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Alberas

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Tout ce qui a été posté par Alberas

  1. Oui, et c'est là où le groupe américain amène ses dollars
  2. -On nous parle d'une PME de 75 salariés et de 40 Meur de CA, qui serait endettée (ça c'est normal si elle est en croissance) et dont le prix de cession serait de 365 Meur, 10 fois le chiffre d'affaire! : Ca parait démesuré. L'explication (pour moi) est dans l'identité de l'acheteur. LOAR group est une holding d'entreprises travaillant chacune dans une niche technique de l'aéronautique. Il fonctionne comme un grossiste en quincailleire spécialisée. Au 1er abord, c'est positif pour la PME française, car ça lui ouvre un marché plus important. Mais pour rentabiliser son achat, LOAR Group va ceratienement fortement augmenter les prix. Et après ... Tout ceci pose quand m^me le problème de la pérennité d'une PME de 75 employés sur un marché de niche. Pas simple.
  3. Alberas

    L'armée de terre tchèque

    C'est le modèle "full options" ?
  4. Très bonne idée .... mais il était pas question de faire des porte avions communs avec eux ?
  5. D'abord , il faut arréter de sombrer dans la schyzophrénie paranoïde contre les américains parce qu'un "nouveau Néron et son fou dopé à la kétamine" se sont installés à la Maison Blanche. Il passera comme sont passés nos propres dirigeants foireux. Mais reconnaissons lui le mérite de réveiller certains d'entre nous de leur rêve de commerce mondialisé bienheureux sous un parapluie quasi gratuit. Ensuite, "indépendance" ne veut pas dire "autonomie technologique universelle" . Mais si nos dirigeants veulent ajouter les catapultes à la liste des produits ITAR FREE indispensables ...
  6. Tu parles d'une indépendance française avec'une industrie capable de faire une catapulte ITAR FREE? Pour UN PA tous les 50 ans? PS Sincèrement, je me demande comment on a fait pour vendre des Rafale STOBAR aux indiens en nous bouchant le nez sur ce type de PA!
  7. On ne peut pas courir tous les lièvres à la fois: - l'augmentation de cadence du Rafale pour répondre à une demande mondiale plus forte, y/c européenne - l'accélération du développement du Rafale F5 et de son super Neuron - L'accélération du NGF/SCAF C'est trop et trop vite pour la BITD française. Il faut garder le Rafale F4 pour les clients actuels du club Rafale et pour les nouveaux clients hors Europe, en laissant les pays européens sur le Typhoon et le Gripen. Et mettre le F5 le plus vite possible sur le marché en laissant le SCAF avancer à son rythme.
  8. Donc on revient aux catapultes US et on arrète de se faire des noeuds au cerveau. CQFD
  9. Saurait on même les développer, les fabriquer, les qualifier? En faire 3 ... et puis plus rien? A ce compte là, si on ne veut plus acheter les catapultes aux US, autant faire des PA STOBAR. Pour le même prix, on pourrait même s'en offrir 2
  10. On pourrait aussi ajouter les catapultes de nos porte avions. Mais inversement ils achètent les sonars Captas de Thales ... On ne coupera jamais les ponts complètement. Mais ceci tend à montrer que la France a raison de vouloir continuer sur un PATMAR national et que les Allemands ont eu tort.
  11. Alberas

    [Rafale]

