons que ce qui est contractuel c'est que les FMS ne peuvent pas facturer plus que 3% du prix d'achat aux Suisse mais que LM surfacture de 40% alors du point de vue du contrat tout va bien mais dans la réalité les Suisses auront une douloureuse beaucoup plus forte que prévu. Le tarif définitif est donc de 6 035 milliards de francs suisses soit quasiment autant de dollars. COur d'aujourd'hui 1 dollar vaut 0,97 franc suisse. Et ce tarif a donc dérivé de 1 milliard soit est maintenant au même niveau que les concurrents ... Air2030 : Signature du contrat d’approvisionnement pour le F-35A Berne, 19.09.2022 - Martin Sonderegger, directeur national de l’armement, et Darko Savic, responsable du programme F-35A en Suisse, ont signé le contrat d’approvisionnement le 19 septembre 2022 chez armasuisse à Berne. Avec cela, l’achat de 36 F-35A est convenu contractuellement. L’avion sera livré entre 2027 et 2030 et remplacera la flotte actuelle de F/A-18 Hornets et F-5 Tigers. L’acquisition pour l’achat des 36 F-35A s’élève à 6 035 milliards de francs suisses et se situe donc dans les limites du volume financier maximal approuvé par le public suisse. Le directeur national de l’armement, Martin Sonderegger, et le gestionnaire de programme pour l’achat du nouvel avion de combat, Darko Savic, ont signé le contrat. De leur côté, les autorités américaines ont déjà signé le contrat d’approvisionnement. En plus de l’avion, le coût d’achat du F-35A couvre également l’équipement spécifique à la mission, les armes et les munitions, un ensemble logistique, les systèmes de planification de mission, les systèmes de formation et la formation initiale. En outre, le coût de l’intégration dans le système suisse de commandement et de contrôle, pour les services de soutien par industrie, un montant de risque, l’inflation dans le pays du fabricant, les États-Unis, ainsi que la TVA sur les importations sont également inclus. Les prix sont contraignants La Suisse se procure l’avion via les « Foreign Military Sales » (FMS) auprès du gouvernement américain et aux mêmes conditions qu’elle s’applique à elle-même. Le gouvernement américain traite à son tour l’approvisionnement par le biais de son propre contrat – visible pour le DDPS – avec la société de fabrication Lockheed Martin. Les prix et les conditions contractuelles sont définis de manière contraignante dans le présent contrat et sont également appliqués au moyen d’un contrôle strict. En outre, la Suisse et les États-Unis ont négocié une clause spécifique et signé une déclaration séparée qui établit le caractère à prix fixe de l’accord. Accord de compensation conclu parallèlement au contrat d’approvisionnement Le responsable du programme Air2030, Peter Winter, et le responsable du programme F-35, Darko Savic, ont également signé l’accord de compensation avec Lockheed Martin. Cela constitue la base pour le fabricant américain de mener des activités de compensation avec l’industrie suisse. Les entreprises suisses reçoivent ainsi des contrats d’un volume d’environ 2,9 milliards de francs suisses.
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- F-18 Hornet
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Marine Australienne: modernisations, acquisitions et exercices navals.
herciv a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Asie / Océanie
Tu as fait l'Espadon ? -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
herciv a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
herciv a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Et çà se bat dans Bakmut et toujours Soledar -
Chat chien et neige ..
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T'as raison çà me parait tendu pour le pod externepour ouvrir les soutes
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N'empèche que le pod à tout faire (autonome en énergie ?) est plutôt une bonne idée. Pas besoin de revalider l'aérodynamique, ni l'équilibrage vu là où il est tenu. Il n'y a que l'emport de charge militaire qui me chagrine parce qu'il faudrait un dispositif d'ouverture de trappes qui prendrait forcément du volume. La notion même de pod permet d'avoir des ensembles interchangeables rapidement.
