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New Computer Prepares Super Hornet For Upgrades http://www.aviationweek.com/Article.aspx?id=/article-xml/asd_09_12_2012_p04-01-494206.xml A fourth generation of “mission” computer for the Boeing F/A-18E/F Super Hornet and EA-18G Growler has entered flight testing, paving the way for further capability upgrades including advanced cockpit displays. The Type 4 advanced mission computer (AMC), which helps control the aircraft in combat, completed a 90-min. first flight in a U.S. Navy F/A-18F on Sept. 6 at Naval Air Station China Lake, Calif. A production decision is planned for the first quarter of 2013. Supplied by General Dynamics Advanced Information Systems, the Type 4 AMC adds general-purpose and image processing capacity to support upgrades including large-area touchscreen cockpit displays. Incorporation is planned for 2014, beginning with production Lot 37. So far the Type 4 AMC is planned for only new-production Navy aircraft, “but it will become the baseline for any international offering,” says Kevin Fogarty, Boeing director for F/A-18 and EA-18G mission systems. The new computer has been proposed to Brazil, which has been offered a version of the Super Hornet equipped with the large-area display and associated low-profile head-up display , both to be supplied by Elbit Systems and its Brazilian subsidiary AEL Sistemas. In addition to the advanced crew station, the Type 4 AMC will provide computing capacity for upgrades already planned by the U.S. Navy, including the distributed targeting system (DTS) and infrared search and track (IRST) sensor. DTS produces accurate target coordinates by geo-registering sensor images with an onboard imagery database. The Harris-supplied system is scheduled to achieve initial operational capability (IOC) in January. The Lockheed Martin-supplied IRST is a long-range passive air-to-air sensor mounted in the nose of an underfuselage fuel tank. The system is in development and IOC is scheduled for 2016. Fogarty says the Type 4 AMC is also likely to be used with the Next Generation Jammer (NGJ) planned for the EA-18G.
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Dassault, BAE sont des sociétés très liées à la souverainté, je serais surpris si cela va au bout.
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Frappes sur la Libye, le sujet officiel!
zx a répondu à un(e) sujet de Fenrir dans Politique etrangère / Relations internationales
france info, reportage audio http://www.franceinfo.fr/monde/barack-obama-promet-que-justice-sera-faite-apres-l-attaque-de-benghazi-736423-2012-09-12 -
Ouch ! ca fait du lourd, c'est surprenant pour BAE qui est anglais. mais c'est pas encore fait. EADS et BAE Systems vont créer le numéro un mondial de l'aéronautique-défense http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20120912trib000719167/eads-et-bae-systems-vont-creer-le-numero-un-mondial-de-l-aeronautique-defense.html Les deux groupes vont créer le leader mondial dans le secteur de l'aéronautique et la défense. Pour autant, l'opération est fragilisée par les fuites dans la presse et pourrait ne pas se faire. C'est un coup de tonnerre dans l'industrie aéronautique et de défense... qui va considérablement bouleverser le paysage mondial de ce secteur, en crise en raison de la contraction des budgets de défense. Le groupe européen EADS et son concurrent et partenaire britannique BAE Systems sont en train de discuter d'une "possible" fusion, qui créerait un géant du secteur comparable au mastodonte américain Boeing, selon un communiqué commun des deux groupes. Les deux réunis pourraient atteindre un chiffre d'affaires de près de 72,3 milliards d'euros (chiffres de 2011) avec 220.000 salariés dans le monde tandis que le groupe américain a réalisé l'an