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Alberas

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Tout ce qui a été posté par Alberas

  1. C'est Saab le fournisseur du système et c'est donc Saab qui s'occupe des conformités à l'ITAR ... et aux règlementations de ses autres pays fournisseurs de sous systèmes et composants. Comme le Canada par exemple. Nous, nous signerons un engagement de non réexportation auprès des Suédois.
  2. C'est simple: Saab est avionneur ET radariste. Et ils ont cru au marché comme alternative à Boeing. Mais note que Saab. ne fait pas tous les radars. Vers les années 2000 (je ne me souviens plus de l'année exacte) quand il définissait son gripen E, il avait demandé à Thales de lui fournir le radar . Refus de Thales, fortement incité par Dassault. Désolé, mais tu ne connais pas l'historique de Thales., qui est passé par des périodes ou ses reins n'étaient pas du tout solides. Mais surtout, ce n'est pas la mission de Thales d'étudier des ^plateformes aériennes.
  3. On voit bien que les quantités de chaque système sont lilmitées par les capacités budgétaires. C'est ce qu'ona traduit par "armée échantillonnaire"! Avec l'augmentation des budgets les quantités augmentent. Donc les "PREMIERS" ne seront pas les "DERNIERS". C'est plutôt une bonne nouvelle.
  4. Et le communiqué de Dassault Dassault Aviation s’associe à Reliance Group pour fabriquer en Inde des avions d’affaires Falcon 2000 pour le marché mondial Dassault Aviation s’associe à Reliance Group pour fabriquer en Inde des avions d’affaires Falcon 2000 pour le marché mondial Dassault Aviation et Reliance Infrastructure Ltd, filiale de Reliance Aerostructure Limited (RAL), ont annoncé aujourd'hui au Salon du Bourget, la signature d'un accord pour la fabrication en Inde de Falcon 2000 LXS destinés au marché mondial. ©Dassault Aviation La première chaîne d’assemblage de Falcon Business Jets hors de France sera mise en place chez Dassault Reliance Aerospace Limited (DRAL), en Inde. DRAL deviendra le premier centre d’excellence (Center of Excellence) pour Falcon en dehors de la France. L’Inde rejoint l’élite des pays producteurs de jets d’affaires. Saint-Cloud, France ; Mumbai, Inde ; 18 juin 2025 – Dassault Aviation et Reliance Infrastructure Ltd, filiale de Reliance Aerostructure Limited (RAL), ont annoncé aujourd’hui au Salon du Bourget, la signature d’un accord pour la fabrication en Inde de Falcon 2000 LXS destinés au marché mondial. C’est la première fois que Dassault Aviation fabriquera des avions Falcon 2000 en dehors de la France, positionnant ainsi l’Inde comme un centre stratégique de l’aviation mondiale. Il s’agit d’un moment historique pour l’Inde, qui rejoint le club restreint des pays fabricants d’avions d’affaires de nouvelle génération, après les États-Unis, la France, le Canada et le Brésil. Pour Dassault Aviation, DRAL deviendra un centre d’excellence (CoE) pour la gamme Falcon, dont les Falcon 6X et Falcon 8X, le premier de ce type en dehors de la France. Eric Trappier, Président-Directeur général de Dassault Aviation, a déclaré : « Ce nouvel accord, qui fera de DRAL le premier centre d’excellence pour l’assemblage de Falcon en dehors de la France et qui permettra, à terme, la mise en place d’une chaîne d’assemblage final pour le Falcon 2000, illustre, une nouvelle fois, notre ferme volonté de répondre à nos engagements pris dans le cadre du « Make in India », et de contribuer à la reconnaissance de l’Inde comme un partenaire majeur dans la chaîne d’approvisionnement aéronautique mondiale. Il marque la montée en puissance de DRAL, conformément à la vision stratégique partagée avec notre partenaire Reliance, qui a présidé à sa création en 2017 et témoigne de notre foi inébranlable en notre avenir en Inde et au service de l’Inde. ». Anil D. Ambani, président fondateur du groupe Reliance, a déclaré : « Cette collaboration reflète notre engagement en faveur de la vision du Premier ministre Shri Narendra Modi, pour l’autosuffisance de l’Inde -Atmanirbhar Bharat- et le « Make in India pour le Monde ». Notre partenariat avec Dassault Aviation pour la fabrication de jets d’affaires Falcon en Inde est un moment décisif pour