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http://www.defensenews.com/story.php?i=8390393&c=AIR&s=EUR PARIS - Germany's junior defense minister is calling for France and Germany to cooperate on a common UAV program rather than pursue competing projects, business daily La Tribune reported Nov. 28. Asked in an interview on what programs France and Germany should collaborate, Stéphane Beelemans said: "Drones, for example. The projects being studied in France and Germany reflect a split from the past. "And I say it clearly in France and Germany to our companies. I don't believe in two projects of this scale at the European level. And I find it hard to believe there is the political will to realize two competing projects. There is enough political will to do a common project," he said, according to the paper. There was no sense in having two different kinds of equipment, for reasons of interoperability, maintenance, use and budgets, he said. The competing projects are the next-generation medium-altitude, long-endurance (MALE) Talarion advanced UAV, proposed by EADS to France, Germany and Spain; and the Telemos air vehicle from BAE Systems and Dassault, pitched to Britain and France. EADS seeks a place at the top table in the Telemos project alongside BAE and Dassault, but Dassault will only consider a junior subcontractor role for the pan-European company, retaining leadership firmly in the hands of the Anglo-French team. France, Germany and Spain paid for a 60 million euro ($79.5 million) risk-reduction study for the advanced UAV, but EADS has been unable to convert that into a development and production contract. Work on a next-generation MALE drone is seen as vital to maintaining a design engineering capability in Europe's military aircraft sector in the absence of development for a manned jet fighter. The Anglo-French military cooperation treaty calls for joint work on a new-generation MALE surveillance UAV, and collaboration on an unmanned combat aerial vehicle.
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http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20111128trib000667230/d-ici-dix-jours-le-triple-a-francais-risque-de-se-retrouver-sous-perspective-negative.html Selon plusieurs sources contactées par La Tribune, l'agence de notation Standard & Poor's pourrait préparer la France à la perte de son "triple A". Nouvelle rumeur de marché, pour faire décaler les taux avant la dernière adjudication d'obligations OAT de l'année, ce jeudi ? Ou bien préparation des esprits à l'inéluctable ? Selon plusieurs sources concordantes, Standard & Poor's (S&P) pourrait bien annoncer "sous peu" le placement de la note AAA de la France sous "perspective négative". Ce serait la première étape avant l'abaissement de cette note, la plus haute, dont jouit l'Hexagone. "Cela pourrait intervenir sous une semaine, ou peut-être dix jours", affirme une source diplomatique, qui ajoute qu'il y aurait actuellement une intense réflexion en ce sens au sein de l'agence. Menaces des autres agences Une autre source glisse même que cette annonce aurait dû être rendue publique dès vendredi, mais que, pour des raisons inconnues, elle a été repoussée. Voici dix jours, S&P avait "par erreur" annoncé la dégradation de la France. Peu après, elle avait confirmé la note du pays ainsi que sa "perspective stable". Mais, depuis plusieurs semaines, la notation française est sous pression. Le ralentissement économique rend en effet moins crédibles les objectifs de réduction des déficits affichés par Paris. Fin octobre, Moody's avait prévenu qu'elle se donnait trois mois pour examiner si elle devait placer sous surveillance négative la note française. Pour éviter qu'une éventuelle perspective négative ne se traduise par une perte du triple A, deux possibilités. Soit la conjoncture s'améliore, ce qui est peu probable début 2012 d'après les chiffres de l'OCDE parus ce lundi. Soit le gouvernement accepte de se lancer dans un troisième plan de rigueur, ce qu'a toujours exclu jusqu'à présent Valérie Précresse, ministre du budget. Capacité d'emprunt du Fonds européen réduite De son côté, Fitch a mis en avant les "risques" pesant sur le AAA français qu'il a néanmoins réaffirmé. Si la France venait à perdre son triple A, le Fonds européen de stabilité financière (FESF) verrait alors sa capacité d'emprunt considérablement réduite. La "force de frappe" du FESF serait incapable de répondre aux attaques des marchés contre l'Italie et contre l'Espagne. "Si le patron du FESF, Klaus Regling, annonce mardi à l'Eurogroupe que l'effet de levier du fonds n'atteindra pas les 4 à 5, comme prévu, la Banque centrale européenne restera la seule option crédible", conclut cette source diplomatique, qui ajoute que la menace de dégradation de la France, "surtout avant le Conseil européen dudu 9 décembre, mettrait une pression massive sur Angela Merkel concernant l'implication de la BCE".