dernier 49 milliards d'euros de ventes. Soit une entité 1,5 plus grosse que Boeing. Un deal à 60 % EADS, 40 % BAE Systems Selon les discussions en cours entre les deux groupes, le nouvel ensemble serait détenu à 60 % par les actionnaires d'EADS et à 40 % par ceux de BAE. La France, Allemagne et GB auront une "golden share" dans l'ensemble EADS-BAE. Le groupe européen verserait 200 millions de livres de dividende exceptionnel en cas de fusion avec le groupe britannique. Les deux groupes collaborent déjà dans le programme Eurofighter (avec l'italien Finmeccanica) et sont également actionnaires du missilier MBDA (37,5 % chacun, 25 % Finmeccanica). En cas de réussite de l'opération, le nouveau groupe consoliderait ces actifs en devenant majoritaire. L'opération fragilisée par les fuites dans la presse "Tout accord sur un éventuel rapprochement devra être préalablement approuvé, entre autre, par le conseil d'administration d'EADS. Il n'y a aucune certitude quant à la réalisation de cette opération, et une communication sera faite en temps voulu", a précisé EADS dans un communiqué publié en fin mercredi en fin après-midi. Ainsi, selon nos informations, les discussions ont commencé il y a plus de trois mois environ. Ce qui coïncide avec l'arrivée du nouveau président d'EADS, Tom Enders, qui en trois mois a déjà révolutionné le groupe européen (siège social à Toulouse, chaîne d'assemblage de l'A320 aux Etats-Unis et restructuration de la filiale Cassidian). Pour autant, la fuite dans la presse d'un banquier pourrait, selon des proches du dossier, compromettre toutes les négociations, qui repose sur des équilibres. Déjà en bourse, EADS perd plus de 5 % à 18h00 tandis que BAE Systems gagne 11 %. "Cela pourrait mettre en danger les équilibres discutés", estime-t-on au sein d'EADS. Un groupe révolutionné par Tom Enders En cas de réussite, Tom Enders et son équipe devrait réaliser la "vision 2020" de Louis Gallois, qui préconise un rééquilibrage des activités civiles et militaires, dès 2012. Cette nouvelle entité réaliserait 53 % du chiffre d'affaires dans le civil et 47 % dans le militaire. Ce qui lui permettrait de mieux amortir les cycles de l'aéronautique civile. Ce nouveau groupe sera en outre mondial, et non plus seulement à dominante franco-allemande : BAE Systems est notamment très implanté aux Etats-Unis, Grande-Bretagne, Australie, Inde tandis que EADS est plus présent en Europe, au Moyen-Orient et en Asie. Le nouveau groupe va toucher tous les marchés et tous les pays. "On est toute l'Europe de la défense", indique-t-on chez EADS. En outre, le groupe renforce sa force de frappe par rapport aux groupes américains. Il était déjà capable de rivaliser - il était au deuxième rang mondial derrière Boeing. Mais là clairement, il passe dans un autre monde. Timing gonflé ? Pour autant, le timing est "gonflé" au regard des perspectives des marché de la défense, qui se contractent considérablement. "Il y a des risques. Le Royaume-Uni a annulé des commandes, d'autres pays, dont les Etats-Unis vont suivre. Même si le marché américain de la défense restera toujours le plus gros marché de la planète, rien ne dit que BAE conservera ses parts de marché à l'avenir, d'autant plus si une partie de ses racines sont en France et en Allemagne", explique, à chaud, un analyste. Et d'ajouter : "sur les marchés intérieurs, le risque est en effet de devoir financer la R&D (Recherche et développement) tandis que sur les marchés émergents, le nouveau géant devra composer avec l'agressivité des groupes américains, mais aussi des acteurs locaux. En outre, depuis un à deux ans, BAE Systems est loin de générer le milliard de livres de cash comme il faisait jusque là chaque année. "Beaucoup d'investisseurs qui sont sur EADS ne veulent pas ce scénario", explique un analyste.