le pays, l’industrie aéronautique et le groupe Reliance. Il contribuera à faire de l’Inde un acteur clé de la chaîne de valeur du secteur aéronautique mondiale. » Le transfert de l’ensemble des opérations d’assemblage du fuselage et des ailes, associé à d’importantes mises à niveau des installations, ouvrira la voie au premier vol du Falcon 2000 « Made in India » à partir des installations de DRAL à MIHAN, Nagpur, dans l’État occidental du Maharashtra, en Inde, d’ici à 2028. Ce partenariat représente une étape importante dans le développement des capacités de production aéronautique de l’Inde, tout en lui permettant de s’intégrer stratégiquement dans la chaîne d’approvisionnement mondiale de l’aviation. C’est la première fois dans l’histoire de Dassault Aviation que l’entreprise fabriquera des Falcon 2000 en dehors de la France. Dassault transférera également à DRAL l’assemblage de la section avant des Falcon 8X et Falcon 6X, ainsi que les ailes et l’assemblage complet du fuselage du Falcon 2000. Cette initiative historique fera de l’Inde un centre stratégique pour la fabrication d’avions d’affaires haut de gamme, soulignant ainsi l’importance croissante du pays dans l’écosystème aéronautique mondial. La nouvelle chaîne d’assemblage final répondra à la demande croissante en Inde et sur d’autres marchés internationaux. La coentreprise entre Dassault Aviation et Reliance Aerostructure – DRAL – a été créée en 2017. Les opérations ont commencé avec la mise en place d’une usine de fabrication de pointe à Mihan, Nagpur, plus tard dans l’année. Depuis la livraison de sa première section avant de Falcon 2000 en 2019, DRAL a assemblé plus de 100 sous-sections majeures pour le Falcon 2000, confirmant ainsi ses capacités de fabrication de précision de classe mondiale et jouant un rôle intégral dans le programme de production mondial de Falcon. DRAL devrait recruter plusieurs centaines d’ingénieurs et de techniciens au cours de la prochaine décennie pour soutenir l’expansion de ses activités. Cette croissance souligne l’engagement profond de Dassault Aviation à renforcer l’écosystème de la production aéronautique de l’Inde et à favoriser l’émergence du pays en tant que centre d’excellence mondial pour la production de haute-précision d’avions. À propos de Dassault Aviation : Avec plus de 10 000 avions militaires et civils livrés dans plus de 90 pays depuis un siècle (dont 2 700 Falcon), Dassault Aviation dispose d’un savoir-faire et d’une expérience reconnus dans la conception, la production, la vente et le support de tous les types d’avion, depuis l’appareil de combat Rafale jusqu’à la famille de business jets haut de gamme Falcon en passant par les drones militaires et les systèmes spatiaux. En 2024, le chiffre d’affaires de Dassault Aviation s’est élevé à 6,2 milliards d’euros. Le Groupe compte 14 600 collaborateurs. dassault-aviation.com À propos de Reliance Group : Le groupe Reliance compte deux entreprises de premier plan, Reliance Infrastructure Limited et Reliance Power Limited, qui ne sont pas endettées et n’ont aucun prêt en cours auprès de banques ou d’institutions financières. La solidité financière du groupe se reflète dans sa valeur nette et son chiffre d’affaires annuel, qui s’élèvent chacun à 3,3 milliards d’euros (33 000 milliards de roupies indiennes) et dont la capitalisation boursière avoisine les 4,5 milliards d’euros (45 000 milliards de roupies indiennes), avec une base d’actionnaires dépassant les 4 millions de personnes. Reliance Infrastructure Limited est active dans le secteur de l’énergie et se concentre sur la distribution d’électricité à Delhi et la production d’électricité. L’entreprise a également des intérêts dans la fabrication de matériel de défense et joue un rôle clé dans le développement des infrastructures par l’intermédiaire de sociétés à finalité spécifique (SPV), notamment pour des projets tels que le métro de Mumbai. Reliance Power, l’une des principales sociétés de production d’électricité en Inde, avec une capacité installée totale de 5 305 MW, dont le projet Ultra Mega Power de 4 000 MW à Sasan, dans le Madhya Pradesh, qui est actuellement la plus grande centrale thermique intégrée au monde.
