Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

Alberas

Members
  • Compteur de contenus

    2 752
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    1

Tout ce qui a été posté par Alberas

  1. C'est du mauvais chantage. Trump doit en rigoler
  2. Oui, c'est le pays à la mode. Si d'autres pays européens renoncent ou réduisent leurs commandes de F35, pourquoi pas. Mais je doute que les Portugais fassent le 1er pas.
  3. On va la jouer "à la Trump " : si le Canada veut la protection offerte seulement avec le matériel français, ce sera ... Rafale + Barracuda ... sinon rien. Les Canadiens ont 8 jours pour signer .
  4. C'est une belle vue d'artiste, mais ça représente quoi? Pas l'Eurodrone, ou alors il a bine changé, parce que l'Eurodrone Airbus .... il est moche
  5. Indian Navy: Rafale M et Scorpene, ça se raoproche ... https://www.thehindu.com/news/national/two-mega-defence-deals-with-france-await-clearance-by-cabinet-committee-on-security/article69334328.ece Deux méga-contrats de défense avec la France attendent l'approbation du Comité du Cabinet sur la sécurité La Marine souhaite que les contrats portant sur 26 avions de combat Rafale-M et trois autres sous-marins conventionnels de classe Scorpène, d'une valeur totale de 11 milliards de dollars, soient signés au cours de cet exercice. Publié le 15 mars 2025 à 22h57 IST - New Delhi Dinakar Peri Deux méga-contrats de défense avec la France — pour 26 avions de combat Rafale-M et trois autres sous-marins conventionnels de classe Scorpène — d'une valeur de près de 11 milliards de dollars attendent désormais l'approbation finale du Comité du Cabinet sur la sécurité (CCS) avant leur conclusion prévue très prochainement. La marine indienne pourra observer de près les performances des jets Rafale-M sur le porte-avions français Charles de Gaulle alors que le groupe aéronaval actuellement dans l'océan Indien devrait se rendre à Goa la semaine prochaine pour l'exercice bilatéral Varuna. « Toutes les formalités ont été accomplies et le dossier a été soumis au CCS depuis quelques semaines », ont confirmé des responsables concernant le contrat portant sur 26 Rafale-M. « Les négociations ont débuté il y a plusieurs semaines », a déclaré un responsable. La Marine a tenu à ce que les deux contrats soient signés au cours de l'exercice clos le 31 mars afin qu'ils soient inclus dans le budget de cette année. Le contrat Rafale-M devrait être conclu en avril, lors de la visite prévue du ministre français de la Défense en Inde. Comme l'a rapporté The Hindu , les livraisons de Rafale-M à la marine indienne débuteront quatre ans après la signature du contrat. Les responsables ont indiqué qu'étant donné qu'il s'agit d'un contrat entre gouvernements, les fonds prévus dans ce budget peuvent être reportés sur le prochain. Des sources ont indiqué que l'accord sur le Scorpène était également finalisé à tous égards. Il fait suite à l'accord précédent portant sur six sous-marins Scorpène, acquis dans le cadre du Projet 75 entre Naval Group of France et Mazagon Dock Shipbuilders Limited (MDL). Si l'accord est conclu le mois prochain, la marine indienne commencerait à recevoir à partir de 2029 à la fois les avions Rafale-M et le MQ-9B, un véhicule aérien sans pilote doté de caractéristiques de haute altitude et de longue endurance, contracté auprès des États-Unis. Le 13 juillet 2023, alors que le Premier ministre Narendra Modi était en route pour Paris, le Conseil d'acquisition de la défense (DAC) présidé par le ministre de la Défense Rajnath Singh a accordé l'acceptation de nécessité (AoN) pour l'acquisition de 26 chasseurs Rafale-M et de trois sous-marins diesel-électriques supplémentaires de classe Scorpène. Le contrat pour 26 Rafale comprend 22 Rafale-M monoplaces et quatre Rafale d'entraînement biplaces (non compatibles avec les porte-avions). Ces 26 avions sont destinés à combler le déficit jusqu'à la mise en service du chasseur bimoteur basé sur le pont (TEDBF), en cours de développement. La Marine exploite actuellement deux porte-avions : l'INS Vikramaditya, acheté à la Russie, et l' INS Vikrant , construit en Russie et mis en service en septembre 2022. Publié le 15 mars 2025 à 22h57 IST
  6. Alberas

    [Rafale]

