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Armée Allemande


alexandreVBCI

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il y a 39 minutes, Snapcoke a dit :

Moi je remarque que les seuls vraiment motivés pour l'excellence du combat, sont border Line... 

Je trouve toujours étonnant que les politiques ( allemand en particulier ) s'étonne de redécouvrir, que c'est plutôt chez les virilistes de droite et d'extrême droite ( pour un mec des KSK, l'exemple a suivre semble plus être skorzeny que Stauffenberg, et je peux le comprendre)

Fassent partie de l'armée...

Si ils cherchent des écolos a cheveux bleus, c'est pas a l'armée qu'ils vont les trouvé.

Il est normale que les personnes qui cherchent la vie militaire soit plus porté à être dans ce moule ( extrême droite ) qu'autre chose.

 

Je pense aussi qu'il y a un problème avec la ''memoire'' allemande, a force de rejeter tous ce qui a était fait pendant la seconde guerre mondiale, ils en oublient a qu'elle point l'aventure fut éprouvante, et a qu'elle point leurs armée fut a l'époque capable de prouesses exceptionnels.

Alors oui un allemands fier de sont passé va être attiré par cette ''histoire'' et risque d'être attiré aussi par cette idéologie...

 

 

 

 

Non mais là le soucis est ailleurs : on parle de la peur d'attentats intérieurs par des membres de l'armée. Des gens qui mettent des munitions de côtés. Avec ça comme précédent : https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/migrants/la-double-vie-de-franco-a-faux-refugie-et-vrai-lieutenant-allemand-soupconne-de-preparer-un-attentat_2175289.html (au cour de l'enquête, une popote a été trouvé avec des objets du IIIe Reich dedans). Mécaniquement, les raccourcis sont rapides à faire...et compréhensibles ! Si la pointe de tungstene de ton armée commence à murmurer contre ta population et ton gouvernement, c'est normal de s'inquiéter. Le poids du passé ne vient que renforcer l'idée que ça peut partir loin.

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à l’instant, Polybe a dit :

Non mais là le soucis est ailleurs : on parle de la peur d'attentats intérieurs par des membres de l'armée. Des gens qui mettent des munitions de côtés. Avec ça comme précédent : https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/migrants/la-double-vie-de-franco-a-faux-refugie-et-vrai-lieutenant-allemand-soupconne-de-preparer-un-attentat_2175289.html (au cour de l'enquête, une popote a été trouvé avec des objets du IIIe Reich dedans). Mécaniquement, les raccourcis sont rapides à faire...et compréhensibles ! Si la pointe de tungstene de ton armée commence à murmurer contre ta population et ton gouvernement, c'est normal de s'inquiéter. Le poids du passé ne vient que renforcer l'idée que ça peut partir loin.

Mais comment est traité cette pointe de tungstène ?

Je ne connais pas L'affaire, mais s'étonner que des gens qui sont par définition des ultra militaristes, aient aussi une propension à appréciés la période la plus militariste de l'Allemagne.... Et a être ultra militaristes...

Si ils se sentent persécutés idéologiquement...

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On ne peut pas dire que les militaires soviétiques étaient opposés au virilisme autoritaire... Quant aux armées révolutionnaires l’inscription dans le culte de la république romaine comme le parcours de la plupart d’entre eux sous l’Empire conduisent à relativiser leur distance avec ce type de « virilisme autoritaire », pour autant que le contexte historique permette une telle comparaison.

Modifié par gustave
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Il y a 23 heures, Polybe a dit :

J'ai regardé un reportage sur le JT d'Arte hier. A la limite (franchie par certains interviewés) de l'anti-militarisme. La phrase "...ces opérateurs sont formés jusqu'à tuer l'adversaire..." m'a fait sourire...ou alors il faut m'expliquer à quoi s'entraine le reste de l'armée allemande ! ^^

Mais si ils continuent leurs conneries, ils vont 'sauter' les KSK !

"Je vais te tuer jusqu'à ce que tu sois mort!"

Révélation

 

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Il y a 1 heure, Snapcoke a dit :

Mais comment est traité cette pointe de tungstène ?

Je ne connais pas L'affaire, mais s'étonner que des gens qui sont par définition des ultra militaristes, aient aussi une propension à appréciés la période la plus militariste de l'Allemagne.... Et a être ultra militaristes...