  5. https://ch.zonebourse.com/cours/action/DASSAULT-AVIATION-5215/actualite/Dassault-Aviation-s-associe-a-Reliance-Group-pour-fabriquer-en-Inde-des-Falcon-2000-50272704/ EN DIRECT. Salon du Bourget : Dassault va construire ses Falcon 2000 LXS en Inde 10h50 - Dassault va construire ses Falcon 2000 LXS en Inde C'est une première! Dassault Aviation a annoncé aujourd'hui au Salon du Bourget, la signature d'un accord pour la fabrication en Inde de Falcon 2000 LXS destinés au marché mondial. Cette nouvelle chaîne de production, nommée Dassault Reliance Aerospace Limited (DRAL), sera, selon Dassault, un centre d'excellence (CoE) pour la gamme Falcon, dont les Falcon 6X et Falcon 8X, le premier de ce type en dehors de la France. Pour l'Inde, il s'agit d'un moment historique car le pays rejoint le club restreint des pays fabricants d'avions d'affaires de nouvelle génération, après les États-Unis, la France, le Canada et le Brésil.
  6. En tout cas, ils n'ont pas tort. Les blocages du SCAF leur montrent ce qu'il ne faut pas faire.
  7. C'est bon pour la crédibilité de TG, mais ça va un peu dégader sa simplicité, rusticité et son économie !
  8. Alberas

    [Rafale]

    Je regrette que cet article ne parle pas du succès du Rafale dans le succès aérien de l'Inde, ils ne parlent pratiquement que du succès de l'IAF. Quant à la com indienne, elle est à usage interne. Après tout, une campagne de dénigrement des matériels français ne les concerne pas. C'est à nous de faire notre com. Malheureusement, en France, c'est mal vu de faire de la communication sur notre technologie militaire. C'est pas social, c'est pas écolo, c'est pas ESG, contrats export "juteux" et suspicieux, ....
  9. Que le Rafale soit plus cher qu'un monomoteur, c'est une évidence connue de tous. Les Péruviens avaient les yeux plus gros que le ventre? Peut être! Mais pour les délais, pas sûr que Saab fasse mieux que DA.
  10. Non! " Presque" . De toute façon, on ignore ce que contient l'offre DA. Mais il est dit plus bas: 16 Gripen pour 3.615 milliards, ce qui ferait grosso modo 5.4 milliards pour 24 avions
  11. Arrétez cette police des topics. Le Pérou est était bien un "client potentiel" export du Rafale, non? Si je veux parler "généralités" sur le Pérou, j'irai dans le topic pérou.
  12. En Amérique latine, c'est le "moment Gripen" https://larepublica.pe/politica/2025/06/16/caza-sueco-gripen-seria-el-elegido-pero-falta-la-intervencion-de-la-agencia-de-compras-de-las-ffaa-fuerza-aerea-del-peru-hnews-292304 L'avion de combat suédois Gripen a été choisi, mais l'intervention de l'Agence d'approvisionnement des forces armées est toujours en attente. Lors de la phase finale, la proposition du Rafale F4 français , dont le coût dépasse largement le budget, ainsi que celle du F-16V Block 70 américain, ont été abandonnées, l'usine n'en proposant que 12 exemplaires, alors qu'il en faudrait 24. L'offre suédoise du chasseur Gripen E reste donc la seule option. Le Conseil national de la justice a annulé le licenciement de Patricia Benavides et demande sa réintégration en tant que procureure générale. Le Congrès a approuvé une loi sur l’impunité des militaires et des policiers et la restauration de l’immunité parlementaire. L'option. Le chasseur Gripen E, fabriqué par le suédois SAAB, serait l'option la plus adaptée aux intérêts stratégiques de la FAP. Photo : LR composition | FFAA | Force aérienne péruvienne Ange Paez Les événements récents ont contribué à la décision très probable de l'armée de l'air péruvienne d'opter pour le chasseur suédois Gripen E. Dans le cas du projet français Rafale F4, le coût élevé et les délais de livraison imposés par l'usine Dassault ont déçu les spécialistes de l'Armée de l'air péruvienne (FAP) impliqués dans le processus de sélection. Le budget, fixé à 3,5 milliards de dollars, ne permet pas à l'armée de privilégier « la proposition Dassault, qui double presque le total des fonds alloués à ce projet », ont indiqué des sources proches des négociations. Au cours de la première semaine de mai de cette année, le ministre de la Défense Walter Astudillo et le commandant de l'armée de l'air Carlos Chávez Caterianio ont rencontré de hauts