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Jojo67

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Tout ce qui a été posté par Jojo67

  1. Je ne crois pas que les barbus vont résister. Ils auraient trop à perdre. Ils vont faire le gros dos en espérant gagner les élections dans 1 an.
  2. Alpacks, quand on révèle au monde entier des secrets appartenant à l'Etat, en violation de toutes les règles, faut pas s'attendre non plus à recevoir une médaille... :lol:
  3. Source AFP: Le gouvernement russe prévoit une augmentation de plus de 60% de ses dépenses militaires au cours des trois prochaines années, mais une réduction de celles consacrées à la santé et l'éducation, a rapporté aujourd'hui la presse et les agences russes. Selon l'agence publique Ria-Novosti et le journal Vedomosti, qui citent un projet d'orientations budgétaires sur les années 2014 à 2016, le budget de la Défense va passer de 2098 milliards de roubles (48,7 milliards d'euros) en 2013 à 3418 milliards de roubles (79,3 milliards d'euros). Cela correspond à un bond de 63% de ces dépenses, qui vont voir leur part du budget fédéral passer de 16% à 22%. La Russie reste bien loin des Etats-Unis en la matière, le projet de budget du Pentagone pour 2014 s'élevant à 526,6 milliards de dollars (406 milliards d'euros). La croissance économique a nettement ralenti ces derniers mois en Russie, le gouvernement ne prévoyant que 2,4% cette année après 3,4% en 2012, ce qui se traduit par une baisse des revenus budgétaires. En juin, le ministre des Finances Anton Silouanov a prévenu que le gouvernement allait devoir revoir à la baisse ses prévisions de rentrées fiscales. Il a demandé de renoncer à certaines dépenses militaires, ou de les repousser, ce qui a été refusé par le président Vladimir Poutine. Commentaire: A mon avis c'est d'une part dû à la volonté de puissance de Poutine, mais aussi à un facteur plus objectif, qui est la montée en puissance de l'armée chinoise, face à une Sibérie relativement vide d'habitants et farcie de richesses minérales.
  4. Je ne comprends pas notre interdiction de survol. On pouvait laisser passer puisque ce n'était qu'une rumeur pour Snowden et que par contre le Président Morales était bien là dans l'avion lui... :P Là on passe pour des caniches des Etats-Unis pour le coup. Entre ne pas accueillir Snowden ce qui est amha conforme à nos intérêts, et faire ça, y avait un juste milieu quand même...
  5. L'union franco-allemande est devenue la désunion FA je crois. ;)
  6. La science ne prouve rien de définitif, elle a ses méthodes que pour le cas qui nous occupe je ne connais pas, et ses résultats sont susceptibles de remise en cause à tout instant, c'est ce qui la caractérise du reste, cette précarité de sa vérité. D'autre part je doute que les méthodes utilisées aillent jusqu'à interroger l'inconscient pour le faire remonter. Quand le cerveau déraille c'est souvent dû à un gros stress d'origine émotionnelle qui le fait dysfonctionner.
  7. Ses données il faut se les garder chez soi, et si elles sont sensibles les avoir sur un serveur non relié à internet, avec une hiérarchisation des accès selon le besoin d'en connaître des uns et des autres. On peut aussi les chiffrer pour les plus critiques avec un accès pour quelques personnes seulement. Du coup l'adversaire pour les avoir va devoir entrer chez vous, ce qui revient bien plus cher que de le faire à distance, car il faut recruter une équipe, lui payer les frais de mission, et ça coûte tout ça. Le but n'est pas d'être invulnérable, car ça n'existe pas l'invulnérabilité, mais de placer la barre assez haut pour que le prix à payer pour casser votre protection soit plus grand que le gain à obtenir en réussissant à vous voler vos données :|
  8. Ce n'est pas une question de pétoche ou de grosse couilles... mais d'intérêt. Quand on fait la balance entre accueillir Snowden en Europe ou même en France et ne pas le faire, vers où penche le résultat final? Ne pas l'accueillir et profiter de la gêne US pour obtenir un avantage dans les négos en cours avec eux, sans oublier de verrouiller davantage nos données en profitant de la prise de conscience générale en Europe, me semble bien plus malin que de provoquer gratuitement l'Oncle Sam en accueillant Snowden chez nous, ce qui va le raidir, faire passer indignation et colère de l'autre côté de l'Atlantique et produira un affrontement stérile où l'Oncle Sam n'aura plus rien à perdre et nous rien à gagner. Dans les histoires de ce genre il faut savoir prendre son bénéfice sans pousser l'affaire trop loin car sinon le type d'en face se hérisse et on n'obtient plus rien. C'est une question de dosage. Gagner sans humilier, car on va plus tard se retrouver sur d'autres dossiers et la roue peut tourner...