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http://www.lesechos.fr/investisseurs/actualites-boursieres/reuters_00403252-defense-dassault-defend-son-projet-de-drones-255254.php Serge Dassault, le PDG du Groupe Dassault, a défendu lundi son projet de drone fabriqué en coopération avec la société israélienne Israel Aerospace Industries (IAI), alors que le budget de la défense de 2012 doit être examiné dans la soirée au Sénat. La commission de la Défense du Sénat a voté mercredi dernier un amendement réduisant les crédits alloués à ce programme, remettant ainsi en cause la décision du gouvernement qui, en juillet dernier, confiait à Dassault Aviation la fabrication des drones pour les besoins à moyen terme de l'armée française. Cette commission a alloué 208 millions d'euros à l'acquisition de sept drones américains, Reaper Bloc 5, fabriqués par General Atomics, au lieu des 318 millions qui étaient prévus pour les drones Heron du tandem Dassault-IAI. "Si on achète un drone americain, c'est foutu (...) on ne vendra plus et on ne fabriquera plus de drone français, ce qui fait qu'on augmentera le chômage et qu'on reduira les exportations. Si c'est ça qu'on veut, je ne comprends pas", a déclaré Serge Dassault à Public Sénat dans une interview télévisée. "Si le credit francais est fait pour developper l'industrie americaine, ca ne va plus", a ajouté le patron, dont le holding Dassault détient une participation majoritaire dans Dassault Aviation. Outre le prix, le délai de fabrication des drones et des critères de performance ont été évoqués par la Commission, qui a également décidé de consacrer 29 millions d'euros pour prolonger le contrat de maintenance des drones Harfang, fabriqués par IAI mais adaptés par EADS, dont l'armée française dispose aujourd'hui. Les Reaper, eux, devraient être prêts en 2015. Le ministère de la Défense avait annoncé en juillet l'ouverture de négociations avec Dassault Aviation pour la fourniture d'un nouveau système de drones à l'armée française à partir de 2014, ce qui paraissait alors éloigner le spectre d'un achat de drones américains. (voir ) Dassault Aviation proposait alors une version francisée et évolutive du drone Heron TP en coopération avec la société israélienne IAI. Le choix de ce tandem avait été présenté par le ministre de la Défense Gérard Longuet comme une solution visant à préparer la livraison, dans un second temps, de drones franco-britanniques, dans le cadre d'un accord de coopération signé entre les deux pays en novembre 2010. Des critères de préservation de l'emploi et de savoir-faire dans l'Hexagone avaient été cités pour justifier la décision du gouvernement. Ces arguments, avancés également par Serge Dassault, ont été critiqués mercredi dernier lors de l'examen par la Commission.
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Le Mindef/Minarm - Successeurs - Nomination - bilan et actions
zx a répondu à un(e) sujet de zx dans Economie et défense
:oops: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: http://www.rue89.com/2011/11/28/herve-morin-patrick-cohen-vous-dites-nimporte-quoi-3fois-226983 http://www.dailymotion.com/video/xmm9d0_herve-morin_news?start=248#from=embed -
A pleurer ! les boules :'( J'aime bien la fin, rafale en tête pour ses qualités opérationnelle, les pilotes préfère le rafale, mais c'est les politiciens qui décident. on se récupère un peu.
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Effectivement, c'est un autre son de cloche, merci Grabber56.
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Europe de la Défense ?
zx a répondu à un(e) sujet de samson dans Politique etrangère / Relations internationales
http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20111127trib000666908/il-faut-reconcevoir-le-marche-europeen-de-la-defense.html Le secrétaire d'Etat allemand à la Défense Stéphane Beemelmans souhaite relancer la coopération dans le domaine de la défense entre la France et l'Allemagne. A commencer par les drones, qui ont divisé Paris et Berlin. Il plaide aujourd'hui pour un projet unique. La défense allemande participe-t-elle à la rigueur budgétaire ? Le ministère de la défense participe à l'effort de consolidation budgétaire comme prévu en 2010 au plus fort de la crise. Néanmoins, nous avons réussi à réduire de 4 milliards d'euros l'effort d'économie qui avait été initialement prévu de 8,5 milliards d'euros d'ici à la fin 2015. Cela signifie que le gouvernement nous a « rendu » un milliard d'euros par an dans le cadre de la restructuration de la Bundeswehr et donc que les économies réclamées à notre ministère ont été réduites de près de moitié. Cela nous aide beaucoup et je le perçois comme un élément positif. Y voyez-vous le signe que le gouvernement fédéral veut « préserver » le budget de la défense ? Ce serait exagéré de l'affirmer, car nous continuons à participer à l'effort de