Paschi
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La Grèce teste l'emport double de JSOW https://www.thedrive.com/the-war-zone/44279/greek-f-16s-pack-a-serious-punch-with-their-super-rare-twin-jsow-weapon-racks Les F-16 grecs donnent un sérieux coup de fouet avec leurs très rares supports doubles pour le JSOW . L'armée de l'air grecque utilise plusieurs supports d'armes pour ses armes à longue portée afin d'améliorer considérablement sa capacité de frappe à longue distance. Fer de lance de l'armée de l'air grecque (HAF), le F-16 Viper est appelé à remplir une grande variété de rôles en temps de guerre, allant du combat aérien au-dessus de la mer Égée, à la reconnaissance tactique en temps réel, en passant par la frappe à longue portée sur terre ou sur l'eau, avec un éventail d'armes de précision. Dans la catégorie des frappes terrestres, la HAF est devenue l'une des rares forces aériennes - peut-être la seule - à équiper ses Vipers de supports jumelés pour l'AGM-154 Joint Standoff Weapon (JSOW), une bombe furtive à longue portée de la classe des 1 000 livres, conçue pour atteindre certaines des cibles les plus importantes de l'ennemi. Les photos de l'inhabituel pylône jumelé pour JSOW fixé sur les F-16 grecs ont suscité un vif intérêt sur les médias sociaux récemment, mais la HAF exploite en fait cette capacité depuis un certain temps déjà. En général, un F-16, ou tout autre avion de combat, est censé charger une paire de JSOW, ou peut-être une charge lourde de quatre sur quatre pylônes individuels. Les F-16 grecs, cependant, utilisent le BRU-57/A, un support de transport multiple intelligent qui permet à un seul pylône de transporter deux JSOW ou toute autre arme compatible de la classe des 1 000 livres, d'ailleurs. Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
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https://www.rts.ch/info/suisse/12872576-le-conseil-federal-porte-le-projet-dachat-des-f35-devant-le-parlement.html Le Conseil fédéral porte le projet d'achat des F-35 devant le Parlement L'armée doit pouvoir acheter les nouveaux avions de combat F-35A et un système de défense sol-air. Le Conseil fédéral demande mercredi au Parlement des crédits d'engagement d'un total de 8 milliards à cet effet. Les 36 nouveaux avions de l'américain Lockheed Martin coûteront 6,035 milliards de francs. Le F-35A a obtenu les meilleurs résultats lors des évaluations. Le Conseil fédéral rappelle qu'il est "le plus performant", le meilleur marché, "le plus simple à piloter". Il demande moins d'heures d'entraînement en vol. Le nombre de décollages et d'atterrissages sera divisé par deux, a précisé la ministre de la défense, Viola Amherd. "La consommation de kérosène et les émissions de CO2 diminueront d'un quart". Ces avions remplaceront les 25 F-5 Tiger et les 30 F/A-18 Hornet. Les premiers doivent être mis hors-service. Ils ne peuvent être utilisés que pour les entraînements ou, par beau temps, pour le service de police aérienne. Le but est de les revendre, a expliqué Viola Amherd. Les deuxièmes seront remplacés par les nouveaux avions américains. Par ailleurs, 120 millions sont nécessaires pour adapter ou construire les infrastructures nécessaires à leur achat. Les bases aériennes de Payerne, de Meiringen et d'Emmen doivent être adaptées. Un nouveau centre d'entraînement doit être construit sur le site vaudois. Achat en suspens Le 27 septembre 2020, le peuple a accepté l'achat de nouveaux jets pour 6 milliards de francs. Ce montant se basait sur l’indice suisse des prix à la consommation de janvier 2018. Entretemps, les pronostics d’inflation ont été actualisés. Selon les prévisions