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EN fait d'après ce doc le nombre de mach donne la composante de vitesse vrai : INSTRUMENTS DE VOL LE MACHMÈTRE https://www.lavionnaire.fr/InstVolMach.php But du machmètre Lorsque la vitesse d'un avion se rapproche de la vitesse du son , le flux d'air autour des ailes présente un changement marqué, caractérisé par l'apparition d'ondes de choc. Celles-ci se produisent localement, selon la conception de l'avion, à une vitesse inférieure à la vitesse du son et augmentent en effet et en ampleur à mesure que la vitesse augmente. Ces ondes de choc peuvent provoquer une perte de portance aérodynamique, des modifications de la stabilité aérodynamique, une perte d'efficacité des commandes et des secousses. Par commodité, le rapport entre la vitesse vraie ou TAS (True air speed) et la vitesse locale du son est considéré comme une seule entité. Il est appelé nombre de Mach ou point Mach. Cette vitesse est liée à l'agitation moléculaire, et ne dépend que de la température. Le machmètre fournit une valeur instantanée du nombre de Mach pour les avions rapides en altitude (température très basse), notamment à l'approche des limites structurelles de l'avion et des phénomènes transsoniques. Là où il y a une croix sur ce qui ressemble à la lune ?
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Image du f-35 (très belle photo) avec son pod (interne) de voyage AUTRE POD DE VOYAGE LE POD kihomac . Le pod (externe) terma à tout faire, canon , guerre élec ,laser, génération de puissance, etc, etc) :
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
herciv a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Je confirme : -
Chine - Taiwan : Rivalité Militaire
herciv a répondu à un(e) sujet de Henri K. dans Politique etrangère / Relations internationales
Et je pense que c'est aussi la raison qu'on voit autant les M2000 à la manœuvre, leur potentiel est peut-être plus important que celui des f-16. -
Affectation des crédits à l'espace 5 milliard provenant des crédits militaires sur 3 ans : Spatial : la France annonce un investissement "majeur" de 9 milliards d'euros sur trois ans 19/09/2022 | 06:59 Paris (AFP) -- La France s'apprête à investir plus de 9 milliards d'euros dans le secteur spatial sur les trois prochaines années, enveloppe qui comprend pour beaucoup des crédits déjà votés, a annoncé dimanche Elisabeth Borne lors du Congrès international d'astronautique (IAC) à Paris. "Au total, ce sont plus de 9 milliards d'euros que la France s'apprête à investir sur le secteur spatial dans les trois prochaines années, pour la recherche et notre industrie spatiale", a déclaré la Première ministre à l'ouverture de l'IAC, qui rassemble jusqu'à jeudi plusieurs milliers de représentants de la communauté spatiale mondiale. Ces investissements "majeurs" s'inscrivent dans le cadre de la stratégie spatiale définie par le président Emmanuel Macron en février dernier, a-t-elle souligné. "La première stratégie, c'est de garder avec l'Europe notre autonomie d'accès à l'espace" et pour cela "nous avons besoin de moyens forts et d'une recherche de pointe", a plaidé Mme Borne, détaillant les ambitions pour les lanceurs (Ariane 6), la compétitivité industrielle, l'exploration, le climat et la défense. L'enveloppe de 9 milliards d'euros comprend les crédits du volet spatial du plan d'investissement France 2030 (1,5 milliard d'euros), ceux de la trajectoire de la loi de programmation pour la recherche votée jusqu'en 2030, les moyens "massifs" pour le Cnes (Centre national d'études spatiales) ainsi que ceux de la loi de programmation militaire 2019-2025 (5 milliards d'euros). Est également incluse la prochaine contribution française au budget de l'Agence spatiale européenne (ESA), qui sera voté lors de la conférence ministérielle, en novembre, à Paris. Le budget exact de la France sera déterminé à cette occasion, a-t-on précisé à Matignon. L'ESA compte demander à ses 22 Etats membres environ 18 milliards d'euros pour financer ses programmes sur les trois prochaines années. Le président du Cnes, Philippe Baptiste, a salué une "véritable ambition de l'Etat pour le spatial qui se concrétise par cette trajectoire" chiffrée. "C'est une enveloppe ambitieuse, avec presque 25% d'investissements supplémentaires par rapport aux trois dernières années", a-t-il dit à l'AFP. L'enveloppe donnée par l'exécutif va "permettre à tout l'écosystème spatial - Cnes, industrie spatiale et communauté scientifique - de trouver la façon la plus efficace d'engager des crédits d'ici à la fin de l'année", selon Jean-Marc Astorg, directeur de la stratégie de l'agence spatiale française. Après son discours devant des milliers de délégués, la Première ministre est allée à la rencontre de responsables du Cnes, hôte de l'IAC, ainsi que de l'astronaute français Thomas Pesquet.
