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il aurait pu être sur fond ordinaire, mais reparti sur plusieurs années (pas possible de débloquer 3 milliards sur un seul programme d'armement) Le risque aurait pu alors être qu'une année le programme soit accepté, et l'année d'après non. Mais bon, je crois surtout que les parlementaires de pas mal de parti voulaient soumettre l'achat au peuple plutôt que de passer en force. @Kovy: les seuls que je vois, c'est les FA-18C/D koweitiens, si ces derniers passent à un avion plus moderne. Les espagnols, les canadiens, les australiens ayant des FA-18A/B assez anciens (et assez différents pour certains: Sauf erreur les australiens ont un train d'atterrissage différent (non navalisé) et les canadiens un projecteur monté je ne sais plus trop où pour la police du ciel (ou un truc du genre)) Les finlandais en ayant besoin et aucune moyen de les remplacer à court terme (ni l'intérêt), Les malaysiens idem, en plus qu'ils n'en ont que 8, en version D.
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Après six mois un composant informatique est déjà quasiment obsolète, et après 1 ou 2 ans il l'est quasi certainement. Quand on sait qu'un programme d'essais en vol, rien que pour la certification c'est plusieurs années, on ne peut pas avoir un système parfaitement à jour, même à la mise en service (qui correspond à un appareil dont le design (hors problèmes à résoudre) a plus ou moins été finalisé quelques années auparavant...) Et au fond, comme g4lly le dit, tant que ça fonctionne, est-ce bien dramatique ?
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Le Groenland dépend du Danemark pas des Pays-bas...
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- Force aérienne suisse
- F-18 Hornet
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La question ça sera un truc du genre: acceptez vous la création d'un fond spécial servant (via les budgets ordinaires de l'armée) à financer l'achat de nouvelles avions de combat pour les forces aériennes suisses. Car c'est ce point qui était soumis à référendum facultatif (création d'un fond spécial pour le financement), pas l'achat en lui-même, qui aurait très bien pu se faire via des budgets ordinaires, sans que cela ne puisse être attaqué par référendum.
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hum, à mon avis ton F-5 il est surtout pas passé à la douche depuis quelques temps, car j'ai pas connaissance d'une livrée spécifique "camouflage" pour les F-5
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A vrai dire, il me semble avoir vu quelque part que l'intégration air-sol sur les Gripen NG seraient, en tout cas dans un 1er temps (comme pour les FA-18 à l'époque, qui devaient aussi remplacer, éventuellement via un 2ème batch, les Mirage IIIRS...), limitées au mieux aux bombes guidées laser (capacité basique). Et niveau reconnaissance, on n'aura à mon avis pas mieux que les pods FLIR qu'on retrouve maintenant sur les FA-18, principalement pour la police du ciel. Surtout que la reconnaissance peut maintenant aussi se faire via drone, et notamment grâce aux 5 ou 6 nouveaux drones MALE israéliens qu'on voudrait acheter (et actuellement via les tondeuses à gazon, euh non pardon les ADS-95 ) Et s'il y a dépassement de budget ou autres, il est clair que la 1ère chose qui va gicler ça sera toutes les capacités inutiles pour les missions "de base" (ie: police du ciel), donc les capacités air-sol...
