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g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. http://afp.google.com/article/ALeqM5hW1VDWpDHdWOBHdAXb7Oom5S0mhw Somalie: nouveaux raids des pirates qui narguent les marines occidentales Il y a 7 heures MOGADISCIO (AFP) — Des pirates se sont emparés de deux nouveaux cargos et de leurs équipages au large de la Somalie mercredi et jeudi, soulignant l'impuissance des marines occidentales à neutraliser les "bandits de mers" qui multiplient les attaques de navires marchands, de plaisance, ou de pêche. Jeudi à l'aube, le Centauri, avec 25 marins philippins à bord, a été attaqué alors qu'il faisait route vers le Kenya, a indiqué le ministère grec de la Marine marchande. Le Centauri, qui bat pavillon maltais, était en milieu de matinée sous le contrôle de cinq pirates armés, a précisé le ministère. "Tous les marins à bord vont bien", a assuré Ianna Mitsi, représentante de la compagnie propriétaire du Centauri, Maritime Navigation, basée près d'Athènes. Un deuxième cargo a également été capturé par des pirates au large de la Somalie, a déclaré jeudi à l'AFP le responsable de la branche kényane d'un programme d'assistance aux marins, Andrew Mwangura. Le Great Creation, immatriculé à Hong Kong avec 25 marins à bord (24 Chinois et le commandant sri-lankais), a été attaqué mercredi, a ajouté M. Mwangura. Selon lui, le bateau faisait route après sa capture vers la localité d'Eyl - un des principaux repaires des pirates somaliens - dans le Puntland (nord de la Somalie). Selon un officier de la frégate canadienne Ville de Québec, qui escorte actuellement un cargo d'aide vers Mogadiscio, les pirates ont attaqué le Centauri bien plus au sud que lors de leurs dernières actions dans le golfe d'Aden. "Ils changent de zone à cause de la forte concentration de navires de guerre" occidentaux près du golfe d'Aden, a expliqué M. Mwangura. Une force navale occidentale patrouille le golfe d'Aden dans le cadre de la lutte anti-terroriste. Avec la récente multiplication de la piraterie au large de la Somalie, les appels à une action contre les pirates se font de plus en plus pressants. Mardi, le président français Nicolas Sarkozy a appelé "à la mobilisation internationale" contre la piraterie au large de la Somalie. Depuis début 2008, l'armée française a mené deux opérations commando en Somalie pour libérer des otages français aux mains de pirates qui exigeaient des rançons. L'Espagne, dont des bateaux de pêche ont également été attaqués, a annoncé mercredi l'envoi "immédiat" d'un avion de patrouille maritime avec 90 hommes pour "prévenir" de nouveaux actes de piraterie. Selon le Bureau maritime international (BMI), 55 bateaux ont été attaqués par des pirates somaliens dans le golfe d'Aden et l'océan Indien depuis janvier 2008 et les pirates détiennent actuellement onze navires et leurs équipages. Les pirates sévissent le long de l'une des routes maritimes les plus fréquentées au monde, perturbant le trafic, et leurs tentatives la semaine dernière de s'emparer de thoniers français et espagnol paralysent désormais cette pêche dans l'océan Indien. Craignant pour leurs équipages, les armateurs ont ordonné à leurs bateaux de se mettre à l'abri aux Seychelles. La France, qui assure la présidence en exercice de l'Union européenne, a proposé le lancement en décembre d'une mission militaire aéro-navale anti-pirates. Le 2 juin, le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté une résolution permettant l'entrée de navires de guerre dans les eaux somaliennes pour traquer des pirates. Mais pour l'instant, ils déjouent la surveillance des navires de guerre. La difficulté de circonscrire leurs attaques réside notamment dans leur soudaineté: ils peuvent s'emparer d'un bateau en seulement une vingtaine de minutes. Et, une fois à bord, les pirates sont quasiment intouchables, protégés par leurs otages.