consolidation. Néanmoins le gouvernement a pris conscience que la restructuration demandée exigeait un effort supplémentaire. Et je crois que la solution qui a été trouvée permettra que tout le monde en profite. En quel sens ? Concrètement, le personnel civil en surplus dans notre ministère est transféré dans une section du budget spécifique, gérée par le ministère des Finances, concernant entre autres des responsabilités du gouvernement entier, tout en nous laissant les frais du personnel. Les administrations qui ont alors besoin de personnel doivent d’abord utiliser ces personnes. Leur salaire, pris en charge des 2012 par les Finances, est ensuite transféré au budget de l'administration concernée. Auparavant, on payait souvent deux fois les personnels, parce que les autres ministères ne voulaient pas de nos personnels et embauchaient de nouveaux effectifs. Cette fois, ils doivent utiliser nos personnels, ce qui est un succès. Nous comptons entre autres par ce moyen pouvoir ramener le nombre d'employés civils de 100.000 à 58.000 d'ici quatre ans. Et pour le personnel militaire ? Nous souhaitons passer de 220.000 hommes actuellement à 185.000 hommes au plus au 1er janvier 2016. Il devrait y avoir 170.000 soldats d'active et entre 5.000 et 15.000 « volontaires » qui effectueront un service compris entre 6 et 23 mois. Pour cela, il faudra réduire le nombre de soldats d'active, sans doute de 6.000. Nous travaillons à un projet de loi pour prendre des mesures de préretraites. Notre priorité est de les faire passer néanmoins dans l'administration, de la Bundeswehr ou d´autres ministères. Nous agirons sans doute au cas par cas. La bonne situation du marché de l'emploi en Allemagne devrait nous aider à reclasser nombre de soldats, notamment ceux installés dans le sud de l'Allemagne, où les ingénieurs et les spécialistes de l'aéronautique sont très recherchés. Beaucoup de nos pilotes qui devront quitter l'armée parce qu'il y a moins d'avions à piloter pourront aussi rejoindre des compagnies comme Lufthansa ou Air Berlin. Envisagez-vous des accords avec ces entreprises ? Il n'y aura pas d'accord global, parce que l'accord se fait avec nos employés. En revanche, si ceux-ci ont besoin d'une formation, par exemple pour permettre à un pilote militaire de devenir pilote civil, nous pouvons réfléchir à la payer. Mais nous ne subventionnerons pas les entreprises privées pour reclasser nos militaires. La réduction du format de l'armée entraîne-t-elle une réduction des matériels employés dans l'armée ? Nous avons arrêté une liste des gros matériels (chars, avions, hélicoptères, navires etc.) dont il faut réduire le nombre. Nous l'avons fait en fonction des besoins de la Bundeswehr dans son nouveau format. Concrètement ? Nous avons étudié quatre cas de figure. Premièrement, l'armée a actuellement trop de matériel par rapport à ses besoins. C'est le cas des chars de combat Leopard qui vont passer de 305 à 225 exemplaires dans l'armée. Nous réfléchissons à la vente de ces 80 chars Leopard, dont nous allons économiser la maintenance. Deuxièmement : nous avons commandé plus que ce dont nous avons besoin. Nous discutons avec les entreprises concernées pour réduire la commande. J'ai commencé ces discussions avec deux grosses entreprises cette semaine. C'est aussi le cas d'Eurocopter par exemple : nous allons passer de 120 hélicoptères de transport NH90 à 80 et de 80 hélicoptères de combat Tigre à 40. Troisièmement : nous n'avons pas passé de commande mais nous avons toujours dit que nous en passerions d'autres. C'est le cas du programme Eurofighter, qui a été divisé en tranches. Nous ne voulons plus de la tranche 3B dont la commande devait être passée ultérieurement. Enfin, quatrièmement : nous voulons commander de nouveaux matériels nécessaires à notre armée. C'est le cas de bâtiments BPC comme le Mistral que vous avez en France. Il existe une volonté politique de commander ce type de matériel en fonction de nos capacité budgétaires. Nous n'avons pas encore engagé de discussions avec les industriels là-dessus. L'A400M ? Il n'y a pas de changement pour l'A400M. On en prend 53 exemplaires, on en gardera 40. Nous discutons avec Airbus Military pour savoir comment revendre les 13 en surplus. Et le système de défense aérienne MEADS est-il abandonné ? C'est clair depuis le traité de coalition que nous finissons le développement de ce système avec nos partenaires, sans toutefois le procurer à l’avenir. Quelles économies visez-vous ? Le ministre de la Défense a déjà fait deux réunions avec les industriels où il a posé les règles du jeu. A partir de cette semaine, je commence les négociations avec les industriels dans le but d'arriver à des accords avec chacune des entreprises concernées. Au total, nous allons analyser 800 contrats - petits et grands programmes -. Tant que les négociations ne sont pas achevées, je ne