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Ce n'est pas réaliste de vouloir combiner ravitailleur avec avions AWACS. Surtout sur une cellule aussi petite qu'un KC-390... De plus, vouloir intégrer deux radars de conception complètement différentes (un radar occidental et un radar russe) sur une seule même plateforme, spécifiquement pour un pays donné (qui en plus n'a probablement pas les compétences pour le faire même), c'est le meilleur moyen de créer un programme usine à gaz qui ne fonctionnera jamais... Si on veut être sérieux, on prend des appareils existants conçus par des pays qui ont l'habitude. Et, par exemple, un G550 CAEW, c'est autour de 250 millions de $ pièce (1 milliards pour 4 appareil à Singapour, et le prix de base d'un G550 c'est autour de 50 millions, si tu veux monter le système sur un autre appareil plus gros). Un KC-390, c'est environ 50 millions pièce. Donc rien que pour avoir 4 ravitailleurs ET 4 AWACS (de quoi assurer une permanence pour chacun des deux types d'appareils), c'est 1.2 millions au minimum. Et accessoirement, n'avoir qu'un seul système S400, c'est assez irréaliste. Car à la moindre panne, ou en cas de guerre, si une partie du système est détruit, on perd 100% des capacités... Après oui, on peut réfléchir à un système de défense intégré. Mais faut sans donner les moyens et pas prendre le minimum de tout pour tenir le budget, ce qu'on n'a pas. Car bon, si on veut être un peu réaliste, il faudrait: - environ 70 chasseurs modernes, pour assurer une permanence continue si besoin est. Les ravitailleurs ne pouvant que diminuer à la marge ce chiffre (et en plus étant très vulnérables), autant les laisser tomber, au profit éventuellement de base "avancées" réparties sur tout le territoire permettant le ravitaillement en carburant voir en arme rapide (aéroports civils, anciens aéroports maintenus au strict minimum, etc.). - éventuellement quelques AWACS (au minimum 4 si on veut assurer une permanence durable) pour aider à la détection, notamment au dessus des Alpes. Mais leur espérance de vie risque d'être assez faible... - des systèmes de défense sol-air relativement longues portées (p. exemple SAMP/T, le S-400 russe on peut oublier on n'achètera jamais du russe...). Vu la configuration de la Suisse, j'en prendrais au moins 4 (avec éventuellement les équipements vitaux dédoublés, soit presque 8 systèmes...) -- Un pour la région du Tessin, afin de repérer et traiter (y compris en territoire italien, en cas de guerre) les cibles en provenance du sud des Alpes (le Tessin ayant l'avantage d'être au sud de la chaine alpine, donc avant que les appareils ne puissent se camoufler complètement dans les vallées). -- Un pour la région de l'arc lémanique, densément peuplée. -- un pour la région du nord-ouest de la suisse (vers Porrentry-Bâle) -- un pour la région de Zurich. - des systèmes de défense sol-air moyenne portée (p. exemple Mica VL), pour compléter la barrière réalisée par les systèmes longues portées et protéger plus spécifiquement des objectifs stratégiques. là il en faudrait probablement plus, peut-être une douzaine. -- un système vers Aigle/Bex, un système vers Berne/Thoune, un système vers Lucerne/Alpnach pour protéger les entrées des vallées menant aux principales bases aériennes alpines et aussi ces régions plutôt industrielles (Thoune armée de terre, Lucerne armée de l'air, Aigle/Bex raffinerie notamment) -- un système en montagne dans les régions du Simplon -- un système vers Sargans/Walenstadt pour protéger les approches depuis la vallée de Coire (Grisons) -- un système dans les environs de Payerne, de Sion et de Meiringen pour protéger les bases aériennes -- plusieurs systèmes répartis entre Genève et le lac de constance pour surveiller la frontière Nord-Est de la suisse -- év. un par système longue portée en complément/back up, -- etc. - de très nombreux systèmes à courte portée, type Stinger, répartis en cas de guerre aux endroits stratégiques et notamment le long des frontières sud et est, où les montagnes rendront les systèmes à plus longue portées moins efficaces. - un réseau radar terrestre couvrant le mieux possible les frontières suisses, notamment dans les alpes. Complété en cas de guerre par des réseaux de surveillance "humain" placés dans des cabanes de montagne (c'est pas cher et ça peut toujours être utile, même de nuit (bruit)). Avec pourquoi pas un ou deux lanceurs stinger histoire de pouvoir traiter rapidement la menace. on pourrait aller encore plus loin, notamment en ce qui concerne la défense anti-missile balistique (voir des missiles de croisière, car la meilleure défense c'est encore d'empêcher l'ennemi d'attaquer...), mais bon, déjà rien que ce que j'ai dit, c'est complètement utopique...
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...comme tous les appareils de combat modernes... Le temps de développement d'un avion de chasse moderne, c'est au moins 10 ans voir plus. Et on va pas s'amuser tous les 6 mois à passer à la génération supérieure, surtout qu'elle doit être autrement plus performante que de l'informatique de bureau...
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Nos Hornet sont aux derniers standards disponibles (certains doivent encore être en cours de modernisation d'ailleurs), donc pour quelques années je pense qu'on est bon, niveau modernisation...
