Alberas
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Actualités de Thales Défense, Aéronautique, Espace , Cyber
Alberas a répondu à un(e) sujet de Alberas dans Economie et défense
On sort un peu du domaine de la défense, mais tout ce qui touche à l'Inde nous intéresse fortement. Et le fait que ce soit Thales qui ait été choisi par Indigo n'est surement pas neutre! Thales séduit le géant indien IndiGo avec ses services de maintenance pour avion Thales séduit le géant indien IndiGo avec ses services de maintenance pour avion | Crédits photo : Bernard Rousseau © THALES (Bernard Rousseau © THALES) Par AGEFI - Dow Jones Publié le 17 sept. 2025 à 06:56 PARIS (Agefi-Dow Jones)--Thales pousse encore un peu plus ses pions en Inde. Le groupe tricolore de technologies et de défense a annoncé mercredi avoir signé avec IndiGo un contrat de maintenance avionique concernant plus de 1.200 appareils de la plus grande compagnie aérienne indienne. Si Thales précise que cet accord court sur une durée de 11 ans, il est cependant resté silencieux sur les montants financiers en jeu dans son communiqué. Contacté par l'agence Agefi-Dow Jones, le fleuron tricolore ne s'est pas montré plus disert. Dans le détail, ce contrat de maintenance avionique couvre les 430 monocouloirs Airbus A320 de la compagnie IndiGo, ainsi que les 800 appareils supplémentaires de la famille A32X qui feront l'objet d'une future commande. + Un site fraîchement ouvert à Delhi + Les interventions sur les appareils seront pour la plupart gérées dans les nouvelles installations MRO (maintenance, réparation et révision) de Thales implantées à Gurugram, près de l'aéroport de Delhi en Inde. Ce nouveau site avait été inauguré en grande pompe en mars dernier, en présence de Shri Kinjarapu Rammohan Naidu, le ministre indien de l'aviation civile. En parallèle, Thales a également profité de l'occasion pour annoncer mercredi la prolongation de 5 ans du contrat entre sa filiale AvioBook (acquise en 2016) et IndiGo. + Une présence en Inde qui remonte à loin + La compagnie aérienne indienne continuera ainsi d'utiliser la solution AvioBook Flight, qui vise à proposer de manière numérique les documents nécessaires aux pilotes lors de la préparation et de la conduite d'un vol. Cela permet ainsi de "réduire de manière significative la consommation de papier", souligne Thales. Ces deux contrats permettront au groupe dirigé par Patrice Caine de renforcer ses positions dans un pays où la croissance du trafic aérien est promise à un bel avenir. Et où la société peut se targuer d'une connaissance fine du marché local puisqu'elle y est présente depuis 1953. De nos jours, plus de 2.200 personnes travaillent en Inde pour Thales et ses co-entreprises. -
Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
Alberas a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
A fin 2025, il va rester 210 avions à livrer jusqu'à 2032, soit une moyenne de 30/an. Il est donc nécessaire d'augmenter la cadence (indépendamment du contrat MRFA) pour livrer des nouvelles commandes. Et avec le 4.3 et ensuite le F5, les clients ne vont pas manquer. Et puis il n'y a rien de dramatique à diminuer la cadence à 4, voire à 3. -
Je suis quand même surpris par le prix pour seulement 12 avions.