Si ils se sentent persécutés idéologiquement...

Encore une fois : ce n'est pas ce qui leur est reproché. On leur reproche le non respect des réglements et lois associé à des velléités contre leurs organes de commandement, voir leur population. Et pas dans des petites proportions. Il me parait effectivement assez compréhensible que de la part d'une armée, qui plus est une de ses troupes d'élites, ça soit dérangeant.

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Il y a 2 heures, Snapcoke a dit :

Je ne connais pas L'affaire, mais s'étonner que des gens qui sont par définition des ultra militaristes, aient aussi une propension à appréciés la période la plus militariste de l'Allemagne.... Et a être ultra militaristes... Si ils se sentent persécutés idéologiquement...

Les forces spéciales n'ont pas toute la nostalgie d'un pouvoir dictatorial et mené dans une optique militariste.

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  • 3 weeks later...

Une vidéo très intéressante, feu et mouvement pour plusieurs équipes avec leurs mitrailleuses MG3 sur affût monté sur trépied, déplacement vers l'avant d'équipes MG3  sous l'appui d'autres équipes MG3, repli d'équipes MG3 sous la couverture d'autres équipes MG3. 

Adaptation de l'affût trépied selon le terrain, et entre les ordres en allemand et le même bruit que le tir d'une MG42, on se dirait dans le soldat Ryan ! 

Le tir se fait avec le système avec une monoculaire, 2 gars transportent la MG3 sur le trépied, un transporte les caisses de munition et le chef de pièce dirige. 

Il y a 2 G36 qui entre les rafales de la MG3 tirent. 

Une belle vidéo :smile:

 

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https://www.sueddeutsche.de/politik/mali-bundeswehr-1.5308812

Aktuelle Nachrichten in der Süddeutschen Zeitung

HomePolitikMaliZweifel an Bundeswehr-Einsatz in Mali

31. Mai 2021, 13:09 Uhr

Westafrika

:

Zweifel an Bundeswehr-Einsatz in Mali

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Bis zu 1100 Mann unterstützen die UN-Mission in Mali: Eine Soldatin im Einsatz in Gao. (Foto: Joerg Boethling/imago)

Nach dem Militärputsch in Mali steht der Einsatz deutscher Soldaten in dem westafrikanischen Land als ineffizient in der Kritik. Frankreich droht bereits mit einem Rückzug seiner Truppen.

 

Von Daniel Brössler und Mike Szymanski, Berlin

 

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Nach dem neuen Putsch durchs Militär in Mali schwindet in Deutschland der Rückhalt für den Einsatz der Bundeswehr in dem westafrikanischen Krisenland. "Wenn die unter anderem von Deutschland ausgebildeten Offiziere in Mali zu Putschisten werden und zur Zusammenarbeit mit Islamisten bereit sein sollten, wird unsere Ausbildungsmission als Teil des Antiterrorkampfes zur Farce", sagte Norbert Röttgen, Außenpolitikexperte der CDU, der Süddeutschen Zeitung. Diese hätte dann "umfassend ihre Legitimation verloren". Vergangene Woche hatte das Militär in dem westafrikanischen Land zum zweiten Mal innerhalb von neun Monaten geputscht und die Staatsführung festgesetzt. Erst vor wenigen Wochen hatte der Bundestag die Mandate für die Beteiligung der Bundeswehr an zwei Missionen in Mali verlängert.

 

"Von der Junta darf es nicht nur Lippenbekenntnisse geben. Nötig sind beherzte und sichtbare Schritte zur Übergabe der Macht", forderte der außenpolitische Sprecher der Grünen im Bundestag, Omid Nouripour. Die Bundesregierung müsse "jetzt aufhören damit, die Lage schönzureden. Stattdessen muss sie Druck machen, damit der politische Prozess vorankommt, sonst ist der ganze Einsatz der Bundeswehr umsonst". Man erwarte "mehr Realismus und deutlich klarere Zeitlinien", sagte die FDP-Verteidigungspolitikerin Marie-Agnes Strack-Zimmermann.