  2. http://www.lepoint.fr/actualites-monde/la-guerre-aux-pirates/924/0/274993 Publié le 18/09/2008 N°1879 Le Point Somalie - La guerre aux pirates La multiplication des attaques, de plus en plus violentes, contre des navires au large des côtes somaliennes a conduit Nicolas Sarkozy à déclencher lundi une opération militaire d'envergure pour délivrer les otages du voilier « Carré d'as ». Et à réclamer la création d'une « police des mers ». Olivier Weber et Jean Guisnel Alerte en haute mer ! De plus en plus audacieux, de mieux en mieux équipés, les pirates somaliens gagnent le large. Et attaquent désormais, à des centaines de kilomètres de leurs bases, navires de plaisance comme chalutiers. Témoin, après la prise d'otages sur un voilier, début septembre, la mésaventure survenue au « Drennec », un thonier français attaqué dans la nuit de samedi à dimanche au lance-roquettes, à 750 kilomètres des côtes. Un nouvel assaut qui a sans doute poussé Nicolas Sarkozy à prendre, lundi 15, à 21 heures, la décision de lancer un raid spectaculaire contre les preneurs d'otages du couple de convoyeurs du voilier français de 16 mètres « Carré d'as », détenus par leurs ravisseurs depuis deux semaines. D'autant que les pirates et leurs otages faisaient route vers le village d'Eyl, sur la côte somalienne, sorte de version africaine de l'île de la Tortue, où il aurait été beaucoup plus compliqué d'agir. Une opération savamment orchestrée avec une trentaine de commandos marine du Commandement des opérations spéciales (COS) en Zodiac. Pour les membres du commando Hubert déployés par la frégate « Courbet », mission réussie : en dix minutes d'une opération coup de poing, ils ont pu libérer le couple de Français, avec l'assistance de l'armée allemande, qui, pendant toute la phase de traque, sinon au moment de l'assaut, a mis à disposition de la marine française un PC volant, un avion bourré d'électronique qui permettait notamment d'assurer les liaisons radio. Bilan : six pirates capturés-et bientôt ramenés en France-et un tué. « Cette opération est un avertissement pour tous ceux qui se livrent à cette activité criminelle », a martelé Nicolas Sarkozy, mardi, lors d'une conférence de presse improvisée à l'Elysée. Le message est clair : la flibuste ne paie plus. Et l'ambition est évidente de mettre en place une « police des mers » pour contrer ce qui est devenu une véritable industrie du crime. Attaques au lance-roquettes. Il y a urgence. Lundi 15 septembre, un chimiquier de Hongkong, avec un équipage constitué de 22 hommes, a encore été intercepté au large des côtes somaliennes par un commando lourdement armé. Une cinquantaine d'otages de toutes nationalités sont toujours détenus par 150 pirates. Et l'attaque du thonier « Le Drennec » marque une nouvelle gradation dans la violence de cette flibuste des temps modernes. Réfugié aux Seychelles, le commandant Patrick Héliès n'en revient toujours pas : son premier filet à peine posé, il vit foncer un hors-bord ultrarapide. Une autre vedette, elle, s'était déjà approchée de sa poupe, par un vent de force 3 à 4 sur l'échelle de Beaufort, dans cette zone fréquentée par une vingtaine de thoniers français et une trentaine d'espagnols. Patrick Héliès lance ses machines à fond et vire de bord. Surpris, les bandits somaliens tirent au lance-roquettes RPG-7. Des armes que l'on trouve facilement sur les marchés somaliens. « Quatre roquettes ont été tirées , dit-on chez CMB, l'armateur du thonier à Concarneau. Un carnage a été évité de justesse... » Le même jour, un tanker de 137 mètres battant pavillon panaméen, le « Golden Elizabeth », avec 13 marins philippins à bord, échappait à une autre embuscade maritime. Depuis le début de l'année, les attaques sont légion. A tel point que même le « rail », le point de passage des pétroliers et autres grands navires marchands, n'est plus à l'abri, malgré la présence, depuis le 11 septembre, de bâtiments militaires occidentaux pour lutter contre le terrorisme. Et la piraterie locale, artisanale, telle que l'avait connue Henri de Monfreid, est devenue au large de la Somalie une industrie