responsables du ministère de la Défense et de l'Agence de coopération de défense des États-Unis (DSCA). Lors de la visite, Lockheed a annoncé être prêt à proposer 18 nouveaux chasseurs F-16V Block 70, construits spécifiquement pour le Pérou. Le F-16 est le deuxième finaliste du processus de sélection du FAP. Cependant, les études techniques de l'institut militaire prévoient une flotte de 24 chasseurs pour atteindre l'objectif de modernisation complète du système de défense aérienne. À cet égard, Israël aurait proposé des chasseurs F-16 de seconde main, qui pourraient également être modernisés selon les critères péruviens, y compris en matière d'armement. Les sources consultées indiquent qu'Israël n'est pas intéressé par des avions qui ne seraient pas fabriqués selon les instructions péruviennes. « Non, merci. La FAP recherche une flotte de 24 chasseurs neufs et sur mesure », ont indiqué les sources consultées. Ainsi, l'avion de combat suédois Gripen E était le seul des trois finalistes définis par l'institut militaire. Une autre nouvelle importante a redoublé l’intérêt pour les avions de combat suédois. Le 2 avril, le président colombien Gustavo Petro a annoncé que son gouvernement avait choisi le modèle Gripen E pour remplacer l'avion Kfir de fabrication israélienne. Le projet d'acquisition de 16 nouveaux avions, d'un montant de 3,615 milliards de dollars, a été décidé après l'élimination du Rafale F4 et du F-16V Block 70, chasseurs finalistes de l'appel d'offres colombien. Un phénomène très similaire s'est produit dans le cas péruvien. L'Agence entre en scène Or, étant donné que le processus de passation de marchés se ferait de gouvernement à gouvernement, comme prévu par le pouvoir exécutif, dans le cas de l'acquisition de services stratégiques pour le secteur de la défense, l'entité chargée de négocier et de contracter le fournisseur est l'Agence d'approvisionnement des forces armées (ACFFAA), conformément à la réglementation en vigueur. Mais au sein de la FAP, certains soutiennent que l’ ACFFAA pourrait ralentir le processus dans un contexte de délais très serrés. Le chef de l'ACFFAA, le général de brigade à la retraite Aldo Cornejo Valverde, a déjà informé le ministre de la Défense, le général de division à la retraite Walter Astudillo Chávez, que le processus d'acquisition de la flotte d'avions de combat est un service stratégique du secteur de la Défense, et que l'agence doit donc aborder la question. En fait, le 19 février et le 13 mars de cette année, sous l'administration actuelle d'Aldo Cornejo, la Directive pour le processus de passation de marchés de gouvernement à gouvernement pour les biens et services stratégiques du secteur de la défense et le Manuel d'approvisionnement sur les marchés extérieurs, version 9, ont été approuvés. Selon le premier document, l' ACFFAA reçoit et approuve la demande de manifestation d'intérêt des États étrangers , nomme les membres de l'équipe de travail technique et du comité de négociation, et est habilitée à déclarer le processus nul et non avenu si elle constate des défauts. Dans le cas du FAP, il serait chargé de « préparer l'étude finale, contenant les spécifications techniques ou termes de référence (TDR) » et de « transmettre le dossier d'initiation à l'ACFFAA à travers le Système intégré de gestion des achats (SIGCO) ». Le deuxième document, le Manuel de passation des marchés étrangers version 9, confirme que le Comité de négociation nommé par l'ACFFAA est celui qui décide de l'attribution du contrat. Washington. Le ministre Astudillo et le chef du FAP, Carlos Chávez, avec le secrétaire à la Défense. Photo : Dissémination VOUS POUVEZ VOIR :La Corée appelle le gouvernement péruvien à évaluer son avion de combat KF-21. Ce que disent les règles « Le comité examine les offres économiques (détermine) l'offre gagnante, attribue le contrat et distribue le procès-verbal d'admission et d'évaluation du processus de sélection aux soumissionnaires », indique le manuel. Les sources consultées ont indiqué que le délai imparti à l'ACFFAA serait excessivement long et que, dans cette éventualité, d'autres options politiques pourraient être envisagées. Par exemple, le