  9. C'est déjà obsolète, il faudra un collectif à l'automne pour rester dans les clous. On le sait car la Cour des Comptes l'a dit et on en fait bien moins que ce qu'elle préconise. La différence avec les années précédentes c'est que de l'eau a coulé sous les ponts et qu'aujourd'hui on n'a plus le choix. La relance par un emprunt façons Sarko comme il y a quelques années ça ne passerait plus du tout.
  10. Il y a eu aussi un prix Nobel d'économie décerné à un psychologue pour ses travaux sur la prise de décision en économie (l'influence des émotions) qui sont dans le ligne des découvertes de Damasio et Cie. http://blogue.economistesquebecois.com/2012/02/09/daniel-kahneman-psychologue-et-prix-nobel-d%E2%80%99economie/ Pour les souvenirs du cerveau, je ne suis pas d'accord, il n'oublie rien du tout, les choses ne sont pas effacées mais rendues indisponibles, sauf par un stimuli pas forcément évident, lié à une association d'idées ou d'images ou à une émotion par exemple. J'en ai fait l'expérience maintes fois, de voir des souvenirs très anciens et parfois tout à fait secondaires en importance, revenir à la surface avec une grande force, par le vécu d'un événement du présent. Il faut pour s'en rendre compte s'observer soi-même. Une autre manière d'y accéder fonctionne via la méditation sans but, version Zen par exemple.
  11. Je suis chez moi sous Linux Fedora 18 pour une compatibilité avec le boulot où on a le même OS. Pour ceux qui veulent un truc plus simple au premier abord et pour un usage perso il y a Ubuntu. Pour un pays comme la France, migrer au niveau Défense Nationale vers Linux serait possible. Comme cela a été dit la Gendarmerie l'a fait. L'argument de l'interopérabilité avec l'OTAN qui est le plus souvent avancé, est relativement court. Pour les fichiers doc et ppt, il y a Libre Office qui fait le job sans problème. Certes, il y a des trucs qui ne passent pas dans la mise en forme, pour des raisons de compatibilité, mais c'est assez secondaire, car dans la plupart des cas ça colle. Et si un pays commençait à basculer, d'autres suivraient et l'OTAN s'adapterait. L'avantage de Linux c'est que l'on peut se faire sa propre version en compilant un noyau perso, comme on a fait dans notre boîte* ce qui permet de coller exactement au besoin. Ils pourraient faire ça à Rennes. Avantage: on a un OS qui fait ce qu'on lui demande et pas plus, et on sait exactement ce qu'il fait, ce n'est pas une quasi boîte noire comme sous Windows. Et pour vérifier que personne n'y a touché il y a la solution simple et imparable du contrôle via un logiciel de hachage comme SHA-1 ou SHA-2. * Ce qui peut rendre impossible certaines fonctions si on le souhaite, par exemple par mesure de sécurité, comme les ports USB, les lecteurs de DVD etc. A chacun de voir selon ses configurations souhaitées dans les différents services. L'avantage c'est que le noyau compilé ne se change pas par quelques clics de souris, loin s'en faut... :lol:
  12. Ce chiffre montre que loin d'espionner tout le monde, ce qui serait absurde et inefficace, ils ont fait un travail d'expression des besoins en amont, en définissant ce qui méritait d'être écouté en fonction des menaces qui les visent, mais aussi des besoins offensifs qui sont les leurs. Le chiffre est grand, mais on est aux Etats-Unis là, c'est normal... :lol:
  13. Ils sont filtrés, ce qui veut dire que l'on cherche ce qui est intéressant en fonction de critères de recherches eux-mêmes déduits d'une expression des besoins. Qui veut tout espionner n'espionne rien car ils disperse ses forces à courir après de la paille, et il oublie l'essentiel, les vrais objectifs.