actuelles d’inflation jusqu’en 2031, le volume financier maximal s’élève à 6,3 milliards de francs. Une alliance de gauche récolte des signatures pour empêcher cet achat. Le Conseil fédéral attendra les discussions au Parlement et l'éventuelle votation sur l'initiative avant de signer les contrats, a avancé la ministre. Complément Cinq unités de feu du système de défense-sol air Patriot complètent le dispositif aérien. Le coût s'élève à 1,987 milliard de francs. Il faudra également dégager une enveloppe de 66 millions pour trois nouveaux bâtiments d'instruction et pour l'infrastructure de stockage. Là aussi, le système américain a été préféré aux autres candidats. Il est efficace sur les très longues distances. Ses capteurs à longue portée améliorent aussi l'image de la situation aérienne. De plus, il engendre des coûts moins élevés sur toute sa durée d'utilisation. Le système Patriot permet de couvrir de grandes régions depuis quelques positions. Il allégera également la tâche des avions de combat. Les deux systèmes se complètent. Les avions ont une grande souplesse d'engagement et la défense sol-air fournit une protection durable et peut combattre des avions, des missiles de croisière ainsi que des engins guidés de faible portée. Affaires compensatoires Les deux acquisitions génèrent des affaires compensatoires à hauteur de 4,2 milliards de francs. Le constructeur des avions compensera 2,9 milliards de francs, dont près d'un milliard en affaires compensatoires directes, c'est-à-dire en lien direct avec l'avion, entre constructeurs ou fabricants étrangers et entreprises suisses. Et Mme Amherd de rappeler que toutes les régions linguistiques en profiteront. Et, si cela arrive, Viola Amherd va être une des personnes les plus haïes de Suisse : https://www.blick.ch/fr/news/suisse/les-f-5-tiger-au-rebut-viola-amherd-veut-degommer-la-patrouille-suisse-id17243496.html Les F-5 Tiger au rebut Viola Amherd veut dégommer la Patrouille suisse L'achat des nouveaux avions de combat F-35 met en danger la Patrouille Suisse. En effet, le jet furtif américain doit remplacer les anciens F-5 Tiger. Le Département de la défense examine donc la possibilité de dissoudre cette escadrille d'aviation très appréciée. Les F-35 sonneront-ils le glas de la Patrouille Suisse et de ses acrobates aériens? C'est ce qui ressort du message sur l'armée 2022 présenté mercredi par la conseillère fédérale chargée de la défense Viola Amherd. L'achat - controversé - de 36 avions de chasses furtifs américains F-35 suit une stratégie où la flotte aérienne suisse serait composée d'un seul appareil, comme l'a souligné Viola Amherd dans les médias: «Cela nous permet d'économiser des coûts.» Trente-six F-35 remplaceront les 30 F/A-18 Hornet et les 25 F-5 Tiger actuellement dans les airs (aux horaires de bureau). Si les F/A-18 pourraient continuer d'être utilisés dans des exercices ou des opérations de police aérienne, les Tiger sont inadaptés et obsolètes. Le Conseil fédéral propose au Parlement la mise hors service complète de ces appareils pour 2025. La Patrouille Suisse pourrait être dissoute C'est là que ça devient difficile pour les voltigeurs du ciel: la Patrouille Suisse perdra ses avions actuels. Le Département de la défense veut examiner si l'escadrille d'aviation pourrait être dissoute ou si elle pourrait être maintenue avec d'autres avions. Les F-5 Tiger retirés du service seront vendus, probablement aux Américains. Une chose est sûre: si les avions actuels sont complètement remplacés, ce sera la fin de la Patrouille. Les coûts d'une escadrille de voltige composée de F-35 seraient bien trop élevés, écrit le «Nebelspalter».