    En commençant par passer les commandes. "Fabriquer c'est le savoir-faire des industriels " [Patrice Caine ]
  12. Avec ces milliards qui tombent du ciel par centaines ... le budget 2026 va être sympa: - Retour à la retraite à 60 ans - Augmentation générale de tous les fonctionnaires - SMIC à 1500 euros - etc Ce déluge d'annonces de crédits illimités est indécent.
  13. Oui, et au delà c'est iris², en espérant que les revendications de chaque pays pour avoir un morceau du gateau ne tueront pas le projet. https://armees.com/la-defense-veut-lacher-starlink-pour-des-satellites-europeens-voici-son-remplacant/ La défense veut lâcher Starlink pour des satellites européens, voici son remplaçant Alors que l’Ukraine lutte pour ses communications, Starlink est devenu vital. Mais avec Eutelsat en embuscade, l’avenir des satellites en Europe pourrait changer. Depuis le début de l’invasion russe, l’Ukraine a dû innover pour garder ses communications actives. Starlink, le réseau satellite de SpaceX, s’est retrouvé au cœur de cette démarche. Pourtant, avec les nombreux changements sur le plan géopolitique et économique, d’autres acteurs, comme Eutelsat, font leur entrée en proposant des alternatives à explorer. Le rôle indispensable de Starlink pour l’Ukraine Les réseaux fixes et mobiles en Ukraine ont pris cher avec tous les dégâts causés par les bombardements russes. Face à tout ça, Starlink s’est révélé indispensable pour que les communications militaires ukrainiennes continuent de fonctionner. En fournissant des dizaines de milliers d’antennes paraboliques équipées de terminaux, Starlink a permis à Kiev de conserver un commandement opérationnel sur le champ de bataille. À un moment, ces services étaient si importants qu’ils servirent même à guider des drones d’attaque, avant que SpaceX ne mette un terme à cette pratique il y a deux ans. Au départ, SpaceX a soutenu l’Ukraine en voyant le gouvernement américain reprendre le financement des services Starlink. En plus, la Pologne s’est engagée à continuer de payer l’abonnement ukrainien à Starlink. Eutelsat : une alternative européenne intéressante Face à la dépendance de plus en plus forte sur Starlink, Eutelsat se présente comme une option européenne à considérer. Depuis sa fusion avec OneWeb en 2023, Eutelsat gère désormais une constellation de satellites en orbite terrestre basse, assurant une couverture mondiale comparable à celle de Starlink. Des discussions sont en cours entre Eutelsat et l’Union européenne pour améliorer les services destinés à l’Ukraine. Déjà impliqué dans les communications gouvernementales ukrainiennes, Eutelsat pourrait bien renforcer encore son rôle sur le terrain. Sur le plan technique, voici quelques chiffres à retenir : Starlink dispose d’une flotte impressionnante de plus de 7 000 satellites, tandis qu’Eutelsat et OneWeb possèdent 630 satellites OTB et 35 satellites géostationnaires (précision : OTB signifie « en orbite terrestre basse »). Côté débit, Starlink peut atteindre jusqu’à 200 mégabits par seconde, contre 150 mégabits par seconde pour Eutelsat. Les tarifs varient également : un terminal OneWeb coûte jusqu’à 10 000 dollars, alors que celui de Starlink se paye par une somme unique de 589 dollars, auxquels s’ajoute un abonnement mensuel oscillant entre 95 et 440 dollars selon l’utilisation. Les défis géopolitiques et économiques Accéder aux services satellitaires ne se résume pas à une simple question technique : c’est aussi une affaire de pouvoir et d’argent. Les négociateurs américains pourraient s’en servir comme monnaie d’échange dans leurs discussions avec Kiev concernant ses ressources minières. Pendant ce temps, le cours de l’action Eutelsat a explosé après une altercation publique entre Volodymyr Zelensky et Donald Trump fin février. Par ailleurs, les troupes ukrainiennes rencontrent encore des soucis techniques, notamment avec le brouillage des signaux et l’interception des communications sur les lignes de front. La question du financement supplémentaire pour les abonnements ukrainiens à OneWeb reste également en suspens. La dépendance grandissante aux satellites privés fait de plus en plus parler d’elle. Patrice Caine, PDG du groupe Thales, tire la sonnette d’alarme sur les risques d’une telle situation tout en soulignant qu’il faudrait un contrôle public sur ces infrastructures. Il rappelle d’ailleurs que « les gouvernements veulent être maîtres de leurs communications » et met en garde quant à l’association entre logique économique et motivations politiques, ce qui peut inquiéter certains clients. Dans cette optique, le projet Iris² vise à créer un réseau satellitaire entièrement européen qui réponde aux besoins des gouvernements du Vieux Continent.
  14. Il est évident qu'on ne parle pas d'offset direct.
  15. C'est encore plus bête ... Le gus était de passage (en vacances ?) à la Martinique et il a vu les 3 Rafale et 1 A400M stationnés sur l'aéroport. Il a pris une photo et il l'a diffusée. Et tout ça, ça fait un scoop sur l'avancée du Rfale au Pérou . Je vais me remettre à la camomille, le thé c'est trop fort ^pour moi
  16. Ce doit être l'attaché de défense à l'ambassade du Pérou à Paris. Il pourra envoyer un rapport !
  17. Alberas

    L'Inde

    J'ai plutôt le sentiment qu'ils ont compris que les avions occidentaux étaient technologiquement plus avancés que les Russes. En contrepartie, ces derniers sont moins chers et probablement moins complexes à assembler que les notres. Mais face aux chinois ...
  18. Tu as raison, mais il s'agit de remplacer des F35 que les pays ont supplié les américains de leur vendre, et à travers des contrats FMS....par des Rafales
  19. Oui, il y a toujours une clause de "termination" dans les contrats. Mais on ne prévoit pas celui de la dénonciation unilatérale pour convenance personnelle sans cas de force majeure (identifié et reconnu comme tel par l'autre partie) Dans ce cas c'est une défaillance de l'acheteur, type Aukus. Mais, contrairement au cas australien qui s'est traité à l'amaible, ça finirait probablement dans les tribunaux américains, et surement pas à la CCI de Paris. Je te laisse imaginer la suite.
  20. Alberas

    [Rafale]

    Quelqu'un a l'article complet?
  21. Alberas

    [Rafale]

    Comment vous faites pour passer des 10t mentionnées dans l'article à 20t ?
  22. Je retire mes commentaires. En vérifiant, je vois que le contrat des 6 1ers indonésiens est entré en vigueur en sept 2022. Il est donc logique qu'il y ait peu ou pas de livraisons à l'Indonésie en 2025.
  23. Oui, c'est bien quand on compare à 2023 ... mais les résultats 2022 étaient supérieurs à ceux de 2024. Heureusement DA devrait être dans une phase ascendante.
  24. Avec 13 livraisons pour l'AAE, il n'en reste que 12 pour l'Egypte et l'Indonésie. A ce rythme là, parler de cadence 4 ressemble à un exercice de communication.
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