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Une petite provoc, on se doute de la réponse outre atlantique Et si Dassault convainquait les Américains d'acheter le Rafale ? Invité de l'université de la Défense à Brest, Charles Edlestenne a souligné que les futurs F-35 américains allaient coûter bien plus cher que le Rafale. Le patron de Dassault invite donc les Américains à acheter français. http://www.challenges.fr/entreprise/20120911.CHA0617/rafale-dassault-reve-vendre-son-avion-de-chasse-a-l-armee-americaine.html C’est l’une des provocations dont Charles Edelstenne a le secret. Un des Scuds que le patron de Dassault Aviation s’emploie à envoyer avec une régularité de montre suisse. Deuxième jour de l’Université de la défense, ce mardi 11 septembre à 9h00 à Brest : un paisible débat s’engage sur la "défense de l’Europe". Industriels, militaires, ambassadeurs, responsables d’agences de défense et d’armement devisent des déboires des programmes européens et américains, notamment le gigantesque programme de chasseur F-35, ou JSF, dans lequel les Etats-Unis avaient réussi à embarquer des pays européens comme le Royaume-Uni, l’Italie, les Pays-Bas ou le Danemark. Charles Edelstenne se lève. Demande le micro. Et se lance dans un pilonnage sans pitié du programme américain, dont le coût total a dérapé de 50% en quelques années, de 1.000 à 1.500 milliards de dollars selon le Pentagone. "Les difficultés actuelles ne sont qu’un début, car la phase de maturation des systèmes sera bien plus complexe. Le coût unitaire a déjà dépassé celui du Rafale, alors que les quantités commandées pour le F-35 sont plus de dix fois plus importantes..." La raison du maintien de ce programme ruineux ? Charles Edelstenne se fend d’un sourire: "Les Américains l’appellent le programme TINA, pour "There is no alternative". Mais si, il y a une alternative : c’est le Rafale, un avion éprouvé techniquement et financièrement." Une boutade qui repose sur une réalité concrète Le message est limpide : si les pays du programme F-35, Etats-Unis compris, venaient à y renoncer, Dassault serait enchanté de placer son Rafale. Même si le constructeur a pris l’habitude de ne livrer que 11 appareils par an à son seul client français : "Si les Etats veulent quelques centaines d’avions, on s’arrangera sans problème", rigole Eric Trappier, directeur international de l’avionneur. Bien sûr, la proposition de Charles Edelstenne relève avant tout de la boutade : on verrait mal Washington et ses alliés renoncer à un programme à 1.450 milliards de dollars (sur la durée de vie des appareils) pour acheter le chasseur français, même si le Rafale coûterait probablement bien moins cher que le F-35. Mais la saillie de ce matin a au moins le mérite de poser clairement les données du problème : malgré des surcoûts phénoménaux, des difficultés techniques énormes sur le moteur F135 de Pratt & Whitney, et des retours industriels qui déçoivent les alliés de Washington, le programme F-35 de Lockheed Martin a bel et bien réussi son objectif stratégique : assécher les budgets de défense de plusieurs Etats européens, grêvés par cet achat, tout en les empêchant d’aller voir la concurrence malgré les retards et les surcoûts du programme. En cette période de rédaction d’un nouveau Livre blanc de la défense, la leçon n’a rien d’anecdotique. L’OTAN, et à travers elle les Etats-Unis, ne cessent de faire pression pour que l’Europe se convertisse au "pooling and sharing" et à la "Smart defense", deux anglicismes en vogue pour définir la mutualisation et le partage entre alliés d’équipements militaires comme les ravitailleurs ou les drones de surveillance. Ce fut l’une des grandes antiennes du sommet de l’OTAN de Chicago. Une stratégie qui pourrait être celle de l’Europe face à l’ogre américain A première vue, l’idée a de quoi séduire des Etats européens en pleine phase de contraction de leurs budgets de défense. Mais le piège est patent : la plupart de ces partages se font, et risquent de toujours se faire, sur des matériels américains. "La Smart Defense est une machine de guerre pour l’industrie américaine, assure ainsi Jean-Louis Carrère, président de la commission Défense du Sénat. L’exemple du F-35 et peut-être bientôt de la défense anti-missiles balistiques [projet de bouclier européen basé sur des radars, des destroyers et des missiles intercepteurs américains, NDLR] montre que c’est leur méthode pour assécher les budgets nationaux et tuer l’industrie européenne de défense." Le tout sans les retours industriels espérés par les clients européens : "Sur le F-35, le retour industriel pour les partenaires, notamment le Royaume-Uni, se mesure au pied à coulisse", pointe le délégué gééral pour l’armement Laurent Collet-Billon. En proposant un mutualisation sur la base du Rafale, Charles Edelstenne esquisse peut-être la stratégie qui pourrait être celle de l’Europe face à l’ogre américain : la mutualisation des équipements, oui, mais en intégrant une dimension de préférence européenne. Reste à savoir si les alliés historiques de Washington en Europe, Londres en tête, l’entendent de cette oreille.