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terrorisme Opération Barkhane
Paschi a répondu à un(e) sujet de Scarabé dans Politique etrangère / Relations internationales
Cela a été rapide : http://www.opex360.com/2022/02/12/la-force-barkhane-a-neutralise-40-jihadistes-impliques-dans-des-attaques-au-benin/ ... un drone MQ-9 Reaper a procédé à une frappe contre une première colonne terroristes, neutralisant ainsi une dizaine de jihadistes [ainsi que cinq motos]. Puis, peu après, une patrouille de Mirage 2000 a été engagée pour effectuer trois autres frappes contre des « regroupements terroristes à proximité » du lieu où la première avait été réalisée par le MQ-9 Reaper. « Au cours de cette action, plus d’une trentaine de terroristes ont été neutralisés, un pick-up et plus d’une dizaine de motos ont été détruits », a indiqué l’EMA. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
Paschi a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Il est perdu mais pour l'instant il n'y a pas eu de référendum d'autodétermination ou pour le rattachement à la Fédération de Russie et c'est peut-être cela qui se prépare. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
Paschi a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Ils vont donc ni le faire aujourd'hui, Super Bowl aux USA, ni demain, Saint Valentin. Y'a pas dire, ils sont vraiment sympas les Russes -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
Paschi a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Depuis la sécession du Donbass la Russie a distribué des centaines de milliers de passeport russes dans la région. Peut-être qu'ils attendent juste le faux pas Ukrainien pour aller se porte au secours des nouveaux Russes en déclenchant le rouleau compresseur et profiter de cette occasion pour annexer le Donbass après un référendum d'autodétermination comme en Crimée -
Mais on a des vallées très encaissées
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L'influence Iranienne en Irak est bien réelle et ne doit pas être négligée, et ne l'est certainement pas, dans le cadre de vente d'armes à cette dernière. Voici une synthèse intéressante : L’axe de la résistance » : l’expansionnisme régional iranien https://www.dems.defense.gouv.fr/sites/default/files/2021-10/axe_de_la_resistance.pdf Il y a aussi de nombreux articles à ce sujet bien que plus anciens : https://www.lorientlejour.com/article/1195457/la-vaste-influence-de-liran-en-irak-selon-des-fuites-des-renseignements.html https://www.lesclesdumoyenorient.com/Entretien-avec-Arthur-Quesnay-sur-la-presence-iranienne-en-Irak-et-sur-l.html La situation politique n'est toujours pas très stable. https://www.arte.tv/fr/videos/106809-000-A/l-irak-craint-le-chaos-securitaire/ Et c'est sans compter la situation économique en Irak n'est pas folichonne (je n'ai pas trouver d'articles récents mais tous ceux que l'on trouve parlent de crise économique) et il faudra du temps, et surtout la paix, pour que l'exploitation des hydrocarbures reprenne pleinement et puisse pleinement profiter de la hausse du prix du baril.
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L'industriel Eurocopter, rebaptisé Airbus Helicopters
Paschi a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Hélicoptères militaires
https://soldat-und-technik.de/2022/02/mobilitaet/29992/hforce-airbus-helicopters-verschiesst-erstmals-spike-er2-vom-h145m/ HForce : Airbus Helicopters tire pour la première fois un Spike ER2 depuis le H145M Le constructeur européen d'hélicoptères Airbus Helicopters travaille à l'extension des capacités de son package de mission HForce pour l'hélicoptère militaire H145M. Selon l'entreprise, les premiers tests d'intégration du missile Spike ER2 de Rafael ont été lancés sur le champ de tir de Cincu en Roumanie. Le Spike ER2 pèse environ 35 kg et est conçu pour des distances de combat allant jusqu'à dix kilomètres. Dans le cadre de la phase dite de derisking, les premières études ont été entreprises en janvier afin d'évaluer les effets du lancement du missile sur l'hélicoptère. La prochaine étape consistera à intégrer le missile antichar Spike dans le système HForce de l'hélicoptère. Équipé du système HForce, le H145M est déjà capable d'utiliser une mitrailleuse de 12,7 mm, un canon de 20 mm, ainsi que des missiles guidés laser et non guidés jusqu'au calibre 70 mm. Les utilisateurs du H145M sont à ce jour la Hongrie (20 appareils), l'Allemagne (15), la Serbie (9), la Thaïlande (5) et le Luxembourg (2). Selon Airbus Helicopters, l'appareil sera également proposé aux forces armées roumaines par son partenaire local de longue date, IAR. -
Il me semble que oui. En relisant, je vois que que j'ai mal compris le propos de @mehari j'ai crû qu'il parlait de mettre les fonctions reco, anti-drone et BLOS sur un seul véhicule.
