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Tout ce qui a été posté par colonio
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Je crains qu'il ne s'agisse pas d'une légende.
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Je m'étais intéressé à ce type de vhl pour une SAED, c'est vraiment pas mal. Maintenant pour équiper des unités plus conventionnelles en nombre c'est peut être pas l'idéal en raison du manque de protection. Cependant pour des coups de main ou apporter des armes d'appui mobiles ou de la log pourquoi pas. Un bon remplaçant du lhor fardier en tout cas.
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Puisqu'il est question de cohérence autant louer des CH 47.
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L'exemple US est il pertinent? Dans le sens ou on est plus sur une organisation reco ,enfin je crois. L'intérêt d'une organisation en équipes par véhicules c'est pour moi surtout de rester light donc projetable et mobile en terrain difficile, mais aussi d'augmenter la puissance de feu embarqué. Seule solution pour des légers de déployer rapidement des moyens lourds et mobile d'agression. Point toujours sensible dans le cadre d'un déploiement d'urgence. Je pense que dans bien des cas il vaut mieux renforcer une tête de pont avec 2 VBL qu'un VAB. Si ce VBMR light est pensé comme une plate forme offrant toute la gamme AP,AC,AA voir mortier c'est parfait.
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Aux EAU la compagnie VBCI est à 2 sections.
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Le souci c'est que nos structures au quotidien, nos structures théoriques, et les structures opexées n'ont pas grand chose à voir. On ne projète pas des compagnies des sections etc. On, nos politiques, projètent un nombre d'hommes. Après les militaires s'arrangent pour transformer le nombre d'hommes en quelque chose de cohérent et qui satisfasse tous les besoins. Je citerai 1 exemple actuel, 1 CEA est projetée avec 2 sections la SAC et la SAED mais sous format infanterie voltige à 4 groupes pour l'une et en structure S4 pour l'autre le tout sur VLRA et 2 PEI pour former un SGTIA. Et ce n'est qu'un exemple de structure originale, peut être que la même unité arrivée sur le théâtre devra se restructurer parce que la situation évolue. Si c'était aussi simple que une section = 4 groupes= X hommes donc le format a projeter = X hommes, mais pas du tout. Donc systématiquement paul renforce jean et guy reste en base arrière. Reste à déterminé quelle structure devrait être la structure de base à sanctuariser.
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As tu vu beaucoup de CDU de CEA projeté avec leur compagnie en format CEA ?
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l'intérêt de groupe de combat identique c'est que quelque soit la situation, les possibilités en manœuvre est en feu reste égales+-. On ne se dit pas zut c'est le groupe appui qui est là je ne peux plus manœuvrer.
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Le CDU de la CA (compagnie d'appui 4° compagnie) ne sera pas projeté à la tète de sa compagnie en bloc. Les CDS de cette même compagnie ne le seront surement pas plus, ou alors comme des CDs de S4 actuelle, mais sans basculement possible en voltige. A part la SAED bien sûr. Ce format est cohérent par rapport au contrainte actuelle. Maintenant des GTIA permanents se serait mieux.
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Je voulais dire que quelque soit le VBMR ou pas d' ailleurs, et quelque soit l'année ou il arrivera, le VBCI lui sera contemporain, donc autant se baser sur un vhl qui connaitra cette réforme structurelle, si elle a lieu. Après on verra ce qu'on nous trouve comme engin.
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D'où ma proposition. Oui car le VBCI est le seul engin que l'on est sur de conserver.
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Je note que dans notre réflexion en prenant le VBCI comme engin et partant sur le postulat d'un niveau seuil à 3 groupes un groupe doit être à pour l'emport du CDS et du radio. Auquel cas ne faut il pas plancher sur une réforme du groupe appui. Auquel cas je propose en structure seuil: 1 VBCI SOA, 1 groupe à 8, 1binome FM 7,62, 1binome CDG grenadier, 1binome FA minimi, 1 binôme FA. 1 VBCI auxsan, 1 groupe à 8 identique. 1 VBCI CDS radio, 1 CDG, 2 binômes AC, 1 binôme TP. Le CDS peut au choix échanger un binôme FM ou AC dans les groupes de combat. En quaternaire la section aurait un groupe de voltige en plus. Soit 33 projetables, 43 au total.