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Plus de F22 si les républicains sont élus ? http://www.defensenews.com/article/20120911/DEFREG02/309110005/Romney-Calls-8216-Second-None-8217-Military-F-22-Vow-Questioned?odyssey=tab|topnews|text|FRONTPAGE
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version en portugais http://exame.abril.com.br/brasil/politica/noticias/brasil-e-franca-discutirao-venda-de-cacas-em-novembro version traduite http://www.systranet.com/fr/turl/?systrangui=www.systran.fr%3B/snetfr/web&systranbanner=1&systranuid=aHR0cC1leGFtZS5hYnJpbC5jb20uYnIvYnJhc2lsL3BvbGl0aWNhL25vdGljaWFzL2JyYXNpbC1lLWZyYW5jYS1kaXNjdXRpcmFvLXZlbmRhLWRlLWNhY2FzLWVtLW5vdmVtYnJvL3B0X2Zy En gros, Le Drian va au Brésil en Novembre pour une série de réunion concernant les accords bilatéraux entre le Brésil et la France. les rafales sont certainement dans le caddie.
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C'est un petit pas pour un homme mais un pas de géant pour l'humanité
zx a répondu à un(e) sujet de zx dans Engins spatiaux, Espace...
un diaporama de air & cosmos, cliquez pour lire le numéro 304 du 26 / 07 / 1969 80 pages pour seulement 3 francs http://www.air-cosmos.com/static/AC1969/index.htm#/1 -
un article intéressant en passant, un peu plus général qui fait le point sur les bataille des appels d'offres coté usa http://ca.news.yahoo.com/u-budget-cuts-sharpen-battle-fighter-jet-exports-051802918.html MMRCA not over yet : Eurofighter chief Casolini http://idrw.org/?p=14013 http://www.flightglobal.com/news/articles/ila-eurofighter-chief-casolini-outlines-priorities-376246/ The four-nation Eurofighter consortium is within weeks of submitting its response to Germany, Italy, Spain and the UK on a package of capability enhancements which could prove pivotal to its success in winning future international deals with the combat aircraft. Almost 340 Eurofighters have been delivered so far to the programme’s launch partners, plus export customers Austria and Saudi Arabia, and the type saw its first combat use in 2011, over Libya. Following a lengthy period of promotion by suppliers, including EADS defence arm Cassidian, a proposal to add new equipment to boost the type’s multi-role credentials finally gained traction at the Farnborough air show in July. To go beyond a Phase 1 Enhancement programme (P1E) already under way, the work will introduce the ability for the Eurofighter to carry new weapons and sensors, with the latter to ultimately include an active electronically scanned array (AESA) radar; a piece of technology increasingly mandated by potential buyers. “At present, we are finalising our response to NETMA [the NATO Eurofighter and Tornado Management Agency] and the nations,” says Eurofighter chief executive Enzo Casolini. “In July, we received the request for quotation and we will answer by the end of October with the target to possibly sign a contract by mid-2013.” Developed from the common requirements of the partner air forces, the multi-phase process will start with an initial release of P1E(a) capability late this year, with full capability for P1E(b) following by the end of 2013. “The further enhancement programme phases are based on a common programme strategy, which includes core customers’ and export customers’ requirements,” Casolini explains. “The most important element of the work is delivering the planned E-Scan capabilities through a common integrated development and implementation programme, whilst enabling cost-effective tailoring to meet specific national operational requirements.” The AESA array should be ready for operational use around 2015. Defeat in India’s medium multi-role combat aircraft (MMRCA) contest by the Dassault Rafale in January was one factor which contributed to the P1E decision, as a Cassidian-led Eurofighter Typhoon bid had been strongly favoured to land the 126-unit deal. Discussions continue between New Delhi and the French supplier over a contract. “We have great respect for the professionalism of the Indian government and the Indian air force in how they conducted the technical MMRCA evaluation,” Casolini says. “However, we still believe that a clarification of our commercial offer would convince the Indian customer of a greater commercial attractiveness of the Eurofighter offer. “Cassidian, BAE Systems and Alenia Aermacchi, alongside the four governments, stand ready to engage in case we should be invited by the Indian government. So far, nothing has been signed. Therefore the deal is not yet done.” As a result, Eurofighter will participate in the Aero India event in Bengaluru in February. “It is an excellent air show, and it will be an opportunity for us to maintain our presence in the country,” Casolini says. “Competition on the global market is very tough, but we are confident that we can clock-in a few more contracts and customers because we have an excellent product,” he notes. Eurofighter now has sales campaigns running in nations including Bulgaria, Kuwait, Malaysia, Qatar, Romania, South Korea and the United Arab Emirates, while the UK is also close to finalising a government-to-government deal to supply 12 Typhoons to Oman. “The worldwide market potential for next-generation combat aircraft is approximately 800 aircraft in the next 20 years, and we expect to gain about 25% market share.” Describing the Typhoon as “a powerful and reliable swing-role combat aircraft”, he adds: “Eurofighter is proven in global operations and international co-development and trusted to deliver performance as well as political and industrial partnership.” With budgets tight among its home customers, earlier this year Eurofighter agreed to reduce its high delivery rate for the type through its completion of 112 Tranche 3A production examples. Asked whether he believes Germany, Italy, Spain and the UK will follow this with an originally planned Tranche 3B deal under a background of tight fiscal constraints, Casolini says the consortium has time on its side. “Current production of the Eurofighter is secured until the end of 2017, and the deadline to the Tranche 3B contract signing has been moved to December 2013 thanks to the slowdown. Any speculations before that deadline would be inappropriate,” he adds.