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Attention ... là tu frises l'infox
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Un article intéressant car il détaille la fourniture éventuelle de F16. Mais 12 avions pour 3.4 millirds $, ça donne une idée du prix pour 24 avions, bien au delà du budget annoncé. Pour 3,42 milliards de dollars, les États-Unis ont autorisé la vente de 12 nouveaux avions de combat F-16 Block 70 pour équiper l'armée de l'air péruvienne. Par Rédaction - 16 septembre 2025 Le gouvernement américain a autorisé la vente éventuelle d'un maximum de douze (12) nouveaux avions de combat F-16 Block 70 destinés à équiper l'Armée de l'air péruvienne (FAP). Cette opération, évaluée à 3,42 milliards de dollars et s'inscrivant dans le cadre du Programme de ventes militaires à l'étranger (FMS), a récemment été notifiée par le Département d'État au Congrès américain pour approbation. Selon les dernières informations des autorités ministérielles et militaires, l'armée de l'air péruvienne est en phase finale de sélection de son futur chasseur polyvalent. Parmi les candidats évalués figurent le Saab JAS-39 Gripen E/F , le Dassault Aviation Rafale et le Lockheed Martin F-16 Block 70 Viper. Bien qu'une annonce officielle était attendue pour la fin du mois de juillet dernier, elle n'a pas eu lieu . Parmi les événements les plus récents, on peut citer la visite en Suède et en France du ministre de la Défense Walter Astudillo et du ministre des Affaires étrangères Elmer Schialer en août. Comme indiqué précédemment, les pays européens susmentionnés redoublent d'efforts et améliorent leurs propositions pour remporter ce prix. À cet égard, on a appris que Saab et le gouvernement suédois ont ajouté l'avion de détection et de contrôle aérien GlobalEye à leur proposition visant à équiper le FAP du Gripen E/F . Cette capacité est une exigence formulée par le chef de l'armée de l'air péruvienne, le général Carlos Enrique Chávez Cateriano. Cependant, l'autre concurrent, l'entreprise américaine Lockheed Martin, cherche également à positionner le F-16 Block 70 pour répondre aux exigences du FAP. Ainsi, et sur la base des informations communiquées aujourd'hui, 16 septembre, par l'Agence de coopération pour la défense et la sécurité (DSCA), le gouvernement péruvien a demandé l'achat de douze (12) nouveaux chasseurs, dont dix (10) correspondent à la variante monoplace du F-16C et deux (2) à la variante biplace du F-16D . À son tour, le package, évalué à 3,42 milliards de dollars américains, comprend la fourniture de quatorze (14) moteurs F110-GE-129, ainsi que le lot respectif de pièces de rechange, de mises à jour et d'assistance du fabricant. En termes d'armement, les Vipers que le Pérou pourrait acquérir seraient équipés de douze (12) missiles air-air à longue portée AIM-120C-8, la version la plus avancée du missile disponible pour les clients exportateurs, complétés par douze (12) missiles air-air à courte portée AIM-9X Block II Sidewinder, ainsi que de canons M61A1 et de lance-roquettes guidés LAU-129. De plus, et conformément à la variante autorisée pour le Pérou, on note la présence de radars AN/APG-83 AESA, de systèmes de guerre électronique AN/ALQ-254 Viper Shield ou équivalents, ainsi que de nacelles de désignation de cibles AN/AAQ-28 Litening. Le Département d'État a déclaré : « Cette vente proposée contribuera aux objectifs de politique étrangère des États-Unis en aidant à renforcer la sécurité d'un partenaire important qui est une force pour la stabilité politique, la paix et le progrès économique en Amérique du Sud. » Ajoutant : « La vente proposée renforcera la capacité de l'armée de l'air péruvienne à contrôler son espace aérien souverain, à défendre ses frontières territoriales et à mener des frappes air-sol de précision en soutien aux forces terrestres dans les opérations de lutte contre le trafic de stupéfiants et le terrorisme. Cette vente renforcera également le partenariat militaire à long terme du Pérou avec les États-Unis. Le Pérou n'aura aucune difficulté à intégrer ces articles et services à ses forces armées. »
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Merci! Même si les cas sont rares, on voit bien que les conditions contractuelles de livraison peuvent générer des risques importants . Tes 2 exemples montrent que dans ces cas, la livraison a été faite en France. Donc, en revenant au cas indonésien, si la livraison (après recette) est faite avant la fin d'année et que le client tarde à les convoyer, il suffit de mettre les avions en hangar "sous douane" pour que l'exportation soit réalisée. Et ceci permet de présenter à la banque la liasse documentaire qui permet le paiement final. Les avions sont ainsi facturés et payés. PS Ces dernières années, je me souviens avoir lu que les Rafale grecs avaient fait un passage démonstratif au dessus de Athènes le jour de leur arrivée avant de se poser. Donc probablment par des îlotes grecs. Pour l'Inde, sauf erreur de ma part, on parlait de ravitaillement en vol et d'escale au Qatar. Qui pilotait? Oups, pardon ... Pilotes, pas ilotes
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Bel avion et belle livrée.
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J'espère que ce sera le cas, mais es-tu sûr que DA va annoncer une "guidance" de 33 Rafale pour 2026?
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Oui. Je suis même allé chercher la définition: Mais la question posée portait sur les Rafale indonésiens vus sur un tarmac et attendus en Indonésie seulement dans 4 mois. D'où une interrogation sur quand seraient ils facturés et payés. Et j'en suis arrivé à me demander qui pilote les avions pour leur ferry flight. C'est vrai pour l'Indonésie, comme le Qatar ou l"Inde ... le client ou Dassault?
