Alberas
Members-
Compteur de contenus
3 092 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
1
Tout ce qui a été posté par Alberas
-
J'ai repéré un article dans uusi suomi mais il est réservé au abonnés. Peut être @jeannelaflamme peut l'avoir en entier? Le commerce des chasseurs finlandais devient une séquelle difficile, prévient Jari Ronkainen, vice-président de la commission de la défense - "Nous devons prendre un sauna" La plus grande préoccupation ici est peut-être de savoir comment la Suède se sentira si nous ne choisissons pas une machine suédoise", déclare Jari Ronkainen de Basic Finland. Il considère qu'il est inévitable que la Finlande doive envisager une modification de la loi sur l'utilisation des conscrits dans les opérations sur son propre sol, y compris dans des conditions normales. L'ascension de Ronkainen au Parlement a également été décevante, mais rétrospectivement, sa famille a évité une « tâche impossible ».......
- 4 692 réponses
-
- 2
-
-
- rafale
- f-18 hornet
-
(et 3 en plus)
Étiqueté avec :
-
LA SITUATION AU PEROU.... Pour les Rafale, il va falloir attendre un peu! La vente de l'avion, acheté il y a 25 ans pour près de 28 millions de dollars, doit financer les secteurs de la santé et de l'éducation, durement éprouvés par la pandémie de Covid-19. Article rédigé par franceinfo - Isabelle Labeyrie Radio France Publié le 11/11/2021 12:30 Temps de lecture : 3 min. L'avion présidentiel péruvien à proximité de l'aéroport de Lima (Pérou). (ERNESTO ARIAS / AFP) L'annonce a été faite, à l'occasion de ses 100 premiers jours au pouvoir, par un Pedro Castillo en tunique traditionnelle aux couleurs vives, coiffé de son habituel chapeau blanc à larges bords, mercredi 10 novembre. Le président du Pérou a décidé de mettre en vente l'avion présidentiel. L'avion est un vieux Boeing 737-528 de 70 places entièrement peint en gris – il appartient à l'armée de l'air. Ses coûts d'entretien et de fonctionnement sont devenus beaucoup trop lourds. C'est donc la première mesure d'austérité symbolique prise par ce nouveau président, instituteur issu d'un parti d'inspiration marxiste, élu en juillet sur des promesses de rationalisation des dépenses publiques. Ce n'est pas la première fois d'ailleurs que le pays tente de se séparer de cet avion. En 2007 déjà, il a été mis aux enchères. Deux fois. Mais ça n'a pas marché : à l'époque, l'État en demandait plus de 18 millions de dollars. Il faut d'ailleurs croire que cette tendance est à la mode chez les tenant de la gauche en Amérique latine, puisque les présidents équatorien et mexicain vont eux aussi se séparer de leur avion officiel pour mettre un peu de beurre dans les épinards. Pour l'instant, ils n'ont pas d'acheteur. Au Pérou on ne sait pas combien Pedro Castillo espère obtenir. Mais il a promis que l'argent de la vente financerait la santé et l'éducation, deux secteurs très éprouvés par la pandémie de coronavirus. Une instabilité économique et politique Avec 200 000 morts du Covid-19 pour 33 millions d'habitants, le Pérou connaît le taux de mortalité le plus élevé au monde. Avant la pandémie, l'économie péruvienne était l'une des plus dynamiques de la région, le virus l'a mise à terre. L'an dernier, le PIB a perdu 11%, le pays est entré en récession. Le gouvernement espère vacciner 70% de la population de plus de 12 ans d'ici la fin de l'année (à ce jour le chiffre atteint péniblement 51%). Mais le personnel des hôpitaux est épuisé. En matière d'éducation, les élèves eux n'ont pas eu de cours en présentiel depuis mars 2020. Grosses turbulences également dans le ciel politique, avec une succession de démissions ces dernières semaines : après le Premier ministre et le ministre de la Défense, c'est le ministre de l'Intérieur qui a tenté de faire passer pour une réunion de travail une grande fête organisée chez lui pour Halloween, alors que tout rassemblement venait d'être interdit par décret. Le Pérou affronte une instabilité politique récurrente : il a connu trois présidents différents en une seule semaine en novembre dernier. Sans oublier le fait que sept des dix précédents dirigeants du pays ont été condamnés ou font l'objet d'une enquête pour corruption. Pour remettre son pays sur les rails, Pedro Castillo annonce également une revalorisation du salaire minimum qui passera de 930 à 1 000 sols, soit 223 à 250 dollars à partir du 1er décembre. Et pour faire rentrer de l'argent dans les caisses, il a aussi interdit aux fonctionnaires de voyager en première classe. "Dans un gouvernement du peuple, les fonctionnaires voyageront comme des citoyens ordinaires". Que ce soit en train ou en avion.
