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il y a quelques commentaires intéressant sur le sujet. on peut supposer que ca s'est confirmé en libye face aux radars sol libyen http://www.aviationweek.com/Blogs.aspx?plckBlogId=Blog:27ec4a53-dcc8-42d0-bd3a-01329aef79a7&plckController=Blog&plckScript=blogScript&plckElementId=blogDest&plckBlogPage=BlogViewPost&plckPostId=Blog%253A27ec4a53-dcc8-42d0-bd3a-01329aef79a7Post%253Aa516b9ad-cec2-4ad8-b583-d79faa5b3052 A Stealthier Rafale? Posted by Bill Sweetman 10:30 AM on Apr 05, 2010 Our colleagues at Air & Cosmos report that the French government is funding a demonstration of improved stealth technology for the Dassault Rafale fighter, with a focus on active cancellation techniques. The story itself is not online but is being discussed at the Key Military Forum. Dassault Active cancellation means preventing a radar from detecting a target by firing back a deception signal with the same frequency as the reflection, but precisely one-half wavelength out of phase with it. Result: the returned energy reaching the radar has no frequency and can't be detected. It's quite as difficult as it sounds. Some reports have suggested that the so called SP-3 or ZSR-62 "radar jamming device" planned in the early days of the B-2 program was an active cancellation system. It did not work and was scrapped in 1987-88. In 2005, Northrop Grumman paid $62 million to settle a False Claims Act case involving the system. This may not be the first French attempt to implement AC on the Rafale. At the Paris air show in 1997, I interviewed a senior engineer at what was then Dassault Electronique, about the Rafale's Spectra jamming system. He remarked that Spectra used "stealthy jamming modes that not only have a saturating effect, but make the aircraft invisible... There are some very specific techniques to obtain the signature of a real LO aircraft." "You mean active cancellation?" I asked. The engineer suddenly looked like someone who deeply regretted what he had just said, and declined any further comment. (As Hobbes once put it after pouncing on an unsuspecting Calvin: "We tigers live for moments like that."*) The fact that a new demonstrator is being contemplated suggests that the technology may not have been up to the job the first time round - but since AC depends on electronics and processing, that picture may have changed. MBDA and Thales, which absorbed Dassault Electronique and is now the prime contractor on Spectra, have since confirmed that they are working on active cancellation for missiles. The whole Spectra program has been a major venture, including the construction of four new indoor test ranges, including the colossal Solange RCS range discussed in Ares in 2007. That facility will probably play a major role in the new demonstrator program. * It should be noted that Calvin's response was "Not for long you don't."
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A écouter, reportage audio http://www.franceinfo.fr/transports/chroniques-du-ciel/eads-bae-systems-naissance-d-un-geant-de-l-aeronautique-et-de-la-defense-739909-2012-09-16
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[SpaceX] Programme Starship et autres innovations
zx a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Engins spatiaux, Espace...
Pour l'instant, il a la baraka, mais attendons ses premiers lancements commerciaux. http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronautique/d/en-bref-spacex-veut-concurrencer-ariane-5_41214/#xtor=RSS-19 Après le vol réussi de sa capsule Dragon à destination de la Station spatiale internationale, SpaceX, veut aussi devenir opérateur de lancement de satellites commerciaux. Premier client : SES, qui vient de lui confier le lancement de trois satellites à l’horizon 2015. SES a signé un accord pour lancer trois satellites sur des Falcon-9 de SpaceX. La signature, en mars 2011, du contrat de lancement du satellite SES-8 à effectuer en 2013, porte à quatre le nombre de satellite SES que doit lancer SpaceX. Le vol réussi du Falcon 9 et de la capsule Dragon a visiblement rassuré les opérateurs de satellites. Quant au montant du contrat, il est tenu secret mais il ne fait guère de doute que les prix cassés de SpaceX soient un argument de poids. SES a simplement indiqué que ce montant était d’environ 20 % inférieur aux tarifs pratiqués sur le marché. Du côté d’Arianespace on est plutôt dubitatif de voir SpaceX remporter autant de contrats sans avoir lancé un seul satellite en orbite de transfert géostationnaire. SES explique que ce choix est celui d'une diversification de prestataires, SpaceX s'ajoutant à Arianespace et au russe International Launch Services (et son lanceur Proton). SES s’est tout de même protégée contre un retard de SpaceX en prévoyant des lanceurs en back-up. Pour SES-8, ce sera Ariane 5. Avec le nombre de lanceurs disponibles, au regard du nombre de satellites à lancer annuellement, les opérateurs de satellites n’ont que l’embarras du choix. Si SpaceX parvient à s’implanter sur ce marché, deux stratégies vont s’opposer. Celle d’Arianespace, qui garantit un lancement dans les délais et une mise à poste au « kilomètre près » et celle que l’on peut qualifier de low cost avec quelques risques de retards.- 4 063 réponses
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Question bête, a t on deux spectra, un pour l'export un autre pour l'armée française ? Parce que je rencontre souvent le terme de full spectra =), ce qui sous entend un spectra light présentation MDBA http://www.mbda-systems.com/products/air-dominance/spectra/17-8/ Avenir ?
