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  1. Je doute qu'il puisse faire quelque chose de plus. on va pas offrir les rafales sur le dos du contribuable.
  2. zx

    [Rafale]

    Ils ont pas besoin du rafale, par contre Dassault peut être un excellent consultant étude, c'est son coeur de métier et son business. :lol: je ne crois pas que cela soit interdit d'aider à la conception si les chinois souhaitent orienter ses choix pour un rafale/jsf chinois.
  3. Si je me rappelle bien, Il y avait déjà eu un rejet de la première proposition, après une première fâcherie, les UAE avait demandés une nouvelle proposition. De plus il y a avait un risque potentiel pour thales sur certains engagements. Après l'experience des char leclerc,il vaut peut être mieux en faire cadeau à l'eurofighter, ils vont rire jaune plus tard. Personnellement il faut arrêter de se décarcasser pour vendre un avion de combat, il ne faut pas aller plus loin que la proposition standard, tu prends ou tu vas ailleurs, sinon c'est un cauchemar qui dure des années pour rien vendre. Ca peut se comprendre qu'il n'y ai plus de réponse, coté français.
  4. zx

    L'Inde

    http://livefist.blogspot.com/2011/11/big-bad-blow-to-rafale-uae-punches-out.html Calling this bad news for Dassault is like saying Luca Brasi is a rough man. The unexpected words of Abu Dhabi Crown Prince Sheik Mohamed bin Zayed on Wednesday -- released through a series of innocent looking tweets, no less -- will have created an exit wound the size of a grapefruit in the psyche of the supremely jinxed French fighter programme. A splendid fighter plane that nobody wants to buy. With this latest, decidedly rough ejection by the UAE, there's no telling where things stand for Dassault. If you haven't been keeping up, France said it was poised to win a $10-billion deal from the UAE for 60 Rafales, a deal it has negotiating for years. On Nov 12, a day ahead of the Dubai Air Show, it became known that the "near-final" deal wasn't actually a deal at all -- and that arch-rivals Eurofighter had been invited to submit details about the Typhoon (for which they'll be in a mad scramble right now, I imagine). And today, boom. A handful of tweets by the Crown Prince brought it down with all the gentleness of a guillotine. Sample this: "Thanks to President Sarkozy, France could not have done more diplomatically or politically to secure the Rafale deal. Regrettably Dassault seem unaware that all the diplomatic and political will in the world cannot overcome uncompetitive and unworkable commercial terms." (Somehow, "ouch" doesn't quite say it.) Reuters says its sources pointed to Dassault's "arrogance" as the reason behind frustration both in the French government and in the UAE. Dassault is presumably in too much shock to comment officially just yet, or may be, at the very least making an effort to confirm that this is indeed curtains in the Emirates. Either way, as FlightGlobal's Steve Trimble wrote a few days ago, "uch a loss would surely be long remembered in the industry as yet another can't-miss deal that only the French could mess up." Yeah, we're all thinking the same thing: Where does this leave things on the MMRCA?
  5. zx

    [Rafale]

    j'en suis resté à 10-11 Milliards, j'ai pas vu de changement, on voit ca partout des qu'on fait reference au MMRCA http://observatoiredefense.wordpress.com/2011/11/04/avions-de-combat-epreuve-de-verite-pour-le-rafale-et-leurofighter-en-inde/ http://worldofdefense.blogspot.com/2011/05/eurofighter-typhoon-frontrunner-to-win.html
  6. zx

    [Rafale]

    Bizarre, En inde ils ont mis 10 milliards sur la table pour 126 appareils ? et la on 9 milliards pour 60 appareils ? il est ou le bleme ?
  7. pas content les chinois http://fr.news.yahoo.com/contrer-chine-larm%C3%A9e-am%C3%A9ricaine-renforce-pr%C3%A9sence-australie-182056012.html
  8. no failure, ils en ont de bonnes, je ne vois pas ce qu'il faut de plus, cette offre ressemble au titanic.
  9. ca serait un beau symbole sur les ailles du raffy, la corde, le pendu et le casque. =)
  10. Pour l'instant, d'après la radio, même si DA s'en prend plein la gueule, ils n'ont pas fermés les négociations, mais vu le point actuel, je vois mal comment ca se pourrait bien se terminer. ils espèrent qu'on reprendra les M2000. avec le sourire sans doute.
  11. zx