président pourrait déclarer l'achat des 24 chasseurs d'intérêt national, et la FAP pourrait demander un achat direct de gouvernement à gouvernement, sur la base de l'exigence d'un fournisseur unique. Autrement dit, l'institut militaire pourrait présenter un dossier démontrant que la seule proposition répondant aux exigences de la FAP est celle de SAAB, le fabricant du Gripen E. Cette alternative est spécifiquement envisagée dans le Manuel des marchés publics étrangers, version 9. En effet, le document susmentionné indique que cette option est disponible à condition que les conditions suivantes soient remplies : « i) Le bien ou le service est le seul à satisfaire à l'exigence ; ii) Il n'existe aucun autre bien ou service sur le marché étranger qui puisse le remplacer ; et iii) Le bien ou le service est offert par un seul fournisseur. » Interrogées, les sources ont déclaré : « Les trois variables sont satisfaites de manière satisfaisante, il serait donc approprié de faire appel à un fournisseur unique , qui dans ce cas serait la société suédoise SAAB. » Ce n’est pas aussi facile qu’il y paraît. Le manuel susmentionné contient une série d'exigences pour l'approbation d'un bon de commande à fournisseur unique. Outre le rapport technique que le FAP doit soumettre, l'ACFFAA « déterminera l'option de fournisseur unique, à la suite d'une étude des possibilités de marché, qui sera de la responsabilité de son service d'études de marché ». En outre, « l'ACFFAA approuve la modalité de fournisseur unique par le biais d'une résolution de gestion basée sur le rapport technique préparé par la Direction des études de marché et des rapports juridiques du Bureau de conseil juridique. » Le patron. Le général à la retraite Aldo Cornejo Valverde dirige l'Agence d'acquisition des forces armées. Photo : Publicité VOUS POUVEZ VOIR :Le ministère de la Défense demande à l'armée de rendre des comptes pour le refus des Russes de livrer trois hélicoptères. La dernière signature Il est indéniable que l'administration de la présidente Dina Boluarte a clairement indiqué que les acquisitions militaires stratégiques peuvent également être réalisées sans nécessairement passer par l'ACFFAA. Il s'agit de décisions politiques. En 2023, l'armée a acheté 10 000 fusils Arad 7 à Israel Arms Industries (IWI) pour 23,7 millions de dollars américains. Elle a procédé à cet achat par l'intermédiaire de l'usine d'armes et de munitions de l'armée (FAME), propriété de l'État, et non de l'ACFFAA. En 2024, la marine péruvienne, par l'intermédiaire de la société Servicios Industriales de la Marina (SIMA), a signé un contrat de coproduction avec le sud-coréen Hyundai Heavy Industries pour la construction de quatre navires pour un montant de 462,9 millions de dollars. En 2025, l'armée s'est à nouveau tournée vers FAME pour l'acquisition de 30 véhicules blindés 8x8 White Tiger K-808 auprès des sociétés sud-coréennes STX Corporation et Hyundai Rotem pour 60 millions de dollars américains. Ces contrats ont été approuvés par le ministère de la Défense , qui supervise l'Agence d'approvisionnement des forces armées, de sorte que la même procédure pourrait être répétée pour l'acquisition de 24 chasseurs. Des sources de l’ACFFAA ont confirmé qu’il existe effectivement une possibilité que le pouvoir exécutif opte pour un approvisionnement direct – sans appel d’offres – par le biais de l’option de source unique. La présidente Boluarte pourrait révéler la décision finale lors de la cérémonie anniversaire du FAP le 23 juillet, ou dans son discours devant le Congrès le 28 juillet. Rien ne manque. VOUS POUVEZ VOIR :Les commandants de l'armée accusés d'avoir orienté le contrat de 96 millions de dollars en faveur de l'entreprise Le Gripen en Thaïlande et au Brésil Le 4 juin, la Royal Thai Air Force a confirmé l'acquisition de 12 chasseurs suédois Gripen NG, abandonnant le projet américain F-16 Viper. Dans la région, un contrat signé par le Brésil et SAAB pour la fourniture de 36 Gripen E est en vigueur depuis 2014, dans le cadre d'un accord prévoyant l'assemblage au Brésil et le transfert de technologie. Le premier Gripen construit au Brésil effectuera son vol inaugural cette année.