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[MEDOR]
Paschi a répondu à un(e) sujet de Fenrir dans Politique etrangère / Relations internationales
C'est pas tout à fait la MEDOR. Y'a du monde en MED... https://www.thedrive.com/the-war-zone/44184/three-nato-carrier-groups-are-exercising-together-in-the-mediterranean Trois différents groupes de porte-avions de l'OTAN mènent des opérations conjointes en mer Méditerranée, ce qui constitue une puissante démonstration de la puissance maritime de l'alliance, alors que la crise Est-Ouest au sujet de l'Ukraine se poursuit. Les derniers exercices concernent le Harry S. Truman Carrier Strike Group, ou HSTCSG, qui s'est intégré pendant deux jours à la Task Force 473 française, centrée sur le porte-avions Charles de Gaulle, et à un groupe d'attaque italien basé autour du porte-avions Cavour. Parallèlement, la marine russe a également été engagée dans une activité intense dans la région, avec une multitude de mouvements de navires de guerre différents, avec en toile de fond la situation en Ukraine. ... Dans le cadre des activités considérables de la marine russe à travers le monde ces dernières semaines, les forces maritimes du Kremlin déployées en Méditerranée ont été considérablement renforcées par l'arrivée du croiseur de classe Slava de 11 500 tonnes, le Marshal Ustinov. Après un passage mouvementé au large du flanc ouest de l'OTAN, le croiseur de la flotte du Nord a rejoint un autre navire de guerre de la classe Slava, le Varyag, navire amiral de la flotte du Pacifique. Le troisième Slava, le Moskva, se trouve en mer Noire, où il est stationné à la base navale de Sébastopol et assume également des fonctions de navire amiral. Il n'y a pas de confirmation sur la destination finale de ces différents croiseurs, bien que des rumeurs indiquent que les trois pourraient finalement se rassembler en Méditerranée, où ils opéreraient à proximité des trois groupes de porte-avions de l'OTAN. Si tel est le cas, ce serait probablement la première fois que la marine russe place les trois Slavas restants dans la même zone d'opération. -
A défaut de pouvoir ravitailler en vol, le KC-46 démontre de grandes capacité à ravitailler ... au sol sur terrain sommaire Très utile, serte, mais quand même.... Bon, après il faut quand même une belle piste en dure et deux camions citerne. https://www.thedrive.com/the-war-zone/44232/kc-46-tanker-shows-it-can-rapidly-unload-tons-of-fuel-to-thirsty-fighters-at-austere-airstrips L'avion-citerne KC-46 montre qu'il peut décharger rapidement des tonnes de carburant pour des avions de combat assoiffés sur des pistes austères. Le KC-46 connaît de nombreux problèmes, mais sa capacité à transporter du carburant vers des lieux austères pendant les opérations de combat semble prometteuse. Pour la première fois, un avion-citerne KC-46A Pegasus de l'armée de l'air américaine a pris part à une opération de "double ravitaillement" dans un endroit austère. Ce processus consiste à faire voler l'avion-citerne jusqu'à un aérodrome où le carburant est ensuite rapidement déchargé via des tuyaux doubles sur deux véhicules de ravitaillement différents. Le carburant peut alors être distribué à d'autres aéronefs, par exemple pour soutenir une unité de combat déployée, pendant que l'avion-citerne effectue sa sortie, réduisant ainsi son temps au sol et augmentant sa capacité de survie. Bien que le KC-46 continue à rencontrer divers problèmes pour remplir sa mission principale de ravitaillement en vol, cette dernière démonstration montre que l'armée de l'air continue néanmoins à trouver de nouveaux rôles pour cet appareil. L'opération de double ravitaillement a impliqué un KC-46 de la base aérienne McConnell, au Kansas, qui est arrivé sur la piste d'atterrissage Northwest Field de la base aérienne Andersen, à Guam, dans le cadre du récent exercice Cope North 22. L'armée de l'air a également publié une vidéo montrant l'implication du KC-46 :
