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Dissuasion nucléaire française...
ARPA a répondu à un(e) sujet de leclercs dans Dissuasion nucléaire
J'avais entendu parler d'un "remplacement" par un avion dérivé d'un avion de ligne long courrier et adapté au tir de missiles air-sol de plusieurs tonnes. La caravelle étant trop petite/court courrier, l'étude envisageait plus la "super caravelle" supersonique qui est devenue le Concorde. Mais c'était plus un changement de doctrine qu'un bombardier trois fois plus gros. -
Non, évidemment sinon le Rafale aurait déjà des TVC avec reverse... Est-ce que ce serait potentiellement utile ? Oui, le coût qu'on serait prêt à payer dépend évidemment de ce qu'on peut réellement faire avec et du nombre de clients intéressés. 2 données qu'on ne connait pas. Est-ce que des TVC amélioreraient significativement la charge utile à l'appontage ? Est-ce que ce serait suffisant pour convertir l'aéronavale espagnole au Rafale ? Il faudrait aussi évaluer le gain en agilité ou autre pour l'intérêt en utilisation classique. Si ça ne sert qu'à une quarantaine de Rafale M ou si ça sert à plus de 1000 Rafale, ce n'est pas la même chose. Et si le payeur doit choisir entre remplacer ses vieux chasseurs par des Rafale ou que c'est déjà fait et que son choix se limite à "améliorer" le Rafale ou le remplacer par un nouvel avion qu'il faudrait développer, la décision ne sera pas la même.
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Pendant les indisponibilités du porte-avions, l'aéronavale s'occupe comme elle peut. On voit la participation à la PO, des détachements en OPEX des exercices internationaux... Les avions embarqués peuvent assurer les missions des avions terrestres, mais ça reste du "gaspillage". Pour les A4, ils devraient continuer à servir, mais pour les E1 ou C1 et le ravitailleur léger, j'ai peur qu'ils soient beaucoup moins performants que des avions terrestres.
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Lors du décollage, si l'avion est trop lent pour sa masse/vitesse, il peut s'alléger d'une tonne et donc d'avoir une vitesse adaptée à sa masse. Pour des essais de décollage pour une masse fixe, il vaut mieux décoller avec les réservoirs internes à moitié vide et du carburant en externe qu'avec le plein et être dans l'incapacité de s'alléger rapidement.
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C'est aussi un signe de la confiance du pilote dans la réussite du test. À l'époque où la France faisait des tests de catapultage, le Rafale avait systématiquement au moins un bidon. L'objectif n'était pas d'augmenter la masse de l'avion, mais d'avoir la possibilité d'alléger l'avion après sa sortie du tremplin. Ce n'était probablement pas le premier test.
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Pour la TVC, je me demande si ça ne permettrait pas aussi de rajouter une reverse. Les TVC permettent de réduire la vitesse de décollage et d'appontage (et encore plus si on augmente la puissance) et si on rajoute une reverse, on risque d'avoir des performances STOL assez proche des F35B. Ce qui est dommage avec les TVC, c'est que Dassault n'a pas beaucoup d'expérience. Un prototype sur base de Rafale pourrait se justifier presque juste pour maîtriser la technologie et voir si c'est performant pour la prochaine génération. Concernant l'augmentation de puissance de réacteur du Rafale, si on passe à 90 KN en installant un réacteur plus gros (EJ200), c'est presque sur qu'il faudra tout redessiner. Si on le fait suite à des progrès technologique sur le moteur, progrès qui coûteront une fortune en développement et fiabilité, l'impact sur la cellule risque d'être minime. Il y a quelques années (contrats Qatari ?) SAFRAN à annoncé qu'un passage à 83 KN pouvait se faire sans toucher la cellule et à un coût "raisonnable". Un gain de poussée de 10% me paraît déjà assez significatif pour attendre un peu avant de passer au 90 KN.