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un F15 silent eagle avec aesa, ca doit faire encore mal même contre un eurofighter ou un rafale. ca doit être un gros client. est ce qu'il eu des affrontements entre F15 et eurofighter/rafale ?
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rafalenews, reprend l'info, mas avec un truc que je ne savais pas, ils vont commandés 2 raffy prod ? http://rafalenews.blogspot.fr/2012/09/mmrca-contract-for-126-rafale-to-be.html http://www.flightglobal.com/news/articles/hal-to-invest-in-mmrca-production-facilities-372826/
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Guerre civile en Syrie
zx a répondu à un(e) sujet de maminowski dans Politique etrangère / Relations internationales
http://www.lepoint.fr/monde/syrie-nouvelle-dispute-entre-russes-et-americains-sur-la-guerre-09-09-2012-1504300_24.php Russes et Américains ont étalé de nouveau au grand jour dimanche leurs divergences sur la guerre en Syrie, le jour même où le médiateur international Lakhdar Brahimi est attendu au Caire pour sa première mission depuis son entrée en fonctions. Sur le terrain, les forces du régime de Bachar al-Assad, appuyées par des chars, bombardaient sur plusieurs fronts les localités où sont retranchés les rebelles qui continuent d'opposer une forte résistance malgré des revers, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). La dispute entre la Russie, allié de poids de Damas, et les Etats-Unis qui réclament le départ de M. Assad, survient alors que M. Brahimi a jugé "indispensable" le soutien de la communauté internationale pour trouver une solution à la crise qui entre le 15 septembre dans son 19e mois. Le médiateur de l'ONU et de la Ligue arabe, qui a pris officiellement ses fonctions le 1er septembre, était attendu dimanche soir au Caire mais n'entamera ses entretiens que lundi matin avec le chef de la Ligue arabe Nabil al-Arabi, selon une source à l'organisation. Il prévoit de se rendre aussi à Damas après que "les derniers détails de cette visite auront été finalisés", selon son porte-parole. M. Brahimi a remplacé Kofi Annan qui a démissionné le 2 août en admettant l'échec de ses efforts et en l'attribuant à un manque de soutien des grandes puissances. Il s'est également entretenu au téléphone avec le ministre iranien des Affaires étrangères, Ali Akbar Salehi, et envisage de se rendre à Téhéran, allié clé de Damas dans la région, après son déplacement en Syrie, selon l'adjoint du ministre iranien. Les divergences russo-américaines bloquent les efforts internationaux pour un règlement du conflit, déclenché en mars 2011 par un mouvement de contestation pacifique qui s'est militarisé face à la répression menée par le régime décidé à en finir avec une rébellion qu'il assimile à du "terrorisme". La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a jugé insuffisante une résolution au Conseil de sécurité de l'ONU, préconisée par Moscou qui veut pousser cette instance à adopter un accord conclu en juin à Genève sur une transition politique en Syrie mais qui n'appelle pas au départ de M. Assad. "Conséquences en cas de non-respect" Mme Clinton a ajouté que si les différends persistent avec Moscou, les Etats-Unis "oeuvrerons avec des Etats partageant le même point de vue pour soutenir l'opposition syrienne afin de hâter le jour où Assad tombera (...)". Les alliés européens des Etats-Unis ont de leur côté évoqué samedi de nouvelles sanctions contre Damas. Pendant ce temps, les combats entre soldats et rebelles et les bombardements des troupes faisaient rage à Alep (nord), Deraa (sud), Idleb (nord-ouest), Deir Ezzor (est) et dans la province de Damas, selon des militants. A Alep, des tirs sporadiques, à l'arme légère et à l'artillerie, étaient entendus par des journalistes de l'AFP dans plusieurs quartiers et les survols persistants de jets de combats vident les rues. Deux immeubles civils d'habitation ont été entièrement détruits par un bombardement aérien samedi après-midi dans le quartier de l'hôpital Al Shifa, en zone rebelle et selon les registres de l'hôpital, occupé en partie par des combattants de l'ASL, ces frappes ont fait 22 morts, tous civils. "Tout ce dont nous avons