 

Mali

Ein Putsch im Putsch

Das Militär nimmt den Präsidenten und den Regierungschef fest. Sie waren die Köpfe der Übergangsregierung, die Wahlen vorbereiten soll.   Von Bernd Dörries

 

In Mali geht es der Bundesregierung im Kern darum, an der Seite Frankreichs den Vormarsch von Islamisten in der Sahelzone zu stoppen. Mit bis zu 600 Soldaten beteiligt sich die Bundeswehr an der EU-Ausbildungsmission EUTM und mit bis zu 1100 Soldaten an der UN-Mission Minusma. Frankreichs Präsident Emmanuel Macron droht nun allerdings mit dem Rückzug der Truppen seines Landes, sollte sich Mali nach dem Putsch in Richtung radikaler Islamismus entwickeln. Die Fortsetzung des Engagements hänge von den "politischen Bewertungen" ab, die nun gemeinsam mit den internationalen Partnern vorgenommen würden, sagte ein Sprecher von Verteidigungsministerin Annegret Kramp-Karrenbauer (CDU).

 

Unabhängig von Frankreich entscheiden

Der CDU-Außenpolitiker Röttgen rief dazu auf, sich in der Bewertung der Lage unabhängiger von Frankreich zu machen. "Deutschland kann diese Frage nicht allein danach beantworten, wie sie in Paris entschieden wird", sagte der Vorsitzende des Auswärtigen Ausschusses im Bundestag. Die Unterstützung Frankreichs allein reiche als Legitimation dieses Einsatzes durch die deutsche Politik nicht mehr aus. Deutschland müsse "im Verein mit Frankreich entscheiden, worin der legitimierende Sinn des Einsatzes besteht und ob er unter den neuen innenpolitischen Umständen in Mali noch erreichbar ist."

 

Das Engagement in der Sahel-Region sei von großer Bedeutung, betonte indes Regierungssprecher Steffen Seibert. "Wenn die Sahel-Staaten destabilisiert werden durch den sie permanent bedrängenden Terrorismus, dann hat das direkte humanitäre Auswirkungen für Millionen von Menschen und für eine große Region in Afrika", sagte er. Deswegen sei es "richtig, dass dort in den vergangenen Jahren der Kampf gegen den Terrorismus unterstützt worden ist".

 

Seibert begrüßte die Entscheidung der westafrikanischen Wirtschaftsgemeinschaft Ecowas, die Mitgliedschaft Malis auszusetzen. Die sei ein "klares Zeichen, dass die Vorgänge in Mali so nicht akzeptiert werden können". Ecowas hatte bei einem Krisengipfel am Sonntagabend die Bildung einer Übergangsregierung mit Vertretern aus Zivilgesellschaft und Armee gefordert

Désolé mes très chers, mais n'arrive pas à traduire le texte 

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  • 3 weeks later...
Quote

Otan : Un peloton de l'armée allemande retiré de Lituanie pour des raisons disciplinaires

Le déploiement de bataillons multinationaux dans les pays baltes, au titre de la présence avancée renforcée mise en œuvre par l’Otan, est régulièrement la cible de fausses informations. Tel est le lot, par exemple, des 450 militaires canadiens envoyés au camp Adazi, en Lettonie, ces derniers ayant été accueillis, dès 2017, par une campagne de désinformation

« Quand vous avez des fractures au sein d’une société, les fausses nouvelles et les campagnes de désinformation sont particulièrement dangereuses, parce qu’elles peuvent élargir ces fissures », avait ainsi expliqué un officier « communication » auprès de Radio Canada.

Mais le bataillon canadien n’est évidemment pas le seul concerné. En Lituanie, les militaires allemands sont aussi confrontés aux infox. En octobre 2019, ils furent accusés, via les réseaux sociaux, d’avoir ravagé un cimetière juif à Kaunas avec l’un de leurs chars Leopard 2. Seulement, tout était faux, les photographies – des montages grossiers – comme les témoignages.

Aussi, dans un tel climat, il est important d’avoir un comportement irréprochable, le moindre écart avec la discipline pouvant être monté en épingle… Or, selon des informations de l’hebdomadaire Der Spiegel, un peloton de la Bundeswehr n’a pas eu une conduite exemplaire.