  13. Normalement le G7 est censé regrouper 7 pays. C'est le Canada qui a voulu le transformer en une sorte de G20 dont le seul programme était de permettre à chaque dirigeant de passer 15 minutes avec Trump juste pour faire la photo. Il a eu raison de se barrer.Et les participants pourront discuter entre eux.
  14. Alberas

    [Rafale]

    J'ai du mal à suivre ton raisonnement. Quand une commande est reçue, et en supposant qu'il n'y a pas de développement demandé par le client et qui augmente le délai, chaque service concerné par la réalisation de la commande reçoit son lot de travaux. Pour la production, les 1ers concernés sont les responsables de fabrication et les services achat. Donc chaque usine de DA et chaque ss traitant de rang 1 reçoit sa commande avec ses spécifications et ses délais de livraison. Et tout ceci se répercute auprès de chaque fournisseur de rang 2, 3 etc Pendant toute cette phase et jusqu'à la livraison du premier élément à l'usine de montage pour le 1er avion, il n'y a donc aucune raison d'avoir un poste de montage pour ce 1er avion. Donc à Mérignac, le nombre de postes de montage actifs dépend du temps d'assemblage d'un avion, qui ne peut pas être de 3 ans! J'avais compris que c'était environ 1 an entre la livraison du 1er ensemble et le montage du dernier élément avant sa sortie pour essais?
  15. Alberas

    [Rafale]

    Interdit?, je ne pense pas. Mais risqué et sans intérêt, oui! Quand tu vois le temps que prend un pays pour passer commande, l'Inde par exemple, tu t'amuses pas à faire des queues blanches. Et si on prend un pays où la notion du temps est plus proche de la notre ( la Suisse au hasard ) on aurait eu l'air malin à lancer des Rafale pour eux. Et puis, une queue blanche sans moteur, sans radar et spectra, et sans armement ça risque de prendre du temps avant d'être livré.
  16. Difficile de communiquer quand on est un petit qui veut jouer dans la cour des grands
  17. Moi! Je le lis. A prendre avec du recul, mais tout n'est pas à jeter. Qui sont les 2 autres ?
  18. Alberas

    [Rafale]

    Je suppose que Thales en sera le maitre d'oeuvre?
  19. Tout cela reste encore assez flou. Attendons les commandes fermes.
  20. Ce qui est en question, c'est le mode de fonctionnement du programme et je ne crois pas que la "discussion franche" dont parle le ministre changera quoi que ce soit.
  21. C'est nul! C'est du bla bla, de la langue de bois! ... 8 ans après le lancement politique du SCAF, notre ministre "découvre" que c'est difficile de faire un avion à 3? Et encore il oublie le 4ème pays observateur! Et que les doctrines export ne sont pas compatibles? En réalité, j'espère (et je pense) que nos dirigeants sont conscients de cette situation depuis longtemps mais "couple franco-allemand", "défense européenne" obligent les dirigeants européens à afficher une unité de façade. Mais vis à vis d'une France financièrement exangue et avec un gouvernement branlant et un Président que plus personne n'écoute, quelle confiance peuvent avoir l'Allemagne et l'Espagne sur notre engagement à long terme sur le SCAF? Et ce d'autant plus qu'on développe le Rafale F5, son Neuron et tout ce qui va avec. Moyennant quoi, accélérer le développement du SCAF n'est pas notre priorité, ni surtout celle de Dassault. Enfin, pendant que DA a du mal à fournir ses clients, embauche à tour de bras (et Thales aussi), Airbus DS licencie 2000 personnes. Conclusion: c'est inimaginable que Airbus accepte le leadership de DA. Et donc, bla bla bla et statu quo
  22. Tous ceux là et l'Arabie Saoudite ...
  23. Oui, c'est exactement ce que dit Trappier dans Challenge quand il répond qu'une échéance à 10 ans, dans son domaine, c'est court.
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