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Un sixième bombardier furtif B-21 Raider est en cours de construction. La construction du dernier B-21 a commencé il y a quelques semaines à peine et l'armée de l'air espère en déployer le premier exemplaire cette année. L'armée de l'air américaine a confirmé qu'un sixième B-21 Raider était en cours de construction et que le logiciel conçu pour le système de carburant de l'avion avait déjà été validé dans un environnement numérique. Le service s'attend toujours à ce que le déploiement du premier de ces nouveaux bombardiers furtifs ait lieu avant la fin de l'année et que le premier vol du type ait lieu peu après. Le général de division Jason R. Armagost, directeur des plans, programmes et besoins stratégiques au sein de l'Air Force Global Strike Command (AFGSC), a fait le point sur l'état d'avancement du programme B-21, entre autres, lors de son intervention au sommet de la dissuasion nucléaire de cette année, qui s'est ouvert lundi et s'est achevé aujourd'hui. "Le B-21, à l'avenir, sera notre avion à double capacité, pénétrant, pénétrant dans la zone d'accès et de déni", a déclaré M. Armagost, faisant référence à la capacité de l'avion à transporter des armes nucléaires et conventionnelles. "Il y en a maintenant six qui existent". En septembre 2021, l'armée de l'air avait déclaré publiquement qu'il y avait cinq B-21 dans divers états de production dans les installations de Northrop Grumman à l'usine 42 de l'armée de l'air à Palmdale, en Californie. Selon Air Force Magazine, M. Armagost a confirmé par la suite que la construction du sixième bombardier n'avait commencé que "ces dernières semaines". ... Au-delà de cette divulgation, M. Armagost a déclaré que le programme B-21 continue d'être un effort d'acquisition modèle en termes de coût et de calendrier, ce que d'autres responsables de l'armée de l'air et des membres du Congrès ont dit à de multiples occasions dans le passé. Il a également réaffirmé l'importance des processus d'ingénierie numérique dans le développement du bombardier. ... Quant à savoir quand le B-21 fera ses débuts en public, ce n'est pas encore clair. Les essais en vol du Raider, lorsqu'ils commenceront, auront lieu sur la base aérienne d'Edwards en Californie. Les premiers exemplaires opérationnels, que l'armée de l'air prévoit de commencer à livrer au milieu des années 2020, seront livrés à la base aérienne d'Ellsworth, dans le Dakota du Sud, puis à la base aérienne de Whiteman, dans le Missouri, et à la base aérienne de Dyess, au Texas. "Le déploiement aura probablement lieu dans le courant de l'année", a déclaré M. Armagost. "Je n'ai pas la liberté de donner la date probable de ce lancement, mais [il sera] rapidement suivi du premier vol". Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) L'article dans sa totalité : https://www.thedrive.com/the-war-zone/44235/a-sixth-b-21-raider-stealth-bomber-is-now-being-built
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Non seulement les SU-30 et SU-35 semblent ne plus trop faire rêver mais à cela vient s'ajouter la loi CAATSA
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Pas mal de biplaces. Y'aura-t-il un panache monoplaces et biplaces dans les escadrons et si oui dans quel but ?
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Voilà qui va faire criser encore plus l'Allemagne. C'est pas leur gouvernement qui demandait à ce que NG cesse de produire des sous-marins conventionnels ou était-ce juste une boutade d'un contributeur un peu facétieux ?
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En plus du SNA de la MN, un Grec d'après Naval News https://www.navalnews.com/naval-news/2022/02/french-carrier-strike-group-begins-clemenceau-22-deployment/ Several allied units will be part of the French CSG: US Navy Arleigh Burke-class Destroyer USS Ross (DDG 71) Spanish Navy Álvaro de Bazán-class frigate Juan de Borbon (F102) Hellenic Navy Eli-class frigate Adrias A Hellenic Navy submarine An NH90 NFH of the Belgian Navy (aboard Forbin)
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Ca ne fait pas un peu beaucoup de tâches pour un seul véhicule ? La charge de travail de l'équipage sera serte fortement allégée par l'automatisation et l'IA mais à vouloir mettre un laser de puissance suffisante pour détruire un drone à bonne distance, des drones de reconnaissance plus des missiles BLOS. Soit l'engin sera énorme, soit tu auras juste la possibilité d'embarquer un ou 2 drones et 2 missiles BLOS en plus du laser, non ?