    L'Inde

    comme la livraison des package rafale+scalp en libye :lol:
  12. http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/air-defense/actu/0201744681651-rafale-boeing-et-lockheed-martin-compliquent-la-tache-de-dassault-249237.php Rafale : Boeing et Lockheed Martin compliquent la tâche de Dassault Les constructeurs américains ont fourni des informations à Abou Dhabi sur leurs avions de combat. Olivier Buquen : « Le nombre d'attaques contre des entreprises françaises est en augmentation » Après Eurofighter qui doit remettre sous peu une offre commerciale, Boeing s'est rappelé au bon souvenir de Dassault engagé dans une négociation finale pour vendre une soixantaine de Rafale aux Emirats Arabes Unis. Et quelle plus belle occasion que le « Dubaï Air show » qui se tient actuellement pour le faire savoir ? « Boeing a fourni des informations en début d'année sur le F-18 et le F-15 dans le cadre d'une compétition ouverte lancée par le pays », a déclaré Dennis Muilenburg, president de la branche défense du groupe américain, cité par le journal spécialisé « Defense news ». Lockheed Martin n'est pas en reste qui affirme avoir répondu à une demande d'information de la part d'Abou Dhabi sur son F-16, tout en espérant placer le F-35, l'avion de combat de nouvelle génération en cours de développement. Ne manquent plus que les russes Mig ou Sukhoï, et le chinois Avic, pour que la fête soit complète ! Tactique pour faire baisser les prix, comme beaucoup continuent de le penser, au moment où la négociation Rafale approche du moment de vérité ? La ficelle parait grosse. Et pourtant, certains rappellent que dans les années 1990, juste avant de sceller la vente de 60 Mirage 2000, Abou Dhabi avait fait de même en «multipliant » les demandes auprès de concurrents de l'avionneur français. Outre le prix, un autre point peut poser problème vu d'Abou Dhabi pour boucler l'affaire : la reprise de ces vieux Mirage 2000. Comment, à quelques mois des élections présidentielles, formaliser un accord avec l'Etat français, si Nicolas Sarkozy devait céder son fauteuil ? Là encore, les anciens puisent dans l'expérience passée. En 1994, pour que le Qatar s'engage sur l'achat de Mirage 2000, la France avait du sceller avec l'Espagne un accord de reprise des Mirage F1 du royaume. Six ans avant leur remplacement ! Reste la principale question : quand bien même, en fins négociateurs, les Emiriens essayent de faire baisser la facture, quand bien même ils souhaitent des garanties sur le sort de leurs Mirage 2000, ont-ils vraiment la volonté d'acheter du Rafale? Dans le camp français, on veut croire que oui. Pour Gérard Longuet par exemple, le ministre de la défense, les négociations sont allées très loin. Sous -entendu, trop loin pour ne pas déboucher. Arrogance française ? Tous les derniers points techniques, y compris celui concernant l'avenir de la nacelle de désignation de tir Damocles, auraient été résolus. Ce qui est certain, c'est qu'Abou Dhabi n'est pas à six mois près pour sceller un accord stratégique qui engagera le pays pour 40 ans au moins.
  13. paf ! http://fr.finance.yahoo.com/actualites/Le-FMI-met-garde-Chine-reuters_molt-3758720620.html?x=0