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Tout ceci dépend des termes du contrat. S'agissant d'un contrat à l'exportation, c'est au vendeur de s'acquiter des formalités d'exportation, de même que l'acquéreur (en général) s'occupera des formalités d'importation. Mais le contrat doit préciser: - Les conditions et procédures de réception technique (ici on peut supposer en sortie d'usine) - le lieu de la livraison et les modalités/responsabilités du transport jusqu'au lieu de livraison, où se fera le transfert de risques. C'est le principe des INCOTERMS. - le lieu du transfert de propriété (NB C'est souvent au lieu de livraison, mais ce n'est pas toujours le cas. Et ontrairement à ce que j'avais écrit prédemment, les INCOTERMS ne définissent pas le lieu de transfert de propriété). Notons que - les conditions de paiement Dans le cas précis, il pourrait y avoir transfert de propriété (et donc paiement complet et facturation) à l'issue des tests de réception technique, et une livraison (avec transfert de risques) sur une base aérienne indonésienne. Ce serait le cas, par exemple, si le ferry flight était fait par Dassault.
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Il ne me paraît pas être un média neutre...
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Et donc aussi dans Spectra ?
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Tu en connais plus que moi dans ce domaine, dont acte. Mais l'Inde est partie pour se retrouver avec peut être plus de 200 Rafale. Alors je ne sais pas comment cela sera dénommée, transfert de code source ou co-développement , mais il faudra bien associer des entreprises locales (DRAL par exemple?) à des développements . Bien entendu, il faut respecter la règle de ne pas transférer ses bijoux de famille.
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Sans vouloir jouer sur les mots, plutôt que de puits sans fond, j'utiliserai celui de "fourre tout". La différence est que le second peut être de dimension réduite et rempli des logiciels que l'on peut livrer sans risques. Ainsi aulieu de donner LES code sources, on livre DES codes source.. Sur le plan communication, la différence est faible.
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Il faut prendre ça à la rigolade. L'achat de nouveaux par la FAP remue la sphère youtubiste locale depuis un moment. Et l'hypothèse du contrat MRFA accéléré leur donne un nouveau prétexte de videos.
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S'ils veulent du Rafale, ils ont encore le temps
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Aucune idée!
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Oui. C'est juste une question de vocabulaire. Mais en gestion , les coûts et le prix sont des réalités très différentes.
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Je reste persuadé que tu confonds CPP et PV (hors taxe évidemment) et pour 2 raisons: - le CPP est un coût industriel qui reste confidentiel (même s'il est communiqué à l'Etat au titre du controle des prix) - le chiffre de 80 Meur est déjà sorti dans la presse Extrait de "Capital"
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80 M€ c'est bien le prix de vente France, non? Et la définition du prix de vente c'est= Coût de production * (1+ Coût de Hors production)/( 1- marge) Soit PV = [CPP*(1+CHP)] / (1 - M) Le CHP comprend les coûts indirects (Direction, services administratifs, RH, finances, juridique, commerciaux) et les coûts de R&D non financés. En vente France, en gros, PV = CPP*1.5 mais ça varie en fonction du type de produit et de l'organisation de l'entreprise. Donc, en principe, le coût des soft non développés spécifiquement pour un client, sont dans le CHP.
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Ca sort de partout. Mais là on a un nouveau chiffre, 18.7 Milliards pour 114 avions. Mais si on suppose que le Rfafale indien va pouvoir recevoir des armements développés localement, ça tient la route, non? https://www.opex360.com/2025/09/13/la-force-aerienne-indienne-recommande-dacquerir-114-rafale-de-plus-pour-187-milliards-deuros/ La force aérienne indienne recommande d’acquérir 114 Rafale de plus pour 18,7 milliards d’euros par Laurent Lagneau · 13 septembre 2025 En 2018, après avoir fait l’acquisition de 36 chasseurs-bombardiers Rafale auprès de Dassault Aviation, l’Inde lança le programme MRFA [Multi Role Fighter Aircraft] pour se procurer 114 avions de combat supplémentaires, avec des transferts industriels et technologies à la clé afin de répondre aux objectifs de la politique « Make in India » et de l’initiative « Aatmani Bhar Bharat » [« Inde autosuffisante »]. Outre le Rafale de Dassault Aviation, le F-21 [une déclinaison du F-16 Viper] de Lockheed-Martin, le Gripen E/F de Saab, le F-15EX Eagle II de Boeing, l’EF2000/Typhoon du consortium européen Eurofighter ainsi que deux avions russes, à savoir le MiG-35 et le