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AIR-DEFENSE.NET

vincenzo

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Tout ce qui a été posté par vincenzo

  1. Mais si pourtant : JD Vance : « Notre propre gouvernement a encouragé les entreprises privées à réduire les gens au silence… Sous la direction de Donald Trump, nous pouvons être en désaccord avec vos opinions, mais nous nous battrons pour défendre votre droit à les exprimer publiquement. » (février 2025) Quels bandes d'hypocrites, du delire, mais bon plus c'est gros, plus ça passe
  2. ABC dont Disney est propriétaire vient de suspendre “indéfiniment” le talk-show de Jimmy Kimmel, Pourquoi ? L’équipe Trump a fait pression pour sanctionner Kimmel après un monologue dans son émission où l’animateur s’est moqué des tentatives de la droite trumpiste de transformer l’assassinat de Charlie Kirk en levier politique. C'est Brendan Carr, le président de la Commission Fedéral des Communications qui a fait pression. Évidement Trump depuis Londres s'est ravi de la nouvelle, mettant en un coup de pression à NBC pour suspendre le Tonight Show de Jimmy Fallon.... Tout ça prete à sourire quand on se souvient de JD Vance faisant la leçon aux Européens en leur disant que le plus grand danger était les entraves à la liberté d'expression....
  3. Mais quels groupes terroristes ? A ce jour l'ATF, Le FBI et autres agences de sécurités intérieures, elles ne se tournent pas les pouces je suppose ??? Si il y a un risque identifié qu'un groupe de gauche ou de droite souhaite faire un carnage ou un attentat politique, les agences ne vont pas laisser passer non ? Tyler Robinson jusqu'à preuve du contraire n'est pas soutenu par un groupe quelconque ? Comme d'habitude (et chez nous c'est pareil) les hommes politiques populistes aboient et trouvent un bouc émissaire (dans le cas de Kirk, un gaucho radical transgenre) même si rien ne le confirme, tous ça pour plaire à la base, avancer son agenda politique et voir jusqu’où ça passe....Et dans une société polarisée comme chez vous, ça fait mouche, on entends que les frappadingues des 2 camps... Et si l’enquête finalement révèle le contraire de ce que l'on souhaite, pas grave on trouve autre chose, du tarif douanier, de la liberté d'expression en Europe, un vilain ukrainien ....
  4. Impossible pour de multiplier pa 15 le nombre de bitcoin : il y en aura max 21 millions de bitcoin en circulation
  5. Le NH est un petit état "rural" (Le taux d'urbains était de 60,3 % et celui de ruraux de 39,7 %) et l' Illinois est tres urbain (Le taux d'urbains était de 88,5 % et celui de ruraux de 11,5 %[) et dans un des liens fournis précédemment, en 2020 il y avait 4 x plus de morts par arme à feu en aire urbaine qu'en campagne, ça explique peut etre cela et peut etre aussi moins d'inégalités sociales/moins de pauvreté qui sait ?