-
Dernières infos sur le Bangaldeh ... il y a encore du chemin à faire: Bangladesh Coopération en matière de défense L'Europe de plus en plus intéressée par la vente d'armes au Bangladesh Raheed Ejaz Dacca Publié: 11 novembre 2021, 11:38 Ces dernières années, les grandes puissances mondiales, dont l'Europe, ont accordé une importance croissante à la coopération en matière de défense avec le Bangladesh. L'Allemagne, la France, l'Italie et l'Espagne s'intéressent de plus en plus à la fourniture d'armes de haute technologie. Ces pays négocient à différents niveaux au Bangladesh pour vendre des armements et équipements modernes utilisés pour l'entraînement. La question des ventes d'armes a même figuré en bonne place lors de la visite en France du Premier ministre Cheikh Hasina. Le Premier ministre a rencontré mardi le président français Emmanuel Macron le premier jour de sa visite de cinq jours. Après la réunion, un protocole d'accord (MoU) pour la coopération en matière de défense a été signé entre les deux pays. Eric Trapier, PDG de Dassault, constructeur français d'avions et d'avions commerciaux, a rendu mercredi une visite de courtoisie au Premier ministre du Bangladesh. Il a également évoqué la vente de Dassault Rafale, un avion de chasse multirôle bimoteur français. Des responsables gouvernementaux affiliés aux négociations concernant l'achat d'armements aux pays européens ont déclaré que le Bangladesh avait pris l'initiative de moderniser ses forces armées à travers le programme «Forces Goal - 2030». En conséquence, les grandes puissances de l'Union européenne se sont intéressées à vendre des équipements de défense, y compris des avions, au Bangladesh. Se référant à diverses visites officielles du Bangladesh au cours des deux dernières années, les diplomates affirment que l'intérêt de l'Europe pour le renforcement de la coopération en matière de défense et la vente d'armements augmente. Le Premier ministre Sheikh Hasina a effectué une visite officielle à Rome à l'invitation du Premier ministre italien Giuseppe Conte en février 2020. À l'époque, l'Italie était très désireuse de signer un accord de défense avec le Bangladesh. L'Italie voulait vendre l'avion de chasse « Eurofighter » au Bangladesh, fabriqué dans le cadre d'une joint-venture de quatre pays. En dehors de cela, l'Italie voulait également vendre l'avion de combat Leonardo, qui a été fabriqué par l'Italie elle-même. Cependant, l'accord de défense n'a pas été signé entre les deux pays à l'époque. Plus tard en mars de la même année, la ministre française de la Défense, Florence Parly, est venue à Dhaka pour une visite de deux jours. Elle a souligné la vente de Dassault Rafale lors de sa rencontre avec le Premier ministre et le ministre des Affaires étrangères de l'époque. À l'heure actuelle, outre la France et l'Italie, l'Allemagne et l'Espagne sont également en négociations avec le Bangladesh concernant la fourniture de divers armements, notamment des avions de combat, des hélicoptères, des petits sous-marins, des systèmes de défense aérienne et des dragueurs de mines. À l'heure actuelle, le Bangladesh est fortement dépendant de la Chine en termes d'approvisionnement en armes. S'adressant à Prothom Alo concernant l'intérêt des nations européennes à fournir des armes au Bangladesh, le ministre des Affaires étrangères Masud Bin Momen a déclaré : « Le Bangladesh veut apporter de la diversité à ses achats d'armes. Les pays européens sont conscients que nous avons acquis