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Entrainement y a pas besoin, on a nos PC-21 pour ça qui coûtent bien moins cher. ^-^ Après, le FA-50 n'est pas si petit que ça, en fait il a une masse maximale au décollage proche de celle du Gripen normal (et le même moteur, même si l'utilisation du F414, comme sur le gripen NG, est aussi envisagée) Donc au final, on économiserait peut-être un peu sur le cout d'achat, mais pas sur le reste, pour des performances bien plus faibles (le radar embarqué* est notamment le même que ceux installés sur les F-5 modernisés (EL/M-2032 d'Elta, utilisé sur les F-5 marocains) et les performances globales doivent être assez proches je pense...). Sans compter qu'acheter sud-coréen plutôt qu'européen, ça risque de faire jaser, même en Suisse... Et puis inutile d'espérer y exporter des PC-21, les coréens ont leur KT-1 domestiques pour remplir le rôle d'avion d'entrainement (en plus du T-50). *et je ne pense pas qu'il serait possible d'installer un radar beaucoup plus performant car le nez semble relativement petit.
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Un PC-21 (ou n'importe quel autre turbopropulseur) ne remplacera jamais un jet, pour la simple et bonne raison qu'il y a des avions que des PC-21 ne peuvent pas intercepter car ils sont trop lent... Donc tu peux bien avoir 30 PC-21 dédiés à la police du ciel, cela ne changera pas grand chose, car pour toutes les menaces plus rapides qu'un avion de tourisme (avions d'affaire à réaction, avion de ligne, etc.), il faudra maintenir la même permanence en vol que sans PC-21... Après, les PC-7/21 etc. ne sont pas complètement inutiles, d'ailleurs pendant les grandes manifestations ils sont aussi engagés (et bientôt, des solutions comme les Fennec MASA français seront aussi mises en place si besoin est), pour surveiller et intercepter les petits avions de tourisme, qui ont oublié de lire les NOTAM avant de décoller... ...mais avec toujours les FA-18 prêts à intervenir en altitude, pour les avions plus rapides et aussi s'il faut abattre l'avion de tourisme... (l'avantage étant que ça fait moins de bruit, que les FA-18 n'ont pas besoin de descendre à basse altitude (diminution de l'autonomie), etc.) Sauf que là tu exploses à la fois le budget de fonctionnement et d'aquisition des forces aériennes et qu'au final, la plupart du temps, seuls les FA-18 et les Tiger seront vraiment utiles. Les pilatus* servant uniquement en cas de manifestations d'envergure (en situation normale ça ne sert à rien de maintenir en vol à la fois des chasseurs et des turbopropulseurs, la menace est trop faible, et comme dit précédemment un PC-21 ne peut pas faire les missions d'un chasseur alors que l'inverse est vrai) Les radars aéroportés uniquement en cas de manifestations d'envergure (idem, c'est trop cher et pas assez utile de maintenir des Awacs en vol en permanence) Les S400 uniquement en temps de guerre, ou alors il faudra déplacer la batterie pour qu'elle se situe dans la zone d'exclusion aérienne, car je doute TRES fortement qu'on ose un jour tirer un missile sur une longue distance (genre Emmen Davos, si on dit que la batterie soit située à Emmen) avec la densité du trafic aérien qu'il peut y avoir en Suisse... (déjà, on ne fait JAMAIS d'entrainement réel avec des missiles sol-air ou air-air en Suisse à cause de cette raison. Même avec des Stinger dont la portée reste relativement faible...). Mais dans ce cas, des Stinger, ou à la limite des Mica VL ont quasiment la même utilité. Accessoirement, j'ai de gros doutes sur la possibilité d'avoir des avions à la fois AWACS et ravitailleurs. -parce que le profil de vol n'est pas forcément exactement le même, -parce que l'équipement AWACS est lourd et diminue fortement la quantité de carburant transférable (surtout si on prend des petits AWACS), -parce que si le personnel embarqué dans les AWACS est protégé des radiations émises par le radar de bord, ce ne sera pas forcément le cas des avions ravitaillés (et s'il faut couper le radar pour ravitailler, ça crée une zone non couverte dans l'espace aérien toutes les 30-45 minutes...). Les EA-18G ont d'ailleurs il me semble une verrière différente des FA-18E/F pour cette raison (pods de brouillage produisant de forts champs magnétiques) Donc si on veut assurer une permanence de chaque, en comptant l'instruction et la maintenance, ce