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Petit constat doux amère sur le manque de matériel de protection dans la Bundeswehr https://soldat-und-technik.de/2022/01/ausruestung-bekleidung/29896/kommentar-mehr-als-symbolpolitik-mit-5-000-helmen-ist-gar-nicht-moeglich/ Commentaire : il n'est pas possible de faire plus qu'une action symbolique avec 5 000 casques. Alors que l'ambassadeur ukrainien avait déjà demandé il y a quelques jours une aide sous forme d'équipements de protection, la ministre allemande de la Défense Christine Lambrecht a annoncé hier vouloir livrer 5.000 casques à l'Ukraine. Apparemment, il ne semble pas possible d'aller plus loin que cette contribution symbolique sans mettre encore plus en danger la capacité opérationnelle de la Bundeswehr, qui a fait des économies. La décision politique de la coalition des feux de signalisation de ne livrer en aucun cas des armes dans les régions en crise et de les soutenir tout au plus avec des équipements de protection est due aux contraintes internes des membres de la coalition. Le problème de politique étrangère dans cette décision ne réside pas tant dans le type d'aide que l'Allemagne peut proposer - d'autres nations, comme le Canada, ne souhaitent également apporter leur soutien que sous forme d'équipement - que dans son ampleur. Contrairement aux années 90, les forces armées allemandes ne disposent plus de dépôts pleins pour rassembler rapidement des quantités importantes de pièces d'équipement et les livrer à un autre pays en tant que livraison d'aide. Il n'est tout simplement pas possible de fournir plus de 5.000 casques d'un type utilisé par l'armée allemande depuis les années 90 et dont la valeur comptable est d'environ 100 euros par casque. La remise de plus grandes quantités conduirait inévitablement à ce que l'équipement doive d'abord être collecté au sein de la troupe. Il faut laisser cette idée s'exprimer : La valeur totale de l'aide accordée à l'Ukraine est nettement inférieure à un million d'euros. Il n'est pas non plus surprenant que la demande ukrainienne d'assistance en gilets pare-balles n'ait pas été acceptée. Les gilets de protection sont une denrée rare au sein de la Bundeswehr. La troupe doit ici encore pratiquer la "gestion dynamique de la disponibilité", discréditée à juste titre, pour pouvoir équiper les soldats en mission de gilets de protection adéquats. Soldat & Technik a ainsi appris de source sûre que lors de l'opération d'évacuation à la fin de l'été, les parachutistes n'étaient si bien équipés en gilets de protection que parce que l'unité avait reçu au printemps la mission de tenir à disposition des forces de renfort pour le retrait allemand d'Afghanistan. C'est précisément pour cette mission qu'ils avaient reçu un équipement de protection spécial. En fait, les parachutistes de Seedorf devaient rendre leur équipement après le retrait des dernières forces de Masar-e Sharif. Ce n'est que parce que cela n'avait pas encore été mis en œuvre que la troupe a pu se rendre à Kaboul en août, pratiquement prête à l'emploi et bien équipée. En d'autres termes, cela signifie que : Actuellement, au sein de la Bundeswehr, même les soldats de cette grande unité, dont le blason porte la devise "prêt à l'emploi, à tout moment, dans le monde entier", ne sont pas tous équipés de l'équipement de protection complet. On peut imaginer la réaction de la troupe si l'ordre avait été donné de remettre des gilets de protection pour les envoyer en Ukraine. Indépendamment de l'état d'esprit des soldats, cela aurait également eu un impact massif sur la disponibilité opérationnelle de la Bundeswehr. Certes, des casques et des gilets de protection ont été achetés à plusieurs reprises ces dernières années - mais seulement à doses homéopathiques. Pour les années à venir, il faut également s'attendre à un afflux annuel de seulement quelques milliers de gilets. Non pas parce que l'industrie ne pourrait plus livrer, mais parce que le BMVg n'a tout simplement pas passé commande. Ainsi, les capacités de production des entreprises en Allemagne qui ont obtenu le marché pour la livraison sont supérieures à la quantité commandée. A cela s'ajoute le potentiel inexploité des entreprises qui n'ont pas obtenu de contrat lors de l'appel d'offres. Cela ne permet qu'une seule conclusion : la modernisation de la Bundeswehr dans le domaine de l'équipement personnel, dont font partie les casques et les gilets de protection, manque tout simplement d'ambition. Si les responsables le voulaient et mettaient des moyens à disposition, on pourrait réaliser beaucoup plus rapidement un équipement moderne complet de la troupe dans ce domaine - actuellement, cela n'est prévu qu'en 2031. Une fois cet objectif atteint, la politique aurait à nouveau l'option de proposer des prestations de soutien d'un montant significatif sans risquer la capacité opérationnelle de la Bundeswehr et ne devrait pas se contenter de mener une simple politique symbolique. Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