  14. Reste a valider le raffy en bvr. mais il n y a que du Mig 29 a se mettre sous la dent. :lol: http://info-aviation.com/?p=12281 La Russie poursuit ses livraisons d’armes en Syrie 14 novembre 2011 · 0 Commentaire La Russie ne suspend pas ses livraisons d’armes en Syrie prévues par des contrats conclus auparavant, a déclaré le 13 novembre Viatcheslav Dzirkaln, directeur adjoint du Service fédéral russe pour la coopération militaire et technique (FSVTS). « Du moment qu’il n’y a pas d’embargo sur les livraisons d’armes en Syrie, la Russie s’acquitte de tous ses engagements découlant des contrats qui avaient été conclus précédemment », a indiqué le responsable russe lors d’une conférence de presse à la 12e édition du Dubai Air Show. La Syrie est le plus gros importateur d’armements russes dans la région. Pour le début de 2011, la valeur totale des contrats conclus entre la Syrie et la Russie, s’élève à près de 3,5 milliards de dollars. Parmi les plus gros contrats réalisés se trouvent la livraison de 36 systèmes de missiles sol-air Pantsir-1S et la modernisation de la flotte de chasseurs Mig-29. Les plus gros contrats signés en train d’être respectés portent sur la livraison de 24 chasseurs Mig-29/M2 et de huit batteries de systèmes de missiles sol-air Buk-M2E.
  15. c'est bien dommage. http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronautique/d/phobos-grunt-hors-de-controle-devrait-secraser-sur-terre_34583/#xtor=RSS-19 Il commence mal
  16. http://www.defensenews.com/story.php?i=8246060&c=MID&s=AIR DUBAI - Boeing provided information earlier this year on its F/A-18 and F-15 combat aircraft to the United Arab Emirates (UAE) as part of the gulf state's "open fighter competition," said Dennis Muilenburg, president and CEO of Boeing Defense, Space & Security. The data on the two fighter jets was supplied at the same time that Boeing supported government-to-government talks under the U.S. Foreign Military Sales regime, Muilenburg said. Related Topics "We're honored to have two great fighters to compete," Muilenburg told journalists at the Dubai Airshow here. "We've got hot production lines for both aircraft." Boeing could provide cost and delivery certainty, and also ensure post-delivery logistical support for both aircraft, he said. The Eurofighter consortium, meanwhile, confirmed in a statement that the U.K. responded to a UAE request for a briefing on the Typhoon fighter. "The briefing took place on 17th October 2011," the statement said. The U.K. then received a request for proposals for the supply of the Typhoon for the UAE Air Force. "We are working hard to deliver a response," Eurofighter said. The request for a Eurofighter bid came as a blow to the French government and industry, which have been hoping for a UAE contract for Dassault's Rafale fighter before the end of the year. Lockheed Martin also has responded to the UAE's request for information on its F-16, which the U.S. company sees as a bridge to selling the F-35 Joint Strike Fighter to the gulf state. Boeing hopes that moves aimed at boosting local UAE industry will help its fighter bid. Boeing and Mubadala Aerospace, a unit of the Mubadala state-owned holding company, announced Nov. 14 they had agreed to two deals under a 2009 framework agreement to develop the UAE's civil and military aerospace industry. Under the first deal, Boeing will establish local company Strata Manufacturing as a composite aerostructures supplier. Strata will be able to qualify as a tier 1 supplier to Boeing if it meets performance and competitiveness targets set in a so-called "strategic roadmap." Secondly, the Advanced Military Maintenance Repair and Overhaul Center, a Mubadala Aerospace company, will work under a strategic agreement with Boeing Defense, Space & Security to provide support for military aircraft in the UAE, including Boeing-built Apache and Chinook helicopters and C-17 airlifters. Boeing sees interest in the F/A-18 and F-15 in the gulf region, including Kuwait and Qatar. A sale of F-15s to Saudi Arabia is under government-to-government discussion, after having sparked protest from Israel.
  17. zx