n'est au minimum 4 appareils de chaque type qu'il faudrait avoir (donc disons au minimum 4 ERJ-145 Ereye ou G550 CAEW et 4 KC-390 pour prendre ce qu'il y a de plus petit sur le marché). Ca veut aussi dire construire des équipements pour les entretenir, pour les garer le soir, former le personnel sur des spécialités qui n'existent pas en Suisse, etc. Ce qui est bien sûr faisable (tout est faisable...), mais qui a un coût, pas forcément négligeable... De plus, s'il s'agit de protéger une zone particulière (ce qui est le cas, hormis en cas de guerre), un réseau de quelques radars bien situés au sol (év. couplés à des batteries Stinger ou autres) sera probablement tout aussi efficace et bien moins cher... Idem pour le ravitaillement. Si on le voulait, on pourrait maintenir dans un état opérationnel minimal d'anciens aéroports** (Tourtemagne, Buochs, Mollis, Dubendorf, etc. il y en a plus ou moins dans toute la suisse...) et disposer d'unités de ravitaillement mobiles (qui pourraient aussi opérer sur des aéroports civils). Au niveau matériel, on n'aurait probablement rien besoin d'acheter, sauf peut-être, si on veut utiliser d'anciens aéroports, des systèmes de guidage en approche "mobiles" pour pouvoir opérer par tous les temps. Il faudrait juste former le personnel à ce genre d'opérations***, et les entrainer de temps à autres. *si on en achète en plus de ceux utilisés pour l'entrainement. Alors qu'actuellement les NCPC-7 ont pour mission auxiliaire la police du ciel, en plus de leurs missions de base (entrainement + patrouille PC-7). ** utiliser des portions de route, sauf en cas de guerre, ne me parait pas réaliste, car fermer une autoroute pour la transformer en piste de fortune crée une polémique monstre au niveau national... *** qui demandent quand même une certaine logistique, car outre les moyens de ravitaillement propre (qui peuvent être importants s'il faut aller chercher le carburant aviation sur la base active la plus proche...), il faudrait déployer des soldats de sécurité d'aérodrome pour protéger les appareils armés au sol et un piquet de sauvetage complet.
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Même pas forcément. Car si on prend nos FA-18, en mission opérationnelle, ils n'embarquent généralement qu'un seul réservoir, alors qu'il serait possible d'en monter 2 ou 3 (et que ça se fait pour des missions de convoyages). La limite doit venir du fait que, sauf erreur, les forces aériennes suisses ne larguent jamais leurs réservoirs en vol, ce qui limite les possibilités d'emport pour conserver des performances air-air correctes... De fait, si on ne compte que le carburant interne, le Gripen NG doit avoir un peu plus de 4000 litres de carburant disponible et le Rafale entre 5500 et 6000 litres. La consommation du Gripen NG étant mécaniquement plus faible que celle du Rafale, au final les temps sur zone doivent être plus ou moins équivalents je pense (idem si on ne compte qu'un seul réservoir sous le fuselage) Après, si le Rafale conserve des performances correctes quand deux ou trois réservoirs sont montés, ça change les choses, c'est vrai... Sinon, pour les ravitailleurs, un autre soucis qui peut se poser est, que, suivant la situation tactique ou les zones de ravitaillement possibles (les espaces aériens militaires suisses se trouvent au dessus des Alpes (et du Jura, mais il est relativement petit), donc loin de Genève ou Zurich notamment, ou il y a un fort trafic civil empêchant peut-être la mise en place de circuits de ravitaillement plus proches), une patrouille en cours de ravitaillement n'est plus disponible suffisamment rapidement pour qu'on puisse la considérer opérationnelle. Dans ce cas, l'utilité d'un tel procédé serait nul... En plus, cela veut dire disposer d'une flotte de ravitailleur suffisamment nombreuse (3-4 appareils si on veut assurer une permanence sur plusieurs semaines ?), ce qui a un coût, probablement encore plus élevé que maintenir quelques chasseurs supplémentaires. En particulier du fait que nos forces aériennes n'ont ni les connaissances ni l'équipement requis (halles de maintenances, etc.) pour opérer et maintenir un appareil de transport/ravitailleurs, même s'il ne s'agit que d'un KC-130J ou d'un KC-390... (il faudrait probablement sous-traiter à SR Technics à Zurich, qui devraient cependant aussi d'adapter à ce nouveau type d'appareils...)