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Tu ne connais pas toutes ces données. Celui qui a rédigé le tweet les connait. Donc il a les informations nécessaires pour donner sa conclusion. Tu as le droit de ne pas croire son tweet. Mais je me demande ce que tu vas croire. On n'est même pas sûr qu'un F18 puisse passer un tremplin sans casse, il s'agit peut-être juste d'effets spéciaux et tu n'as pas pu étudier le F18 après son atterrissage donc on ne sait pas à quel point il a souffert.
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Quand je vois certains commentaires sur notre ZEE, je pense assez vite à l'A400M. Pour desservir les Kerguelen, on a besoin d'un avion rustique avec plus de 7000 km d'autonomie (pour faire l'aller-retour sans ravitaillement vers la Réunion) Il suffirait d'une piste de 1 400 m pour que l'A400M se pose 5 heures après le feu vert de la météo et reparte après moins d'une heure d'escale. Pour Clipperton, on se retrouve aussi avec besoin d'un avion capable d'opérer depuis une piste de 1400m et de franchir 7 000 km pour rejoindre les autres zones françaises. Pour ces 2 territoires, j'ai l'impression que l'A400M est particulièrement adapté.
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Ce n'est pas parce que personne ne veut payer que c'est inutile. Sinon l'AESA du Typhoon ou tous ses autres développements qui n'ont pas pu être financées sont sans intérêt. Je reconnais que mon post était de mauvaise foi. Le Rafale devient presque (j'avais bien précisé "presque") 50% plus performant en passant de 10 à 15 points d'emports. Ce n'est évidemment valable que si le Rafale a besoin d'être utilisé à 100% de ses capacités et qu'on réduit son utilisation à sa charge offensive. C'est un raisonnement qui sera assez rarement valable. C'est un peu comme dire que le Rafale remplace 3 mirage 2000 (D et -5F) ce n'est pas faux, mais ce n'est pas souvent vrai. Maintenant, la mauvaise foi n'est pas que de mon côté. Entre une config avec 2 SCALP, 4 missiles air-air et 6000L externe ou une config avec 3 SCALP, 6300L externe et jusqu'à 8 missiles air-air, il y a plus que 2 MICA de différence. Et même si on remplace les SCALP par des bombes et un MICA par une nacelle de désignation, il y aura plus que 2 MICA de différence. J'ai dit "quasi F3", pas F3-R. Le meteor ou l'AESA n'était pas envisagé, mais le canon aurait dû avoir des modes de tir plus avancé que la version actuelle. (Je ne ferai pas l'échange) Là-dessus, je l'avais détaillé. Doubler la vitesse de transfert entre le hangar et le pont d'envol, augmenter le nombre d'avions en alerte sur le pont... Vu les critiques qu'on voit sur notre "petit" porte-avions, si elles sont fondées, je ne suis pas sur que beaucoup de monde refuserait un porte-avions qui verrait sa surface de hangar et de parking augmenter de 20 à presque 50% (l'unité de mesure étant le Rafale...) Évidemment c'est aussi une question de prix. Même s'il me paraît évident que la Marine préfère un avion qui prend moins de place, je ne suis pas sur que la Marine accepte de payer le prix en carburant perdu, en surpoids, en maintenance supplémentaire ... et accessoirement en coûts de production et de développement. Si tu raisonnes comme ça, j'ai du mal à voir ce qu'on peut reprocher à un avion. Ou alors tu va critiquer le Gripen parce qu'il est moins performant que le F22 ? Euh... vu tes commentaires, tu acceptes qu'on dise que le Rafale n'est pas le 8ème merveille du monde (mais surtout la seule contemporaine) ? S'il faut justifier pourquoi on pourrait apprécier un M88 plus fiable et plus sobre, je ne vais pas continuer la conversation.