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c'est vrai que son chemisier est comment dire ? un peu serré... faut pas qu'elle se mette à tousser et, sur ce, je -->
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Opérations au Mali
Paschi a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
Petit rafraîchissement de mémoire de la part des Européens à l'attention des autorités maliennes http://www.opex360.com/2022/01/27/les-partenaires-europeens-de-takuba-rafraichissent-la-memoire-aux-autorites-maliennes-de-transition/ « Nous rappelons que tous les partenaires de la Task Force Takuba conduisent leur action conformément au cadre juridique solide qui a été agréé avec le gouvernement souverain du Mali, comprenant notamment une invitation formelle adressée par les autorités maliennes aux partenaires internationaux », ont ensuite continué les pays contributeurs à ce groupement européen. Et d’insister : « Ils agissent en stricte conformité avec le droit international et national, dans le cadre du soutien qu’ils apportent aux forces armées maliennes et de leur engagement de longue date dans la lutte contre les groupes armés terroristes ». « Nous rappelons que les autorités maliennes ont envoyé une lettre d’invitation formelle au gouvernement du Danemark le 27 novembre 2019. La notification d’acceptation a ensuite été transmise par l’ambassade du Danemark à Bamako le 29 juin 2021 et signée le jour-même par le Protocole du Ministère malien des Affaires étrangères et de la Coopération internationale », est-il ainsi expliqué dans le communiqué. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
Paschi a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Tout à fait, mais faudrait vraiment manquer de jugeotte, je sais on parle des US, pour installer des missiles de croisière sol-sol dans des sites fixes. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
Paschi a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Article intéressant car il met en évidence les différences entre les déploiement en 2021 et 2022 de troupes et matériels russes aux abords de l'Ukraine et pourquoi la situation actuelle fait plus craindre un conflit. https://soldat-und-technik.de/2022/01/ausruestung-bekleidung/29877/vergleich-2021-und-2022-russischer-aufmarsch-erreicht-neue-dimension/ Comparaison 2021 et 2022 : le déploiement russe atteint une nouvelle dimension Seul Moscou peut actuellement répondre avec une certitude absolue à la question de savoir si le regroupement actuel des troupes russes en Crimée, à la frontière occidentale avec l'Ukraine et en Biélorussie constitue une simple menace ou une préparation à une invasion de l'Ukraine. Ce n'est en tout cas pas la première fois que d'importants contingents de troupes russes sont récemment concentrés à la frontière occidentale de la Russie. Mais jusqu'à présent, ces effectifs ont toujours été réduits par la suite. Mais à l'heure actuelle, de plus en plus de signes montrent que Moscou est en train d'établir un état de préparation à la guerre complet, comme le montre le déploiement de troupes autour de l'Ukraine. Lorsqu'au printemps 2021, pour la première fois depuis longtemps, des unités de troupes russes importantes ont été rassemblées à la frontière ukrainienne, de nombreux observateurs ont craint que, contrairement à ce que la Russie affirmait, ces unités du district militaire du sud et de l'ouest n'aient pas été mobilisées uniquement pour organiser des manœuvres militaires d'envergure. Des experts militaires expérimentés ont souligné le fait que les contingents russes ne disposaient pas seulement de troupes de combat, mais aussi, contrairement aux années précédentes, de suffisamment de troupes de soutien pour une escalade de la situation. Cependant, les manœuvres se sont finalement arrêtées là. Même à la fin de l'automne 2021, lorsque le deuxième grand rassemblement de troupes russes dans la région a eu lieu en l'espace d'un an, la possibilité d'une escalade a été rapidement évoquée. La situation est alors restée tendue, mais le seuil d'un conflit ouvert n'a pas été franchi. Les observateurs militaires ont constaté, même pendant les phases de mobilisation, que d'importantes troupes de combat et d'appui étaient certes déployées sur un front potentiel, mais qu'il n'y avait pas de montée en puissance de la logistique proche du front - comme par exemple le transfert de grandes quantités de