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J'ai pas grand chose de plus http://en.wikipedia.org/wiki/Thales_Spectra
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un petit site de présentation http://rafale-aviation.e-monsite.com/pages/systemes-electroniques/systeme-de-protection-spectra-du-rafale.html Thales http://www.thalesgroup.com/Portfolio/Defence/Aerospace_Product_SPECTRA/?pid=1568
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bah ! ils produiront des F15 SE pour remplacer les vieux F15, c'est plutôt les rétrofits du F35 qui risquent d'être costaud. :O c'est peut être pour cela qu'ils sont pas très pressés de monter en charge
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Si EADS et BAE Systems décident finalement de se lancer dans cette opération, ils présenteront une opération conditionnée à l'accord de Washington. Qui décidera in fine de la réalisation de l'opération. http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20120914trib000719499/eads-washington-sera-l-ultime-arbitre-de-la-fusion-eads-bae-systems.html
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Applications militaires des nouvelles technologies
zx a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Technologie
http://supersonique.blogs.challenges.fr/archive/2012/06/20/la-defense-du-futur-dans-le-viseur-de-l-onera.html La défense du futur, vue par l’Onera Quand on parle de l’Onera, c’est en général pour évoquer ses souffleries géantes, notamment celle de Modane (Savoie, photo Onera), qui voit passer les tests aérodynamiques des Rafale, A350, missiles et autres Ariane 5. Justifié, mais réducteur : sous tutelle du ministère de la défense, ce centre français de recherche aérospatiales, qui emploie 2000 salariés dont 1500 chercheurs dans huit sites en France, travaille sur la dissuasion française, les technologies de renseignement, les radars, l’optronique, les drones, la propulsion hypersonique. Gros plan sur quelques programmes de recherche qui préfigurent la défense du futur. - Décawatt, l’énergie embarquée du soldat C’est une micro-turbine à peine visible, de la taille d’une pièce de deux centimes. Le principe ? « C’est un turboréacteur du type de ceux de l’aviation commerciale, que nous avons miniaturisé à l’extrême », explique Jean-Paul Bruyant, directeur défense et sécurité de l’Onera. Dix millions de fois plus petit qu’un moteur d’A380, cette turbine miniature pourra délivrer une puissance de 100 watts, pour des applications larges : propulsion de micro-drones, robotique ou électronique du fantassin. Une telle machine permettrait ainsi au soldat d’avoir dans son sac sa propre source d’énergie, un atout indéniable pour des soldats équipés du système Felin par exemple (panoplie high-tech du fantassin français). - La propulsion hypersonique EADS l’envisage à terme avec son projet d’avion supersonique Zhest, à l’horizon 2050. L’Onera travaille déjà sur les technologies de propulsion hypersonique, entre Mach 4 et Mach 8. Les applications sont variées : missiles stratégiques de la force de frappe française; drone de reconnaissance en profondeur (Mach 5), dont le concept est développé avec MBDA ; voire aviation civile, si le marché le justifie un jour, ce qui est loin d’être certain. - Le radar à ondes de surface Au départ, un constat : la surface maritime française est la deuxième plus étendue au monde après celle des Etats-Unis. La zone économique exclusive s’étendant à 200 miles nautiques des côtes (370km), la portée des radars apparaissait insuffisante. L’Onera a donc développé un radar à ondes de surfaces (ROS) d’une portée de 400km, contre 50 à 100 km pour les radars existants. Le principe est simple : le ROS utilise la surface de la mer comme canal de propagation. Il est, du coup, évidemment plus efficace sur une mer calme. La technologie a été transférée à