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Je ne vais pas critiquer l'esthétique, mais plutôt les "promesses" non tenues. Si on regarde les pub du début des années 2000, le Rafale devait avoir 15 ou 16 points d'emports en comptant les CFT. En pratique, il n'y a aucune configuration opérationnelle avec plus de 10 points d'emports utilisés. Le Rafale devrait presque être 50% plus performant. Pour la version navale, il devait aussi y avoir une version biplace. Déjà, on pourrait "finir" le Rafale actuel pour l'exploiter à 100%. Évidemment, le Rafale quasi F3 aurait dû être livré en 1996 et non presque 20 ans plus tard. Pour la Marine, presque depuis la mise en service du CDG, on entend le reproche de l'avion trop large. Son envergure (au sol) est plus importante que celle du F18. Ça interdit de mettre 2 Rafale par ascenseur. Et sur le pont, on se retrouve avec péniblement 35 avions sur un porte-avions "conçu" pour 40 avions. En pratique, on a faillit embarquer 20 ou 30% de Rafale en plus et ils auraient dû être 50% mieux armé. On pourrait aussi critiquer l'armements. Il est trop cher et il y a des lacunes. Pas d'armement anti-radar, l'armement anti-navire est presque inexistant... Et je n'ai même pas évoqué tout ce qu'on pourrait faire pour l'améliorer.
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Si on a 50 A400M, ce n'est pas forcément du gaspillage de les utiliser en sous capacité s'ils sont présents sur place. Et un A400M à la réunion, ça permet de relier rapidement Mayotte, d'assurer des mission de transport "stratégique" vers l'Afrique, de ravitailler les H160 ou Caracal, de ravitailler les Rafale de passage voir même un autre A400M surchargé... Je ne suis pas sur que ce soit un gain opérationnel ou financier de payer un A200M pour faire une mission qu'un de nos 50 A400M pourrait assurer. Bon, si la question se pose alors qu'on doit se contenter de 35 A400M, c'est une autre question.
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Il y a eu plusieurs vol de Rafale M F1 de plus de 6 heures. Dans les Retex mentionnés limitant les vols à 6 heures, notre avion de combat assurant les missions air-sol depuis le PA était un chasseur léger de 2 ou 3 ème génération dérivé d'un avion de chasse des années 60. C'est une information intéressante, mais je ne suis pas sur que ce soit pertinent pour parler d'un avion de transport qui sera mis en service à la fin des années 30... Initialement, leur GAN aurait pu monter en puissance et devenir redoutable, ou au moins cohérent. Des AWACS similaires aux E1, des ravitailleurs, des avions de transport, peut-être aussi même des avions ASM pour soutenir et exploiter tout le potentiel d'une flotte d'avions légers subsonique A4 mais au système d'armes modernisés. Finalement, il y a eu des achats, des études de modernisation... et avant la mise en service de cette flotte d'avions embarqués, le retrait du PA. Je ne suis pas sur du tout que ces avions finissent par voler. De toute manière, sans PA, ils n'ont plus de raisons d'être.
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Dans les années 80, la relance de la production du C160 NG s'est avérée pas du tout économique. A tel point qu'on a très vite commandé des C130H plus performant et moins cher que les C160NG. 40 ans plus tard, les usines n'existent plus, pour les entreprises c'est limite, les plans, s'ils existent encore sont dans un format inexploitable (papier...) Partir d'une feuille blanche ou du Transall revient au même. Je ne vois pas ce qui change par rapport à la fin des années 80 Pour du retrofit, c'est trop tard, les cellules sont usées. En fait, une production sous licence du C130J en version bi TP400 serait plus cohérente. On pourrait même assez facilement l'envisager en retrofit pour nos C130J. On a un début de Retex avec le C130 qui a servi de banc d'essai au TP400. D'ailleurs si l'objectif c'est d'avoir un avion aux performances de C130J mais avec une motorisation comme l'A400M, ce serait le plus logique. Mais est-ce que les américains vont accepter...
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Succession du CHARLES DE GAULLE : construction de porte-avions/drones légers?