cette capacité. Ils montrent donc de l'intérêt pour nous vendre des armes. Le mois dernier à Berlin, le ministre allemand des Affaires étrangères a également soulevé la question de la vente d'armes au Bangladesh. Notamment, le 30 mai dernier, un accord a été signé pour l'achat de 24 avions d'entraînement en présence du chef de l'armée de l'air et de l'ambassadeur d'Allemagne. Ces avions sont fabriqués par l'allemand Grob Aircraft SE. La compétition entre « Dassault Rafale » et « Eurofighter Typhoon » Dans le cadre de la modernisation des forces armées du Bangladesh, des efforts sont déployés pour moderniser la flotte d'avions de combat de l'armée de l'air. Le Royaume-Uni, la France, l'Allemagne et l'Italie discutent de la question avec le Bangladesh depuis plusieurs années. La France avec son Dassault Rafale est en concurrence avec les Eurofighter Typhoon fabriqués au Royaume-Uni, en Allemagne, en Italie et en Espagne. Lors d'un dialogue stratégique entre les deux pays en avril 2019, le Royaume-Uni a soulevé cette question dans le cadre de la coopération en matière de défense. Le Royaume-Uni a déclaré qu'il souhaitait vivement vendre des avions de combat polyvalents. Publicité La liste continue Des responsables gouvernementaux, impliqués dans l'achat d'armes aux pays européens depuis plusieurs années, ont déclaré à ce correspondant que des discussions étaient en cours concernant l'achat d'avions de combat, d'avions d'entraînement ainsi que d'autres équipements de défense. L'Italie, par exemple, est intéressée à vendre des systèmes de défense aérienne, des hélicoptères et des dragueurs de mines, en plus de la proposition concernant la vente des typhons Eurofighter. L'Espagne a entamé des négociations sur la vente de systèmes de défense aérienne. Les Pays-Bas ont exprimé leur intérêt à vendre diverses armes à la marine, y compris des navires. Le général de division (ret) ANM Muniruzzaman, président de l'Institut d'études sur la paix et la sécurité du Bangladesh, a déclaré à Prothom Alo que le Bangladesh entretient de bonnes relations avec quatre pays européens - la France, l'Allemagne, l'Italie et l'Espagne. Tous ces pays veulent les avantages de la diplomatie financière. Ils veulent saisir cette opportunité car ils ont la capacité de fabriquer des armes. Cependant, la question est de savoir si nous avons la capacité financière d'acheter une telle quantité d'armes. Concernant la coopération de défense entre la France et le Bangladesh, l'expert en sécurité a déclaré qu'une étape majeure a été franchie en signant pour la première fois un accord de coopération de défense avec la France. Cela semble indiquer que la France accorde de l'importance à l'augmentation de sa capacité de défense et de ses ventes. *Ce rapport est paru dans les éditions imprimées et en ligne de Prothom Alo et a été réécrit en anglais par Ashish Basu
-
Compte tenu des conditions de la compétition, la décision de la Finlande créera une hiérarchie bien plus crédible que celle de la Suisse. Et si c'est le f35 qui gagne, on ne pourra que penser que les critiques sur lui qui sont en permanence répétées dans ce forum ne sont pas justifiées. Et vice versa si le f35 perd; Le vainqueur gagnera une crédibilité incontestable.
-
On peut raconter tout ce qu'on veut sur les futurs achats de Rafale en Egypte, mais c'est pas pour 2022/2023.. Moi, les questions que je me pose sont: "quel sera l'effet du choix finlandais sur les ventes de Rafale"? "Que vont faire les EAU?"