besoin, c'est de quoi descendre ces avions. Imposez une zone d'exclusion aérienne ou donnez nous de quoi abattre les avions. Et dans un mois Bachar est fini!", lance près de l'hôpital un combattant rebelle, Omar Abdoul Farouk, 26 ans, aux journalistes occidentaux. Samedi, l'armée appuyée par des chars et des hélicoptères, avait repoussé après 20 heures de combats une attaque des rebelles contre une caserne --et son importante armurerie-- dans le secteur de Hanano à Alep, où ils cherchaient à mettre la main sur des armes. "La caserne Hanano a résisté aux plans des groupes armés pour la contrôler, elle est restée aux mains de l'armée", a affirmé le journal al-Watan proche du pouvoir. Mais selon des témoins sur place, la caserne n'est pas entièrement contrôlée par l'armée. Plusieurs chefs d'unités rebelles interrogés dimanche par l'AFP à Alep ont assuré y avoir récupéré des centaines d'armes légères et de nombreuses caisses de munitions, dans la nuit de vendredi à samedi. Les violences ont fait 54 morts à travers le pays, en majorité des civils, selon un bilan provisoire de l'OSDH. Un réalisateur syrien de 34 ans Tamer al-Awam a été tué à Alep, a annoncé dimanche le Conseil national syrien (CNS), qui regroupe la majorité de l'opposition, sans préciser la date de sa mort. Selon le CNS il avait quitté l'Allemagne où il résidait pour se joindre aux "médias de la révolution". Depuis le début du conflit, plus de 27.000 personnes ont été tuées selon l'OSDH. De plus, des centaines de milliers de Syriens ont fui le pays pour se réfugier dans les pays voisins alors que 1,2 million de Syriens ont besoin d'aide à l'intérieur du pays -
[Irak] passé, présent, avenir
zx a répondu à un(e) sujet de roland dans Politique etrangère / Relations internationales
bizarre un rapport avec Total et l'histoire du contrat de pétrole Kurde, cela avait beaucoup déplu récemment ? Une des attaques s'est produite devant le bâtiment abritant le consulat de France. http://www.lepoint.fr/monde/vague-d-attentats-en-irak-le-consulat-de-france-vise-09-09-2012-1504160_24.php -
tiens ! EADS a énervé l'Inde http://odinflight.odinenglish.odin.com.pt/?p=305&utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=indian-mrtt-tender-delayed-again India’s Ministry of Defence (MoD) has deferred the opening of commercial bids in the USD2 billion procurement of six aircraft for its Multi Role Tanker Transport (MRTT) requirement. EADS is offering its Airbus Military A330 MRTT, while Russia’s Rosoboronexport is offering the Ilyushin Il-78
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http://psk.blog.24heures.ch/ En 2010 le constructeur suédois créa la surprise avec le lancement du projet «Sea Gripen» soi, une version navalisée de son Gripen E Next Generation. Le projet se trouvait depuis à l’étude, celle-ci se trouve maintenant terminée. Rapport de faisabilité : Navalisé une version rapports d’un avion de combat pose énormément de problèmes et rien n’est gagné d’avance. Ces dernier jours, Saab a informé que les études de faisabilité et de conception pour l’adaptation de sa version Gripen NG était compatible avec un porte-avions. Tony Ogilvy, directeur général et chef du Centre de Saab aéronautique au Royaume-Uni pour le Design Gripen naval , déclare : « après des années de conception préliminaire et de pré-faisabilité de travail, les plans pour une version opérateur sur la base de la plate-forme du Gripen NG sont maintenant terminé. Ce travail mené à bien par une équipe de d’ ingénieurs suédois et britanniques s’est terminé à la fin de Août». «Notre travail consistait à prendre la conception à un point où nous pouvons dire « oui, Saab peut construire une variante marine », et nous y sommes parvenus" a-t-il dit. Le Gripen besoin d'un certain nombre de modifications pour le rendre compatible avec un porte-avions selon Saab. Ceci, inclus train un d'atterrissage renforcé, une crosse d'arrêt, un mécanisme de fixation pour l'avion pour permettre le catapultage, ainsi que de s'assurer que l'aéronef est optimiser pour éviter l'érosion due à l'eau salée. Selon Saab, le «Sea Gripen» sera configuré pour fonctionner à la fois CATOBAR (catapulte assisté au décollage, mais la reprise arrêtés) et STOBAR (décollage court, mais avec récupération arrêtés). Les clients potentiels sont notamment l'Inde mais surtout le Brésil avec qui le constructeur suédois travail,non seulement sur la version «Sea» mais également le Gripen E. Concernant l’Inde, Saab a répondu à une demande d'information de l'Inde en 2009, et rester en contact avec le personnel de la marine indienne à Delhi et Goa. Notons au passage que la Thaïlande semble intéressée par la version navale