ARPA a répondu à un(e) sujet de Salverius dans Divers marine
Je crois que le dernier, c'était le Bonaventure et ses S-2. J'ai envie de répondre ni l'un ni l'autre. Dans tous les cas, ça dépend vraiment de ce qu'on veut en faire. Et il vaudrait mieux y avoir réfléchit avant de le construire. Actuellement, on a surtout des porte-avions optimisés pour lancer des frappes air-sol, pour la projection de puissance. Même les porte-aéronefs limités aux Harrier sont plus conçus pour de la projection de force que pour un rôle anti-aérien ou anti-sous-marins. En défense aérienne ou en anti sous-marine, je ne suis pas sur que le PA fasse beaucoup mieux que les frégates. Par contre pour des "bombardements" ou du CAS sur de longue période, le porte-avions sera plus performant qu'une frégate avec quelques missiles de croisières. Pour le porte-avions léger, je pense que ça dépend vraiment de ses performances et de son prix. On a des frégates/croiseurs équipés de MDCN qui approchent voire dépassent le milliard d'euros, c'est du même ordre de grandeur que celui d'un petit PA qui pourrait rester plus loin du front. Enfin la question de base pour un porte-avions, c'est aussi de savoir ce qu'on veut embarquer. Vu les avions ASM, je vois mal un PA ASM. Il y a 50 ans, avec un GAE composé d'Alizé, l'Arromanches aurait pu être bien plus performant que la Jeanne d'Arc, mais maintenant... Si on se limite au Rafale, la projection de force est un peu plus facile à assurer que la défense aérienne. Si on arrive à embarquer quelques avions de transport, on pourrait aussi envisager de s'en servir comme d'une sorte de "navire de débarquement" qui pourrait aérotransporter beaucoup plus de soldat et beaucoup plus loin que le même navire limité aux hélicoptères. A ma connaissance, il n'y a eu aucun retex à ce sujet alors qu'entre les C2 ou le Br941, il y avait techniquement des aéronefs STOL capables d'opérer depuis un PA. -
On parle de quoi ? Des 3 contrôleurs aériens qui ne pourront pas assurer plus de 8 heures de travail intensifs ? C'est probable, mais ce n'est pas forcément le sujet. Je n'ai jamais parlé de généraliser le ravitaillement en vol et faire des missions de 12 Heures ou plus comme sur E3F. Des 2 pilotes de l'E2C qui ont une charge de travail plus importante que parfois l'unique pilote de Rafale ? J'avoue ne pas y croire. En "mission", est-ce qu'on pourra envisager un transfert express avec ravitaillement en vol d'un E2D vers son PA (ou une autre base de déploiement) à plus de 8 heures de vols ? On va dire que la limitation dépend peut-être du radar qui ne peut pas fonctionner plus de 8 heures, dans ce cas, est-ce qu'on peut envisager des patrouilles de nuit dans un milieu avec une très faible activité aéronautique pendant plus de 8 heures ? Et quand je dis plus de 8 heures, je pense plus à 9 qu'à 18. Est-ce qu'on pourrait envisager une mission de 3 heures à 2 000 km du PA ? Qu'on se fixe une limite pratique à des vols de 8 heures avec un unique ravitaillement en vol (ce qui nous fait gagner 60% de temps de vol) c'est une chose et ce serait normal. Mais qu'on soit dans l'incapacité de faire plus que des vols de 8 heures, c'est autre chose.
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Avec le ravitaillement en vol, ça ne devrait pas être plus que 8 heures ? Les E2D japonais (à aile fixe donc avec des réservoirs plus important et une masse max plus importante) ont déjà 8 heures d'autonomie sans ravitaillement en vol. J'ai du mal à croire qu'il ne soit pas possible d'avoir assez d'huile pour plus de 8 heures. Et les pilotes français de Rafale peuvent faire jusqu'à 12 heures dans un mono ou biplace. Donc, on ne peut pas non plus dire que c'est l'absence de confort qui va limiter la mission.
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C'est la meilleure façon d'éviter les tirs amis, on attend de voir dans quel bar le pilote va faire son débriefing.