  6. article à lire de 2023 avec des stats : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2021463/tueries-masse-violence-armes-feu-etats-unis-usa-graphiques-morts "Le taux de morts par arme à feu (homicides involontaires et meurtres) était de 5,2 pour 100 000 Américains en 1968, avec un sommet atteignant 7,2 en 1974. Ce taux est descendu à moins de 5 pour 100 000 Américains au début des années 2000, avant de remonter à 6,7 pour 100 000 habitants en 2021." "Depuis 2014, plus de 163 000 Américains ont été tués par arme à feu (intentionnellement ou pas); plus de 318 000 ont été blessés." "En 2021, selon les données des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies, les États où les taux de décès liés aux armes à feu étaient les plus élevés étaient le Mississippi (33,9 pour 100 000 habitants), la Louisiane (29,1), le Nouveau-Mexique (27,8), l'Alabama (26,4) et le Wyoming (26,1). Le Massachusetts, Hawaï, le New Jersey, New York et le Rhode Island ont les taux les plus bas (moins de 6 pour 100 000 habitants). Le nombre de jeunes blessés ou tués par arme à feu a par ailleurs augmenté depuis 2019. Depuis les cinq dernières années, environ 1300 enfants et 5600 adolescents ont été tués par une arme à feu. Plus de 19 000 jeunes Américains ont été blessés lors d'un événement avec arme à feu." "Par ailleurs, il faut noter que depuis de nombreuses années, les suicides représentent plus de la moitié des décès par arme à feu aux États-Unis. On dénombre plus de 20 000 morts par année dans cette catégorie. En 1968, il y avait une moyenne de 6,3 suicides pour 100 000 Américains; en 2021, c'était 7,5 pour 100 000 habitants." et la d'autres stats : https://lepetitjournal.com/new-york/comprendre-etats-unis/armes-feu-aux-etats-unis-les-chiffres-360625 "La chute spectaculaire du nombre de morts par arme à feu entre 1990 (39,595) à 2000 (28,663) s’est totalement inversée à partir 2015 (33,594) jusqu’à 2021, avec 48,830 morts. "
  7. vincenzo

    Défense sol-air multicouches

    Plus de details sur le Nimbrix de Saab : https://www.forcesoperations.com/nimbrix-lautre-piste-de-saab-pour-epaissir-les-boucliers-anti-drones/ Décollage réussi pour le Nimbrix, ce missile conçu par Saab pour densifier le maillage anti-drones des forces armées. Une solution à mi-chemin entre deux couches de protection existantes et pour laquelle le groupe suédois envisage une production de masse en s’appuyant au passage sur l’industrie des pays clients. Nimbrix, une piste pour épaissir le bouclier antidrones Entre le canon anti-aérien peu onéreux mais limité en portée et le missile très courte portée (VSHORAD) précis mais cher donc disponible en quantités limitées, il y a, semble-t-il, un espace à combler dans la couche inférieure de la lutte anti-drones (LAD). C’est tout l’enjeu du Nimbrix, ce missile dévoilé ce jeudi par Saab pour répondre à « ce besoin d’un catalogue d’intercepteurs plus diversifié pour contrer le grand nombre de drones différents sur le champ de bataille d’aujourd’hui », nous expliquait Mats-Olof Rydberg, vice-président marketing et ventes de la division « Missile Systems » de Saab Bofors Dynamics, lors d’un échange avec la presse spécialisée. Entamées dès 2022 sur fond de conflit russo-ukrainien, les réflexions aboutissent sur un missile de moins de 1 mètre pour 2,5 à 3 kg. Deux fois moins grand que son « grand frère », le RBS 70, ce poids plume est néanmoins taillé pour traiter des cibles manoeuvrantes, qu’elles soient isolées ou opèrent en essaim. Cette solution de type « tire et oublie » repose pour cela sur un autodirecteur infrarouge « de base » en attendant d’avancer dans une feuille de route qui prévoit d’autres systèmes de suivi de cible. Sa portée ? Entre 2 et 5 km selon le besoin du client, au-delà de l’armement moyen calibre en service dans les unités de lutte anti-drones. Crédits image : Saab Présenté comme une solution anti-saturation, le Nimbrix embarque une charge militaire d’un diamètre de 40 mm déclenchée via une fusée de proximité. Sa masse reste sous le sceau du secret, complète Saab tout en assurant étudier plusieurs alternatives. Officiellement dévoilé début septembre lors