
Alberas
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Tout ce qui a été posté par Alberas
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Oui, mais c'était avant!
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Ils veulent une ligne d'ssemblage de Typhoons?
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Pour "arriver", il faut d'abord avoir demandé une offre, reçu une proposition, l'avoir négociée et signée, puis payé l'acompte. Ca ne se fait pas en 3 mois. Ceux qui doivent se presser, s'ils veulent du Rafale, ce sont les autres clients export qui tournent autour de Dassault depuis longtemps et dont on parle régulièrement, en AML ou au Moyen orient par exemple.
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Vous jouez à vous faire peur, non? Certes, nous sommes tous impatients à force d'avoir des annonces de signature toujours repoussées, mais les données oficielles (Cabirol!) sont signature en avril, entrée en vigueur à la signatuure et 1ére livraison en 37 mois. Le tout étant calibré (paiiement de l'acompte compris) pour rester dans l"année budgétaire. Le feu vert doit être donné par un CCS à tenir avant la date fatidique.
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Il y a aussi ceux qui promettent le Gripen https://360radio.com.co/colombia-cada-vez-mas-cerca-de-adquirir-aviones-gripen-que-reemplazarian-los-kfir/175478/ Moralité: on n'est pas plus avancé qu'avant
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Un bouquet de chrysanthèmes pour le F35 en Inde https://www.newsclick.in/f35-deal-sound-fury-signifying-nothing F35-deal-sound-fury-signifying-nothing Le F35 a des coûts d'exploitation et de maintenance bien plus élevés, de 50 à 70 %. Plus problématique encore, il ne s'intègre pas facilement dans la flotte complexe de l'armée de l'air indienne. Image représentative. Image reproduite avec l'aimable autorisation de Wikipédia Les médias indiens et, dans une moindre mesure, étrangers, ont fait beaucoup de bruit autour de la vente imminente par les États-Unis à l'Inde de l'avion de combat multirôle F35 de cinquième génération. Les médias ont affirmé qu'un éventuel accord avait été annoncé lors de la rencontre du Premier ministre Narendra Modi avec le président Donald Trump lors de la récente visite de ce dernier aux États-Unis. L’enjeu était de montrer que les dirigeants des États-Unis et de l’Inde avaient obtenu au moins une partie de ce qu’ils souhaitaient de cette visite tant médiatisée. Le président Trump pouvait se vanter d’avoir obtenu de l’Inde qu’elle s’engage à augmenter ses importations en provenance des États-Unis pour corriger le déséquilibre commercial actuel, à acheter davantage d’énergie américaine et, surtout, à acheter davantage de matériel militaire, en plus des investissements des entreprises indiennes aux États-Unis. Peut-être que les commentateurs sur d’autres sujets pourraient dire si l’Inde a réellement réalisé des gains majeurs, même si peu de gens, de part et d’autre, se soucient de l’augmentation des importations indiennes de foin de luzerne et de viande de canard ! D’un autre côté, la déclaration commune était remplie de paragraphes traitant de toutes sortes d’acquisitions de matériel militaire par l’Inde et d’un petit nombre de projets de collaboration impliquant des technologies militaires et stratégiques avancées. Les deux parties pouvaient revendiquer ces avantages, les États-Unis sur le plan commercial ainsi que par le biais de liens plus étroits avec un allié majeur, et l’Inde sous la forme d’un accès à des technologies avancées. Mais ce qui a retenu l’attention des médias, c’est une brève mention, presque en passant, des « chasseurs de cinquième génération ». Un examen plus approfondi montre qu’il y avait beaucoup de poudre aux yeux dans tout cela. Ventes militaires La déclaration conjointe américano-indienne ne contient aucune nouvelle acquisition de l’Inde dans le domaine de la défense. Elle énumère cependant de manière trompeuse une série d’acquisitions passées, toutes antérieures de plusieurs années à la présidence Trump ! Même les contrats d’acquisition de drones armés RQ9B Predator, de missiles antichars Javelin et de véhicules de combat d’infanterie Stryker, dont certaines pièces pourraient effectivement être signées dans un avenir proche, ont été initiés bien plus tôt. Il convient de noter que la déclaration conjointe ne mentionne PAS non plus les livraisons très retardées des moteurs GE F-404 pour les chasseurs indigènes Tejas Mk1 et Mk1A, ce qui entraîne de sérieux retards dans les livraisons des avions de combat dont Hindustan Aeronautics Ltd (HAL) a un besoin urgent à l'Indian Air Force (IAF). La déclaration commune ne mentionne pas non plus de progrès