carburant et de matériel et de personnel sanitaire. Ils en ont donc conclu que ces manœuvres devaient finalement être des bruits de bottes. Aujourd'hui, en revanche, la situation semble encore plus menaçante : Contrairement aux précédents déploiements de troupes, les forces armées russes ont adopté une position géographique de départ nettement plus favorable à une invasion de l'Ukraine. Elles ne se trouvent pas seulement à la frontière russe avec l'Ukraine, mais aussi en Biélorussie et en Crimée. Il existe même une présence militaire russe en Transnistrie. Ce déploiement oblige les forces armées ukrainiennes, nettement plus petites, à étendre leurs lignes de défense sur le territoire. Du point de vue ukrainien, la frontière à défendre a pratiquement doublé. Une autre différence par rapport à l'année dernière est visible dans les systèmes d'armes supplémentaires qui sont cette fois-ci rassemblés dans la région, comme le révèlent les extraits vidéo de la population russe publiés sur les médias sociaux. Ces sources, appelées OSINT (Open Source Intelligence) en anglais, permettent à l'opinion publique mondiale de suivre le déploiement presque en direct. Sur Twitter, Telegram et autres, des vidéos de wagons de chemin de fer russes transportant du matériel militaire et roulant vers l'ouest sont publiées toutes les minutes. Pour un œil averti, le défilé actuel présente plusieurs différences par rapport aux bruits de bottes de l'année dernière. Il s'agit notamment de : le déploiement de troupes de missiles stratégiques Déploiement d'un plus grand nombre de moyens de guerre aérienne (hélicoptères de combat et avions de combat) Déploiement quantitativement beaucoup plus important de systèmes de défense antiaérienne à courte et à longue portée plus performants Déploiement de mortiers lourds de 240 mm de type 2S4 Tyalpan et d'obusiers d'artillerie lourds de 203 mm de type 2S7M Malka (présentés en couverture lors d'un exercice précédent). Pour les connaisseurs de la doctrine d'engagement russe, selon laquelle les attaques des troupes au sol sont préparées par un déploiement massif de forces d'appui-feu, il s'agit d'une indication claire que cette fois-ci, toutes les capacités nécessaires à différents niveaux (brigade, division, corps d'armée et armée) pour une guerre potentielle sont concentrées dans la zone d'engagement. Dans le domaine de la logistique également, des dispositions plus complètes sont apparemment prises, contrairement à l'année précédente. Il existe en outre des indications sur la mobilisation de troupes de maintien de l'ordre du ministère russe de l'Intérieur. Celles-ci sont typiquement nécessaires pour sécuriser l'espace arrière derrière le front. En outre, Moscou a suspendu - soi-disant à cause de la situation de Corona - le document de Vienne pour le prochain exercice à grande échelle des forces armées russes et biélorusses. Cet accord international prévoit la participation d'observateurs militaires de nations étrangères aux exercices militaires afin d'accroître la transparence. Les observateurs des pays occidentaux n'y ont toutefois pas accès. Même si les intentions de la Russie ne peuvent pas être déterminées avec certitude à distance, l'analyse du déploiement montre clairement qu'il est pris très au sérieux par l'OTAN, et ce à juste titre. En effet, tant en termes de qualité que de quantité, il dépasse largement les démonstrations de force des années précédentes. Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) -
Le YEMEN en voie de "Somalisation"
Paschi a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
Des F-16 émiratis frappent un lanceur de missiles balistiques au Yémen en représailles à un autre bombardement sur Abu Dhabi. Les défenses aériennes des Émirats ont abattu deux missiles balistiques tirés depuis le Yémen et le gouvernement a interdit l'utilisation de la plupart des drones. Une vidéo publiée par le ministère de la défense des Émirats arabes unis prétend montrer un avion de chasse F-16 frappant un lanceur de missiles balistiques Houthi au Yémen, quelques heures seulement après que celui-ci ait lancé deux missiles dans une attaque contre Abu Dhabi, la capitale des Émirats arabes unis. Ces deux missiles ont été interceptés avec succès par les défenses locales. Le lanceur de missiles coupable se trouverait dans le gouvernorat d'al-Jawf, à environ 870 miles au sud-ouest d'Abu Dhabi. Le journal The National, lié à l'État des Émirats arabes unis, a identifié le F-16 comme appartenant à l'armée de l'air et à la défense aérienne des Émirats arabes unis. La suite : https://www.thedrive.com/the-war-zone/43992/uae-f-16s-strike-ballistic-missile-launcher-in-yemen-in-retaliation-to-another-barrage-on-abu-dhabi