Su-35, devaient être en lice pour un appel d’offres que New Delhi comptait émettre cette année. Seulement, en avril, soit quelques jours avant l’opération Sindoor et la brève – mais intense – confrontation militaire avec le Pakistan, l’Indian Air Force [IAF] a dit vouloir accélérer le programme MRFA en abandonnant l’idée d’un d’appel d’offres au profit d’un contrat de gouvernement à gouvernement pour se procurer au moins 40 Rafale supplémentaires. Et d’expliquer qu’elle n’avait plus le temps d’attendre, le nombre de ses escadrons de combat devant tomber à 29, après le retrait de ses derniers MiG-21 « Bison », alors qu’elle est censée en aligner 42 pour honorer son contrat opérationnel. L’opération Sindoor a conduit l’IAF à revoir son plan. Si la perte de l’un de ses Rafale durant cette confrontation a été exploitée à des fins de propagande par le Pakistan et la Chine, elle a cependant exprimé « son entière satisfaction quant aux performances » du chasseur-bombardier de Dassault Aviation, selon le site spécialisé indien Indian Defence Research Wing. Ce que confirme la recommandation que l’IAF vient d’adresser à son ministère de tutelle. Selon la presse locale, celle-ci porte sur l’achat de 114 Rafale de plus, pour environ 18,7 milliards d’euros. Devant contenir 60 % de composants de facture indienne, ces avions seront assemblés en Inde par Dassault Aviation, lequel a déjà posé ses jalons, avec un accord signé avec Tata Advanced Systems en vue de produire des fuselages de son avion de combat à Hyderabad. Par ailleurs, en mars, le PDG de Dassault Aviation, Éric Trappier, avait dit ne pas exclure l’installation en Inde d’une chaîne de production dédiée au Rafale. « Si nous avons une grosse commande en Inde, nous devrons augmenter la production du Rafale, afin d’absorber la charge de travail. Ce qui passerait par des recrutements, la construction ou l’extension de hangars en France ainsi que l’installation d’une chaîne d’assemblage en Inde », avait-il affirmé. Et il ne parlait pas du contrat portant sur l’achat de vingt-six Rafale M pour les besoins de l’Indian Navy, qui était alors sur le point d’être signé. Quoi qu’il en soit, citant des responsables, le Times of India rapporte que la décision d’acquérir 114 Rafale de plus « fait suite aux excellentes performances » de cet avion lors de l’opération Sindoor, ce dernier ayant « surpassé les missiles air-air chinois PL-15 grâce à sa suite de guerre électronique avancée SPECTRA [Système de Protection et d’Évitement des Conduites de Tir du RAfale]. Soumise il y a quelques jours au ministère indien de la Défense, la recommandation de l’IAF devra passer plusieurs étapes avant de se concrétiser : elle sera d’abord examinée par le « département des finances de la défense » avant d’être transmise au Defense Procurement Board [DPB], puis au Conseil d’acquisition de la défense, présidé par le ministre, Rajnath Singh. Puis elle sera soumise au Comité du Cabinet sur la sécurité, qui aura à décider de la suite à lui donner. Si il est approuvé, alors cet achat de 114 Rafale devrait être le plus important de l’histoire de l’Inde… et constituer une « étape importante pour l’initiative Make in India », souligne le journal The Hindu.
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Affolement au Pérou! La perspective de vente de 114 Rafale à l'Inde aurait pour conséquence de reproter des livraisons pour eux après 2037
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Cette semaine, Thales est montée de 12.7% et DA de 8.5%. C'est déjà pas mal! Et il y a encore l'étape du DAC avec l'Acceptance of Necessity, puis les négos .... Ca fait encore beaucoup de temps pour faire monter les cours.
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Je crois qu'il y a une confusion sur le terme de "proposition de l'IAF". L'IAF ne prend pas la place de DA. Au contraire, il propose au MINDEF, avec insistence, de contracter avec Dassault , lequel fera du make in India. Au dela de ces interprétations d'aticles de presse, l'important c'est que la cocotte minute, pleine de volnté de l'IAF d'avoir des Rafale, monte en pression et que le Gvnt indien va peut être enfin accélérer vers cette commande historique. Et Modi va encore recevoir un mauvais point de la part de son ex-ami Trump
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Le terme "Ex works" en abrégé EXW fait partie des INCOTERMS qui définissent le lieu convenu de la livraison, qui paye les frais de transport jusque chez le client, les frais de douane, les transferts de risques ...) EXW est le + simple pour le vendeur, mais ne peut pas être utilisé pour l'export avec un crédit documentaire. Et enfin EXW ne signifie pas forcément à la porte de la chaine d'assemblage de Mérignac. Ce peut être à la porte d'un hangar défini sur une base aérienne définie. Bien entendu la ivraison a lieu après les tests de réception et correction des défauts éventuels (cf F35 )