du salon de défense londonien DSEI, ce mini-missile se devra avant tout d’être fiable. « Un missile, un kill », résume Mats-Olof Rydberg. Avec de telles caractéristiques, le Nimbrix pourra a minima être tiré depuis un lanceur multiple sur trépied. Saab le destine également à une intégration sur un tourelleau téléopéré lui-même embarqué sur un véhicule tactique ou un robot terrestre. Exemples avec le tourelleau « maison » Trackfire ou encore avec ce lanceur RBS 70 NG sur lequel six à huit Nimbrix peuvent être accolés aux trois missiles déjà installés. Un volume qui, une fois ces derniers retirés, peut grimper à 12 ou 16 missiles Nimbrix. Il pourrait ainsi être facilement ajouté au système de défense sol-air lui MSHORAD acquis par plusieurs pays, à l’instar de la Suède, de la Lituanie et, plus récemment, de la République tchèque. Une nouvelle brique dans la trame anti-drones « L’un des défis les plus importants en matière de LAD relève simplement du peu de temps disponible pour contrer les drones. (…) De la détection à l’effet, c’est parfois une question de secondes », rappelait Angelica Persson, Senior Business Developper C-UAS au sein de Saab. C’est pourquoi le Nimbrix est pensé comme un effecteur dans un ensemble visant à raccourcir la boucle détection-décision-neutralisation. Difficile, en la matière, de ne pas aussitôt faire le lien avec le système anti-drones « Loki » sur lequel Saab planche depuis un moment. Conçu en collaboration avec l’armée de l’air suédoise, Loki reprend la logique du système de systèmes adoptée pour le MSHORAD et par d’autres entreprises comme Thales ou MBDA : un radar 3D Giraffe 1X, un logiciel C2 pour la fusion et la restitution des données, plusieurs autres capteurs et plusieurs effecteurs « hard kill » ou non, dont le tourelleau Trackfire Ares et son canon de 30 mm. Un éventail d’options appelé à être renforcé du Nimbrix. Seulement 84 jours, c’est le temps qu’il aura fallu pour basculer du concept à l’évaluation concluante sur le terrain, notait Saab en mars dernier. Depuis, Loki a été éprouvé à plusieurs reprises. Dès l’hiver dernier puis lors d’un nouvel essai conduit en juin dans le Götland avec l’armée suédoise. L’occasion pour Saab d’intégrer de nouveaux capteurs, dont des systèmes passifs, électro-optiques et acoustiques. L’occasion également d’ajouter le canon Trident de 40 mm de BAE Systems dans l’éventail d’effecteurs. « Les forces armées ont créé un scénario très complexe incluant autant des essaims de drones et des munitions téléopérées. Cette expérimentation fut un vrai succès », s’est félicité Angelica Persson. La campagne s’est poursuivie ce mois-ci à l’occasion de l’exercice Baltic Trust 25 conduit en Lettonie auprès des forces locales et de l’OTAN. « Il n’y a pas de solution miracle en matière de défense anti-aérienne, il n’y en a jamais eu et nous pensons qu’il n’y en aura jamais », rappelait . Ni le Loki, ni le Nimbrix n’y font pas exception. Et si intégrer le second dans le premier paraît naturel, la manoeuvre exige néanmoins une évolution des mentalités au sein d’états-majors désormais tout autant attachés aux performances qu’à l’atteinte du meilleur rapport « cost-by-kill ». C’est là l’un des autres enjeux de Saab que de parvenir au meilleur équilibre sur le Nimbrix, appelé à rester l’objet d’un développement continu tout en devenant, autant que faire se peut, une solution de masse. Le TTO Trackfire – ici en version Ares -, l’une des options étudiées pour une intégration sur plateforme terrestre (Crédits image : Saab) Entre poursuite du développement et production de masse Entre 2022 et maintenant, « le nombre de drones a augmenté significativement, de même que leurs applications. Et leur développement va très vite », pointe Mats-Olof Rydberg. Pour Saab aussi, il s’agit dès lors d’avancer à marche forcée. Lancée l’an dernier, la preuve de concept du Nimbrix s’est progressivement enrichie au gré des cinq tirs d’essai réalisés depuis, tous dans la fourchette basse de la portée théorique. Financée sur fonds propres, cette méthode en spirale a permis d’atteindre un niveau de maturité technologique que Saab estime proche de TRL 6. « Nous