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Sinon, un article de PSK expliquant les besoins des forces aériennes selon les différentes situations (temps de paix, engagement renforcé, etc.): Gripen, l’avenir des Forces Aériennes ! C'est pour ça d'ailleurs que lors de gros événements, un cours de répétition est généralement placé en même temps. Le personnel professionnel, au lieu de réaliser le travail, a alors plutôt un rôle de supervision, ce qui permet avec le même nombre de personnel professionnel d'allonger les périodes de travail (p. exemple s'il y a trois mécaniciens en temps normal, ils peuvent alors assurer du 3x8 au lieu du 1x8 les trois en même temps) ou de traiter plus de machines à la fois, le travail en lui-même étant réaliser par les soldats de milice, présents en nombre. Idem pour les services auxiliaires de la base, chaque service ou presque peut être renforcer par du personnel de milice. Seuls les contrôleurs aériens (encore que, il doit être possible d'en faire venir d'autres bases ou d'aéroports civils si besoin est, la société gérant cela étant commune) et les pilotes (encore que, actuellement il reste des pilotes de milice sur F-5 Tiger) ne peuvent pas être démultipliés, mais sont il me semble suffisamment nombreux...
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Tu prends un ou deux exemples qui ont fonctionné, mais toutes les initiatives UDC contre les étrangers n'ont pas toutes passées, et les affiches sont généralement assez similaires: http://icp.ge.ch/po/cliotexte/fin-du-xxe-siecle-et-debut-du-xxie-siecle-actualites/affiches-de-ludc-en-suisse Mais accessoirement, il y a DEJA un sujet qui parle de notre politique intérieur et extérieur, alors autant l'utiliser plutôt que de faire du HS dans celui-ci: http://www.air-defense.net/forum/topic/10232-suisse-politique-intérieure-et-extérieure/page-10#entry739070
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Les états-unis s'étaient penchés sur le sujet avec l'E-10 MC2A, basé sur le radar MESA des 737 AEW&C, mais faute de budget ça avait été annulé... A présent ils parlent d'upgrader leurs E-3 il me semble, au niveau avionique et motorisation. Mais soit dit en passant, niveau capacités de détection et de traitement, un 737 AEW&C ne doit pas être si loin derrière un E-3, même surtout s'il est utilisé à pleine capacité (actuellement la plupart des utilisateurs ont 8 stations de contrôle installées à bord, et 10 pour les australiens, sur les 12 possibles, notamment).
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ça serait pas ça: http://www.fas.org/programs/ssp/man/uswpns/air/special/e310.html Si oui, le problème reste le même vu qu'il s'agissait certes d'une base US. Même si en Corée du Sud, Thales s'était basé sur le radar d'Erikson apparemment, pour proposer un A321 AEW&C: http://www.flightglobal.com/news/articles/northrop-grumman-thales-and-raytheon-battle-it-out-132461/
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Effectivement, hormis en allant taper chez les russes, il n'y a pas grand chose de 100% indépendant vis à vis des américains. Les radars EL/W-2085 et 2090 d'IAI doivent inclure des composants US et doivent être à peu près les seuls, avec le radar MESA de Northrop Grumman monté sur 737, à avoir des performances plus ou moins comparables au radar AN/APY-2 monté sur les AWACS... Et même si on va taper dans la gamme d'en dessous, le système suédois Ereye ne doit pas non plus être complètement indépendant des USA...
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La tourelle NEMO doit faire dans les 1.5 tonnes, alors qu'un canon de 155 mm est bien plus lourd (la tourelle AGS qui a dérivé sur le Donar fait dans les 12 tonnes), donc non ce n'est très probablement pas possible. Même un canon "nu" type Caesar serait probablement trop lourd. Sans compter les problèmes de stabilité du tout, car tirer au mortier 120mm ce n'est pas exactement la même chose que tirer à l'obusier 155mm.
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Il a l'avantage de mieux protéger ces servants qu'un Caesar, vu qu'ils n'ont pas besoin de sortir, ou en tout cas moins besoin de sortir. De plus, niveau rapidité de réaction, vu que tout est automatique, on doit gagner quelques précieux instants. Après, si on prend l'Afghanistan, la plupart des obusiers ou canons tractés restaient dans les FOB il me semble, donc dans ce cas un Caesar, voir même un simple canon tracté, peut être largement suffisant...
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Airlines Manager 2, la compagnie aérienne dont vous êtes le patron
Chris. a répondu à un(e) sujet de zx dans Aviation de ligne, d'affaire...
