Alberas
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F-35 Les rapports du GAO et du DOT&E
Alberas a répondu à un(e) sujet de Picdelamirand-oil dans Amérique
Vous critiquez, vous critiquez, vous critiquez ... Mais vous verrez que quand le F35 sera techniqement sans défaut et avec la fiabilté requise, il deviendra l'arme aérienne invisible et invincible que LM a promis. PS: Evidemment il faut pouvoir attendre et payer -
Quand Chat GPT va analyser les posts de @Patrick c'est l'IA qui va peter une durite.
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Je trouve que c'est un article entièrement pro allemand avec 2 thèmes 1 . Pour le SCAF, l'organisation doit être en co-co*co comme pour l'Eurofighter avec quelques perles: - DA ne peut pas réclamer le leadership puisqu'il n'a que 33% donc toute décision doit être prise à l'unanimité - L'Espagne a un problème de compétence ... mais c'est pas grave puisqu'ils paye. Il copieront sur les autres pour progresser. - La France ne pourra jamais financer le NGF si elle veut le développer en solo - La France devrait s'ppuyer sur la BITD allemande plutôt que de rechercher le grand export en s'isolant du reste de l'Europe 2. la BITD française de l'armement terrestre st proche du zéro pointé. Et on ferait mieux d'acheter des K2 Coréens plutôt que de rénover des Leclerc démodés. Et toutes ces conneries approuvées par un "chercheur" de l'IFRI. Sauf que c'est un junior à peine sorti de ses études et qui a trouvé ce poste pour se développer un réseau avant de basculer dans une carrière politique, de consultant ou 'analyste de marché. Y a qu'à voir son CV.
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Avec tous les pays qui ont décidé ( en interne) d'acheter des Rafale, Il faut sceller les conrats avant fin 2026. Sinon, il faudra discuter avec notre nouveau PR et le nouveau Ministre des Armées. Difficile de signer avant 2028. Mais fin 2026 pour l'Inde, c'est demain!
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La bonne nouvelle est que le rafale est toujours dans la course. Reste au comité d'évaluation de faire le bon rapport.
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C'est significatif de la baisse du dollar et de la hausse du cours de l'or. Mais est-ce que ça signifie que les banques centrales vendent l'un pour acheter l'autre ?
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J'ai cherché à savoir si le fonds souverain norvégien était actionnaire de BAE Systems. J'ai rien trouvé. Je crois qu'il n'investit pas dans la défense.
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Pas besoin d'imaginer commissions et rétrocommissions ... Ils ont fait un choix basé sur une alliance et une coopération historiques, donc confort intellectuel et aucune prise de risques qui ne soit partagée majoritairement. De plus, après un échec retentissant avec un pays du clubmed, qu'aurait on dit à la première difficulté avec une solution française
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Il faut comprendre qu'en province, on ne lit pas les journaux parisiens et encore moins le Monde ou LCI. L'indépendant, comme d'autres ailleurs, est la source d'information la plus populaire.
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Ah non! Qualifier l'indépendant de source ridicule est une insulte aux Catalans. Ce journal est indispensable pour connaître les prochains vide greniers et autres fêtes de village, la rubrique nécrologique et la composition de l ́USAP pour son prochain match. Pour ce qui est des rubriques "national " et "international " ça vient du Midi Libre
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En plus de la consanguinité de la marine norvégienne avec la RN, son choix s'est porté sur un navire largement plus lourd que la FREMM, alors que la FDI est de taille comparable avec les Navantia qui doivent être remplacées. Difficile de penser que la FREMM, plus chère et plus construite, aurait emporter le marché. Je me contentais de noter que beaucoup de marines s'orientent vers des frégates, voire des destroyers, beaucoup plus lourds que nous. 2 marchés différents...
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Ca a été présenté comme une des raisons du choix. Et même accentuée par l'idée d'équipage commun. En tout cas, le prix n'était pas un critère déterminant, pas plus que la disponibilité rapide des navires. Le choix enfin s'est porté sur une frégate lourde et surequipée, à l'opposé du concept de la FDI. Ce qui n'est pas une faiblesse mais qui illustre que le marché est loin d'être uniforme, et que la France n'a pas fait ce choix .
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Ce que je cherche à exprimer, c'est que les allemands sont squizzés à 2 niveaux. Industriellement, DA est le seul à savoir faire un avion Marine. On a eu suffisamment de vidéo sur le forum pour comprendre que les contraintes PA définissent beaucoup l'avion. Le nuke en rajoute sûrement une couche. Avec en plus quelques chasses gardées DA et Thalès, j'imagine mal comment Airbus pourrait revendiquer les 2/3 du NGF. Sur le plan politique, la question du Nuke est une épine dans le pied de Merz. D'un côté il a le F35 et l'Otan avec sa bombe US, de l'autre on lui demande de cofinancer l'avion porteur du Nuke français. Pas facile à faire avaler à sa lufwaffe ni à la population. Dit comme ça la rupture paraît inévitable. Mais le problème allemand, et surtout Airbus, c'est l'absence de plan B. Pour moi, la solution serait de suivre la position de Trappier, ie une part française cohérente avec nos positions de Best athlètes . La mise en avant des spécificités Marine et Nuke sauverait l'ego d'airbus. Mais pour en arriver là, il faut des certitudes sur l'évolution politique et économique de la France. Il est donc urgent de laisser du temps au temps.