à part entière. On savait la piraterie de retour. Elle est désormais hyper-armée, entraînée et aguerrie aux méthodes de l'abordage en pleine mer. Deux jours plus tôt, un autre bâtiment de pêche, le thonier espagnol « Plaja Anzora », avait déjoué une attaque lancée à partir de quatre hors-bord. « Tout cela était prévisible , dit Anne-Sophie Avé, déléguée générale d'Armateurs de France. En Somalie, zone de non-droit, le peu d'Etat qui existe ne fait rien pour nous aider. » Du coup, c'est l'escalade. Les pirates transforment leurs prises en « bateaux mères » . Quatre ou cinq boutres et remorqueurs piratés errent ainsi dans les eaux internationales, malgré la surveillance des patrouilles de la coalition dans le golfe d'Aden, et servent de refuge aux puissants hors-bord, souvent camouflés sous des bâches. Ensuite, les moyens financiers : les rançons demandées (on évoque la somme de 2 millions de dollars pour « Le Ponant », attaqué en avril) alimentent un trésor de guerre qui permet d'acheter des armes. « Celles-ci proviennent de Russie et des ex-pays de l'Est », avertit un armateur. Enfin, selon les informations recueillies par Le Point , les bandits des mers ont leurs « oreilles » dans de nombreux ports africains et bénéficient des plans de route des navires. « Avec la pauvreté, tout s'achète, y compris un capitaine de port », dit le même armateur, qui souhaite garder l'anonymat. Les pirates, eux, ne reculent devant rien : Patrick Marchesseau (1), commandant du « Ponant », pris en otage au printemps, confie que ses assaillants, équipés de 8 kalachnikovs et d'un RPG-7, étaient saouls, drogués au khat, et étaient prêts à arroser le pont de balles à tout instant. « Un bateau mère yéménite a été utilisé pour l'attaque , raconte le marin. A bord se cachait une coque rigide de 7 mètres avec un moteur de 60 CV, suffisant pour nous rattraper alors que nous filions à 13 noeuds. » Les forbans de la Corne de l'Afrique sont ainsi devenus de redoutables capitaines. Ils se partagent le gâteau en trois zones : le golfe d'Aden, le large du petit port d'Eyl, près de la pointe de la Corne de l'Afrique, refuge des forbans, et l'océan Indien. Sur les hors-bord, souvent dotés de moteurs de 200 CV, ils disposent de radios et de GPS, et peuvent aisément se replier dans un port somalien. Accompagnement militaire Il existe bien un droit de poursuite, obtenu de haute lutte, en juin à l'Onu, par la France et les Etats-Unis avec la résolution 1816. « Mais les Somaliens mettent huit jours avant de répondre », soupire-t-on aux Armateurs de France. Armer les équipages ? Guère mieux, estiment les commandants. Pourtant, des capitaines américains, y compris sur des navires de croisière, russes et israéliens n'hésitent plus à embarquer des armes. « Mais c'est une pente dangereuse, car on tomberait alors dans la surenchère », dit un responsable de compagnie maritime. Reste la solution de l'accompagnement militaire. « Irréaliste pour certains. Mais il est possible d'organiser des convois, à 14 noeuds, comme pendant la Seconde Guerre mondiale », estime Frédéric Fave, directeur de la sécurité à la compagnie CGA CGM et qui a dirigé la cellule de crise lors de la prise d'otages à bord du bateau de croisière « Le Ponant », en avril. Depuis cette semaine, un bâtiment de la marine nationale française accompagne les navires qui traversent le golfe d'Aden. Les pirates sont donc sur le pied de guerre, avec des radars et le système d'identification automatique AIS, qui détecte désormais non seulement le positionnement, mais aussi la vitesse, la route et la destination. « L'allure faible, c'est la proie idéale », dit Frédéric Fave. Dans l'attente d'une police maritime internationale, les armateurs, eux, n'ont pas de parade. Alors, pour contrer cet obstacle à la liberté sur les mers, certains veulent embarquer des « équipages spécialisés ». « Le but est de répondre aux attaques par lance-roquettes avec des moyens de type sniper : tirer sur le moteur, sur la coque, voire plus », avertit un expert. Pirates du grand large contre mercenaires des mers, la bataille pourrait être sanglante.
