Alberas
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Tout ce qui a été posté par Alberas
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Merci pour ce numéro de langue de bois. 8 ans après, on en est encore à "négocier" sur la gouvernance et à rappeler les lignes rouges. Et pour couronner le tout, Chiva demande une 1ère capacité opérationnelle (c'est quoi?) en 2040. C'est pathétique. Et les députés se contentent de ça?
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Peut être, mais combien de programmes ne sont pas arrivés à leur objectif initial? Il est donc bon de le rappeler à un moment critique qui est celui du budget! Et puis, c'est un signal bien envoyé à nos alliés-amis-partenaires-conjoints allemands que nous continuons le programme Rafale avec la 6ème tranche en F5. Dans l'ambiance du SCAF, c'est un message de soutien à Dasault. Donc, non! Cabirol n'est pas nul. Je parierais plutôt sur un article suggéré par DA ou la DGA. Et comme par hasard forte hausse du cours de DA et Thales ce matin
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Opérations au Mali
Alberas a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
Et si on envoyait sur leurs réseaux sociaux des videos montrant la réalité des russes -
Oui, c'était probablement le cas au début en 2017 avecl'Ukraine déjà,Trump déjà, le F35, sans oublier le besoin d'augmenter les budgets défense . Est ce bien sûr? Ce n'est pas lui qui a fait entrer l'Espagne, à parts égales, dans le circuit. Simultanément, le même "europhile aveugle" a multiplié les accords de défense, appuyé les succès du Rafale à l'étranger et lancé les évolutions du Rafale vers le F5, voire plus. Faut il pour autant abandonner le projet d'un SCAF post F35 et fait avec les allemands ?
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Tu parles de volonté politique. Mais il n'y en a pas. Juste un fantasme de communauté européenne de défense basée sur une alliance industrielle impossible. Il reste donc le partage des coûts comme seul moteur du SCAF. Mais les politiques en ont fait une escadre avec 3 bateaux amiral qui non seulement avancent à la vitesse du plus lent, mais n'ont pas la même destination. Mais l'article de @Manuel77 (merci !) me conforte que Airbus est squizzé et ́n'a qu'une alternative : sortir ou accepter la position de Dassault.
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Tu as la réponse juste au dessus dans le post de @Titus K Mais ça ne dit pas combien sur les 3 sont livrés en 2025 et stockés sous douane (ça permet le paiement et le transfert de risques) avant leur ferry flight.
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Je ne pense pas. Les Allemands ne peuvent pas laisser leur industrie aéronautique sans un programme majeur. Si le SCAF est abandonné, il ne leur reste que l'upgrade du Typhoon. Et ils ne sont pas manchots. Le Typhoon continuera de faire le gros bataillon de l'AA. Mêê si c'est avec quelques années de retard, ils feront l'équivalent de notre programme F5/Neuron.
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En quoi est ce génant ou critiquable que les Allemands fassent avec le Typhoon ce que nous faisons avec le Rafale, En sus d'une amélioration de leur arme aérienne, ça leur permet de ne pas prendre de retard technologique.
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Il faut se référer aux termes du contrat.
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Anecdote pour anecdote: J'avais fait le déplacement sur Riyadh (non sans mal!) La ville était quasi déserte car les Saoud avaient très peur des SCUD et de leur hypothétique charge de gaz moutarde. La France avait envoyé des stocks de masques. En en parlant à mon client au ministère ... il me dit " Oui, c'est bien. Mais il n'y avait pas de taille enfants" Au final , les SCUD ont fait plus de peur que de mal. Et on trouvait plus facilement des débris de Patriot que de SCUD.
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Perso, j'irais pas chercer des références en Australie.
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Pour les Shahine, Alain Gomez, le PDG de Thomson-Csf à l'époque, avait fait le voyage pour rassurer le personnel technique ... et annoncer quelques primes!
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Par son comportement et son language de poissonnier (pardon pour ce métier) qui distribue les claques et les bons points en salves fleuries, Trump a fait émerger une ribambelle de courtisans-lèches-culs ... et la Belgique en a au moins un de bien placé Sur le fond c'est plus complexe. Du Mali aux USA, en passant par la Chn, la Russie, la Corée le monde est plein de despotes aux pouvoirs effrayants
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Peu importe
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Un nouveau prix Nobel de l'économie ... et il est Français Philippe Aghion (désolé pour les supporters de Gabriel Zucman )
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[Ministère des Armées, MINARM]
Alberas a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Economie et défense
La descrition de ses postes et activités politiques dans Wiki me laisse un sentiment de touche à tout (caractéristique de beaucoup de politiques) mais avec une orientation dans le social et le sociétal avec des idées plutôt réac typiques de la droite traditionnaliste. C'est le seul point que je vois de positif pour son nouveau poste, les armées n'étant pas des adeptes du wokisme Pour le reste, elle apporte un savoir faire de professionnelle des arcanes du gouvernement et du Parlement. Mais pas d'expérience de l'international ni de la défense. Elle doit bien parler l'Anglais pour avoir travailler dans une société US. -
Et même au delà !