    L'Inde

    http://livefist.blogspot.com/2011/11/now-dassault-filches-gripens-line.html If the gloves weren't off all along, they are now. Just weeks ahead of a final decision on the MMRCA competition, Dassault, which doesn't usually bother with adaptive advertising, has a slew of brand new print ads that tell you a great deal about what they're seeing as the deciding factor in the Indian government's final decision. First off, it must be said, they've pinched the whole "independence" theme from Saab, which pitched its Gripen as the "independent choice" or "choice of independence" ever since it entered the multi-billion dollar competition (and after it was eliminated). The advert above, appearing in show dailies at the ongoing Dubai Air Show, makes Dassault's so far implicit view of things, pretty plain. "When a single country makes your aircraft from nose to tail, you know what you're getting into. Rafale is not subject to multinational controls.", the copy begins -- a direct swipe at the Typhoon's four-nation heritage. It's the elegance of the business that EADS Cassidian trumpets this very multi-nation backing as a potential coup de grâce in the final stretch. With the commercial offers of both firms understood to be far less disparate than many expected, both firms clearly believe other considerations will come into play. And let's not miss the fact that both have made it utterly plain with their new adverts and statements that they believe, ultimately, in the political decision
  18. Les Mirage 2000-9 devaient etre repris à 20 million d'euros l'unité, ca fait 1,2 Milliards d'euros, ca réduit pas mal la facture initiale. si il achetent autre chose, ils perdent la reprise. Les tensions avec l'iran doivent les inquieter.
  19. Mis à part la tribune qui a donné quelques infos sur les raisons de cette volte face, sur les autres blog & presse, c'est le silence radio. on entendrait une mouche voler. Visiblement ils l'ont pas vu arriver ce coup la.
  20. il y a un commentaire de Bill SweetMan
  21. Bon ! on va s'en prendre plein la tronche, ca sent les grosses maladresses. un Maroc bis. j'y crois pas, avec eux on a aucune chance de le vendre :'( http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20111113trib000663712/l-eurofighter-defie-le-rafale-dans-le-ciel-d-abu-dhabi.html Les Emirats arabes unis, agacés par la gestion brouillonne des Français, font monter les enchères et demandent à BAE Systems de concurrencer l'offre de Dassault Aviation avec leur Eurofighter. Douche glacée pour le Rafale et la France ce dimanche lors de l'inauguration du salon aéronautique, le Dubaï Airshow. Les Emirats arabes unis (E.A.U.), jusqu'ici en négociations exclusives avec Dassault Aviation pour l'acquisition de 60 Rafale, pour un montant éstimé entre 6 à 8 milliards d'euros, ont révélé avoir demandé au consortium Eurofighter (BAE Systems, EADS et l'italien Finmecannica) de lui faire une offre commerciale (« Request for proposal » ou RFP). Une annonce qui a complètement pris au dépourvu tous les industriels et officiels français présents au salon. Les discussions entre Abu Dhabi et BAE Systems, qui porte la proposition commerciale de l'Eurofighter aux Emirats, ont débuté il y a moins d'un mois. Le 17 octobre dernier, le groupe britannique a présenté l'Eurofighter Typhoon aux Emiriens, qui, dans la foulée, ont demandé à BAE Systems de formuler un RFP. Pris à froid, les industriels et officiels français, interrogés au Dubaï Airshow par « La Tribune », minimisent ce coup de théâtre. Ils assurent pour la plupart qu'il s'agit d'une tactique des E.A.U. pour faire baisser le prix du Rafale, jugé trop cher. La ficelle semble grosse mais aujourd'hui les industriels veulent croire à leur analyse. « Est-ce un moyen de faire courir un lièvre devant Dassault Aviation ou les E.A.U. cherchent-ils vraiment une alternative », se demande un industriel tricolore. « Il y a différentes grilles de lecture celle que l'on privilégie pour le moment, c'est celle d'une tactique de négociations des Emiriens », estime un autre. Il est vrai que les E.A.U. avaient déjà fait en 2010 à Boeing une demande d'information technique pour le F/A-18 Super Hornet. Sans aller beaucoup plus loin. Pas de pilote dans l'avion Le ministre de la Défense, Gérard Longuet, confirme que « cette demande de cotation apparaît plus comme une mesure d'animation de la procédure ». Il veut encore croire que la France est proche « du point final d'une négociation très bien engagée ». « Selon la position que l'on occupe, chaque froncement de sourcils peut rapporter ou coûter quelques centaines de millions d'euros », dit-il. Une chose est sûre, si Abu Dhabi