-
Nous espérons tous que ce sera le cas avant le 31 décembre 2021. Mais pour en revenir à un 3ème lot ... Si al Sissi avait voulu monter à 80 ou 100 Rafale, il aurait pu le faire en en commandant directement 60 ou 80 appareils avec un calendrier de livraison adhoc. Encore faut il avoir le budget pour ça. La Finlande peut le faire, mais pas l'Egypte. Le risque économique et le risque politique en Egypte sont trop forts pour que la France garantisse des contrats aussi élevés, sachant que l'encours des crédits français ne couvre pas que Dassault. Cela montre que la concurrence ne porte pas que sur les qualités de l'avion, elle porte aussi sur les qualités du financement.
-
L'Egypte a commandé son 1er lot de 24 Rafale en 2015, et le 2ème lot de 30 appareils en 2021, mais toujours pas en vigueur. Que al Sissi souhaite en commander un 3ème lot, c'est très bien, mais il faudra attendre quelques années. -
-
Des journaux locaux sur Google. Mais ça n'engage à rien! Ca fait partie des documents qu'on signe avec tous les pays pour que des industriels puissent discuter avec des clients potentiels.
-
Discussion sur les accusations de Mediapart envers Dassault
Alberas a répondu à un(e) sujet de Picdelamirand-oil dans Divers air
N'oublions pas qu'on est entré en période pré électorale. Mediapart et aussi Politis, qui sort des articles sur la "France immorale marchande d'armes", sont des publications de "la gauche-écolo-pacifiste" alliées des associations du type ATTAC ou ANTICOR. Macron, et nos entreprises, sont leurs adversaires privilégiés. -
Bon, une LOI de coopération en matière de défense a été signée avec le Bangladesh. Est ce que ça fait suite à une demande de prospection ou de proposition de Dassault (ou d'autres industriels) dans le pays? Pour ceux qui l'ignoreraient, la prospection est la 1ère autorisation octroyée par la CIEEMG dans le processus de vente. C'est très en amont d'une hypothétique vente, mais ça permet de transférer quelques infos au pays en question. L'autorisation de proposition est l'étape suivante.
-
Les américains vont encore renforcer l'armée de l'air marocaine avec la vente de 20 F16 "dernier modèle (?)". Ce n'est pas anodin pour l'Espagne et c'est donc normal que la VP aille les rassurer.
-
La cour de jeux dont je parlais était "les pays du Golfe" On y a eu notre heure de gloire, surtout en KSA avec DCNS et Thomson-csf, les UAE avec Dassault et le GIAT... Mais c'était il a plus de 20 ans. Depuis, à de rares exceptions près, on s'est fait laminer par les USA, UK et même l'Italie et l'Espagne (TGV). Le Qatar est un cas à part. Il s'est mis bien avec tout le monde.
-
La, je suis d'accord. On peut développer une version export à partir de la version nationale. Normalement, il y a une redevance à payer à l'Etat pour chaque vente export basée sur un produit national. Assez souvent, on arrive à l'éviter ou la minimiser.
-
Merci @herciv pour ce post. Donc, le projet EAU fait rage! Et dire que certains ne voulaient pas en parler! Mais que fait donc Dassault? ... La réponse est évidente. La France ne joue pas dans la même cour. Mais on ne peut pas s'en offusquer. Heureusement, il nous reste une chance: la susceptibilité des Princes du golfe face aux gros sabots des américains.
-
Ouais! Dassault pourrait peut être même aller piquer du fric dans la caisse pour commencer tout de suite le développement. Pas besoin que la DGA étudie s'il n'y aurait pas d'autre solution que le 10x. Ca fera gagner du temps.
-
Cites moi un matériel militaire développé par Dassault Thales, Safran, avec des crédits du Mindef, qui ne l'aie pas été pour répondre aux objectifs tactiques ou stratégiques de la France. C'est la raison d'être de cette industrie. Mais les industriels, eux, ne peuvent pas s'en contenter. Quand ils le peuvent, et quand le client paye pour, ils adaptent le matériel franco fraçais aux besoins du pays client. Quant au f35 et aux autres matériels US, ils sont définis, développés et fabriqués pour répondre aux armées des USA. C'est pareil pour tout le monde. Et bravo à la DGA de financer des contrats de "maintien des compétences" pour certains labos des industriels.