Thales pour les marchés export, qui propose un produit baptisé Coastwatcher 200 depuis 2009. L’Onera travaille déjà sur la seconde génération. - Optics Inside, la vision infrarouge miniaturisée Miniaturiser au maximum les systèmes optiques de vision infrarouge : l’idée n’est pas nouvelle ; Mais la nouvelle architecture Optics Inside, développée par l’Onera, apportent des avancées décisives : les prototypes, développés avec Sofradir (coentreprise à 50-50 entre Thales et Safran) permettent de produire des images sans optique externe. Avantage : une consommation et un encombrement très faibles, ce qui en fait des optiques idéales pour des drones de surveillance par exemple. -
Fusion EADS-BAE : Paris et Berlin attendent un projet "mis au clair" L'Élysée a indiqué que les deux gouvernements jugeraient le projet de fusion une fois que les industriels se seront mis d'accord. http://www.lepoint.fr/economie/fusion-eads-bae-paris-et-berlin-attendent-un-projet-mis-au-clair-14-09-2012-1506427_28.php
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EADS +BAE ca fait dans les 200000 personnes dans les domaines civiles et militaire et qui ouvre un accès porteur sur le marché des USA, en France on a des groupes fragmentés un peu partout dans divers domaines pour commencer les groupes Thales + Safran peuvent fusionner, ca doit peser 120000 personnes dans pas mal de domaine, ca reste insuffisant, on peut ajouter DCNS et d'autres, mais il faut ajouter une partie civile(areva,alstom,..?), faut regrouper et grossir pour survivre. Je comprends les manoeuvres de l'état qui poussait au rapprochement ces dernières années, pour peser il faut une pression alternative conséquente pour équilibrer les intérêts et éviter d'être lésés dans EADS si la fusion se fait. Après on peut rechercher des alliances. En sachant que les budgets de la défense vont se réduire considérablement un peu partout, a moins d'avoir de nouvelles guerres.
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http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/air-defense/actu/reuters-00465247-eads-bae-un-probleme-de-politique-interieure-pour-hollande-362300.php Une querelle entre anciens et modernes ?BAE s'opposerait à toute "ingérence politique"Dassault menacé par la future fusion Le projet de rapprochement entre EADS et BAE Systems, qui pose clairement la question de l'implication future de l'Etat français, risque aussi de créer des problèmes de politique intérieure au président François Hollande. Le chef de l'Etat a diverses raisons d'observer une prudente discrétion (voir notamment ), ne serait-ce que pour ne pas prendre le risque de faire capoter ce qui pourrait aboutir à la formation du numéro un de l'aéronautique mondiale. L'extrême sensibilité de la classe politique française aux questions de souveraineté économique en est de toute évidence une, alors qu'il a déjà fort à faire pour éviter que sa majorité s'écharpe sur la ratification du pacte budgétaire européen. "Si à l'occasion de la création de cette holding EADS-BAE se posait la question du retrait de l'Etat d'EADS, alors il y aurait un affrontement au sein du PS, c'est clair", a dit à Reuters l'ancien ministre socialiste de la Défense Paul Quilès. Pour ce proche de l'aile gauche du PS, il est difficile d'imaginer que l'Etat français sorte d'EADS "pour faire plaisir à BAE" - "Si jamais c'était le cas, ce serait une erreur." Le sénateur socialiste et vice-président de la commission de la défense du Sénat Daniel Reiner juge a contrario que maintenir une présence de l'Etat au capital et au conseil d'administration de la future entité n'est pas nécessaire. "L'expérience prouve que si on veut pouvoir exporter à des prix raisonnables, il faut avoir des formes agiles et souples", dit-il. "On ne peut plus avoir les arsenaux du siècle dernier." Un débat entre "anciens", partisans de l'intervention publique, et "modernes", à la fibre plus libérale, traverse aussi le gouvernement, à en croire une source proche du dossier. Il est problable qu'une éviction de l'Etat susciterait également une levée de boucliers à droite, comme en convient le sénateur UMP Jacques Gautier, vice-président de la commission des affaires étrangères et de la défense au Sénat. UNE GOUVERNANCE BOULEVERSÉE "Je pense que certains de nos amis très nationalistes vont camper sur la souveraineté française", a-t-il dit à Reuters. Or il ne fait guère de doute qu'un rapprochement entre le constructeur aéronautique européen et le groupe britannique se soldera par un bouleversement de la gouvernance du premier, ne serait-ce que parce que la part de l'Etat français dans EADS devrait mécaniquement tomber de 15% à environ 9%. Selon le Financial Times, qui cite des sources proches du groupe britannique, BAE a mis en garde EADS contre toute ingérence politique dans la future entité si elle voit le jour et menacé de se retirer des discussions dans le cas contraire. Pour BAE, la fusion éventuelle doit créer "un groupe commercial, avec un conseil d'administration équilibré et libre de toute influence politique", précise le Financial Times. Ce que l'on confirme en France de source industrielle : "Le pacte d'actionnaire (d'EADS) sera caduc", explique-t-on. "Il faudra régler le cas des Etats français et allemands, c'est la plus grosse question. Il faut définir les pouvoirs de l'Etat français. Les droits qu'il a avec les Allemands ce serait fini." Tout en admettant la nécessité de constituer des champions européens compétitifs, toute une frange de la classe politique française ne verrait pas sans douleur se tourner cette page de l'histoire industrielle française et européenne. "S'il n'y avait pas eu à l'origine du côté français une forte implication de l'Etat, on n'aurait peut-être pas d'avions européens aujourd'hui", souligne le député PS Pierre-Alain Muet, qui fut un conseiller du Premier ministre Lionel Jospin à la fin des années 1990 lors de la constitution d'EADS. "Donc il y a une histoire à laquelle nous sommes attachés." Pour Paul Quilès, les temps ont changé depuis qu'il proposait à la fin des années 1990, quand il présidait la commission de la défense de l'Assemblée nationale, une fusion comme celle qui se négocie. QUE FAIRE DE DASSAULT ? L'opération proposée aujourd'hui, dit-il, risque d'être un "marché de dupes" s'il s'agit de permettre à BAE d'accéder aux marchés civils où EADS est fort, en échange d'un accès d'EADS au marché militaire américain. "Compte tenu des règles draconiennes des Américains (...) ça ne sera pas possible", estime-t-il. "Il ne faudrait pas que ce projet, qui avait il y a 15 ans une vraie logique européenne, se traduise par des conséquences qui ne soient pas très bonnes pour l'Europe par rapport aux marchés américains." Et de souhaiter plus de transparence sur les objectifs poursuivis par l'opération en discussion. Si Jacques Gautier se montre plus enthousiaste, il pointe le risque que cette opération se fasse au détriment du "tandem national" Dassault Aviation - Thalès, ce qui ne manquerait pas de susciter des remous politiques en France. "Ça pose un problème au gouvernement qui va devoir faire un choix", souligne-t-il. "Il me semble que si on devait avancer vers cette fusion, cela obligera et Safran et Thalès et certainement Dassault à réfléchir à certains rapprochements." "Dassault a joué la carte du nationalisme. C'est fini", renchérit-on de source industrielle française. Un avis partagé par Daniel Reiner, pour qui il ne sera possible de sortir du dilemme qu'en élargissant l'opération à Thalès et Dassault, voire à l'italien Finmeccanica. "Ça éviterait les luttes fratricides et les querelles sur les marchés à l'exportation", souligne le sénateur socialiste.