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Je n'ai pas dit TP chef de groupe, mais chef de pièce. Il ne faut pas rêver non plus, les sections ne seront pas plus nombreuses, donc il faut compter à enveloppe constante en tentant d'améliorer l'existant . L'important étant je pense de pouvoir projeter 3 groupes de voltige et non plus un groupe AC et 2 groupes de voltige.
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Pour le choix des armes AP et AC je m'explique: Les armes AC peuvent être légères( AT4, RPG...) ou lourde(RX, ALCOTAN...) le problème reste le même. On a besoin de 2 personnes, soit un tireur et un pourvoyeur, soit 2 tireurs. Parce qu'il faut emporter un nombre minimum de coups , voir une variété, que l'on soit en rechargeable ou en jetable. Les armes AP classiquement pour les groupes des FM, nécessite un nombre important de munitions , éventuellement un trépied, quelqu'un pour régler les tirs, d'où 2 personnels. Je ne parle pas du choix de l'arme car ce n'est pas le sujet. Pour le TP avec le FM je m'explique. Le TP pris dans le rôle de pourvoyeur FM présente comme avantage- de disposer d'une optique pour trouver et corriger les tirs du FM-la communauté de munitions- souvent moins pourvu en munitions il peut porter une partie de celle du FM-leur feu sont opposé, précision pour lui, saturation pour le FM ce qui permet de traiter avec le même binôme "toutes" les situations de feu direct AP- Il tire à la même distance- Pour peu qu'il ai des traçantes le TP est le seul à pouvoir donc désigner un objectif par le feu au FM (hors cas lunette du FELIN sur FAMAS peut être). Je pense que le TP en FA 7,62 est le chef d'équipe tout désigner de l'équipe Feu, qui peut faire face à toutes les menaces AP et AC de son niveau. Pour l'argument selon lequel on peut avoir besoin du TP et du FM en même temps, je ne pense pas que se soit un vrai souci. D'autre part en théorie 1 groupe ne traite pas plus d'une équipe ou 1 blindé ennemi à la fois. Pour la voltige notamment en combat ZUB 5 pax , soit 2 binômes et le CDG est un minimum. L'intérêt de cette structure est aussi dans le modularité, il est ainsi possible de regrouper 2 équipes CDG pour les missions à dominante feu, ou 2 équipes voltige pour les missions à dominante voltige. De remplacer un binôme AC par un AP et vis versa selon la menace principale ETC ETC.
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On peut aussi réfléchir à l'envers. De quoi un groupe à besoin, 1 arme AC minimum donc 2 pax (tireur, pourvoyeur ou 2°tireur) 1 arme AP minimum FM 7,62 donc 2 pax (tireur, pourvoyeur) , au moins 2 binomes de voltige FA, LG éventuellement minimi. Le TP peut s'intégrer dans le binôme FM avec un FA 7,62 (communauté des mun, capacité à régler les tirs, effet complémentaire). Enfin 1 chef qui en France est culturellement à part. 1 pilote 1 servant de l'arme de bord. Pour la section au minimum 3 pax, 4 idéalement avec 1 auxsan dédié. On peut y ajouter éventuellement des spécialistes (JFO/Cyno...) ou une équipe servant une arme collective(MO 60, LGA, MMP...) ou une équipe supplémentaire.
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Le pb c'est qu'on ne peut pas prévoir ou seront les 20 pour 100 manquants. Que tu sois plus nombreux ou moins ne change rien au problème à la limite même il est plus facile et moins déstructurant de trouver 6 pax que 8.Dans ce cas il faudrait alors 4 groupes de voltige pour en avoir toujours 3. Ce qui est structurant c'est la place dans les blindés. Une autre solution peut être de faire des vrais groupes de voltige et de vrais groupes d'appui mais on retomberait sur le même pb qu'avec le groupe RX. Enfin l'autre option envisageable c'est de garder les 4 véhicules avec des groupes plus petits. Enfin on peut rester aussi à 40 avec 4 groupes à 9 et une cdt CDS SOA radio auxsan. 2 groupes auraient des roquettes et 2 autres des mitrailleuses mais tu manqueras quand même de voltige . Bref l'équilibre est difficile à trouver. Perso je pense que le retour au binôme est nécessaire que les chefs doivent être intégrés aux équipes. La solution idéale mais irréalisable c'est 3 groupes à 11 et une commandement à 11, mais on ne peut pas mettre le CDS et le SOA dans le même véhicule.
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L'ALTV doit pouvoir emporter 1 GDC, ce qui permettrait de disposer de vraies unités aéromobiles.