-
Mais c'est bien évident D'ailleurs c'est pour cela que je me suis inscrit sur le forum. On y trouve de tout, et même quelquefois du très intéressant sur des sujets qu'on ne connaissait peu ou pas du tout. Il y a même des contributeurs qui dépassent les 10k messages. Ils doivent avoir un sacre durillon de comptoir eux aussi! Et peut être un avis motivé sur les EAU? A moins qu'on considère que ce n'est plus un sujet de "qui sera le prochain client.." A mon niveau, je ne peux livrer qu'une info partielle datant de 2008 (à peu près) quand le PDG de Thales avait reçu une lettre de boycot tant qu'il n'accepterait pas les nouvelles conditions d'offset aux EAU. Le bruit courait dans nos couloirs que ce refus des conditions d'offset venait d'un ordre du principal actionnaire de Thales, qui ne voulait pas que ce soit un précédent pour la vente de Rafales ... Depuis, Airbus a vendu des MRTT et Thales a vendu un satellite ...
-
Discussion sur les accusations de Mediapart envers Dassault
Alberas a répondu à un(e) sujet de Picdelamirand-oil dans Divers air
7,5 M€ en 5 ans pour travailler sur un tel contrat ... c'est pas crédible, c'est du gagne-petit. Mais pour Mediapiss, dès que tu dépasse le SMIC, tu es suspect. Qu'ils aillent faire un tour à Koweit ou à Riadh. Là bas, il comprendra ce que coute le lobbying. -
C'est pas à Mme Irma que je posais cette question mais aux experts en stratégie du forum
-
A quelques jours de l'ouverture du salon de Dubai, pensez vous que les Emirats annoncent l'achat de Rafale ou de F35,
-
Les banques comme BNP ou SG n'investissent pas dans Dassault pour aider à ses ventes. Elles participent aux ventes en prêtant aux acheteurs étrangers, dans des pays où elles sont déjà implantées et où elles participent à la vie économique du pays. Elles y ont leurs contacts au niveau des ministères des finances et budget et aussi auprès de personnalités du monde de la finance et de la politique. Ce faisant, elles participent à l'effort de vente global. Mais la défense n'est qu'une faible partie de leurs activités. Mais avec la multiplication des mediapart et autres lanceurs d'alertes, elles ont la hantise de se faire accuser d'être complice des opérations de corruption dont on accuse souvent les vendeurs de matériel de défense. Et si c'était une banque publique adhoc qui finançait ces ventes, c'est alors l'Etat qui en serait accusé (alors qu'il est déjà accusé d'armer des dictatures, ...). Notre problème français est que nous vendons surtout dans des pays où de telles questions sont fréquemment soulevées. Beaucoup plus qu'en Norvège, Pays Bas ou Suisse.
-
Evidemment. Mais pourquoi ne l'a t on pas encore fait?
-
Je suis OK avec @Boule75et @Patrick sur la quasi totalité de leurs posts. Mais il y a quand même un bémol. La compétition entre les pays existe dans tous les domaines. L'expression "un pays n'a pas d'amis, il n'a que des intérêts" est appliquée par tous. Une co-opération n'est donc possible que chacun y trouve son intérêt. Les discusions sur le SCAF en sont une exemple parfait. Et c'est vrai qu'on a du mal à voir quel y est l'intérêt français. Mais dire que la France est "capable de se défendre de manière souveraine sans dépendre d'alliés ..." c'est historiquement faux et l'exemple des opex en Afrique démontre que ça l'est encore.
-
Vous confondez les sociétés d'investissement et les business angels, qui investissent dans une société ou lui prètent de l'argent, avec les banques qui, dans le cas qui nous intéresse, prètent de l'argent aux acheteurs. Mais il est vrai que c'est un problème car les banques comme la BNP ne veulent pas se prendre les pieds dans le tapis.
-
BPI n'est pas une banque et n'a pas le droit d'exercer dans le secteur de la défense.