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Le projet EADS-BAE rebat les cartes dans la défense en France http://www.latribune.fr/depeches/reuters/le-projet-eads-bae-rebat-les-cartes-dans-la-defense-en-france.html PARIS (Reuters) - Le rapprochement d'EADS et de BAE Systems, s'il se concrétise, va accélérer la mue attendue du secteur de la défense en France. L'alliance apparaît à l'évidence pour ses promoteurs comme une contribution idéale à "l'Europe de la défense" avec l'émergence d'un leader mondial. Elle devrait logiquement être présentée comme telle par les directions des deux groupes début octobre. Les experts interrogés par Reuters notent toutefois qu'elle soulève des préoccupations de souveraineté et de concurrence ainsi que des arbitrages sensibles en matière de programmes, susceptibles d'entraîner d'autres mouvements de consolidation. "Les mathématiques ne prennent pas nécessairement en compte les hommes. On additionne des périmètres et des chiffres d'affaires et on se félicite de ce que le nouvel ensemble sera beaucoup plus gros que Boeing", explique une source industrielle. "Sauf que l'on parle de quatre pays différents au capital de l'entité ainsi constituée (Allemagne, France, Espagne et Royaume-Uni, NDLR), peut-être cinq si l'Italie est amenée à participer ultérieurement. Il y aura des problèmes de souveraineté et de culture d'entreprise, rien ne garantit son efficacité industrielle", ajoute cette source selon laquelle des choix en France vont devoir intervenir rapidement. Les difficultés rencontrées par EADS dans l'assemblage de l'avion de transport militaire A400M sont encore dans les mémoires des états-majors et des gouvernements, contraints de pallier les surcoûts liés aux retards du programme. DRONES ET AVIONS DE COMBAT Le ministre de la Défense du gouvernement Ayrault, Jean-Yves Le Drian, va devoir choisir dans les prochaines semaines les industriels retenus pour la fourniture à l'armée française d'une nouvelle génération de drones (avions sans pilote) de surveillance Male (moyenne altitude longue endurance). Jusqu'ici pressenti pour l'emporter, le tandem Dassault Aviation-BAE Systems attend toujours un contrat ferme. EADS, en compétition avec Dassault et BAE, a renoncé à aller jusqu'au bout du projet en juillet, une décision qui a précipité l'éviction de Stefan Zoller début septembre de la filiale de défense du groupe, Cassidian. Un rapprochement EADS-BAE pourrait changer la donne en incitant la maison mère d'Airbus à tenter de revenir dans la course, un risque majeur pour Dassault Aviation. Les drones revêtent un caractère stratégique. Ils préfigurent les avions de combat de prochaine génération, avec à la clé des marchés estimés à plusieurs milliards d'euros. En Europe, le Rafale de Dassault et l'Eurofighter d'EADS et de BAE Systems se partagent le marché quand ils ne se font pas une concurrence acharnée. Les spécialistes sont unanimes: les gouvernements confieront à un seul industriel la maîtrise d'oeuvre d'un prochain programme. LEGO EADS détient par ailleurs 46% de Dassault Aviation, lequel détient 26% de Thales, société un temps convoitée par EADS. "Il y a clairement un risque de taille", souligne un expert basé à Paris. "Il est probable que des recompositions seront imposées par les autorités de la concurrence à Bruxelles si BAE Systems entre dans le tour de table." Des banquiers d'affaires mentionnent fréquemment une éventuelle fusion entre Thales et Safran comme un objectif à terme pour l'industrie de la défense française, préalable à une vague de concentration paneuropéenne. Les deux entreprises ont annoncé fin 2011 un projet de coentreprise dans l'optronique, bien en deçà d'un schéma d'échange d'actifs ambitieux envisagé pendant plusieurs années par l'Etat, présent au capital de Thales et de Safran. Compte tenu de la diminution des budgets de défense en Europe et aux Etats-Unis, le délégué général de l'armement, Laurent Collet-Billon, avait estimé en février que la consolidation du secteur français de la défense n'en était qu'à ses débuts. Selon lui, l'industrie française doit envisager des restructurations radicales avec des fusions d'entreprises plutôt que des opérations de rapprochement limitées. "Dans un environnement de baisse des budgets, nous estimons qu'il est judicieux de réduire le nombre des acteurs en présence qui offrent les mêmes produits", souligne Neal Dihora, analyste chez Morningstar. Un accord entre EADS et BAE Systems pourrait accélérer la cadence.