travaillons vraiment rapidement et en restant proches du terrain », poursuit Mats-Olof Rydberg. Des sprints successifs donc, loin d’une temporalité qui se compte généralement en années dans ce segment. Mais le Nimbrix est un programme vivant et, s’il est bien question d’une mise sur le marché dès l’an prochain, son développement conserve des airs de marathon. Car la menace évolue à grande vitesse et le Nimbrix devra s’adapter en conséquence. « Nous prévoyons un développement continu de ce produit », note le représentant de Saab. Le logiciel, par exemple, doit bénéficier d’améliorations continues afin de pouvoir proposer de nouveaux algorithmes de guidage. Idem pour la charge militaire, l’autodirecteur et pour les scénarios d’intégration. La feuille de route prévoit ainsi de dépasser les seules applications terrestres pour étudier l’emport sur drone de combat, sur hélicoptère ou encore sur plateforme navale. Le tout en misant par exemple sur un système Trackfire déjà intégré sur les navires d’attaque rapides de classe CB90 produits en Suède et en service dans la marine suédoise. « Nous voyons que ce type de capacité devra être déployée en masse dans les forces armées », précise Mats-Olof Rydberg. Les budgets de défense, bien qu’en hausse, ne sont pas infinis et qui dit emploi en masse dit coût unitaire maîtrisé. Saab l’a bien compris et travaille avec ses partenaires pour conserver la facture « à un niveau extrêmement bas ». La phase de développement, entre, autres, a été calibrée dans ce sens. Saab aura ainsi largement eu recours à l’impression 3D pour certaines pièces simples, méthode également synonyme de rapidité et d’agilité. Même son de cloche pour les sous-systèmes principaux. Si Saab conserve la mainmise sur le corps du missile et l’aspect logiciel, le groupe mise sur des charges militaires et des autodirecteurs provenant d’ailleurs mais disponibles sur étagère et en nombre pour entrer dans les clous financièrement parlant. Bref, « c’est un missile qui pourra être adapté selon le besoin du client », souligne Mats-Olof Rydberg. C’est aussi un missile qui pourra être produit localement. Du moins, partiellement. Le Nimbrix décolle à peine que, déjà, ses concepteur réfléchissent à son industrialisation. Si Saab devrait piloter la production depuis ses sites suédois, « nous envisageons également la possibilité d’avoir un assemblage final et une production du missile au sein des sites clients » tout en gardant en ligne de mire « un très haut degré de sécurité d’approvisionnement ». Le tout, en maintenant cette opportunité pour le client d’intégrer des sous-systèmes « nationaux » sur demande. De quoi gagner en flexibilité s’il fallait, le contexte aidant, augmenter drastiquement les cadences. Et un atout de plus dans un argumentaire que Saab déploie d’ores et déjà auprès d’une sélection de prospects.
  8. Tu parles d' un crédit de 36 mois pour un ouvrier qui va avoir du mal à le payer, je te dis que maintenant les prêts vont jusqu'à 84 mois, pas tout le monde va penser en valeur résiduelle d autant qu une voiture neuve est détenue 10 ans en moyenne (https://www.autoplus.fr/pratique/dans-quelle-region-garde-t-on-sa-voiture-neuve-le-plus-longtemps-1371045.html) Et même après 7 ans une voiture bien entretenu et carrosserie propre tu peux en tirer un tiers du prix donc 6000 € ce n est pas dégueu ?
  9. Oui enfin maintenant les crédits auto vont jusqu'à 84 mois pour avoir des mensualités plus supportables vu le prix des bagnoles, c est obligé
  10. Oui beaucoup de rumeurs notamment alimentés par le golf, il a annoncé joué au golf sauf que contrairement aux autres aucun journalistes n'ont été autorisés à filmer une partie de son parcours, que les photos de lui le montre toutes assis, voire sont carrément des photos datant de juin. Trump comparativement à Biden, niveau presse et médias, a quand meme pour le moment un traitement tres leger de son état de santé alors que pour Biden c'était une vrai question. Question tout aussi légitime pour Trump qui à 79 ans. Apres Vance répondait à une question d'un journaliste sur son role de VP, ou la seule réponse logique est de dire qu'il soit pret.