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Je doute que la navalisation soit un obstacle politique pour Allemagne et Espagne. Mais industriellement c'est une 1ère raison non contestable de confier la conception de la cellule à DA. En revanche, l'emport de l'ASN4G pourrait être un obstacle politique pour l'Allemagne en plus d'être un 2ème obstacle industriel pour Airbus vis à vis de Dassault. Lors de son interview d'hier sur LCI, Merz a été très évasif sur la position allemande d'accepter une forme de protection nucléaire française à la place de l'américaine. Je n'ai pas le verbatim, mais c'était à peu près "Pourquoi pas, mais c'est un sujet très important sur lequel le peuple allemand n'est pas encore prêt et il faudra beaucoup de temps pour y parvenir" La question de la dissuasion pourrait donc être un critère absolu pour justifier une décision de GO ou de NO GO sur le SCAF. Je ne sais pas interpréter les conséquences industrielles du GO ni celles politiques du NOGO. Mais pour la prochaine étape, la réunion de décembre, ça restera un GO pour ne pas insulter l'avenir.
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Surtout quand les oppositions sont majoritaires
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Le blocage de trains ou de gouvernes par la glace est un risque connu. Y avait il des conditions climatologiques particulières ce jour là et est ce que ça va impliquer de nouvelles restrictions pour le F35?. Et quid du Rafale? Parce qu'on a moins d'occasions de voler dans de telles latitudes.
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Je ne voulais pas porter un jugement politique, mais acter la postion du PR français vis à vis du chancelier. Car le problème n'est pas d'annoncer une décision. C'est de pouvoir l'appliquer. Et j'ai des craintes sur le budget 2026 de notre MINDEF.
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On peut dire qu'on joue à fronts renversés entre le coté politique du projet et son coté industriel. Sur le plan politique, c'est la France qui pousse le plus. Mais Macron, qui est le chantre de cette alliance, va quitter piteusement son mandat alors que Merz commence le sien avec une virginité bienveillante sur le sujet mais sans empressement, sauf à défendre ses industriels. Sur le plan industriel, c'est Airbus Défense qui a le plus à gagner au maintien du projet, et Dassault qui n'y trouve pas son intérêt dans son montage tripartite actuel. L'arrivée de l'Espagne dans le schéma a renforcé ce déséquilibre. La bataille de communication entre les 2 industriels est la conséquence de ce désiquiibre. Dans cette situation, c'est Airbus qui a le plus à perdre puisque DA a son avenir assuré par le Rafale actuel et ses évolutions programmées. L'abandon du SCAF offirait en plus un répit budgétaire à la France pour quelques années. En contrepartie, l'Allemagne pourrait essayer de relancer une nouvelle capacité d'avion de combat avec l'ambition de devenir la BITD la plus puissante en Europe. L'idéal étant de reconstituer le groupe Eurofighter en en gommant ses défauts. Quant à l'opinion publique française en cas de rupture, elle n'y compren rien mais est plus encline à approuver une attitude souverainiste que de participer à un "truc" de 100 milliards! Et ce sont les partis anti européens qui s'en réjouiraient le plus.
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les échéances électorales jouent parce qu'il faut un interlocuteur. Mais le plus important c'est le vote du budget au Parlement. Si on part en "année blanche " il ́n'y aura pas de ligne budgétaire pour la phase 2 en 2026.
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Article de Infobae ce jour
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Un retard de livraison en cours d'année n'a pas d'incidence sur les marchés et les pénalités contrctuelles sont peu probables et de toute façon très limitées pour un retard court. En revanche, le non respect des prévisions de livraisons (la guidance) sont mal accueillies par les marchés parce qu'elles montrent que la société ne tient pas ses objectifs économiques. Mais avec un client compréhensif, si les manques sont mineurs, on a toujours la posibilité de prononcer une livraison avec réserves.
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Tout ça me donne le vertige.
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Coté français, il nous faut un ministre et surtout un budget. Par ailleurs, mettre Indra en leader du pilier capteurs pose trop de problèmes à DA. Il faut donc du temps pour renégocier tout ça.
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On est bien d'accord: 325 Mirage + 24 occase contre 24 Rafale + 24 occase. Et que ne dit on as encore sur le forum à propos des choix Belge et Suisse La cause (ou la conséquence) en est que le marché des pays OTAN est un marché captif, quasi domestique, pour les USA. De ce fait, DA reste le seul avionneur européen, hormis les soubressauts du Typhoon. A long terme, et sans accès au marché européen, DA reste seule pour résister au Tempest GB/It, aux Russes et aux Chinois. Les coopérations se font entre concurrents, pas entre amis. Chacun doit y trouver son intérêt. L'achat n'est pas non plus forcémént une agression. Maix cela suppose une entente entre les dirigeants. Pour repartir sur de nonnes bases en ADS et DA, il faudrait changer les drigeants ... ou casser.
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Avec leur participation au F35, Italie et GB sont devenues des marchés captifs des USA et ont bloqué l'évolution du Typhoon. Leur suite, c'est le Tempest, qui sera probabblement un concurrent du Rafale F5 ou F6.