peux pas vous dire quelle sera le montant des économies. Si Eurocopter me dit que je peux avoir 80 NH90 pour le prix de 120, je leur dirai que je préfère 120. Et je revend les 40 que j'aurais en trop. Ce que nous voulons, c'est regagner de la flexibilité que nous n'avons pas sur les grands contrats, notamment dans le domaine aéronautique. Nous voulons gagner cette souplesse pour réinvestir dans de nouveaux matériels et maintenir un haut niveau de maintenance de ces matériels. Il ne s'agit donc pas d'une réduction de notre investissement, mais plutôt d'un recalibrage en fonction des nouveaux besoins de l'armée. L'Allemagne semble encore, malgré sa puissance économique, en retrait sur le plan diplomatique et militaire. Est-elle encore soumise au poids du passé ? Moins qu'un poids, c'est une leçon. L'Allemagne a vocation à ne pas faire la guerre. Si nous participons à un conflit, ce n'est jamais seuls, mais toujours dans un cadre collectif. C'est pourquoi nous n’ agissons pas sans une légitimation que seules l'OTAN, l'ONU et l'Union européenne peuvent nous fournir. Ensuite, nous voulons décider de participer ou non aux opérations, justement en raison de notre réticence à participer à une guerre. Voilà pourquoi nous avons des réserves concernant l'emploi de la force militaire. Jusqu'en 1990, il était clair que s'il y avait un conflit en Europe, il convenait de se défendre et, dans ce cas, la participation avec tous les alliés allait de soi. Depuis que les risques d'un conflit sur notre sol sont quasiment réduits à néant et que l'on se découvre des enjeux stratégiques nouveaux, il faut redéfinir notre rôle à chaque fois. Cela est nouveau pour l'Allemagne qui, à la différence des autres grands pays, n'était pas, jusqu'ici concernée par les conflits hors de l'Europe. C'est pourquoi la réflexion est toujours forte en Allemagne sur l'emploi de la force militaire. D'autant que le Bundestag a toujours son mot à dire avant l'usage de cette force. C'est là une différence majeure avec la France. Néanmoins, dans le cas de la Libye, on a vu l'Europe agir de façon dispersée. On est encore loin d'une politique de défense européenne. Nous pouvons vouloir, nous devons vouloir et nous voulons une politique de défense européenne. La France a toujours affirmé qu'une telle politique n'excluait pas une politique propre. L'Allemagne a toujours cherché à s'inclure dans une logique multinationale. Passer par la politique de défense européenne ou passer par l'OTAN signifie qu'on accepte de se mettre d'accord au préalable. Il faut donc en passer par une culture du débat qui est peu compatible avec la rapidité. Faire l'unanimité est plus difficile qu'avant la chute du mur où, le jour du « grand soir », cette unanimité allait de soi. Il faut créer cette unanimité et c'est, au sein de l´Union européenne comme au sein de l'OTAN, délicat car les sensibilités sont différentes. Les enjeux stratégiques sont aussi beaucoup moins clairs aujourd’hui: certains peuvent être intéressés à certains enjeux, d'autres beaucoup moins. Comment concevez-vous la place de la politique européenne commune ? Comme complémentaire de celle de l'OTAN. Pas comme un contre-projet à l'OTAN. Vouloir contrecarrer l'OTAN par une politique européenne est inutile. L'exemple du Kosovo où l'on a vu les deux ensembles cohabiter difficilement montre que l’on y est voué a l’échec. Etes-vous favorable à un ministre européen de la défense ? Je ne vois franchement pas la plus-value pour le moment. Le couple franco-allemand est à l'arrêt dans la défense ? On pâtit encore aujourd'hui de programmes concurrents. On se retrouve en concurrence sur les mêmes marchés à l'image des avions de chasse et des frégates. Il faut un tournant. De la concurrence sur des programmes du passé, nous devons passer à des projets communs pour le futur. Et précisément ? Le drone par exemple. Les projets a l’étude en France et en Allemagne restent un clivage du passé. Et je le dis clairement en France et en Allemagne à nos industriels. Je ne crois pas à deux projets de cette envergure au niveau européen. Et j'ai dû mal à croire qu'il y ait une volonté politique pour réaliser ces deux projets concurrentiels. Il y a assez de volonté pour pouvoir faire un projet commun. J'y travaille pour aboutir mais de façon humble. Tout simplement je ne vois pas où serait le sens d'avoir deux matériels différents en raison des questions d'interopérabilité de prix, d'entretien, d'emploi, sans parler des questions budgétaires. Je souhaiterai que l'on arrive à une nouvelle conception et à une autre vision d'un marché européen de la défense. -
Tsss ! Tsss ! Relis mes posts, c'est GRABBER56 qui dit que les EAU n'ont rien demandés à EADS, moi j'ai lu partout que les EAU avaient fait une RFP à EADS, pas que sur la tribune. j'ai pris la tribune parce que c'est le plus facile à trouver pour souligner ce point.