  3. g4lly

    Les Frégates de la Royale

    Certains navires de la marine nationale pourraient passer à 2 équipages Par Gilles Corlobé Publié le 18 septembre 2008, dernière mise à jour le 18 septembre 2008. Ce jeudi matin, peu de temps après sa prise de fonction, le nouveau commandant de la force d’action navale, le vice-amiral d’escadre Bertrand Aubriot, a annoncé que certains bâtiments de la marine nationale pourraient passer à 2 équipages. L’objectif est de rentabiliser, comme c’est déjà le cas pour les sous-marins, les navires qui, en tous cas pour les plus récents, demandent de moins en moins de temps pour leur entretien. Sur l’année, ils sont donc plus disponibles que leurs prédécesseurs. Comme les équipages ne pourraient pas se reposer avec des navires disponibles plus de 300 jours par an, la création d’un 2è équipage permettrait donc d’utiliser ces navires récents au maximum de leur capacité sans dépasser la limite de tolérance des marins. En dehors des périodes où ils seraient embarqués, les membres du second équipage, celui qui n’est pas en charge du navire, seraient utilisés pour compléter l’état-major de la Force d’Action Navale, de la Préfecture Maritime… La déclaration de l’amiral Aubriot en vidéo. VAE Aubriot : certains navires de la marine nationale pourraient passer à 2 équipages http://www.corlobe.tk/article10429.html
  4. g4lly

    [BATRAL] Leur remplacement ?

    La capacité de plageage des batral ne sert a rien ... http://www.defense.gouv.fr/ema/decouverte/commandements_operationnels/forces_de_souverainete/antilles/18_09_08_aide_humanitaire_pour_haiti 18/09/08 – Aide humanitaire pour Haîti Le 17 septembre 2008, le bâtiment de transport léger (BATRAL) de la marine française Francis Garnier a appareillé pour Haïti avec 148 tonnes de fret humanitaire à son bord. Il rejoindra l’île sinistrée par une succession de cyclones d’ici 4 jours. Cette mission a été décidée le 13 septembre 2008, à la suite d’une concertation interministérielle et en liaison avec l’ensemble des acteurs humanitaires présents sur le terrain, l’ambassade à Port au Prince, les préfectures et collectivités locales de Guadeloupe et de Martinique. Du 15 au 16 septembre 2008, ce bâtiment de la marine nationale a embarqué en Martinique 50,8 tonnes de matériel humanitaire, 25 tonnes d’eau minérale et 3 conteneurs de denrées non périssables et de vêtements. Le 17 septembre 2008, le Francis Garnier a accosté dans le port de Pointe à Pitre en Guadeloupe où il a embarqué 3 conteneurs de denrées non périssables et de vêtements. Ces matériels sont issus des stocks humanitaires constitués par le ministère des Affaires étrangères et européennes et la Sécurité civile aux Antilles. Il s’agit de produits de première nécessité, des tentes et des abris, des produits d’hygiène à destination des populations affectées. Le Francis Garnier transporte également les dons réunis par les collectivités locales grâce à la générosité des antillais suite à une collecte organisé pendant une dizaine de jours, ainsi que les moyens déployés par les ONG et la Croix Rouge.
  5. Il a deja été répondu lors de la commission du livre blanc que c'était hors de question niveau tarif. Seule les deux petits modèles hérite du nouveau design, probablement a cause de l'adaptation au marché des corvettes petit prix.
  6. http://www.ouest-france.fr/Le-Rodeur-un-canot-espion-qui-peut-faire-mal-/re/actuDet/actu_8619-706015------_actu.html jeudi 18 septembre 2008 Le Rodeur, un canot espion qui peut faire mal Ouest-France. Ce bateau fantôme, un drone, est capable de filer à toute vitesse, au plus près du danger. Et il peut même attaquer. Démonstration. Il ressemble aux canots pneumatiques des commandos marine. Sauf qu'il est n'y a personne à bord. Il peut atteindre les 100 km/h sur mer calme. Il est parfaitement opérationnel quel que soit le temps. Il évite les obstacles, est capable de se maintenir en position stationnaire, comme un hélicoptère, pour des opérations de détection au sonar d'un sous-marin non identifié. Il dispose d'une autonomie de 10 heures en carburant. Son rayon d'action est de 100 km. Il revient ensuite à sa base, tel le pigeon voyageur, porteur de messages, en son et vidéo, sur l'éventuel suspect. Il peut, en option, être armé pour se défendre ou attaquer. L'actualité récente, avec les attaques de pirates au large de la Somalie, démontre la pertinence de l'innovation. L'engin aurait toute sa place à bord d'une frégate pour être largué lors d'une opération de repérage. Il intéresse déjà les compagnies pétrolières qui prospectent dans des zones peu sûres au large des côtes d'Afrique. Rien à moins de 500 000 € Pour les besoins d'une démonstration qui s'est déroulée hier à Lorient, le Rodeur est parti de Douarnenez, son site d'essais techniques depuis quelques mois. « Nous avions installé la plateforme de téléguidage à la pointe du Van. Nous étions à bord, sur nos sièges. Le bateau s'est dirigé tout seul comme un grand, y compris dans le raz de Sein» explique l'équipe d'ingénieurs. L'engin a été conçu par la société nantaise Sirehna, dans laquelle DCNS a pris 65 % des parts, Thalès, 10 %. « On avait d'abord commencé à expérimenter le système avec un jet ski. Puis nous avons travaillé en collaboration avec les Américains et les Singapouriens pour adapter le système à un canot semi-rigide de chez Zodiac » explique le patron de Sirehna Jean-Pierre Le Goff. Ce bijou de technologie coûte entre 500 000 € et un million d'euros, selon les options, les armes embarquées, canons ou mitrailleuses dirigées à distance. Reste maintenant à le commercialiser l'engin. Les marines françaises et étrangères sont bien évidemment intéressées par ce bateau autonome, intelligent et qui supprime tous risques en pertes humaines. Il sera l'une des attractions du salon Euronaval, qui réunira, fin octobre à Paris, le gratin international de l'innovation militaire. Françoise ROSSI.