    Tout à fait d'accord Et d'autant plus que l'accès au marché export pour un système construit et partagé par plusieurs pays sera beaucoup plus complexe qu'un système fait par une équipe industrielle unie, et aux compétences reconnues mondialement.
  7. " Le Canada est l’endroit où il faut être, en ce moment. » Il faut aimer le brouhaha pour faire une telle affirmation. Ou peut-être que comme Thales Canada, il faut avoir en main des solutions à certaines des récriminations proférées par les États-Unis pour justifier leur guerre tarifaire contre le Canada. https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2025-03-14/guerre-commerciale/thales-voit-une-opportunite-au-canada.php
  8. Il semblearit que l'attaché de défense du Pérou a bien profité de sa visite à Kourou ..
  9. Oui, et c'est là où le groupe américain amène ses dollars
  10. -On nous parle d'une PME de 75 salariés et de 40 Meur de CA, qui serait endettée (ça c'est normal si elle est en croissance) et dont le prix de cession serait de 365 Meur, 10 fois le chiffre d'affaire! : Ca parait démesuré. L'explication (pour moi) est dans l'identité de l'acheteur. LOAR group est une holding d'entreprises travaillant chacune dans une niche technique de l'aéronautique. Il fonctionne comme un grossiste en quincailleire spécialisée. Au 1er abord, c'est positif pour la PME française, car ça lui ouvre un marché plus important. Mais pour rentabiliser son achat, LOAR Group va ceratienement fortement augmenter les prix. Et après ... Tout ceci pose quand m^me le problème de la pérennité d'une PME de 75 employés sur un marché de niche. Pas simple.
  11. Alberas

    L'armée de terre tchèque

    C'est le modèle "full options" ?
  12. Très bonne idée .... mais il était pas question de faire des porte avions communs avec eux ?
  13. D'abord , il faut arréter de sombrer dans la schyzophrénie paranoïde contre les américains parce qu'un "nouveau Néron et son fou dopé à la kétamine" se sont installés à la Maison Blanche. Il passera comme sont passés nos propres dirigeants foireux. Mais reconnaissons lui le mérite de réveiller certains d'entre nous de leur rêve de commerce mondialisé bienheureux sous un parapluie quasi gratuit. Ensuite, "indépendance" ne veut pas dire "autonomie technologique universelle" . Mais si nos dirigeants veulent ajouter les catapultes à la liste des produits ITAR FREE indispensables ...
  14. Tu parles d'une indépendance française avec'une industrie capable de faire une catapulte ITAR FREE? Pour UN PA tous les 50 ans? PS Sincèrement, je me demande comment on a fait pour vendre des Rafale STOBAR aux indiens en nous bouchant le nez sur ce type de PA!
  15. On ne peut pas courir tous les lièvres à la fois: - l'augmentation de cadence du Rafale pour répondre à une demande mondiale plus forte, y/c européenne - l'accélération du développement du Rafale F5 et de son super Neuron - L'accélération du NGF/SCAF C'est trop et trop vite pour la BITD française. Il faut garder le Rafale F4 pour les clients actuels du club Rafale et pour les nouveaux clients hors Europe, en laissant les pays européens sur le Typhoon et le Gripen. Et mettre le F5 le plus vite possible sur le marché en laissant le SCAF avancer à son rythme.
  16. Donc on revient aux catapultes US et on arrète de se faire des noeuds au cerveau. CQFD
  17. Saurait on même les développer, les fabriquer, les qualifier? En faire 3 ... et puis plus rien? A ce compte là, si on ne veut plus acheter les catapultes aux US, autant faire des PA STOBAR. Pour le même prix, on pourrait même s'en offrir 2
  18. On pourrait aussi ajouter les catapultes de nos porte avions. Mais inversement ils achètent les sonars Captas de Thales ... On ne coupera jamais les ponts complètement. Mais ceci tend à montrer que la France a raison de vouloir continuer sur un PATMAR national et que les Allemands ont eu tort.
  19. Alberas

    [Rafale]