Vaste débat que la présence d'appareils non occidentaux dans Airlines Manager... Le principal point de frottement, qui, en tout cas à l'époque (peut-être que ça a évolué mais comme je ne suis plus du tout le développement du jeu, je ne peux pas le dire), c'est que les avions russes sont généralement présents dans des zones géographiques bien spécifiques, ce qu'Airlines Manager ne gère pas. Le compromis avait donc été d'accepter les avions russes, s'il était certifié par une agence occidentale (le SSJ est le seul avion russe, avec une version cargo du Tu-204 (vendu a quelques exemplaires seulement), a être certifié par l'EASA...), entre autres. De plus, les avions russes que tu cites, hormis les toutes dernières versions du Tu-204, sont configurées pour être pilotées par 3 membres d'équipage. Un surcoût qui n'était à l'époque pas possible de prendre en compte (mais avec la version 2 ça a/va peut-être évolué, le jeu étant plus "modulaire"), alors que d'autres points très avantageux (coût d'achat, etc.) l'était. Ce qui au final rendait les avions russes très difficiles à balancer. D'ailleurs, la présence dans la version 1 d'Airlines Manage de l'IL-96-400 avait entrainé de sérieuses dérives (toutes les meilleures compagnies et alliances n'avaient que cet appareil car c'était de loin le plus rentable). Et accessoirement, d'un pont de vue réalisme, que ce soit l'IL-96 ou le Tu-204, même les compagnies russes ou d'anciens pays de l'URSS n'en utilisent que très peu, voir pas du tout, les appareils occidentaux (et les vielles "épaves" datant de l'époque soviétique) étant généralement la norme, y compris chez Aeroflot... Il est très difficile d'obtenir des informations lignes par lignes, surtout quand il doit y avoir entre 1500 et 2000 aéroports dans le jeu, voir plus (y compris à pétaouchnok les bains ou si tu arrives déjà à avoir une idée des vols quotidiens c'est déjà un miracle...). De fait, l'algorithme automatique se base sur des données plus générales, comme la fréquentation de chacun des aéroports, le nombre de rotation, la taille des pays, la distance, et d'autres coefficients. D'où certaines lignes peut-être parfois un peu anachroniques. De toute façon, comme tu le dis, AM est avant tout un jeu de gestion de compagnie aérienne, pas une simulation de gestion de compagnie aérienne. Il existe d'autres jeux plus hardcore, comme, sauf erreur, http://www.airwaysim.com , mais je ne sais pas s'ils sont disponibles en français (et airwaysim est payant). -
Du gouvernement US, pas de LM, en tout cas au départ. Car LM n'a fait "que" répondre à la demande du gouvernement US. D'ailleurs Boeing l'avait aussi fait avec son démonstrateur X-32, qui n'a pas été retenu (et qui avait lui une architecture plus proche de celle du Harrier, en tout cas pour la version 8). Les deux configurations envisagées (LM en premier, Boeing en deuxième) http://www.fas.org/man/dod-101/sys/ac/jsf.htm Le X-32 était d'ailleurs supersonique
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Pas besoin d'aller chercher aussi loin. Israel a déjà eu des problèmes pour la vente de système de radar aéroporté Phalcon (à la Chine), le Brésil s'est cassé les dents avec des Tucanos pour un autre pays sud-américain (Vénézuela ou un pays du genre), etc. A chaque fois parce qu'il y avait des composants US dedans. Après, si ça devait arriver, Saab abandonnerait probablement la partie, sauf s'il s'agit vraiment d'un TRES gros contrat à la clé...
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ça voudrait dire concevoir un nouvel appareil (ou quasiment un nouvel appareil), mais s'ils sont arrivés à intégrer des éléments US pour faire le Gripen, ils arriveront bien à intégrer des éléments européens, israéliens ou russes...
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F-5B pas F-5F, les turcs n'ont que des F-5 de première génération, dénommées "Freedom Fighter" et pas "Tiger". Pour les différencier c'est assez simple, les F-5A/B ont des réservoirs en bout d'ailes alors que les F-5E/F ont des rails pour missiles en bout d'aile (comme les F-5 de la patrouille suisse par exemple).
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En gros c'est le même principe qu'un obusier "conventionnel" à chenille, en plus léger (et moins blindé) pour pouvoir être aéro-transportable en A400M. Le Caesar, lui, est plutôt une pièce d'artillerie tractée qu'on a fixé sur un camion pour améliorer la mobilité de l'ensemble. Bref, les deux philosophies sont assez différentes, tous comme leurs avantages et inconvénients.