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http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20111113trib000663712/l-eurofighter-defie-le-rafale-aux-emirats-arabes-unis.html
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Je pense qu'il va falloir s'attendre à un report, je commence à croire à cette peur du premier qui osera acheter le raffy >:( C'est les indiens qui vont devoir décider d'être les premier. on pourrait presque en faire un jeu de société. http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20111127trib000666900/rafale-l-heure-du-choix-approche-en-suisse.html Berne prendrait une décision fin novembre ou début décembre pour l'acquisition de 22 avions de combat mais un référendum pourrait retarder ce calendrier. Trois avionneurs sont en piste pour conquérir le marché suisse : Dassault Aviation (Rafale), Saab (Gripen) et le consortium Eurofighter (Eurofighter Typhoon). L'heure du choix approche pour la Suisse pour l'achat de 22 avions de combat (30 novembre ou 7 décembre, selon la presse suisse)... mais le dossier pourrait encore subir un nouveau retard avec l'organisation d'un référendum populaire. Contrairement au Parlement et au Conseil fédéral, le chef d'état-major des armées André Blattman est favorable à un référendum à propos de l'acquisition de nouveaux avions de combat. Dans une interview accordée dimanche 20 novembre dans l'hebdomadaire suisse "SonntagsBlick", il a estimé qu'un "vote du peuple donnerait une légitimation à cette décision. Et c'est pourquoi il serait bien et important que le peuple puisse se prononcer". Selon lui, "si nous ne parvenons pas à persuader les citoyens, nous en sommes nous-même responsables". Le chef d'état-major anticipe en fait la décision des Verts suisses, qui veulent que le peuple suisse se prononce sur cet achat. S'ils n'obtiennent pas satisfaction, ils lanceraient alors une initiative pour un moratoire avec l'aide d'autres partis et associations, notamment le Groupe pour une Suisse sans armée. Ce qui bloquerait le processus pendant de longs mois. Ce serait une nouvelle déconvenue pour les compétiteurs. Pour l'heure, selon le ministre de la Défense, Ueli Maurer, l’avion le meilleur marché, le Gripen suédois, reviendrait à 3 milliards de francs pour 22 exemplaires, contre 4 milliards pour les deux autres appareils, l’Eurofighter (EADS, BAE Systems et Finmeccanica) et le Rafale de Dassault Aviation, selon la presse suisse. En revanche, l'appareil français, qui serait le plus performant opérationnellement, aurait la préférence des pilotes suisses. En outre, Paris mettra, pour améliorer l'offre française, à disposition de l'armée de l'air suisse des zones de vol en France et des bases aérienne françaises... si Berne choisit bien sûr le Rafale. Mais son prix (150 millions d'euros par appareil) - en dépit d'un franc suisse fort par rapport à l'euro - pourrait faire reculer les Suisses.
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Pour récapituler, il est clair que les EAU veulent être satisfait, c'est la deuxième fois qu'ils rejètent la proposition, la première fois, ils l'ont rejetés à cause du prix et se sont intéressés au F18, après quelques mois ils n'ont pas donnés suite et ils ont demandés une nouvelle proposition de Dassault. Elle a été ensuite rejetér avec fracas au salon de Dubai en demandant une proposition à Eurofighter (qui en a profité sur le plan de la communication). Mais ils n'ont pas fermer la porte et on ne sait toujours rien sur la venue de Jupé. Vu qu'ils ne sont pas pressés, faut attendre le printemps.
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C'est pas le bon langage, les turques vont se la ramener deux fois plus vite. ils sont plutôt chaud, quand on vient les chatouiller.
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http://www.lepoint.fr/monde/teheran-pourrait-s-attaquer-au-bouclier-de-l-otan-en-turquie-27-11-2011-1400966_24.php L'Iran, si jamais il était menacé par une intervention militaire étrangère, prendrait pour cible le bouclier antimissile de l'Otan en Turquie, a averti samedi le général Amir Ali Hajizadeh, commandant des forces aériennes des Gardiens de la révolution. "Si nous sommes menacés, nous comptons d'abord prendre pour cible le bouclier de défense antimissile de l'Otan en Turquie. Et ensuite nous nous en prendrons à d'autres cibles", a déclaré le général Hajizadeh, cité par l'agence de presse iranienne Mehr. Jusqu'ici, des responsables iraniens avaient affirmé à plusieurs reprises qu'en cas d'attaque contre l'Iran leurs forces armées mèneraient en représailles des frappes de missiles contre Israël. Les propos sur la Turquie comme cible sont la première déclaration en ce sens de la part du commandement des Gardiens de la révolution. En Israël, les conjectures sur une frappe aérienne israélienne contre les installations nucléaires en Iran se sont multipliées depuis la publication, le 8 novembre, par l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) d'un rapport faisant état de "graves inquiétudes" concernant le programme nucléaire iranien. Directive S'adressant à des unités de la milice des Bassidji à Khorramabad (ouest), le général Hajizadeh a affirmé que la position de l'Iran était dorénavant de "répondre aux menaces par la menace", conformément à une directive émise ce mois-ci par le Guide suprême de la révolution, l'ayatollah Ali Khamenei. Les forces dirigées par le général Hajizadeh sont chargées des systèmes de missiles des Gardiens de la révolution. La Turquie a accepté l'an dernier l'installation dans le sud-est de son territoire d'un système radar d'alerte précoce, qui fait partie du bouclier antimissile de l'Otan destiné, selon les États-Unis, à faire face aux menaces d'attaques de missiles venant du Moyen-Orient, en particulier d'Iran. Lundi, le général Hajizadeh avait affirmé que "le plus grand souhait" des Gardiens de la révolution était qu'Israël attaque l'Iran, afin que Téhéran puisse rétorquer et jeter l'État juif "dans les poubelles de l'histoire".