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http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20120913trib000719369/la-mega-fusion-eadsbae-systems-fait-hesiter-berlin.html Berlin redouterait une perte d'influence au sein du nouveau géant aéronautique européen issu du rapprochement entre les deux groupes aéronautiques et de défense. La nouvelle d'une possible méga fusion EADS/BAE Systems anime depuis mercredi soir le tarmac berlinois du salon ILA, quelque peu éteint en cette fin d'été, faute d'annonces de gros contrats aéronautiques. A quelques encablures, dans le centre-ville de la capitale, le gouvernement allemand hésite quant à lui sur la position à adopter. Alors qu'il avait prudemment annoncé en début de journée qu'il était informé des négociations et étudiait toutes les questions liées à un tel rapprochement, le gouvernement aurait finalement émis de fortes réserves concernant la méga-fusion, selon l'agence de presse allemande DPA. "Il est douteux que le projet puisse susciter un accord", indiquait à l'agence une source proche du gouvernement. Berlin redouterait notamment une perte d'influence au sein de la nouvelle entité. Les "golden shares" laisseraient notamment le gouvernement sceptique, selon l'agence allemande. Ces actions préférentielles devraient remplacer le pacte d'actionnaires, qui permettait jusqu'ici aux Etats allemand et français de garder la main sur les activités d'EADS. Mais elles pourraient être invalidées par la Commission européenne. Le syndidat IG Metall et le Land de Bavière favorables à l'opération Pour Daimler, actionnaire d'EADS, pas de changement de position : l'industriel allemand cherche toujours à se débarrasser de ses parts du champion aéronautique européen d'ici à la fin de l'année (15 % des actions d'EADS et 22,5 % des droits de vote). La disparition du pacte d'actionnaires permettrait à Daimler de les vendre sur le marché. Pour le syndicat IG Metall, pas de quoi sonner l'alarme : "EADS et BAE travaillent ensemble depuis longtemps, et sont partenaires dans une série de projets comme les avions de combat Eurofighter. Nous n'attendons donc pas de conséquences négatives de cette fusion sur l'emploi en Allemagne", indiquait le représentant du syndicat, Bernhard Stiedl, sur le site internet du journal économique Handelsblatt. Même décontraction pour le ministre de l'Economie du Land de Bavière, Martin Zeil, qui souligne un "processus normal d'une économie de marché ». Le ministre de Bavière, Land qui compte 15.000 employés d'EADS, voit dans cette fusion une opportunité pour les deux groupes de mieux se positionner au sein de la compétition mondiale.
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Il est clair que EADS et BAE sont complémentaire l'un à l'autre. http://www.lemonde.fr/economie/article/2012/09/13/jean-pierre-maulny-une-fusion-entre-eads-et-bae-serait-un-coup-dur-pour-dassault-aviation_1759703_3234.html Pour Jean-Pierre Maulny, directeur adjoint de l'Institut de relations internationales et stratégiques (Iris), think tank influent sur les questions de sécurité, le rapprochement entre le britannique BAE Systems et le franco-allemand EADS pourrait provoquer un big-bang dans le secteur européen de la défense. Le Monde.fr a le plaisir de vous offrir la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr. Profitez de tous les articles réservés du Monde.fr en vous abonnant à partir de 1€ / mois | Découvrez l'édition abonnés Cette fusion vous semble-t-elle pertinente ? Cela faisait des années que EADS cherchait à développer ses activités de défense pour compenser le poids trop important de ses activités civiles, et notamment d'Airbus. Mais il ne pouvait le faire seul, par croissance interne, cela lui aurait coûté trop cher. D'autant que Cassidian, son pôle défense, ne se porte pas très bien. EADS a tenté de se rapprocher de Thalès, mais le principal actionnaire de ce dernier, Dassault Aviation, n'a pas voulu franchir le pas. Pour BAE Systems, l'intérêt est inverse : les Britanniques sont surtout présents dans la défense, ce qui est un risque compte tenu du caractère cyclique de cette activité. Le chiffre d'affaires de BAE a diminué ces dernières années. Se rapprocher d'EADS lui permettra d'équilibrer ses activités. Je remarque que cette fusion a été initiée par les managers des deux groupes, et non par les politiques, ce qui montre bien qu'elle répond avant tout à des considérations industrielles. Quel sera l'impact de cette fusion sur les autres acteurs du secteur de la défense ? On pourrait assister dans les mois et les années qui viennent à une vaste restructuration. Face à des géants comme Boeing ou EADS-BAE Systems, les plus petites sociétés vont avoir du mal à exister . Le français Thalès et l'italien Finmeccanica risquent de se retrouver marginalisés et vont