  7. Le Danemark va utiliser les installations de Thule AFB comme base aérienne et naval pour ses opération de patrouille en arctique. http://www.berlingske.dk/article/20080916/klima/709160033/
  8. Hum il ont assez de souci avec leur minorité pour pas faire ce genre de betise ... du moins pas ouvertement ... d'autant que l'action en Astan est certifier ONU compatible :lol: Retex canadienne ... http://www.army.forces.gc.ca/caj/documents/vol_10/iss_2/CAJ_vol10.2_11_f.pdf NOTE AU DOSSIER — AFGHANISTAN : CE QUE NOUS PENSIONS QUE NOUS SAVIONS DE L’EXPÉRIENCE SOVIÉTIQUE M. Sean M. Maloney, PhD C’était le début des années 1990, l’Allemagne n’était plus seulement l’Allemagne de l’Ouest et les premiers membres canadiens de la Mission de surveillance de la Communauté européenne étaient déployés dans ce qui était sur le point de devenir l’ex- Yougoslavie. Au sein de la Forêt noire (Schwarzwald) était cantonné le 4e Groupebrigade mécanisé du Canada, dont les membres s’interrogeaient sur l’avenir de la formation après la chute du mur de Berlin. On comptait encore 200 000 soldats russes en Allemagne de l’Est et le personnel du renseignement les tenait à l’oeil, même s’il s’employait surtout à préparer des guides de reconnaissance des véhicules yougoslaves. Les Soviétiques avaient quitté l’Afghanistan près de deux ans auparavant : c’était de l’histoire ancienne. Pourtant, quelqu’un a monté un dossier d’information intitulé « Leçons retenues par les Soviétiques en Afghanistan1 » qui allait finir par dormir dans les archives du 4 GBMC à partir du moment où l’état-major du renseignement de la Brigade a déclassé le document à des fins historiques et en a édité une portion très minime. J’ai pris ce dossier d’information original et j’en ai fait un document cohérent [auquel j’ai ajouté mes commentaires entre crochets]. Tout comme pour tous les produits de cette époque, les auteurs canadiens sont inconnus. Soulignons à titre de mise en garde qu’il existe de nombreux ouvrages sur l’expérience soviétique en Afghanistan : Les Grau et David Isby sont les auteurs les plus connus. Leurs ouvrages sont essentiels pour comprendre l’expérience soviétique en Afghanistan et il faut lire ce qui suit de concert avec ces ouvrages. Leçons retenues par les Soviétiques en Afghanistan Après l’invasion soviétique de l’Afghanistan en décembre 1979, l’intention de Moscou était de se borner à appuyer l’armée afghane en occupant les villes, en assurant la couverture aérienne et en établissant des positions défensives [NOTA : cette intention est similaire à la stratégie actuelle de la FIAS dans le sud de l’Afghanistan]. La force soviétique initiale provenait principalement d’unités de réserve de l’Asie centrale constituées de personnel ethniquement apparenté aux Afghans. Ces unités se sont révélées peu efficaces et ont vite été remplacées par des unités régulières des forces soviétiques. Tout au long du conflit, les Soviétiques se sont concentrés sur cinq objectifs fondamentaux : contrôler les villes; protéger les lignes de communications; chasser les rebelles vers des zones isolées afin de les éloigner de leur population et de leur soutien; éliminer les centres de résistance; interdire l’accès à toute aide extérieure et à des sanctuaires... la suite http://www.army.forces.gc.ca/caj/documents/vol_10/iss_2/CAJ_vol10.2_11_f.pdf