  11. vincenzo

    Défense sol-air multicouches

    A priori ils ont plus ou moins repris un article d opex 360, ils l indiquent d ailleurs
  12. @Vince88370 annoncé comme résistant au brouillage ew russe
  13. Dans la série j' adore tellement mon Orange que je tweet des bêtises :
  14. Pas content le Trump : Les chiffres de l emploi sont moins bon que prévu allez hop je te vire la responsable du bureau des statistiques (nommée pas Biden ça tombe bien !)
  15. La debroulliardise pour sauver une soldat ukr : blessé (ses 3 camarades de la position se sont fait tués) . Il a maintenu la défense sur un périmètre de 360 degrés pendant cinq jours. Il ne pouvait pas évacuer seul. Ils ont donc chargé un vélo électrique de 40Kg sur un drone et l'ont largué directement sur place.
  16. Allez une annonce bien dégoulinante pour distraire de l affaire Epstein :
  17. Cette histoire devrait te rassurer.. ou pas : https://www.theguardian.com/us-news/2025/jul/20/ice-secretly-deported-grandfather ICE déporta secrètement le grand-père de Pennsylvanie, 82 ans, après qu'il eut perdu sa carte verte La famille de Luis Leon dit qu'elles ont d'abord été informées par quelqu'un qu'il était mort, mais ils l'ont trouvé vivant à l'hôpital guatémaltèque. Un homme de 82 ans en Pennsylvanie a été secrètement déporté au Guatemala après avoir visité un bureau de l'immigration le mois dernier pour remplacer sa carte verte perdue, selon sa famille, qui n'a pas eu de nouvelles depuis et on a d'abord dit qu'il était mort. Selon Morning Call, qui a d'abord rapporté l'histoire, Luis Leon, résident de longue date d'Allentown - qui a obtenu l'asile politique aux États-Unis en 1987 après avoir été torturé sous le régime du dictateur chilien Augusto Pinochet - a perdu son portefeuille contenant la carte physique qui confirmait sa résidence légale. Alors lui et sa femme ont pris rendez-vous pour la remplacer. Lorsqu'il est arrivé au bureau le 20 juin, il a été menotté par deux agents de l'immigration et des douanes (ICE), qui l'ont conduit loin de sa femme sans explication, a-t-elle dit. Elle-même a été maintenue dans le bâtiment pendant 10 heures jusqu'à ce que les parents la ramassent. La famille a déclaré qu'elle s'efforçait de trouver des informations sur son lieu de résidence, mais qu'elle n'avait rien appris. Puis, quelque temps après la détention de Léon, une femme prétendant être une avocate de l'immigration appelée la famille, affirmant qu'elle pouvait aider – mais n'a pas révélé comment elle savait l'affaire, ni où était Léon. Le 9 juillet, selon la petite-fille de Léon, la même femme les appelait à nouveau, affirmant que Leon était mort. Une semaine plus tard, cependant, ils ont découvert via un parent du Chili que Léon était vivant finalement - mais maintenant dans un hôpital au Guatemala, un pays avec lequel il n'a aucun lien. Selon Morning Call, le parent a dit que Leon avait d'abord été envoyé dans un centre de rétention pour immigrants dans le Minnesota avant d'être expulsé vers le Guatemala - bien qu'il n'ait pas figuré sur aucune liste de détention sur la mer. Une décision récente de la Cour suprême a décidé que l'administration Trump pourrait expulser les immigrants vers d'autres pays à côté de leur pays d'origine. Au cours de ses près de 40 ans, il a passé sa carrière à travailler dans une usine de fabrication de cuir et a élevé une famille. Il avait depuis pris sa retraite. Son état à l'hôpital du Guatemala n'est pas connu. Il souffre de diabète, d'hypertension et d'une maladie cardiaque, selon sa famille, qui a dit qu'ils avaient l'intention de prendre l'avion pour le Guatemala pour le voir. Un fonctionnaire de l'ICE a déclaré au Mornign Call qu'il enquêtait sur l'affaire.
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