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on voit que ca stresse pas mal, jusqu'au déploiement du satellite, ca rigole pas. edit: un blog intéressant sur le programme http://regard-sur-la-terre.over-blog.com/article-en-inde-lancement-imminent-du-satellite-spot-6-par-la-fusee-pslv-c21-109879682.html
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cela reste l'avis d'un militaire, pas des décideurs, on est certainement à mi chemin.
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Gné ! ca me parait bien tôt mais ca pousse, affaire à suivre. http://www.mbctv.co.in/viewnews.php?news_id=12368 edit: un autre lien (The Economic Time) http://economictimes.indiatimes.com/news/politics/nation/india-to-ink-11-billion-mmrca-deal-with-rafale-by-next-month-indian-air-force-official/articleshow/16312213.cms Bangalore, Sept 8 (PTI): India plans to sign the USD 11 billion MMRCA(Medium Multi-Role Combat Aircraft) deal with French Rafale by the end of this month-end or next month, a senior Indian Air Force official said today. "I find no reason why it shouldn't be signed by the end of this month or next month", Air Officer Commanding-in-Chief, Training Command, IAF, Air Marshal Rajinder Singh told PTI here. He indicated that negotiations are currently on with regard to pricing for the 126-aircraft deal. "There is money....this thing here and there (pricing being finalised)". The Air Marshal admitted to "some problems" (on pricing) but asserted that it's not unusual in such big deals. "It should come through", he said, adding that the first aircraft under the MMRCA deal would start "flowing in" in 2017. The Air Marshal dismissed reports quoting Russian and German officials who had claimed that the deal is not final yet and that it's still up in the air. "Nothing of that sort", he said, pointing out India had already declared the lowest bidder -- Rafale -- for the MMRCA deal. Vyacheskav Dzirkaln, Deputy Director of Russia's Federal Service for Military Technical Cooperation,was recently quoted as saying:"I wouldn't say that MMRCA tender is a closed issue. We have information that the tender is still up in the air". The deputy chief of the ruling CDU-led coalition's parliamentary committee in Bundestag (lower house of German Parliament) for foreign and defence affairs, Andreas Schockenhoff, reportedly said recently the last word had not yet been heard on the MMRCA deal. Russia's MiG-35 did not make it to the MMRCA shortlist, which also included Eurofighter Typhoon,designed by a European consortium in which Germany is a part, besides Rafale. Speaking to reporters on the sidelines of an Indian Airforce Exhibition here on the occasion of IAF's 80th anniversary celebration, the Air Marshal said India would have one of the most modern airforces of the world in the next three-four years, as he touched upon recent contracts on acquisition of aircraft, weapon platforms, systems and radars, among others, for IAF. "By 2017, you will have (in IAF) the most modern Air Force in the world", he said. The Air Marshal said as the demand would increase for personnel to manage military hardware, the number of cadets being trained at Air Force Academy at any point of time is planned to be tripled in the next seven years. Asked about steps being taken to attract more people to opt for a career in IAF, he said: "It's not the number that we are not getting; it's the quality we are not getting". "It's obvious that in the civil field, money is more, freedom is much more; so one likes to stick on (there)", he said, but added that people who come to know about IAF realise that it (IAF) is a way of life. "I don't think you can have a better life in any other system".