supplémentaires dans l'accord de production sous licence en Inde, ni de transfert de technologie, des moteurs GE-414 pour le Tejas Mk2. Ce silence ne fait rien pour calmer les rumeurs qui se font de plus en plus entendre dans les milieux de la défense et de la stratégie en Inde, qui se demandent si ces retards ne sont pas délibérément conçus pour souligner la dépendance de l'Inde envers les États-Unis. Chasseurs F-35 La déclaration commune ne parle pas d’une quelconque offre ou d’un quelconque accord pour des chasseurs F35, mais seulement d’ une « révision de la politique [américaine] sur la livraison de chasseurs de cinquième génération… à l’Inde ». Le président Trump en a parlé une nouvelle fois lors de la conférence de presse commune, mais uniquement comme « ouvrant la voie » à un futur accord. Pour les non-initiés, le Lockheed Martin F35 Lightning II est un chasseur furtif de cinquième génération de pointe, ce qui le rend difficile à détecter par les systèmes anti-aériens. L'étiquette 5G est également associée à une capacité de super-croisière, c'est-à-dire la capacité de voler à grande vitesse pendant des périodes prolongées, à une avionique avancée, à un radar et à des systèmes de contrôle et de combat pilotés par logiciel centrés sur le réseau. Le F35 a été développé dans le cadre du programme commun Strike Fighter auquel ont participé l'OTAN (Organisation du Traité de l'Atlantique Nord) et tous les alliés des États-Unis, qui ont contribué aux coûts de développement et passé des commandes anticipées. Ainsi, plus de 1 200 F35 sont actuellement en service chez les alliés européens, Israël, le Japon, l'Australie, etc. Cette économie d'échelle a contribué à réduire le prix de vente du F35 à environ 80-90 millions de dollars l'unité, contre 100-110 millions de dollars pour les Rafale que l'Inde a acquis. Les États-Unis imposent des restrictions strictes sur l’exportation du F35 en raison de ses technologies et de ses caractéristiques avancées, et il est rarement, voire jamais, proposé à quiconque, sauf à ses alliés les plus proches. La Turquie a été exclue du programme F35 parce qu’elle avait acquis le système antiaérien russe S400 présumé compromettre les secrets du F35. La Turquie a réagi avec colère au « double standard américain » en offrant le F35 à l’Inde, en plus d’un contrat S400 avec la Russie. Indésirable pour l’Inde Le prix relativement bas du F35 est très trompeur. Le F35 a des coûts d'exploitation et de maintenance bien plus élevés. Chaque future mise à niveau nécessitera également des mises à jour logicielles majeures. Ainsi, les coûts de vie du F35 seraient facilement 50 à 70 % plus élevés que ceux du Rafale. Plus problématique encore pour l'Inde, le F35 ne s'intègre pas facilement dans la flotte complexe de l'armée de l'air indienne. Après une longue période d'exploitation d'une ménagerie virtuelle d'avions de combat pour différents rôles, l'Inde se dirige finalement vers un mélange plus léger de Tejas indigènes, de SU-30 MkI, d'un petit nombre de Rafale et plus tard de l'AMCA indigène ou Advanced Medium Combat Aircraft. L’Inde a déjà alourdi sa flotte en raison de l’échec de son achat de Rafale et de l’acquisition très tardive de 110 autres avions multirôles. À l’ère des systèmes antiaériens de plus en plus sophistiqués, le coûteux F35 peut également devenir un fardeau risqué. Le plus important est le danger que représente le niveau élevé de dépendance à l’égard des États-Unis qui accompagne le F35. Le code source du F35 est hautement protégé par les États-Unis qui ne le partagent pas avec leurs alliés les plus proches, à l’exception d’Israël qui a été autorisé à intégrer des armes israéliennes au F35. Même de petites modifications ou mises à niveau nécessiteront des mises à jour logicielles que seuls les États-Unis sont prêts à effectuer. L’armée de l’air israélienne serait donc opposée à une telle acquisition. En fin de compte, tout le bruit autour de la F35 n’est qu’une quantité de paillettes jetées dans l’air qui ne fait que masquer le vide qui se cache derrière. L'auteur fait partie du Delhi Science Forum et du All India People's Science Network. Ses opinions sont personnelles.
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Europe de la Défense ?
Alberas a répondu à un(e) sujet de samson dans Politique etrangère / Relations internationales
Je n'en ai aucune idée! Je me dis simplement que le F4 était déjà LE choix n°1 pour les pays qui n'avaient pas accès au F35, et que donc certains pays européens pourraient être tentés par le F5. C'est peut être cette même idée (ou élucubration, si tu préfères) qui motive les boursicoteurs à se précipiter sur l'action DA en faisant sauter les + hauts à chaque séance. -
Europe de la Défense ?