  14. Je viens de lire que pour "le Cloud", 90% des centres de stockages seraient situés aux Etats-Unis... Youpi moi y en a être NSA contente! =D Plus besoin de se casser le trognon dans des interceptions, ces imbéciles vont héberger toutes leurs données chez nous... Cela m'énerve depuis longtemps cette histoire de Cloud, avec leur publicité débile à la tv, et j'espère que ce "scandale" Snowdon sur les pratiques de la NSA va ouvrir les yeux à nos dirigeants d'entreprises, sur cette connerie sans nom... Non mais je te jure, y a des moments... =(
  15. Le monde est ainsi fait, on s'espionne, on se concurrence commercialement, mais on reste des alliés, car chacun sait que c'est réciproque, et surtout on a des intérêts stratégiques en commun. Ceci dit rien n'empêche de secouer le cocotier, de jouer les gros indignés, mais comment se fait-il? Grrr... =( Pour mettre la pression et récupérer un petit avantage momentané. C'est le jeu. =D
  16. Le fait que leur monnaie, le dollar, soit la monnaie de référence permet de s'affranchir de pas mal de problèmes en cas de croissance trop forte de leur dette qu'ils devraient gérer si ce n'était pas le cas. C'est une grosse différence avec nous.
  17. Le renseignement je connais chef, et la cryptographie aussi. Le datamining n'est que le terme branché parce que anglo-saxon pour dire collecte + analyse du renseignement. En France on parle plutôt de "cycle du renseignement", ce qui a une signification plus vaste, car cela inclut l'expression des besoins par exemple. Mais c'est dans la partie analyse que se situe le goulot d'étranglement qui affecte tous les services de par le monde et qui empêche de jouer les Big Brothers, comme je te le disais. De toutes façons l'UE a quoi comme secrets importants, mis à part peut-être des positions temporaires dans des négos commerciales? Les vrais secrets ils sont nationaux.
  18. Ne te laisse pas abuser par les gesticulations des politiques (cf. Hollande par exemple), gesticulations faux-culs s'il en est. Mais qui sont de bonne guerre, car il faut profiter de l'erreur de l'autre pour obtenir un avantage. Je t'ai parlé de faits, notamment de l'impossibilité pratique d'espionner le citoyen lambda et en prime son inutilité dans un régime démocratique, et j'ai parlé en connaissance de cause. ;) Libre à toi de croire ce que tu veux. C'est la vérité que tu veux, ou une vérité qui te fait plaisir, dis-moi? :lol:
  19. Tu es en plein délire parano là. ;) Personne n'a les moyens de faire ce que tu dis, surveiller le citoyen lambda. Après, les groupes hostiles à la démocratie, ou terroristes, ça c'est autre chose, et ce n'est plus du renseignement extérieur mais intérieur. Tout gouvernement a le devoir de s'informer sur les extrémistes de droite comme de gauche, ou islamistes. Cela c'est normal, en France on le fait aussi. Ce que tu ne piges pas semble-t-il, c 'est que collecter des mégaoctets de données c'est facile, car ça peut s'automatiser du moment qu'on a la source, mais après il faut trier tout ça et puis l'analyser, le classer, le recouper, et le mettre en forme pour en faire un renseignement valable, que l'on puisse archiver ou présenter au décideur. Et il faut du monde pour ça, beaucoup beaucoup de monde, et des gens formés, pas des stagiaires... :P Alors du coup les services s'intéressent à ce qui en vaut la peine et pas au menu fretin, car ce serait une perte de temps et d'argent, et cela nuirait à la recherche du renseignement vraiment utile