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C'est vrai. Et donc dans les remarques que j'ai faites au-dessus tu remarqueras que Poutine avait tenté de partir dans cette nouvelle guerre avec tous ses missiles hypersoniques. Mais il n'a pas obtenu d'effet décisif malgré tout. Ca reste des munitions qui a la fin des fin doivent faire boum. Si le boum est petit ou trop imprécis il faut le multiplier et donc avoir du stock de munition. Et maintenant il est coincé par son absence de stock et la très grande difficulté pour le renouveler n'ayant pas une filière de production "occidental free".
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Je repars de là pour rebondir sur un article très intéressant exposant les enjeux du combat aérien à partir de l'expérience ukrainienne : Je plussoie totalement cet article. Il est très intéressant et pose carrément la question du besoin d'une arme aérienne à cause de l'extrème concentration des moyens de déni d'accès telle qu'au-dessus de l'Ukraine les chasse russe ou Ukrainienne n'ont pas été décisives. Ca plus des coûts d'accès à la puissance aérienne de plus en plus inaccessible font que ta question sur les matériels coûteux est complètement d'actualité. Néanmoins il ne faudrait pas non plus tirer des conclusions trop hâtives. Première remarque en ce qui concerne la guerre dans les airs et sans parler des moyens d'observation on a vu dans le ciel ukrainien uniquement du matériel russe vs matériel russe. Les stratégies de pénétration TBA + SPECTRA à la française ou moyenne altitude + furtivité à l'US n'ont pas été testées. Seconde remarque cet article ne s'applique en aucun cas à la guerre maritime puisque par essence les moyens de déni d'accès se limitent à la bulle encadrant une flotte. Même remarque pour la guerre spatiale. L'utilisations de Laser limité en portée à cause de leur divergence intrinsèque ne changera rien à cette remarque ni sur mer ni même dans l'espace. Troisième remarque l'utilisation de l'espace aérien depuis le début (guerre 14-18) sert à la pénétration pour atteindre un objectif précis désigné à l'avance (attaque par missile longue distance), à roder pour attaquer des objectifs d'opportunité en cour de transit (munition rodeuse capable de permanence) ou pour faire de la reconnaissance (drone non armé). L'histoire a montré que pour remplir ces trois mission il y avait eu inflation de moyens pécuniers. Cette inflation constituant même un terrain stratégique permettant d'imposer des effets décisifs même en temps de paix. Ce n'est pas en enlevant les pilotes qu'on supprimera cette inflation. Tout au plus elle fera une pause. Je ne pense pas que çà soit la fin des moyens de guerre aérienne. Il se peut qu'elle s'éloigne du sol par contre. On peut aussi poser la question de la place de l'homme dans cette guerre aérienne. Il se peut qu'elle ressemble de plus en plus à un grand jeux video dans lequel les perdants peuvent rejouer sans crainte pour leur vie. Mais il est vrai qu'en ce qui concerne le F-35 ou le rafale il y a de grosses interrogations dans ce nouveau contexte compte tenu de leur coût et de leur difficulté de mise en oeuvre.