Alberas a répondu à un(e) sujet de samson dans Politique etrangère / Relations internationales
OK, mais on ne peut pas encore savoir s'il y a des approches européennes sur Dassault, par exemple sur des F5. A contrario, on ne peut dire qu'il y ait eu un enthousiasme sur le Gripen ou le Typhoon en dehors de leurs pays d'origine ni qu'ils présentent un quelconque plan de développement. -
Actualité, principales commandes et MCO du navaliste Naval Group ex-DCNS/Thales/Piriou/CMN
Alberas a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
C'est un retour de baton après les attaques perfides de TKMS sur le contrat néerlandais. -
Actualité, principales commandes et MCO du navaliste Naval Group ex-DCNS/Thales/Piriou/CMN
Alberas a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Faire du transfert de techno, si autorisé par son gouvernement, n'est pas une faute en soi. Ca peut même être une strategie commerciale pour TKMS d'étendre son domaine d'influence, comme le fait Rheinmetal. Je pense plutôt à une attaque de NG contre son concurrent pour le marché des soums Grecs. -
Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
Alberas a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Non, c'est une demande d'information légitime de la part de ses actionnaires. Après tout, c'est lui qui a parlé de moment Rafale. -
Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
Alberas a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
@bubzy Est ce que le "moment Rafale" qu'on pensait ne concerner que des pays de grande exportation s'applique désormais aussi à d'autres pays de l'UE ? Et DA et le cluster industriel du Rafale sont-ils en mesure de s'adapter à un accroissement brutal de la demande? -
Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
Alberas a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Tu veux couler DA? -
Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
Alberas a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Est ce que la production et la R&D du système Spectra et de ses évolutions ont été impactées (et comment?) par les difficultés de la société ATOS et que fait Dassault Aviation pour sécuriser l'avenir des activités de ATOS dans le programme Rafale? -
Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
Alberas a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Pendant que Trump et Poutine sont à Riyadh? -
Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
Alberas a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Bruits de bottes ... Les actions Thales et Dassault aviation en hausse de plus de 4 % à 9h30. -
L'avant dernierpoint est mal traduit L'auteur parle de l'Inde, pas de l'UE! Je pense qu'il fait référence au choix possible de l'Inde entre un chasseur 5G Russe ou le F35. Pour le reste, il a compris que le Rafale était le leader pour le MRFA.
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Je sais pas vous, mais moi j'ai pas l'impression que les Indiens apprécient qu'on leur dise ce qu'ils doivent faire.
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On avait jamais entendu que l'IAF voulait du F35, non? C'est plutôt Trump qui cherche à leur refiler son machin et à SES CONDITIONS. Après tout, quand tu achètes une bagnole, tu acceptes bien les CGV du fabricant? Pour le F35, c'est pareil ! Ah que c"est beau le commerce selon Trump
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On est dredi? Oui? OK ... C'est quoi la part française du Meteor: la tête radar par Thales? Et bien la solution est simple: les Turcs payent BAE/LEONARDO pour développer un équivalent qui colle avec le super radar AESA du Typhoon et ils auront leur Meteor sans qu'on y soit pour rien Comme ça, leur meteor sera "CIEEMG Free"
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En tout cas, ils ont de la suite dans les idées. C'est nous qui ne voulons pas monter la marche Défense aérienne en Irak : succès, échec et espoirs L'Irak souhaite protéger son espace aérien dans le cadre d'une défense aérienne élargie (défense sol-air et défense aérienne). Thales a réussi à vendre ses radars GM400 et GM200 tandis que le sud-Coréen LIG Nex1 a vendu des systèmes de défense antimissile sol-air de milieu de gamme, M-SAM II ou Cheongung II. Pour des missions de police du ciel, Bagdad espère acquérir du Rafale. Michel Cabirol Publié le 18/10/24 à 06:00 Thales a vendu en Irak des systèmes de surveillance aérienne pour près de 1 milliard d'euros en trois ans L'Irak est redevenu un pays de conquête pour l'industrie de l'armement français. Avec son lot de succès et d'échecs mais aussi d'espoirs. La France a lancé ces dernières années une opération de séduction en Irak avec des visites régulières de très hauts responsables français en Irak, à commencer par Emmanuel Macron, qui y est allé deux fois (septembre 2020 et août 2021). Le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, s'y est pour sa part rendu en juillet 2023. Son prédécesseur, Florence Parly y est allée deux fois (2019 et 2020) tandis que l'ancien ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian s'est posé quatre fois en Irak (2018, deux fois en 2019 et 2020). Fin janvier 2023, la France et l'Irak ont d'ailleurs signé un Traité de partenariat stratégique.
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Mouais ... c'est plutôt de l'art gore