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La Chine tire le signal d'alarme sur l'état de l'économie http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20120908trib000718394/la-chine-tire-le-signal-d-alarme-sur-l-etat-de-l-economie.html
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ils ont une webcam tv, bien ! argh ! ca parle en Hindi, j'espère qu'ils passeront en anglais, je regarderai les images =).
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On the same frequency http://www.thehindu.com/todays-paper/tp-miscellaneous/article3864147.ece Defence public sector unit Bharat Electronics Limited (BEL) and French security solutions company Thales have announced a joint venture to manufacture civilian and defence radars. Manufacturing operations are expected to begin over the next one and a half years. This decision of the directors of both the companies, however, is subject to mandatory approvals from both the Indian and French governments. The companies had signed a memorandum of understanding (MoU) to the effect about three years ago on November 17, 2009. “The joint venture company will focus on the design, development, marketing, supply and support of civilian and select defence radars for Indian and global markets,” BEL sources said. The defence PSU has been a major player in the electronics field in India — manufacturing radars for military purposes. The parent companies aim to make the joint venture company a centre of excellence with the ability to offer solutions specifically aimed at meeting the needs of both Indian and global customers. Thales is most likely to tap its offsets commitment with this venture, according to defence experts. In accordance with Indian regulations, Thales will be able to hold only 26 per cent equity — the maximum allowed holding by any foreign company in the defence sector, while Bharat Electronics will hold the remaining 74 per cent. The venture will make BEL part of the global supply chain for Thales. Under earlier licence deals with the French company, BEL had built the Thales LW04, DA08 and ZW06 naval radars. Thales is expected to provide its expertise in system engineering, integration and testing, along with some technology transfer. Thales had recently demonstrated its capabilities in air defence solutions, force protection, missile systems and rocket systems, including a mobile ground C4I system for complete airspace surveillance and its mobile short-range air defence system in India. The company had recently won a contract to upgrade 49 Mirage 2000s of the Indian Air Force (of which two were lost recently) to bring them to the full Mirage 2000v5 Mk 2 standards. The deal includes RDY-3 radar with greater air-to-air and air-to-ground capability, a new night-vision-compatible all-digital cockpit and improved electronic warfare systems. India’s defence procurement process requires offsets of at least 30 per cent, and it is likely that the joint venture might also satisfy offsets associated with India’s selection of the Dassault Rafale for its medium multi-role combat aircraft (MMRCA) requirement for 126 fighters. Thales is a partner in the Rafale programme. Work on the Mirage upgrades will be performed by Dassault, manufacturer of the aircraft, along with Thales as weapons systems integrator, MBDA as missile supplier and India’s Hindustan Aeronautics Limited (HAL). Thales is a global technology leader for the defence and security and the aerospace and transport markets. In 2011, the company generated revenues of €13 billion (equivalent of $18.2 billion) with 67,000 employees in more than 56 countries. The company designs, develops and deploys equipment, systems and services that meet the most complex security requirements. BEL was established in Bangalore in 1954 to meet the specialised electronic needs of the Indian defence services. It offers products and services in a wide spectrum of technology like radars, military communications, naval systems and electronic warfare systems among others. Public sector BEL and France’s Thales to jointly design and manufacture both civilian and military radars in India
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Virgin Galactic - Space ship two - roll out
zx a répondu à un(e) sujet de zx dans Engins spatiaux, Espace...
Après bien des problèmes, visiblement, ils prévoient de faire un vol test atmosphérique avec leur réacteur à la fin de l'année, puis un vol expérimental en mai 2013. http://www.aviationweek.com/Article.aspx?id=/article-xml/asd_09_05_2012_p04-01-492113.xml -
Risque de récession en France et en Allemagne http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2012/09/06/20002-20120906ARTFIG00464-l-ocde-prevoit-une-recession-en-france-et-en-allemagne.php