  9. L'AASM IIR a une réelle capacité antinavire grace aux capacité de correction de l'imageur IR. On a pas assez de détail sur le champ de l'imageur et la distance a laquelle il commence le scan mais en recoupant les info de l imageur du scan et des test de l'AASM IIR on en été arrivé a un rattrapage possible de l'erreur sur un navire filant 25kts pour une bombe tirée a 15km ... ca donne un ordre d'idée. 15km c'est pas 170km mais ça peut tjrs servir a traiter les unité les moins défendu qui irai faire de la reconnaissance un peu loin des frégate AA, d'autant que largué en paquet de 6 après une approche TBA ... la cible risque de choisir de traiter les bombe plutôt que le porteur ... Normalement c'est la version 2000lbs qui devrait être la version "naval" du système vu sa capacité de destruction plus crédible contre un grobato ... mais un ou deux hit de Mk82 doit faire pas mal de dégât déjà. La seconde chose c'est la demande par la marine de missile anti-navire leger type MarteMk2 plutôt pour les hélicoptère... qui emporte un charge crédible a 25km pour un devis de masse moitier moindre que les exocet la aussi ça permet de traiter les cibles moyenne a +300km du porteur. Pour la capacité deux ou trois exocet sur rafale M ... les bricolo de la marine sont capable d'ouvrir ca en 24h nan ?! :lol: c'est si compliqué que ca? Une dernière chose pour les sous marin ... en général comme on en a pas beaucoup on les reserve pour la défense des pièce maitresse et pour le renseignement ... on les dévoile pas dans une manœuvre d'attaque incertaine, sauf pour la mise a mort. quant a l'escorte GAN la "norme" OTAN c'est plutot 2 SNA ... et pas 1 seul. en temps de paix pour opérer dans des zone sans menace sous marine 1 ca suffit ... mais autrement c'est 2 de base, un en défense sur l'arrière et un en patrouille au loin sur la route.
  10. En parlant de théâtre somalien une intervention a terre contre Eyl n'est plus a exclure... La Malaisie nie son implication dans l'opération de libération des otages du Carré d'As. http://www.nst.com.my/Current_News/NST/Thursday/National/2352983/Article/index_html Des malaisiens sont retenus par les pirates somalien, et des négociation sont en cours pour leur libération. L'implication annoncé par notre président de la Malaisie dans l'opération, est nié par les autorité malaisienne qui affirme avoir refusé la demande d'assistance francaise... ...Revealing this, RMN chief Admiral Datuk Abdul Aziz Jaafar said the French navy made an urgent request for assistance in their covert operation as RMN ships were in the area. "Although the French request speaks highly of our capabilities, we had to turn it down for fear of endangering the lives of the Malaysian hostages," he said, adding the French understood Malaysia's stand and thanked RMN for its concern and moral support...
  11. Ca serait pas plus simple de merger les topic Gowind et FM400 ?
  12. C'est des conteneur iso de 2.40m de haut ... faudrait des tout petit missile :)
  13. g4lly

    [Quizz] Char / Archive

    :lol: ... tu passes ton tour pour la peine ;)
  14. Encore des souci pour les DDG-1000 http://blog.wired.com/defense/2008/09/will-ddg-1000-p.html Des problemes de constructions composite sont pointés du doigt par la marine ... l'assemblage du chateau et de la coque semble poser des gros probleme d'étancheité... de quoi couler les DDG-1000? :lol:
  15. Vous avez remarqué sur les écorché des FM400 l'hydrojet entre les ligne d'arbres ... Ca reste d'etre un bateau plus léger mais pas forcement bon marché quand meme, les propulsion a l'air assez evoluée. Autre chose l'article mer et marine semble laisser entendre qu'on aurait des sylver a 6 cellule sur les FM400, 2 sylver => 12 missiles et 4 sylver => 24 missiles, c'est une erreur de MeM ou bien c'est un projet de mini sylver?