    En commençant par passer les commandes. "Fabriquer c'est le savoir-faire des industriels " [Patrice Caine ]
  20. Avec ces milliards qui tombent du ciel par centaines ... le budget 2026 va être sympa: - Retour à la retraite à 60 ans - Augmentation générale de tous les fonctionnaires - SMIC à 1500 euros - etc Ce déluge d'annonces de crédits illimités est indécent.
  21. Oui, et au delà c'est iris², en espérant que les revendications de chaque pays pour avoir un morceau du gateau ne tueront pas le projet. https://armees.com/la-defense-veut-lacher-starlink-pour-des-satellites-europeens-voici-son-remplacant/ La défense veut lâcher Starlink pour des satellites européens, voici son remplaçant Alors que l’Ukraine lutte pour ses communications, Starlink est devenu vital. Mais avec Eutelsat en embuscade, l’avenir des satellites en Europe pourrait changer. Depuis le début de l’invasion russe, l’Ukraine a dû innover pour garder ses communications actives. Starlink, le réseau satellite de SpaceX, s’est retrouvé au cœur de cette démarche. Pourtant, avec les nombreux changements sur le plan géopolitique et économique, d’autres acteurs, comme Eutelsat, font leur entrée en proposant des alternatives à explorer. Le rôle indispensable de Starlink pour l’Ukraine Les réseaux fixes et mobiles en Ukraine ont pris cher avec tous les dégâts causés par les bombardements russes. Face à tout ça, Starlink s’est révélé indispensable pour que les communications militaires ukrainiennes continuent de fonctionner. En fournissant des dizaines de milliers d’antennes paraboliques équipées de terminaux, Starlink a permis à Kiev de conserver un commandement opérationnel sur le champ de bataille. À un moment, ces services étaient si importants qu’ils servirent même à guider des drones d’attaque, avant que SpaceX ne mette un terme à cette pratique il y a deux ans. Au départ, SpaceX a soutenu l’Ukraine en voyant le gouvernement américain reprendre le financement des services Starlink. En plus, la Pologne s’est engagée à continuer de payer l’abonnement ukrainien à Starlink. Eutelsat : une alternative européenne intéressante Face à la dépendance de plus en plus forte sur Starlink, Eutelsat se présente comme une option européenne à considérer. Depuis sa fusion avec OneWeb en 2023, Eutelsat gère désormais une constellation de satellites en orbite terrestre basse, assurant une couverture mondiale comparable à celle de Starlink. Des discussions sont en cours entre Eutelsat et l’Union européenne pour améliorer les services destinés à l’Ukraine. Déjà impliqué dans les communications gouvernementales ukrainiennes, Eutelsat pourrait bien renforcer encore son rôle sur le terrain. Sur le plan technique, voici quelques chiffres à retenir : Starlink dispose d’une flotte impressionnante de plus de 7 000 satellites, tandis qu’Eutelsat et OneWeb possèdent 630 satellites OTB et 35 satellites géostationnaires (précision : OTB signifie « en orbite terrestre basse »). Côté débit, Starlink peut atteindre jusqu’à 200 mégabits par seconde, contre 150 mégabits par seconde pour Eutelsat. Les tarifs varient également : un terminal OneWeb coûte jusqu’à 10 000 dollars, alors que celui de Starlink se paye par une somme unique de 589 dollars, auxquels s’ajoute un abonnement mensuel oscillant entre 95 et 440 dollars selon l’utilisation. Les défis géopolitiques et économiques Accéder aux services satellitaires ne se résume pas à une simple question technique : c’est aussi une affaire de pouvoir et d’argent. Les négociateurs américains pourraient s’en servir comme monnaie d’échange dans leurs discussions avec Kiev concernant ses ressources minières. Pendant ce temps, le cours de l’action Eutelsat a explosé après une altercation publique entre Volodymyr Zelensky et Donald Trump fin février. Par ailleurs, les troupes ukrainiennes rencontrent encore des soucis techniques, notamment avec le brouillage des signaux et l’interception des communications sur les lignes de front. La question du financement supplémentaire pour les abonnements ukrainiens à OneWeb reste également en suspens. La dépendance grandissante aux satellites privés fait de plus en plus parler d’elle. Patrice Caine, PDG du groupe Thales, tire la sonnette d’alarme sur les risques d’une telle situation tout en soulignant qu’il faudrait un contrôle public sur ces infrastructures. Il rappelle d’ailleurs que « les gouvernements veulent être maîtres de leurs communications » et met en garde quant à l’association entre logique économique et motivations politiques, ce qui peut inquiéter certains clients. Dans cette optique, le projet Iris² vise à créer un réseau satellitaire entièrement européen qui réponde aux besoins des gouvernements du Vieux Continent.
×
×
  • Créer...