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Opex360 en parle aussi : http://www.opex360.com/2020/12/16/pour-athenes-la-question-dun-achat-de-fregates-francaise-belhrra-est-encore-ouverte/
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Je me demande si le MQ-25 a vraiment été conçu pour faire principalement du ravitaillement ou si c'est juste une première phase. J'ai l'impression que l'USNavy ne fait pas encore assez confiance aux drones (donc au MQ-25) pour leurs confier d'autres missions que le ravitaillement, mais ce sera l'évolution "naturelle" quand le MQ-25 sera un peu plus mature. Si le MQ-25 est performant en emportant une nacelle de ravitaillement, il "suffira" d'un nouveau standard pour qu'il emporte des missiles air-air (et servent de porte-missiles aux frégates ou E2) ou d'autres charges. La mission de ravitaillement en vol serait plus la mission "facile" pour permettre une mise en service "prématuré" plutôt que la mission définitive. On avait l'habitude d'avoir un bombardier qui se recycle en ravitailleur (les KA-3 et KA-6 par exemple) puis on a vu des avions "polyvalents" qui ont très vite assurés la mission de ravitailleur (cas du F18, mais aussi du Rafale, dès la fin du standard F1) mais pour la prochaine génération, on risque de directement commencer par cette mission.
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Un peu les 2. Depuis qu'il y a des missiles "tir et oublie" le chasseur léger a perdu la qualité du nombre. Un conflit entre 10 chasseurs lourds et 20 chasseurs légers 2 fois moins cher risque bien de se finir par la victoire totale des 10 gros chasseurs en infériorité numérique. Les pays intéressés par des chasseurs légers sont en réalité des pays qui n'ont pas les moyens d'avoir des chasseurs lourds. Donc on parle de micro flotte. Même avec une dizaine de clients commandant une dizaine de chasseurs légers, on n'arrive pas à exporter un nombre suffisant d'avions pour justifier son développement.
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Armée de l'Air du Qatar
ARPA a répondu à un(e) sujet de scorpion-rouge35 dans Afrique / Proche Orient
Pendant la guerre de Kippour, Israël a été en partie sauvé grâce aux livraisons aériennes assurées par l'opération Nickel Grass qui a commencé par des rotations des avions long courrier israélien (civil, de la compagnie aérienne national) Pour le Qatar, les C17 permettent en cas de besoin de se faire livrer des blindés ou n'importe quel autre armement en urgence. On pourrait même envisager une "alliance" militaire avec un pays lointain (style le Nigéria, le Pakistan, la Turquie ... ou n'importe quel pays pauvre mais peuplé) qui fournira quelques milliers de soldats en cas de besoin. Mais la projection de ces soldats (vers le Qatar) doit être assurée par le Qatar. -
Dans l'article, ils citent les Rafale M nounou, KC130, A400M et A330MRTT comme ravitailleur français. Pour l'A330MRTT, si c'est une information (et non une erreur comme chaque fois qu'on lit que nos A330MRTT peuvent ravitailler les A400M) c'est peut-être parce que les E2D ont une envergure bien plus réduite que celle des A400M.
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SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
ARPA a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Sans compter les années sous l'eau qui comptent triple pour la retraite. Donc une retraite à taux plein au bout de 15 ans de carrière, à 40 ans donc... -
Normalement le F4 devrait impliquer une modernisation du calculateur des M88. On pourrait donc espérer (surtout si un client export le demande) une légère augmentation de puissance. Cela va faire 25 ans que le M88 fournit 75 KN, techniquement on doit pouvoir augmenter cette puissance (si on le souhaite) En intérêt opérationnel, augmenter la puissance de 10% pourrait permettre d'envisager de faire presque la même chose pour la masse max (passage des 24,5 actuels au 27,2 qui ont été envisagé il y a quelques années, même si ce n'est pas directement lié à la puissance des moteurs) ce qui est presque indispensable pour crédibiliser les configurations avec CFT et le point 3 d'ouvert. Dassault a vendu le Rafale à la France en expliquant qu'un Rafale valait 3 mirage 2000 (-5 et D). Par rapport 2000-9, il faudra attendre une configuration avec CFT et des missiles en point 3 pour pouvoir dire qu'un Rafale vaut 3 mirage 2000-9.
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SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
ARPA a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
D'après Wikipedia, c'est 55 pour les 2 K15 du CDG. Pour un seul réacteur, mais avec un double équipage... ça me paraît cohérent. Ça fait aussi partie du cycle de recrutement. S'il faut 330 spécialistes (30 par navires et 11 navires) avec une carrière moyenne de 15 ans "opérationnel", ça fait un roulement de 21 spécialistes tous les ans.