avoir intérêt à se rapprocher . Mais cela ne se fera pas sans mal : Dassault Aviation n'a jamais voulu entendre parler de conglomérat et a, au contraire, toujours voulu rester maître chez lui. N'est-ce pas le français Dassault qui a le plus à perdre avec cette fusion ? Ce rapprochement est un coup dur pour eux. Dassault Aviation travaille avec BAE Systems sur plusieurs programmes importants, notamment celui du futur drone sans pilote, qui est stratégique pour les Européens. Je vois mal comment cette coopération pourrait se poursuivre si le rapprochement avec EADS se confirme. De même, on va sans doute assister à une restructuration dans l'aviation de combat, des bureaux d'études vont fusionner , c'est inéluctable. Dassault Aviation, dont le Rafale est en concurrence avec l'Eurofighter d'EADS-BAE Systems, pourrait se retrouver mis de côté et avoir à assumer seul des coûts de développement très importants.
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Mitt Romney a voulu faire trop vite. Et trop fort. Après les émeutes anti-américaines en Égypte et en Libye mais surtout avant d'apprendre la mort de quatre américains dont l'ambassadeur des États-Unis en Libye, le candidat républicain a qualifié de "honteuse" la première réaction de l'administration Obama. Aujourd'hui, les conséquences de cette déclaration sont désastreuses. http://www.franceinfo.fr/politique/libye-mitt-romney-rate-son-examen-d-entree-sur-la-politique-etrangere-737081-2012-09-13
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Il manque plus que la blonde, =) je ne sais pas si ils oseront un jour, mais j'espère qu'ils feront la version manga du rafale, ca serait cool. edit: Curieux comme news, j'ai quelques doutes vu que ca ne semble pas logique, vu que leur fournisseur est généralement russe, à moins de faire pression pour les prix. http://www.emarrakech.info/Presse-L-Algerie-acheterait-80-chasseurs-francais-Rafale-et-Mirage-2000-9_a63492.html
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C'est possible d'avoir une liste des 22 technologies considérées comme sensible ?
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Devinez quoi, c'est la faute au raffy, j'avais pas osé faire le rapprochement :oops: La victoire du Rafale en Inde, détonateur du big bang de l'industrie de la défense http://www.air-cosmos.com/news/depeches-afp/la-victoire-du-rafale-en-inde-detonateur-du-big-bang-de-l-industrie-de-la-defense.html PARIS, 13 sept 2012 (AFP) C'est la victoire de l'avion de combat Rafale de Dassault, choisi par l'Inde devant l'Eurofighter construit par BAE Systems et EADS, qui a conduit les deux groupes européens à travailler à une fusion qui bouleverserait le monde de la défense, d'après des sources proches du dossier.
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ISRO to launch Indo-French ‘SARAL’ satellite on 12-12-12 http://post.jagran.com/ISRO-to-launch-IndoFrench-SARAL-satellite-on-121212-1347448730 Bangalore: Indo-French satellite "SARAL" would be launched onboard PSLV-C20 from the spaceport of Sriharikota on December 12, this year, Indian Space Research Organisation Chairman K Radhakrishnan said on Wednesday. "PSLV-C20 will be assembled in about 25 days in Sriharikota and the satellite will be launched on December 12, 2012. As somebody said it's 12-12-12 (launch date)," he said at the Bangalore Space Expo 2012 here. Radhakrishnan also said the European space consortium Arianespace would launch India's GSAT-10 communication satellite from Kourou in French Guiana at 2.30 AM (Indian time) on September 22. ISRO officials said SARAL is a small satellite mission with payloads -- Argos and Altika -- from French space agency CNES for study of ocean parameters towards enhancing the understanding of the ocean state conditions which are otherwise not covered by the in-situ measurements. The satellite has been built by ISRO, which would also take care of the launch services. SARAL will provide data products to operational and research user communities, in support of marine meteorology and sea state forecasting; operational oceanography; seasonal forecasting; climate monitoring; ocean, earth system and climate research, the officials said. Referring to the GSAT-10 communication satellite, Radhakrishnan said, "We are going to French Guiana for the launch because the satellite weighs 3.4 tonnes which cannot be lifted by any of our vehicles -- PSLV or GSLV." Officials said GSAT-10 would carry 30 transponders, including 12 in Ku band, along with a GAGAN (GPS Aided GEO Augmented Navigation) payload. GSAT-10 is a Rs 750 crore mission, including launch services cost. GSAT-10, which will have a minimum operational life of 15 years, is envisaged to augment the growing need for transponders and provide communication services and augment the existing ones.