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La solution CEA est la meilleure pour l'entrainement. Elle permet aussi de détacher un CDS culture appui dans la cie qu'elle renforce . Leur dissolution permet de gagner des effectifs en cadres, donc les plus chers. Le "sureffectif" permet de régler le problème de la ressource en voltige toujours critique dans les sections. Enfin elle permet l'emploi groupé des moyens d'appui donc plus de souplesse tactique qu'aujourd'hui au niveau du GTIA.
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Peut on envisager alors de supprimer les sections d'appui et de regrouper milan mortier et TE à la CEA en mesure de fournir des sections appui à la demande. Ce qui offre assez de pax pour former le groupe mitrailleuses à 7 manquant?
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Le changement de matériel induit un changement de structure car la roquette remplace l'ensemble des armes AC de la section. Il faut donc les répartir équitablement dans tous les groupes.Je pense que c'est le retour à une structure proche de celle pré99 3groupes égaux répartis en équipes choc et feu. Cela tombe bien en période de vache maigre.Donc il faut 1 section à 33 au lieu de 40 avec 11 pax max par véhicule. C'est à dire bien plus proche de la réalité des unités au quotidien.
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L'intégration interarmes c'est l'intégration de toutes les armes aux plus bas échelons de sorte que pour s'opposer à l'une l'ennemi devienne vulnérable à l'autre.(général Krulak USMC). Si des chars s'opposent en organique à d'autres chars c'est donc un cas de coopération interarmes et non plus d'intégration. Effectivement on utilise moins la TD vers le bas qu'un peloton en général, vue que l'on partage un compartiment de terrain bien plus petit et que donc les subs et le chef au niveau section ont généralement une vision assez proche du même terrain, surtout lors des phases débarquées qui constituent pour nous le cœur du combat. Tout l'opposé que ce qu'implique la devise du 3° peloton sur ton avatar. Chacun ses défauts et qualités et ses outils, c'est çà le combat interarmes.
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C'est le paradoxe de nos sections organisées pour l'AC et qui ne font plus que de l'AP.
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Dans un DIA le chef de DIA n'est il pas à l'écoute du réseau SGTIA ? Si le XL passe d'une section à l'autre ce n'est plus un DIA. Le DIA en ZUB est justement utilisé parce qu'il est plus difficile en ville de réarticuler les éléments et de les renforcer. Dire que le chef de peloton reste le chef d'élément du char détaché est un peu raccourci. Il reste son chef d'arme dans le sens ou le DIA n'est que provisoire mais ne peut (ne doit) influer sur la manœuvre du DIA dans lequel son sub est détaché. Moi, fantassin si je détache dans un DIA blindé mon SOA avec 2 groupes je considère le chef de peloton comme leur chef. En plus pour eux suivre 2 réseaux est impossible , mais quand bien même. Enfin pour clore le débat sur la NEB en DIA, je trouve celà superflu de faire une désignation d'objectif pour un hit and go en utilisant la TD, vu que de toute façon je vais être obligé de parler aux éléments pour la coordination, donc en phonie. Culture d'arme sans doute ou de style, toujours est il que l'infanterie se commande à la voix, . La NEB apporte des solutions intéressantes et est un complément utile notamment en terme de coordination. Mais pour un hit and go c'est à mon sens une perte de temps, dans une action qui demande d'en consommer un minimum vu qu'il y a de forte chance qu'on ai du monde au contact si on le demande .L'intégration interarmes c'est aussi comprendre les contraintes et les atouts des autres armes, l'infanterie vit physiquement son combat, commander sur un écran au contact, c'est comme taper un sms en traversant une autoroute à pied.
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C'est un truc de geek ton exemple. Le plan le char et l'infanterie l'ont forcément. Il faut coordonner en temps réel l'appui du char pour la mise en place, le hit and go lui même et l'exploitation du tir, donc finalement faire de la phonie. Le seul apport de la numérisation dans ton exemple est d'éviter un tir fratricide. Mais là encore si le chef de char ne sais pas lire un plan, papier ou sur écran, le mieux est encore pour lui de changer de métier. On va pas commencer à se parler par mail au sein d'un DIA qui combat dans le même compartiment de terrain. C'est la limite de la numérisation comme la géolocalistion de tous avec FELIN. Le chef de groupe doit commander à vue et à la voix, il sait donc ou sont ses éléments.