voire crucial. Ps: Il ne faut pas employer le terme de "totalitaire" à tout bout de champ. Ce mot a un sens précis. L'affaire Snowden a un avantage, c'est qu'en France on parle d'espionnage et de renseignement pour une fois sans ironie ni scepticisme, sans évoquer les Tontons flingueurs, les barbouzes ou je ne sais quoi en rigolant. Peut-être que ça va rendre les gens moins naïfs pour protéger leurs données d'entreprise ou d'entité administrative. Peut-être aussi que ça va faire avancer la nécessité de renforcer encore nos moyens de renseignement dans la tête de nos décideurs, et aussi de faire appel à eux plus souvent avant de prendre des décisions. Car si Obama le "saint homme" le fait, pourquoi pas nous? :lol:
  20. Je crois qu'il ne faut pas non plus inverser les rôles. Qui est ridicule dans cette affaire? Les espions US qui se font prendre la main dans le sac par les révélations de Snowdon ou nous? Et d'un. Dans ce métier l'essentiel est de rester discrets. D'autre part l'espionnage est de tous les temps et les Etats ne s'interdisent rien dans ce domaine. Quand un service de chez nous a l'occasion de faire du rens sur une structure américaine, ou allemande ou italienne, vous croyez qu'il détourne les yeux? Non, il prend ce qu'il peut prendre, car c'est de toutes façons intéressant de savoir ce que fait votre allié/concurrent, et si ça ne nous intéresse pas, ça peut servir de monnaie d'échange avec d'autres au cas où. Car le rens c'est aussi une marchandise qui s'échange sous forme de troc. En suivant certaines règles bien sûr, pour ne pas faire n'importe quoi. Cette affaire où l'on joue le jeu de l'indignation, comme si l'on était surpris, c'est de bonne guerre à condition de ne pas trop y croire. On répète après moi: TOUT LE MONDE ESPIONNE TOUT LE MONDE! Tiens une petite anecdote pour montrer jusqu'où ça va parfois: un ancien attaché militaire français me disait que quand il était en poste en Afrique, dans un pays francophone et ancienne colonie française, dont nous payions pourtant régulièrement les fonctionnaires, il était mis régulièrement sur écoute par le service local. D'ailleurs quand il prenait son téléphone à l'ambassade de France, il entendait souvent un petit bruit et il posait alors la question suivante: "Salut vieux, je peux parler là?" Et la voix de l'espion local lui répondait avec l'accent : "Oui c'est bon patrrrron, tu peux y aller!" :lol: Bref le blaireau d'en face nous espionnait avec notre argent... Autre chose: G4lly nos moyens en renseignement sont tout à fait conséquents avec des budgets en augmentation depuis des années et des années. DGSE + DRM pour le rens extérieur ce n'est pas rien et je ne crois pas que l'on puisse parler aujourd'hui de retard dans ce domaine. C'est moins que la Grande Bretagne encore certes, qui a profité et profite encore de l'énorme acquis de la Seconde guerre mondiale, sans compter la longue tradition du renseignement dans ce pays, mais l'écart s'est réduit et on est parti de bien plus bas, sans compter cette tradition hexagonale de politiques qui ne sont pas forcément acquis aux mérites du renseignement, ce qui a retardé les choses. PS: Les grands services de renseignement s'en contrefoutent d'espionner le citoyen lambda, car ça servirait à quoi? Déjà qu'ils n'ont pas forcément les moyens d'analyse pour traiter tout ce qui est intéressant au niveau politique, militaire, économique... Le citoyen lambda ça intéresse éventuellement les détectives privés c'est tout.