choisit l'Eurofighter, il ne pourra plus compter sur la France pour lui reprendre les 60 Mirage 2000-9 que l'Emirat avait la possibilité de céder en cas d'accord sur le Rafale. Pourtant, depuis plusieurs semaines, les clignotants s'étaient mis au rouge pour l'avion de combat de Dassault Aviation. La décision des E.A.U. de mettre en piste l'Eurofighter est donc clairement « un signal envoyé à Dassault Aviation », estime un industriel. L'échec cuisant du Rafale au Maroc a été semble-t-il aujourd'hui trop vite oublié. Et pourtant ce n'était qu'en 2007, un temps pas si lointain où Nicolas Sarkozy voulait constituer une équipe de France unie, qui parle d'une seule voix à l'exportation pour gagner les grands appels d'offres internationaux civils et militaires en général, et ceux concernant le Rafale en particulier. Car le chef de l'État s'est secrètement fixé le défi d'être celui qui vendra enfin l'avion de combat tricolore à un pays étranger. Pour ce faire, il avait nommé un pilote, Claude Guéant, alors secrétaire général de l'Élysée, en qui il avait toute confiance, et créé un outil, la « war room », censée impulser une stratégie et une cohérence à ce qu'il appelait « l'équipe de France ». Le bilan est plutôt mitigé au bout de cinq ans mais au moins, la France parlait d'une seule et même voix à ses interlocuteurs. Las. Claude Guéant, parti au ministère de l'Intérieur, la cacophonie semble être revenue dans cette « équipe de France » privée de capitaine. Chassez le naturel il revient au galop. C'était le cas il y a peu de temps encore pour le Rafale aux Emirats. Abu Dhabi, qui a relancé les négociations en plein été et a maintenu un rythme intensif, y compris lors du ramadan en août, entendaient depuis quelques semaines plusieurs sons de cloche au gré des visiteurs venus vendre les qualités et les prouesses du Rafale. « Les Emirats avaient trop d'interlocuteurs, l'industriel mais aussi beaucoup trop d'étatiques », confirme-t-on au ministère de la Défense, qui stigmatise plutôt « l'État et ses chapelles trop nombreuses ». Il manque visiblement à nouveau un pilote d'autant que le nouveau secrétaire général de l'Élysée, Xavier Musca, n'a vraiment pas le temps de gérer ce dossier jugé « mineur » au regard de toutes les catastrophes qui s'abattent les unes après les autres sur la zone Euro. Par défaut, le dossier échoit au chef d'état-major particulier du président de la République Benoît Puga, un officier de la Légion étrangère, ancien patron des opérations spéciales et qui était auparavant à la tête de la Direction du renseignement militaire. Le général, qui a remarquablement géré l'intervention militaire française en Libye (opération Harmattan), selon la plupart des observateurs, est semble-t-il moins aguerri sur ce type de dossier. Incompréhensions À Abu Dhabi, l'incompréhension monte de plus en plus. À tel point que furieux le prince héritier d'Abu Dabi, Cheikh Mohamed bin Zayed Al Nahyan, qui a l'impression que les Français ne l'écoutent plus, fait une visite express de quelques heures à Paris après l'été en septembre pour rencontrer Nicolas Sarkozy à l'Élysée. Mal préparée, la visite, censée tout remettre en ordre, ne fait pas avancer d'un pouce le dossier du Rafale. Bien au contraire. Mal briefé, le chef de l'État, pensant que le dossier Rafale était enfin réglé, aborde cette rencontre avec un angle de politique régionale, évoquant entre autre la question de la Palestine. Cheikh Mohamed repart de Paris sans avoir les réponses qu'il attendait. D'autant qu'il se plaindrait d'un gros écart de prix. C'était pourtant l'une de ses trois demandes personnelles à Nicolas Sarkozy : obtenir un prix raisonnable. Ses deux autres souhaits : disposer d'un avion plus performant que le Mirage 2000-9 et que la France finance une partie des coûts « non récurrents » du Rafale. « Le débriefing de la visite de Cheikh Mohamed à l'Élysée est violent », rapporte un observateur. Conséquence, quelques jours plus tard, Nicolas Sarkozy décide de confier le dossier au ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé. « Il fallait une personne de poids pour remettre le dossier à l'endroit », explique-t-on à « La Tribune ». La « nomination » d'Alain Juppé, en tant que nouveau patron des négociations, a semble-t-il permis de remettre le dossier sur les rails. Trop tard ? Les E.A.U., boudeurs, ont quant à eux mis très longtemps pour désigner un nouveau patron des négociations. Et ont décidé de mettre à l'épreuve les Français avec l'Eurofighter. Aussi, dans le camp français, certains, comme Gérard Longuet, parient sur une annonce le 2 décembre, pour le quarantième anniversaire de la fédération des E. A. U.
  22. zx