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Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
zx a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
http://www.sudouest.fr/2011/11/27/dassault-a-un-tournant-564499-4689.php Le groupe Dassault à un tournant Alors que le Rafale n'a toujours pas décollé à l'export, la question de la succession des dirigeants commence à se poser. Dans une émission de télévision la semaine passée, Serge Dassault (à gauche) a présenté son fils aîné, Olivier, comme le plus capable d'assurer la succession. photo afp Dassault a connu des jours meilleurs. Dans un horizon qui était déjà gris, le camouflet reçu aux Émirats - où le Rafale, jusqu'ici seul en lice, a été mis en compétition avec l'Eurofighter germano-britanno-hispano-italien -, a semé la stupeur chez beaucoup de salariés. La rebuffade est d'autant plus cinglante qu'Abou Dhabi a pris soin de souligner la responsabilité de l'avionneur. Dassault ne peut cette fois-ci se réfugier derrière les lacunes de la politique française. Le contrat n'est pas forcément perdu. Mais des mois pourraient s'écouler avant qu'Abou Dhabi ne se prononce. Or le plan de charge militaire de l'avionneur est au plus bas. En l'absence de toute commande étrangère, Mérignac ne sort en ce moment qu'un Rafale par mois pour l'armée française. D'autres pistes subsistent à l'export. Le Brésil pourrait prendre une décision l'an prochain. Mais les chances du Rafale y sont moins écrasantes qu'on ne l'avait prématurément estimé il y a deux ans. À une échéance plus rapprochée, la Suisse, qui a besoin d'une quinzaine d'appareils, devrait faire savoir si elle opte pour l'avion français, pour l'Eurofighter ou pour le Gripen suédois. Mais la bataille la plus cruciale se déroule à New Delhi, où l'Inde doit annoncer si elle entame avec Dassault ou avec Eurofighter des négociations exclusives en vue de l'achat de 126 avions. Un nouvel échec du Rafale serait un désastre pour Dassault. Dans le même temps, l'activité civile n'est pas au beau fixe. Certes, la période des annulations d'achat massives de 2008-2009 est révolue. Mais avec une trentaine de commandes de Falcon sur les trois premiers trimestres, les prises d'ordre sont loin des records du milieu de la dernière décennie. À une cadence récemment réduite, le plan de charge offre une visibilité d'un peu plus de deux ans, à condition qu'une nouvelle crise économique mondiale ne vienne pas frapper un marché convalescent. Le fils préféré Ces incertitudes interviennent au moment où commence à se poser le problème de la succession au sein de Dassault Aviation. Le PDG, Charles Edelstenne, expert-comptable astucieux et autoritaire, est encore très vert. Mais en 2013, il sera frappé par la limite d'âge des 75 ans fixée par les statuts. Et il faudra lui trouver un successeur. Serge Dassault a levé un coin du voile lundi chez Mireille Dumas en présentant son fils aîné, Olivier, comme le plus capable d'assurer la succession. Ancien élève de l'École de l'air, pilote confirmé, l'intéressé, député de l'Oise, a salué une « évolution importante », mais s'est bien gardé de pavoiser, au regard de s rapports complexes qui le lient à son père. Olivier était le petit-fils préféré de son grand-père Marcel Dassault, dont les relations avec Serge n'étaient pas toujours placées sous le signe d'une affection débordante. Et jusqu'à sa mort à 94 ans, le fondateur avait choisi de confier à des cadres supérieurs parfois très vieillissants, comme Benno Claude Vallières, le manche de Dassault Aviation, auquel son fils n'accéda qu'à la soixantaine passée. Un cap franchi cette année par Olivier. Un empire De toute façon, Dassault Aviation, dont la famille et EADS se partagent la moitié du capital à parts presque égales, ne constitue qu'une branche de l'empire. Le groupe GIMD, qui rassemble l'essentiel du patrimoine collectif des descendants de Marcel Dassault, inclut aussi une grosse participation dans l'entreprise informatique Dassault Systèmes - une pépite - ainsi que « Le Figaro », la galerie d'art Artcurial, deux autres sociétés aéronautiques (Sabca et Sogitec), un gros portefeuille immobilier et un cru classé de Saint-émilion. De son bureau du rond-point des Champs-Élysées, Serge Dassault, 86 ans, tient encore directement les rênes de cet ensemble. Il a déclaré cette semaine que sa succession n'était pas encore ouverte. Et, de toute façon, les frères et la sœur d'Olivier, Laurent, Thierry et Marie-Hélène, ne sauraient être dépossédés de ce qui leur revient. Même si le patriarche n'a pas eu pour eux chez Mireille Dumas des propos débordant de tendresse et d'admiration. -