  21. :lol: Bon alors disons l'alsacien... :-[
  22. Par cette phrase: Notre cerveau part de ce qu'il connaît pour voir les choses, le reste il ne le voit tout simplement pas! Pourquoi? Ben parce qu'il fonctionne à partir du passé, jamais du présent, je voulais dire que le cerveau "voit" mais n'y comprend rien, donc il zappe. Tu sais bien que notre cerveau ne voit pas le monde tel qu'il est mais qu'il réinterprète le monde que ses organes des sens perçoivent, et qu'il le fait à partir de son stock en mémoire. Mais quand il n'a rien dans sa mémoire il est incapable de réinterpréter l'image perçue et du coup il passe à autre chose. Ou alors il plaque sur la chose une image proche pour lui, et hop il se plante si c'était trop lointain, ou il tombe à peu près juste si c'était assez proche. J'ajoute que ce processus ne fonctionne pas de façon désincarnée car il s'y mêle une forte composante émotionnelle. Nos émotions passées interfèrent sur notre processus de réflexion et de décision, et la "pensée froide" à la Descartes ça n'existe pas, cf. les travaux des neurosciences, et notamment du professeur Damasio, qui a montré par exemple qu'une personne privée d'émotions (suite à un accident affectant une zone de son cerveau) était tout simplement incapable de prendre la moindre décision, y compris quand cela la concernait personnellement. Or penser c'est beaucoup décider. Mais revenons à nos moutons. Le cerveau travaille toujours, toujours, à partir du connu, à partir du passé, il est incapable de créer à partir de rien, d'ailleurs le vide lui fait peur. Cite-moi une seule pensée du cerveau qui ne vienne pas d'un pan de mémoire issu du passé... D'où la nécessité de se cultiver beaucoup pour réinterpréter beaucoup et donc comprendre beaucoup. On se gargarise avec internet mais c'est une simple base documentaire élargie pas plus. Il n'y a nulle révolution de la formation intellectuelle là dedans. La révolution de l'apprentissage et de la formation intellectuelle reste à faire. Moi je suis preneur si on me dit "tiens voilà un appareil, tu le branche sur ton cerveau cette nuit et hop demain matin tu comprends l'anglais"... :lol: Autre chose: notre cerveau n'oublie rien de ce qu'il a appris, rien, simplement ce n'est pas accessible quand c'est lointain ou secondaire, sauf par des passerelles liées aux événements présents, et notamment via les émotions, qui font remonter en surface les souvenirs, cf. la fameuse madeleine de Marcel Proust. C'est intéressant de le savoir car cela signifie que même si c'est inconscient, le souvenir de la chose apprise est là et que le cerveau peut établir des connexions avec, ce qui enrichit ses possibilités. Le gus qui apprend peu et fait confiance au fond documentaire sera privé de ces possibilités. Il ira pêcher de l'info mais quelle info, et qu'en fera-t-il?
  23. On n'a plus le poids pour ça et surtout surtout, on n'en a plus la volonté, car cela sous-entendrait que nous ayons une vision de la France qui n'est plus de saison, avec aussi un budget militaire, diplomatique, et d'influence conséquent, au moins du double de l'actuel. De toutes façons l'EN n'enseigne quasiment plus l'Histoire de France, c'est donc un signe que l'essentiel de nos "élites" (je parle de la classe politico-judiciaro-journalistique, celle qui a le pouvoir) ne perçoivent plus notre pays comme étant une entité autonome. C'est un état de chose que je déplore mais c'est ainsi. De plus faut arrêter de s'indigner pour des affaires de renseignement, car tout le monde se renseigne sur tout le monde, y compris sur ses alliés, et ce depuis la nuit des temps. Tout ce qu'on peut obtenir en s'indignant c'est un arrêt provisoire de la chose pour calmer le jeu, et peut-être quelques petits avantages dans les négociations commerciales en cours. J'ajouterais qu'il n'y a pas actuellement de solution de rechange à l'alliance occidentale dominée par les Etats-Unis. Nous dépendons de la mer pour nos importations et les Etats-Unis dominent la mer. En plus malgré leurs défauts nous partageons les mêmes valeurs démocratiques et de civilisation et la même Histoire. L'Europe? Qui en Europe à part nous, veut d'une Europe puissance? Personne actuellement.
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