    L'Inde

    http://livefist.blogspot.com/2011/11/near-finish-uae-stings-dassault.html The Dassault Rafale, in this photo taken yesterday (by Pervez 183A) ahead of the Dubai Air Show 2011, displays none of the turbulence that has defined the run-up to the show. For the Rafale certainly. Undoubtedly the biggest military news ahead of Day 1 of the show was host nation UAE sending feelers to EADS Cassidian for the Eurofighter Typhoon, a gesture that has stung Dassault something nasty -- the French government has, for months, made it plain that a $10-billion deal for 60 Rafales was expected at any time. It is not clear just yet why the UAE has decided to look at other options. Could it be another Typhoon-Rafale war? Not if the Americans succeed in wedging the F-15 in. Interesting times. Stay tuned. http://www.opex360.com/2011/11/13/les-emirats-arabes-unis-sinteressent-a-leurofighter/ gré à gré, la vente de 60 avions de combat Rafale. Après plusieurs rebondissements dans ce dossier, le ministre français de la Défense, Gérard Longuet, assurait encore, le 17 octobre dernier, que les discussions entraient dans la dernière ligne droite. Seulement, selon le magazine spécialisé Flight Global, les Emirats ont demandé, le même jour où M. Longuet a affiché son optimisme, des informations sur l’Eurofighter, le concurrent du Rafale développé par le consortium du même nom, dont le capital est détenu par EADS, BAE Systems et Finmeccanica. « Nous travaillons dur pour présenter une réponse » a indiqué le consortium européen, qui a confirmé l’information de Flight Global. Quand l’on sait que les Emirats ont fait du prix de ce contrat une des variables de leur choix, la question de l’intérêt de cette manoeuvre a de quoi intriguer, car selon plusieurs sources officielles, dont le National Audit Office britannique, le coût de l’Eurofighter s’est avéré plus élevé que prévu. Cela dit, quand les discussions avec Paris battaient de l’aile, Abou Dhabi a eu la même attitude en demandant des informations sur le F-18 Super Hornet de Boeing. Et l’on sait que les émiratis veulent des moteurs plus puissants pour leur futur avion de combat. Or, il se trouve que ceux qui équipent les Eurofighter le sont par rapport à ceux du Rafale (90 kn de poussée avec post-combustion contre 75 kn). Est-ce une manière de pousser les négociateurs français à proposer une motorisation plus musclée pour l’appareil de Dassault Aviation? Quoi qu’il en soit, les deux avions, qui ont été engagés lors des opérations en Libye, effectueront des démonstrations lors du salon aéronautique de Dubaï.
  23. http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20111113trib000663590/affrontement-entre-les-etats-unis-et-la-chine-au-sommet-asie-pacifique.html Le sommet Asie-Pacifique (Apec) à Honolulu a donné lieu samedi à des échanges contradictoires entre les Etats-Unis et la Chine, les deux géants de la région dont les analyses divergent en matière économique. Le président chinois Hu Jintao a voulu, lors de son intervention, assurer les autres dirigeants de l'ouverture de Pékin aux échanges commerciaux et à la poursuite de réformes. Il a en contrepartie souligné que son pays entendait peser davantage dans les grandes orientations de l'économie mondiale, et estimé que les pourparlers du cycle de Doha, sous l'égide de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), demeuraient le lieu privilégié de débat sur le libre-échange. Barack Obama a estimé lui que Pékin devait respecter les règles en vigueur sur la protection de la propriété intellectuelle et laisser le yuan s'apprécier face au dollar. "Ce que je dis depuis mon premier jour en fonction (...), c'est que nous voulons que les Chinois respectent les règles. Et le dossier des changes est probablement un bon exemple", a dit le président des Etats-Unis. "Pour une économie comme celle des Etats-Unis - dont le principal avantage compétitif réside dans notre savoir, nos innovations, nos brevets, nos droits d'auteur -, il est inacceptable de ne pas bénéficier du niveau de protection nécessaire dans un marché aussi important que la Chine", a-t-il poursuivi. Dans le contexte de morosité économique, avec un chômage qui se maintient obstinément aux alentours de 9% de la population active américaine, Barack Obama, qui briguera dans un an un nouveau mandat, est pressé d'agir pour tenter de rééquilibrer les relations commerciales avec la Chine. Lors d'une rencontre bilatérale avec Hu Jintao, il a fait état de la "frustration croissante" de l'opinion publique américaine face aux pratiques de la Chine en matière de commerce et de changes, jugées déloyales, a rapporté à la presse un conseiller du président américain. "Le déficit commercial et les problèmes de chômage ne sont pas la conséquence du taux de change du yuan et même une forte appréciation du yuan ne réglerait pas les problèmes auxquels sont confrontés les Etats-Unis", a répliqué Hu Jintao, cité par le site chinanews.com à Pékin. MOYENS D'ACTION LIMITÉS Les Etats-Unis ne disposent guère de moyens d'influencer Pékin: la Chine est en effet le