http://www.lefigaro.fr/international/2011/11/25/01003-20111125ARTFIG00713-la-revolution-verte-d-obama-en-panne.php La faillite du producteur de panneaux solaires Solyndra, activement soutenu par l'État, a donné l'occasion aux républicains de partir en guerre contre la politique énergétique de la Maison-Blanche. La semaine dernière, le secrétaire à l'Énergie, Steven Chu, a passé un mauvais quart d'heure sur la colline du Capitole. Les parlementaires républicains l'ont passé sur le grill lors d'une audition au Congrès consacrée à l'affaire Solyndra. Un scandale qui a explosé à la tête de l'Administration Obama au mois d'août. Depuis l'annonce de la faillite de cette entreprise de construction de panneaux solaires californienne, dont l'équipe présidentielle avait fait un symbole de ses promesses de «révolution verte», lui accordant une garantie de prêt de 535 millions de dollars et y organisant des déplacements du président et du vice-président, l'affaire a été saisie au bond par le camp conservateur pour démontrer l'incurie de l'État, le manque de sérieux des politiques énergétiques de l'Administration et le favoritisme politique de ses choix industriels. Elle a ouvert aux républicains un boulevard pour prendre en otage l'ensemble des politiques vertes d'Obama. Quand ce dernier s'installe aux affaires, en janvier 2009, la révolution qui permettrait de changer les modes de consommation énergétiques des Américains et de créer de nouveaux gisements d'emplois, tout en répondant au défi du réchauffement de la planète, fait figure de priorité. Le secrétaire à l'Énergie Steven Chu annonce un budget de 80 milliards de dollars pour les technologies vertes. Il promet des incitations de long terme, afin que l'industrie s'intéresse à la commercialisation des énergies renouvelables qui progressent dans les laboratoires de recherche. L'ambiance est euphorique. Mais, quand les flots d'argent débloqués par le plan de relance d'Obama se mettent à couler, il apparaît soudain difficile de trouver des entreprises capables de porter des projets sérieux. «On a voulu faire trop, trop vite, regrette un ancien du département de l'Énergie. Nombre de responsables mettaient pourtant en garde contre des investissements mal préparés. Ils insistaient pour étaler l'effort. Mais la pression était forte. Elle a conduit à de mauvaises évaluations des risques.» Des connexions embarassantes Les déboires de Solyndra, qui a dû licencier 1100 ouvriers cet été, pourraient coûter un demi-milliard de dollars aux contribuables américains. Et il y a pire : de nombreux échanges d'e-mails entre des responsables de la Maison-Blanche, du département de l'Énergie et des lobbyistes liés à l'entreprise, publiés en rafale ces derniers jours, révèlent des liens intimes et encombrants entre Solyndra et les financiers électoraux d'Obama. Ainsi un certain Steve Spinner, qui avait levé quelque 500.000 dollars pour la campagne en 2008, et dont la femme travaille pour les avocats de Solyndra, a-t-il rejoint le ministère de l'Énergie, où il a supervisé l'octroi de la garantie de prêt à la compagnie solaire. Il aurait farouchement défendu le projet, malgré les doutes exprimés par Carol Browner, «tsarine» du dossier climat. Une autre connexion embarrassante remonte à George Kaiser, autre contributeur de campagne et investisseur de Solyndra, qui a fait lui aussi le siège de la Maison-Blanche pendant de longs mois. «Un cas d'école du capitalisme de copains», dénonce Andrew Stiles dans la National Review Online. Le 23 septembre dernier, le chef exécutif et financier de Solyndra a invoqué le 5e amendement de la Constitution américaine pour se soustraire aux questions d'une sous-commission de la Chambre. Depuis, l'Administration, qui nie tout favoritisme politique, a ouvert ses dossiers au ministère de la Justice et à l'inspection du département de l'Énergie. Mais cela ne l'empêche pas de contre-attaquer sur le fond, en dénonçant un procès «politique». Elle souligne le danger de rejeter en bloc toute idée de subventions étatiques aux nouvelles énergies. Sur les 16 milliards de dollars de garanties de prêts accordées par l'État à l'industrie solaire depuis 2009, près de 90 % l'ont été pour des projets à faibles risques, soutenus par de grandes compagnies comme Goldman Sachs ou Morgan Stanley, rappelait il y a trois jours un article du New York Times. L'avance préoccupante de la Chine «Les républicains essaient de faire de Solyndra le symbole du gaspillage de l'État» et «le bâton avec lequel frapper les énergies renouvelables», dénonce l'économiste Paul Krugman, qui conseille Barack Obama. Mais on «tire les mauvaises conclusions», écrit-il dans le New York Times, expliquant que Solyndra s'est effondrée sous l'effet de la compétition des panneaux solaires chinois, qui ont cassé les prix du marché - notamment parce qu'ils bénéficient d'aides publiques colossales. «Blâmons notre système politique, où les producteurs d'énergies fossiles ont des alliés puissants et une machine de propagande redoutable, qui dénigre toute alternative», poursuit Krugman. Sur la même longueur d'onde, la responsable climat au German Marshall Fund, Kathleen Kelly, voit l'affaire Solyndra comme «une distraction désolante», qui empêche de se pencher sur «la question des indispensables subsides dont