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Fusion EADS/BAE : Lagardère veut étudier "toutes les conditions" http://fr.finance.yahoo.com/actualites/fusion-eads-bae-lagard-veut-060918187.html Le groupe Lagardère a annoncé jeudi 12 septembre qu'il ne donnerait son accord au projet de fusion entre les deux plus grands groupes européens de l'aéronautique et de défense, EADS et BAE Systems, qu'après avoir examiné "toutes les conditions" d'un éventuel rapprochement. Lagardère, qui détient 7,5% du capital d'EADS, rappelle également dans un communiqué "que ce projet n'a pas encore été soumis à l'approbation" des conseils d'administration d'EADS et de Sogeade Gérance, la holding qui représente les intérêts de l'Etat français et de Lagardère dans le groupe EADS. De son côté, le constructeur automobile allemand Daimler, qui détient encore 15% du capital d'EADS et 22,35% des droits de vote, avait indiqué mercredi qu'il prévoyait toujours de réduire cette année sa participation dans EADS. Après des fuites dans la presse, EADS et BAE Systems ont dévoilé mercredi être en discussions en vue d'une fusion qui créerait le numéro 1 mondial de l'aéronautique loin devant l'américain Boeing.
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[SpaceX] Programme Starship et autres innovations
zx a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Engins spatiaux, Espace...
Encore un peu prématuré, il n'a pas encore véritablement commencé la concurrence vis à vis d'ariane. il faudra beaucoup de contrat US pour soutenir le lanceur.- 4 063 réponses
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http://www.aviationweek.com/Article.aspx?id=/article-xml/AW_09_03_2012_p95-490970.xml France's defense equipment agency, DGA, pumps €700 million ($875 million) a year into research and technology (R&T), an investment that aims to lay the groundwork for future capabilities while maintaining industrial independence in key technological areas. Through these investments, DGA seeks to organize industry around R&T projects and promote defense exports in ways industry does not—or cannot—do on its own. By quantifying the value added to specific R&T programs, DGA demonstrates it is more than a transfer agent between government defense spending and French industry. One recent example is DGA's investment in developing a lighter-weight, more cost-efficient version of the M88 engine that powers the air force and naval versions of France's multirole Rafale fighter. Keen to reduce total cost of ownership of the aircraft, DGA tapped M88 contractor Snecma to initiate the engine's third major redesign. Known as the M88-4E, it eventually will replace the M88-2, Snecma's second upgrade, which aimed to reduce maintenance costs by extending time between inspections of key components, such as the compressor and turbine. Offering a low-emission combustor, single-crystal turbine blades and powder metallurgy disks, the M88-2 is designed to reduce Rafale's electromagnetic and infrared signature. Incorporating a modular architecture, the engine can be quickly returned to service after maintenance as modules can be removed for repair or overhaul without grounding the aircraft. The M88-4E will further reduce the aircraft's fuel consumption and augment the lifespan of critical engine parts—in particular the core and afterburner— reducing fuel burn by 2-4%. DGA awarded Snecma a contract in January 2008 for 16 upgraded M88-2 engines, spare parts and repair services. The first ground test of the improved powerplant was performed in September 2009, with a first flight test in March 2010. The agency also invested €100 million in the project's industrial ecosystem through Snecma. “The objective was to improve the overall cost of ownership and maintainability of the Rafale engine,” DGA says. “Today, there is an anticipated gain in cost reduction of 5% and the life of the turbine blades has been increased by more than 50%.”