
Alberas
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Tout ce qui a été posté par Alberas
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Dassault doit remettre une offre à tiroirs début septembre, dans l'objectif que le gvnt indien valide une "acceptane of necessity" en octobre. Je suppose que cela implique le choix du tiroir, ie du nombre de nouvelles escadrilles "Rafale" pour l'IAF, de 2 à 6. Même si une commande de 36/40 avions serait la bienvenue, l'intérêt de DA est de pouvoir mettre en oeuvre sa chaine de production locale avec une commande d'au moins 74 avions pour atteindre les 100 appareils à construire en comptant ceux de l'Indian Navy.
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Vu le nouveau bordel politique chez nous , ce qui illustre l'ineptie (ou les difficultés si vous préférez) d'un programme politique de 30/50 ans entre 3 pays, je parierais sur une réunion limitée aux choses courantes et reportant les engagements politiques.
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J'ai mis un +1 à ton post, et pourtant .... Le titre du fil est (SCAF) "politique" et il n'est pas indifférent de connaitre la position des partis politiques sur le SCAF. Or, sauf erreur de ma part, c'est le calme plat du coté des partis politiques français. En ce sens la position de Mme MM est claire. Mais elle ne représente qu'elle même!
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Ce qu'écrit Cabirol, c'est que l'IAF veut ses 114 Rafale (en gros 6 escadrons) sans appel d'offre, mais acepte un appel d'offre "ouvert" pour 114 chasseurs supplémentaires. Mais il laisse entendre que le gvnt pourrait accéder à seulement une partie de la demande IAF, 40 Rafale étant le minimum. Vu la complexité et la lenteur de la procédure appel d'offre, j'ai du mal à imaginer qui fera l'investissemet d'une réponse et avec quel avion.En dehors de Dassault, bien sûr!
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@Patrick Tu devrais t'appeler Thomas ... Je sais bien que Cabirol n'est pas un oracle, mais son article de ce matin nous apportait enfin de bons espoirs en contrepartie de la litanie des mauvaises nouvelles qui se succèdent. Pourtant, grace àlui, ma journée avait bien commencé, avec même un espoir sur le Pérou et la Norvège, et tu viens nous casser le moral. C'est pas sympa
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Cabirol mentionne approches différentes: - un contrat en G to G, donc possiblement à très court terme .... en temps indien; - l'appel d'offre MRFA, donc à délai standard en temps indien. Peut être compatible du Rafale F5 ? Mais tu connais ça mieux que personne!
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Oui, je connais. 3 milliards en 2013 pour l'armée libanaise. Contrat finalement récupéré par les Soudiens. De toute façon, c'et eux qui finançaient. Mais quid avant? et après?
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Et el plus, les Anglais veulent faire payer les Norvégiens pour faire leur propre travail? Trop forts, ces Anglais
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Quelle est la part de marché de notre BITD dans les achats de défense saoudiens depuis la garnde époque des contrats Sawari/Crotale?
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Réaffiramtion appuyée du GO, avec injonction aux industriels de s'entendre... avant le prochain rendez vous.
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Difficile d'être pire. Quelqu'un a l'article complet?
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Le nucléaire et le naval ne sont pas plus des problèmes pour le scaf qu'ils n'en sont pour le F35. Ca n'a géné personne.
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Europe de la Défense ?
Alberas a répondu à un(e) sujet de samson dans Politique etrangère / Relations internationales
Normal, il est fabriqué par Thalès Deutschland. -
Mais bien sûr que les belges auront des offsets: Godiva va produire les chocolats pour la Maison Blanche
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Au moment où il y a une mise en scène d'une coopération militaire européenne vis à vis de l'Ukraine, on ne peut pas compter sur un clash politique pour le SCAF. La prochaine phase se fera. Attendons pour savoir comment.
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Les Turcs se plaignent du mode de financement de la 4ème FDI https://turdef.com/article/greece-eyes-safe-loan-for-fourth-fdi-class-frigate-purchase La Grèce envisage un prêt SAFE pour l'achat d'une quatrième frégate de classe FDI 18 août 2025, 15h09 Athènes pourrait utiliser les prêts SAFE de l'UE pour acheter une quatrième frégate française d'investissement étranger direct, ce qui soulève un débat sur la question de savoir si les fonds destinés à contrer la Russie devraient financer la rivalité gréco-turque. La Grèce envisage d'utiliser un financement de l'Union européenne au titre du règlement SAFE (Security Action for Europe) pour financer l'acquisition d'une quatrième frégate de classe FDI, baptisée Themistocles, ont confirmé des responsables à Athènes. Si cette proposition est mise en œuvre, ce serait la première fois que la Grèce affecte des prêts SAFE à un programme d'acquisition navale majeur. Cette initiative soulève la question de savoir si un tel financement, destiné à contrer l'agression russe, devrait être affecté à des acquisitions principalement dirigées contre la Turquie. Le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis a annoncé plus tôt ce mois-ci qu'Athènes bénéficierait d'environ 1,2 milliard d'euros de prêts garantis par le SAFE. Le coût estimé du Themistocles est légèrement inférieur à ce montant, et les contacts en cours avec Paris sur la coopération industrielle pourraient satisfaire aux critères d'éligibilité du SAFE, qui prévoient des coentreprises et une part minimale de contenu européen. Les responsables ont déclaré que ce plan témoigne de la volonté du gouvernement d'accélérer un programme déjà approuvé par le Conseil gouvernemental des affaires étrangères et de la défense. Les procédures SAFE devraient s'achever en novembre, mais une annonce pourrait intervenir dès septembre. Si Athènes va de l'avant, cela nécessitera une