a besoin le secteur pour décoller». Ces attaques sont «purement politiques et liées à la campagne, insiste-t-elle. C'est d'autant plus navrant que dans le passé, le dossier des énergies vertes a été un sujet de coopération bipartisane. Mais aujourd'hui, même les élus qui soutenaient les projets liés au changement climatique dégainent», dit Kelly. La chercheuse espère qu'une fois l'élection passée, le Congrès pourra revenir à un mode de fonctionnement plus consensuel. Les experts affirment qu'il est grand temps car la Chine, où les impulsions sont fixées au sommet de manière autoritaire, prend une avance préoccupante en matière d'investissements dans les énergies renouvelables. «C'est le paradoxe de la situation actuelle, dit l'ancien responsable du ministère de l'Énergie. Nous restons très en avance dans la recherche fondamentale. Les Chinois viennent ici, puis ils repartent et commercialisent ces technologies tandis que nous piétinons dans des batailles stupides. C'est que, contrairement aux Chinois, aux Allemands ou même aux Mexicains, nous n'avons toujours pas de vision, de consensus national sur la direction où nous voulons aller.» Il est vrai qu'un consensus est difficile quand la plupart des candidats républicains continuent de nier farouchement la réalité du changement climatique. Sur les neufs rivaux potentiels d'Obama, seuls Jon Huntsman et Mitt Romney ont osé dire ouvertement qu'ils y croyaient.
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Faudrait qu'il en fasse une autre avec cette fois des contrôles qualités en évitant de l'envoyer quand elle n'est pas finie. http://fr.rian.ru/politique/20111126/192138120.html Les échecs dans le secteur spatial portant atteinte à la compétitivité de la Russie, les responsables de ces défaites doivent être punis et même traduits en justice, a déclaré samedi le président russe lors d'une rencontre avec des journalistes. "Les derniers échecs (dans le secteur spatial, ndlr) portent une atteinte sérieuse à notre compétitivité. (…) Cela signifie qu'il faut procéder à une analyse détaillée des vols et punir les coupables", a indiqué le président. "Je ne propose pas de les envoyer au poteau comme c'était le cas à l'époque stalinienne, mais punir sérieusement par une amende et même par une responsabilité disciplinaire ou pénale", a poursuivi M.Medvedev. Le secteur spatial russe a connu au cours de cette année une série d'échecs, dont le dernier est celui de la sonde Phobos Grunt. Lancé depuis le cosmodrome russe de Baïkonour, au Kazakhstan, le 9 novembre dernier, l'engin s'est séparé de son lanceur Zenit-2SB, mais une panne du propulseur l'a empêché de prendre la direction de Mars
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Pour le A380 on atteindra bien 2000 exemplaires (1000 dans les 10 ans) dans les années à venir et on arretera pas le A380 dans 3 ans alors qu'il commence à peine sa carrière. il a bien 40 ans de carrière devant lui. pour moi l'A380 n'est pas un échec et son avenir est assuré.
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"I want my money back." , ca rappelle des souvenirs http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/michel-colomes/crise-de-l-euro-et-mesentente-cordiale-26-11-2011-1400853_55.php
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Je suppose qu'avec INCAS on aura à terme un super spectra/radar aesa, quand a DEDIRA, on aura droit à une nouvelle évolution du rafale et de ses équipements, du moins pour ceux qui suivront, j'ignore si un retrofit sera possible pour les anciens raffy.
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http://www.dedefensa.org/article-menace_d_un_nouveau_de_aaa_a_aa_pour_les_usa_25_11_2011.html Menace d’un nouveau “de AAA à AA+” pour les USA La débâcle du Congrès et de sa “super commission” pour mettre en place un plan de répartition des réductions budgétaires portant sur $1.200 milliards pourrait conduire, dans certaines conditions, dans les semaines qui viennent, à une confirmation de la dégradation de la notation des USA, – “de AAA à AA+”, – par les agences Moody’s et probablement Fitch. (On sait que Standard & Poor avait réalisé cette opération de dégradation le 6 août dernier.)
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c'est vrai qu'il fait un peu sous marin, les cheminées sont trop démesurées et je n'aime pas la proue, elle n a pas de personnalité. il n y a que l'arrière que j'aime bien.
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NASA - Mission vers Mars - Mars science laboratory
zx a répondu à un(e) sujet de zx dans Engins spatiaux, Espace...
Woui ! =) j'espère que la séparation se fera bien. -
NASA - Mission vers Mars - Mars science laboratory
zx a répondu à un(e) sujet de zx dans Engins spatiaux, Espace...
Oui, mais les sondes voyager ne consomment pas autant que curiosity, je crois qu'elle a une durée de deux ans, pour alimenter, foreuse, laser,etc.. mais elle fera peut être 10 ans, on ne sait jamais.