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La question est: Pourquoi Trappier en a parlé devant une commission du Parlement, après une question anodine (et peut être téléguidée?) d'une simple parlementaire ? Ma réponse: c'est une opération de "contre batterie" en face de la campagne de dénigrement du Rafale par les Pakis et les Chinois
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On doit s'approcher de la date de réunion du conseil de sécurité pour l'AON des 114 Rafale non?
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Y a plus qu'à
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Arrête de ressasser le passé.
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Le SCAF est un projet d'une dimension bien plus importante que ceux que tu cites. Et surtout, tu remarqueras que MBDA et Airbus sont des sociétés à capitaux pluri nationaux, que SAMP-T est un système gagnat/gagnant entre un missilier et un radariste, et que seul le programme FREMM a réuni 2 sociétés concurrentes ... et qui ont produit des navires largement différents. Et donc on en revient toujours au même enjeu ... l'indépendance de Dassault, petit dans le monde des géants de l'aéronautique et de la défense, et dont les succès font de l'ombre à Airbus.
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Un nouvel épisode du feuilleton péruvien. Pérou: la présidente Dina Boluarte destituée par le Parlement La présidente péruvienne Dina Boluarte a été destituée dans la nuit du jeudi 9 au vendredi 10 octobre par un vote majoritaire du Parlement, à la suite de plusieurs motions en ce sens déposées au cours de la journée par les principales forces politiques de l'assemblée. Le président du Parlement, José Jeri, 38 ans, assume désormais la présidence du pays. Publié le : 10/10/2025 - 07:30Modifié le : 10/10/2025 - 09:23 « La destitution de la présidente a été approuvée », a annoncé le président du Parlement, José Jerí, à l'issue d'une courte session à laquelle Dina Boluarte ne s'est pas présentée, bien qu'elle ait été convoquée. Dina Boluarte pouvait assurer elle-même sa défense ou être représentée par un avocat, a indiqué le président du Parlement monocaméral péruvien. C'est désormais celui-ci qui assume la présidence du pays. Un « gouvernement de transition » « Aujourd'hui, a déclaré José Jeri, j'assume avec humilité la présidence de la République, par succession constitutionnelle, afin de mettre en place et diriger un gouvernement de transition », immédiatement après avoir prêté serment devant le Parlement. Le nouveau président intérimaire assumera ses fonctions jusqu'au 26 juillet 2026. Le Pérou organise des élections générales en avril. Pour déchoir Mme Boluarte de ses fonctions, au moins 87 des 122 députés ayant pris part au vote devaient se prononcer en faveur de sa destitution. Les principales forces politiques du Parlement monocaméral ont déposé au cours de la journée cinq motions de destitution. L'examen de quatre d'entre elles a été approuvé à la majorité par le Parlement. Le président du Parlement devrait assumer le pouvoir par intérim jusqu'aux élections générales d'avril 2026. Les motions invoquent une « incapacité morale permanente » de la présidente à exercer ses fonctions, selon les documents lus à l'ouverture de la session parlementaire. Dina Boluarte a déjà fait l'objet de plusieurs tentatives de destitution, sans qu'aucune n'aboutisse. Cette fois-ci la procédure est allé jusqu'à son terme, les partis de droite et d'extrême droite qui la soutenaient jusqu'à présent l'ayant lâchée. Destituée, Dina Boluarte perd de fait son immunité et se retrouve désormais exposée à d'éventuels procès susceptibles de la conduire en prison. Instabilité politique Le Pérou traverse la pire période d'instabilité politique de son histoire moderne, avec six présidents en près de neuf ans. Arrivée au pouvoir après la destitution du président Pedro Castillo, dans un contexte de manifestations violemment réprimées qui ont fait au moins 50 morts, Dina Boluarte connait une impopularité record. Son mandat est par ailleurs entaché par plusieurs affaires, dont le scandale du « Rolexgate », portant sur des montres et bijoux de luxe qu'elle n'aurait pas déclarés, et une rhinoplastie pratiquée en juillet 2023 gardée secrète alors que la loi l'obligeait à en informer le Parlement. Ces dernières semaines, les manifestations contre le gouvernement se sont multipliées à Lima face à la vague d'extorsions et de meurtres attribués au crime organisé.
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Dans ce jeu de roles, Trappier joue le sien. Celui de l'industriel spécialiste et autonome qui argumente sur la rationalité technologique et industrielle. Il ne veut ps collaborer pour faire plaisir aux politiques mais pour arriver au meilleur résultat technique et opérationnel.