  16. g4lly

    Super frelon

    L'EC-175 pourrait bien attaquer ce segment ... la production en chine devrait limiter les couts. C'est un classe 7t 16pax maxi ... moderne mais pas trop cher.
  17. g4lly

    Le premier "Red Flag" du Rafale

    Pourquoi faire ? y a des client potentiels en France? Du 27 juillet au 27 aout 2008, 4 Rafales biplaces, de l'escadron 1/7 basé a St Dizier, on participés a leur premier exercice opérationnel aux Etat-Unis. Le but de se déplacement etait de comparer les l'experience opérationnel de l'avion, specialement durant les OPEX, avec les systeme d'arme etrangers. Apres un convoyage transatlantique via les Acores, et un arret a Bangor, Maine, les 4 rafales on atteri a Luke AFB, Arizona le 28 juillet. La visite a Luke AFB a été un succés, permettant de se familiarisé avec les américains et leur procédures, et leur objectif tactique. Les Rafales on conduit des combat simulé avec les F-16. Selon un pilote de F-16 du 309e escadron de chasse, Matt Spears, " c'etat un une opportunité excitante, et j'ai été tres impressionné par les capacité de l'avion." Comme Luke AFB est la base d'entrainement des unité de l'USAF, tous les escadron y passant connaitront les capacité et performance du Rafale. Cela faciltera le travail d'equipe durant les opération combinée. Red Flag Du 7 au 22 aout, les avions se sont déplacé a Nellis AFB, pres de Las Vegas, pour l'exercice de combat aerien Red Flag, impliquant les armée de l'air de plusieurs pays alliés. L'exercice a été planifié il y a un an et demi, et est concu pour accroitre l'interopérabilité entre allié. L'armée de l'air est un participant régulier de Red Flag depuis 1981, en tous ses type d'avion la bas. Cette année, en plus des F15 et F16 américains, il y avat des Sukhoi-30MKIs d'Inde et des F-15Ks de Corée du Sud. Red Flag est organisé par le 414e escadron d'entrainement au combat, surnommé "Red Flag", et simule des combat tres realiste, en particulier grace a l'usage de munition reel pour certaine attaque. L'exercice typique est que les "Blue" attaque les Red dans des conditions de realiste de combat. Chaque engagement implique 40 a 60 avions, couvrant tous les aspect de la mission, et visant la progressivité du niveau et de la densité. Diverse menance de la moins a la plus sophistiqué, et un thatre saturé de menace suface air air air, forcant les avion a atteindre leur limites. Commandant de mission Deployé seulement avec le bleu, le Rafale a participé a toutes les missions majeures. Les équipage on été désigné commandant de mission a plusieurs reprises. Le detachement francais a participé au moins a une mission d'attaque chaque jour et chaque nuit, sur une periode de 10 jours, confirmant l'etendu des capacité de l'avion et son modele multirole. En operant dans un environnement dense et hostile les systeme de l'avions ont fourni aux pilotes des vues de situation tactique claires et precises. La fusion multi senseur - RBE2, OSF, Spectra, Link16 - a fonctionné parfaitement. Grace a cela, le rafale a amplement prouvé ses capacité d'autodéfense. Il n'a pas subit de perte du au systeme de defense aerienne, et a été souvent capable d'éliminer ces menaces. Les scenario opérationnel impliquaient des utilisation simultanée des missile mica EM et IR, des AASM et des Scalp. Les observateurs americain on été impressionné pas la précision des AASM. Chaque avions pouvant engager simultanément 6 cible disposé sur une grande etendue, chaque bombe ayant sa propre ballistique pour chaque cible. Les Rafals ont utilisé leur reseau link16 avec les avions allié. cette technologie assure l'interoperabilté avec les autres systeme de comabt, en particulier pour distribuer les cible a traiter entre les different avions. Comme tous les scenario sont enregistré au sol, si un rafale ne peut atteindre son objectif, un autres peu prendre en charge sa mission et la finir. Capacité a découvrir. la logistique rafale etait en reseau avec la base de saint dizier. deux systeme de communication crypté, arpagon et amasis, envoyaient des mise a jour technique de chaque avion directement en france. En fait tout au long de la vie de l'avion une grande tracabilité existe sur les donnée de vol et maintenance de l'avion et toute les pieces utilisé. cela permet de reduire la maintenance, les piece etant changé seulement quand c'est strictement necessaire. tous les pilotes francais on été fier d'etre capacble de present la derniere generation d 'avion qui est encore au debut de sa carriere, et dont l'etendu des capacité est encore a découvrir.