premier détenteur de dette américaine avec plus de 1.100 milliards de dollars. Le débat sur le cadre à privilégier pour organiser le commerce régional illustre le désaccord sino-américain. Les Etats-Unis privilégient leur projet de Partenariat transpacifique (TPP) aux objectifs commerciaux plus stricts que ceux du cycle de Doha. Hu Jintao, qui s'exprimait devant une assemblée de dirigeants d'entreprises, a assuré que la Chine était déterminée à faire progresser le libre-échange autour de l'océan Pacifique. Il a toutefois souligné que les pourparlers de Doha devaient se poursuivre afin de déboucher au plus vite sur un accord offrant des concessions sur les taxes douanières aux pays les moins développés. Autre débat en cours, la représentation de la Chine au FMI. Les Etats-Unis comme les pays européens renâclent à céder plus de pouvoirs aux grands pays émergents au sein du Fonds monétaire international. La gouvernance économique, a répondu Hu Jintao, doit refléter l'évolution du paysage mondial afin de renforcer "la voix des marchés émergents et des pays en développement". "La Chine oeuvrera à réformer le système économique international et à créer un ordre économique international plus juste et équitable", a-t-il ajouté, soulignant que Pékin "jouera un plus grand rôle dans l'économie internationale et les institutions financières".
  24. http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/finance-marches/actu/0201741315475-italie-les-assureurs-francais-exposes-248185.php Avec l'important délestage en dette souveraine qu'ont pratiqué les banques françaises cet été, leurs homologues assureurs pourraient bien être désormais plus exposés qu'elles aux dettes des pays considérés comme fragiles % Au coeur de la crise des marchés pendant l'été, les banques françaises ont adopté une gestion dynamique de leur exposition à la dette souveraine. Pour les cinq pays européens considérés comme fragiles (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne), les PIIGS, l'exposition des banques françaises a été ramenée au total à 41,6 milliards d'euros fin octobre, dont près de 30 milliards pour l'Italie. A fin juin, ces expositions étaient encore respectivement de 59 milliards et 40 milliards d'euros. Pour BNP Paribas, l'exposition aux pays sous plan d'aide (Grèce, Irlande et Portugal), a diminué de 37 %, s'élevant à 3,3 milliards d'euros. Sur l'Espagne, le délestage de la banque atteint même 81 % entre juin et octobre pour se limiter à 500 millions d'euros. Pour la banque verte, l'exposition aux PIIGS a baissé de 20 % sur le seul mois d'octobre, passant de 9,2 milliards d'euros à 7,3 milliards. Un délestage qui a parfois occasionné quelques pertes financières (chez BNP Paribas par exemple) et qui a eu pour collatéral de faire monter le taux des obligations italiennes. La Grèce a constitué la seule exception. Les banques ont en effet respecté la demande de Christine Lagarde en 2010 de ne pas vendre massivement leur dette grecque. On peut penser que si les banques françaises avaient pu céder cette dette, le profil des résultats trimestriels aurait été bien différent. Sans suprise, le premier pays concerné par les allégements de cet été a été l'Italie qui constitue désormais le coeur des inquiétudes du marché. Si l'on excepte le Crédit Mutuel -CIC et la Banque Postale, le premier publiant ses chiffres trimestriels aujourd'hui et la seconde ne publiant pas de chiffres intermédiaires, la banque la plus active cet été a été de loin BNP Paribas. De fait, elle est l'établissement le plus présent en zone euro et possède en Italie une banque locale BNL. Entre juin et octobre, le groupe français a réduit de plus de moitié son exposition à la dette souveraine ide la péninsule pour ne plus en conserver que 12,2 milliards d'euros, contre 20,5 milliards fin juin. Le Crédit Agricole, qui détient lui la banque régionale Cariparma, a réduit à 5,7 milliards d'euros son exposition à la dette souveraine du pays contre près de 8 milliards en juin. Conséquence directe de ce repli, les grands assureurs français ne devraient plus être éloignés des banques en terme d'exposition à la dette publique italienne. En cumulé, celle d'Axa, Groupama et CNP Assurances se révèle en effet, selon leurs chiffres publiés à fin juin, presque équivalente. Elle s'élevait, en valeur de marché, à 17,1 milliards d'euros pour AXA et à 14,86 milliards pour CNP Assurances. Chez Groupama, elle atteignait 7,29 milliards en juste valeur brute. A noter toutefois qu'aucun n'a communiqué sur l'évolution de ses engagements depuis fin juin. En outre, comme le fait remarquer un acteur français, les assureurs ne sont pas confrontés aux mêmes contraintes de liquidité que les banques. Ils n'ont donc pas le même besoin de se délester rapidement de leurs titres d'Etat. Pour autant, le mouvement opéré par le réassureur Munich Ré, qui vient de réduire de 1,4 milliard d'euros son exposition à la dette italienne, semble témoigner d'une stratégie inverse.
  25. la on est reparti pour 5 ans en mode appel d'offre.
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