redéfinition des priorités dans le cadre du Plan d'équipement de défense à long terme sur 12 ans, ce qui pourrait entraîner des retards dans des projets tels que la production de véhicules polyvalents. La marine grecque décrit cet accord d'investissement étranger direct comme sa plus importante amélioration depuis quatre décennies. La Grèce construit déjà trois frégates en France, toutes modifiées pour emporter des missiles de croisière. Le Themistocles sera équipé pour ce rôle dès le départ, ce qui contribuera à un coût final qui devrait dépasser l'estimation initiale de 980 millions d'euros. Le gouvernement a souligné l'importance de renforcer la participation nationale au programme. Actuellement, les chantiers navals et les entreprises de défense grecs se consacrent principalement à des tâches de faible technicité, comme le soudage de sections préfabriquées, tandis que les systèmes critiques – radars, capteurs, électronique – sont importés. Une situation similaire s'applique aux modernisations de la classe MEKO aux chantiers navals de Skaramangas. Les responsables affirment que l'objectif est de développer la base industrielle nationale tout en garantissant les délais de livraison et des capacités avancées. Tensions autour de l'éligibilité au SAFE Les prêts SAFE ont été introduits en 2025 pour aider les États membres de l'UE à répondre à la guerre menée par la Russie en Ukraine et à renforcer les capacités de défense européennes collectives. Les règles de financement exigent que les projets renforcent les priorités de défense de l'UE ou de l'OTAN, avec un minimum de 65 % de la production en Europe. TurDef se demande si les prêts SAFE destinés à financer une frégate destinée à renforcer la dissuasion grecque en mer Égée pourraient s'avérer politiquement controversés. Bien qu'Athènes puisse inscrire le projet dans le cadre de la sécurité maritime et de la protection du corridor énergétique de l'UE, les critiques de TurDef affirment qu'il porte atteinte à l'« esprit » du programme, explicitement lié à la lutte contre les menaces russes. La Turquie, bien que non membre de l'UE, est un allié de l'OTAN, et Ankara pourrait considérer ce financement comme contradictoire avec les objectifs affichés du bloc. Les capitales européennes pourraient également se demander si l'allocation de fonds à des rivalités bilatérales s'inscrit dans le cadre du SAFE. Pour la Grèce, cependant, cette mesure allégerait le fardeau fiscal de la modernisation navale tout en ancrant plus profondément le programme d'IDE dans le cadre industriel de la défense de l'UE.
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Je crois aussi qu'ils seraient moins chers, mais nos RH ne pourront pas tout absorber, car ça reste d'un ordre de grandeur 4 à 5 fois supérieur au Rafale (16 milliards). +1
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Alors là, on arrive au summum de la fake news. A croire que l'auteur participe d'une campagne pour inciter les allemands à sortir du programme. Du coté des coûts, voila ce qu'en dit le Sénat:
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Le plus marrant dans cette histoire de surspécification à cause des versions navale et nuk ( dans laquelle nous tombons nous mêmes !) c'est que les acheteurs de F35 A ne se plaignent pas de son surcoût et de ses déficiences dues à l'existence des versions B et C De même le Rafale M ne sempble pas géner les acheteurs! Alors, je vais peut être changer mon 1er commentaire. L'auteur n'a assez lu AD.NET.
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Évidemment.... il a tout pompé sur AD.NET
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Airbus détient la majorité sur le NGF parce qu'il profite deon implantation en Allemagne et en Espagne et donc que l'Espagne va financer Airbus DS. Une façon de rééquilibrer serait que l'Espagne et l'Allemagne financent les filiales espagoles et allemandes des groupesfraçais DA, Safran et Thales. Une autre idée serait que le role du leadership soit valorisé en plus de la part nationale. On pourrait aussi faire entrer la Belgique (ou autre) à condition que ce so.it en favveur des groupes français. Tout ceci favoriserait la notion de best athlete. Et, automatiquement, la part globale d'Airbus diminuerait. Il y a déjà un GIE Rafale entre les 3 groupes. Ils peuvent en créer un autre pour le SCAF, pour assurer une coordination par exemple. Mais je n'ai jamais entendu parler de rapprochement capitalistique. A noter que Safran pèse 123 milliards et Airbus 146 milliards et Safarn croit plus vite qu'Airbus.
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@Patrick @capmat Allemands travailleurs, disciplinés, riches et imbus de supériorité; Français paresseux, frivoles, endettés et vantards; Luthériens vs Catholiques; les clichés ont la vie dure pour ressortir la crainte de l'hégémonie allemande. Tout ceci a une odeur un peu nauséabonde, même s'il y a une part de réalité. Et l'UE a été inventée pour éviter le retour des vieux démons. Et pour faire le lien avec le sujet du SCAF, l'accord politique est vu comme un moyen d'éviter une trop grande divergence des 2 pays. Et c'est pour cette raison que je pense que le projet va continuer, mais en rééquillibrant la part française.
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Je me place dans l'hypothèse où le SCAF est le plan A officiel pour les 3 pays et où notre plan B est une solution nationale. Si le SCAF est abandonné, Allemands et Espagnols continueront avec les USA, F35 puis NGAD, comme les autres européens. Pour le reste, senseurs, UCAV, LW, Cloud, etc Ce ne sera plus notre problème. Mais il faudra sauver Airbus DS, qui fera peut être la fusion qu'ils cherchent depuis 25 ans. Finalement, notre position ne changera pas. Nous serons comme avec le Rafle face au F35, en équipant les pays non accessibles aux solutions US, mais libres et souverains.
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Même si l'argument que le Pakistan puisse utiliser des phénomènes climatiques pour provoquer un incident frontalier se comprend , il tombe à plat en ce qui concerne la mousson 2025 ... https://www.20minutes.fr/monde/4168217-20250817-mousson-plus-650-morts-900-blesses-pakistan