  18. intel inside ? intel ligence ? untel inside? :lol: C7 s'est il mis en mode bisounours sur ce topic ???
  19. LCS ... y a aussi le cout ... visiblement les modeles GOWIND ne touchaient pas de marché il a fallu faire des modele moins cher. Seul le gros modele de quasi Frégate a garder l'architecture plus onéreuse autant structure que propulsion, les petit modèles on du rogner pour être plus accessible et plus polyvalente pour les clients potentiels. Et effectivement c'est moche. Le pont completement couvert c'est joli furtif ... mais super pas pratique pour circuler. quand a la passerelle aerodynamique ... ca doit etre lié a la baisse de puissance de la propulsion et au souci d'economie de petrole. Avec les LCS qui file plus de 45kts, il va falloir que les autres constructeur aligne leur vitesse a la hausse un minimum et pour ca le plus simple c'est de retoucher l'aero et l'hydro plutot que de surmotoriser a coup de MT30 ... L'automatisation ca coute la peau des fesses ... en maintenances ... ce que tu gagne en personnel d'un coté tu le perds en pièce détaché et en heure de maintenance ... pour des navires économique il doit y avoir une limite lié au cout de la mains d'œuvre qui n'est pas forcement la même dans toutes les armées. En Europe on peut souhaiter une automatisation forte quand au Maroc ou les solde sont bien moins élevé on préfèrera payer du personnel probablement. Enfin y a la problématique de l'équipage minimum dans le sens ou une parti de l'équipage peut être défaillant et qu'a pas mal de poste ne sont pas compressible au delà d'une certaine limite sans que le navire se retrouve hors combat pour cause de manque d'équipage :lol: a la moindre épidémie de gastro.
  20. Y a plusieurs projet - L'honeypot ... un vrai faux navire marchand ... avec des militaire a bord qui sert a attirer les pirate pour les "massacrer". - L'embauche de service de sécurité a bord des navire ... donc plutôt de la sécurité privé qui pourrait riposter aux attaques. - les convois escorté par les militaires soit en embarquant des militaire a bord soit en accompagnant par des navire de guerre ... soit les deux. Pour le moment on pense sérieusement au deux premiers ... Les convois c'est long a former et ca gene le commerce plus que les pirates :) l'embarquement de société de sécurité c'est assez cher ... amis envisageable pour le gros traffic commercial. Quant aux piege a pirate, c'est comme la chasse ... c'est long et on revient souvent bredouille de plus si les pirates savent qu'il y a des bateau defendu il pourrait changer de cible, un peu ce qu'il s'est passé avec les thonier ... ca forcerait les marines a étirer encore leur zone de patrouille les rendu encore moins réactives ...
  21. g4lly

    [Quizz] Char / Archive

    C'est un lance grande 40mm?
  22. C'est pas un journaliste c'est un blog de militaires en opération ... forcement il valorise un peu le matériel qui leur rend le plus de service ... même si parfois vu d'ici ça peu sembler tres emphatique, il semble que sur place les taliban craignent vraiment les canons de 20/25/30 avec optique de visée correcte qui permette d'appuyer longtemps et précisement tout en restant hors de portée des RPG PKM etc. Les "doucette" manuelle ne permettent pas ce tire précis dans la durée, alors que les canon peuvent traiter pendant une apres-midi s'il faut, attendre un jet. On remarquera qu'il y a tres peu de canon embarqué dans les zone de combat - les véhicule canon sont des 8x8 assez lourd ou des chenillé pas super adapté a tout les coin, quand la route s'effondre sous les 12t d'un vab - et que l'essentiel des armes d'appui sont des "doucette" ou des lance rocket. Le lance rocket pose des probleme de cout de munition, et la doucette quand elle est pas téléopéré est loin de la précision et de l'endurance d'une vrai tourelle. Dans les terrain assez plat du sud on a commencé a voir des VCI anglais et canadien mais dans les zone plus accidenté les US en déploie tres peu les francais pas plus... La destruction est facile si on l'utilise comme véhicule de patrouille et qu'on le prend dans une embuscade. Mais si on le garde comme véhicule d'appui et qu'il reste a bonne distance - 1000m - de l'ennemi "aucun" moyen de le détruire.
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