Ainsi, lors d’une fête donnée dans un hôtel de Rukla, le 30 avril, ayant trop forcé sur la boisson, certains soldats d’un peloton du Panzergrenadierlehrbataillons 92 ont entonné des chants extrémistes, proféré des insultes à connotation raciste et antisémite et commis des « infractions pénales », dont au moins une tentative d’agression sexuelle, rapporte Der Spiegel. Et, pour couronner le tout, l’unité aurait perdu la trace de 539 munitions pour armes de poing.

Das Fehlverhalten einiger Soldaten in Litauen ist ein Schlag ins Gesicht aller, die Tag für Tag in der #Bundeswehr der Sicherheit in unserem Land dienen. Die Entgleisungen beschädigen das Ansehen der Bundeswehr und Deutschlands. Das wird mit aller Härte bestraft werden. 1/2
— A. Kramp-Karrenbauer (@akk) June 16, 2021

La réaction du ministère allemand de la Défense ne s’est pas fait attendre : il a décidé le retour immédiat de ce peloton en Allemagne, où une enquête est déjà en cours afin d’identifier les coupables.

« La mauvaise conduite de certains soldats en Lituanie est une gifle au visage de tous ceux qui servent la sécurité de notre pays jour après jour dans la Bundeswehr », a commenté Annegret Kramp-Karrenbauer, la ministre allemande de la Défense.

« En particulier en Lituanie, où nous nous tenons aux côtés de nos partenaires de l’Otan pour défendre des valeurs communes, un tel comportement de la part d’individus n’est pas seulement totalement inexcusable, c’est absolument honteux pour nous tous », a par ailleurs déclaré Christina Routsi, la porte-parole du ministère.

Les soldats ayant eu un tel comportement risquent d’être renvoyés de la Bundeswehr sans préavis.

http://www.opex360.com/2021/06/17/otan-un-peloton-de-larmee-allemande-retire-de-lituanie-pour-des-raisons-disciplinaires/

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  • 1 month later...

Ne sachant pas vraiment si la Fallschirmjägertruppe est rattachée à l'armée de l'air ou de terre, je le mets ici

https://soldat-und-technik.de/2021/08/mobilitaet/27935/franzoesische-fallschirmsysteme-fuer-die-bundeswehr/

Systèmes de parachutes français pour la Bundeswehr (et au passage on apprend que les Belges et Hollandais le prennent légalement)

La Bundeswehr se procure des systèmes de parachute "Ensemble de Parachutage du Combattant" (EPC) pour remplacer les systèmes T-10/T-10R introduits à partir de 1957. Après que les commissions du Bundestag ont donné leur feu vert au financement à la fin du mois de juin 2021, la passation de marché peut maintenant avoir lieu.

En amont, l'Office fédéral des équipements, des technologies de l'information et du soutien en service de la Bundeswehr (BAAINBw) a demandé à l'Agence d'acquisition et de soutien de l'OTAN (NSPA) de conclure un contrat-cadre avec Safran Electronics & Defense pour l'acquisition des EPC en coopération avec la Belgique et les Pays-Bas.

Dans un premier temps, 1.662 parachutes principaux et 1.162 parachutes de secours ainsi que les accessoires nécessaires seront appelés. Les systèmes de présérie doivent être livrés cette année. Ils seront utilisés pour la vérification intégrée et la certification aéronautique des parachutes. Les dispositifs de série doivent être livrés aux troupes entre 2022 et 2026.

Les dépenses financières sont estimées à environ 24 millions d'euros. À cela s'ajoutent les frais de transaction de la NSPA et un contrat supplémentaire pour la production de la préparation au déploiement et à l'approvisionnement d'une valeur de 2,7 millions d'euros.

La commande d'un second lot de 2 674 parachutes principaux et de 1 928 de secours au titre du même contrat-cadre est prévue à partir de 2023. Environ 30 millions d'euros seront nécessaires à cet effet.

L'achat approuvé d'un total de 4 336 parachutes principaux et de 3 090 parachutes de réserve couvrira les besoins de la Bundeswehr tels qu'ils ont été définis par le ministère fédéral de la Défense. Grâce à la coopération avec les partenaires de l'alliance, les systèmes de parachutes automatiques seront standardisés. Cela permet d'améliorer l'interopérabilité et d'ouvrir la coopération dans le cadre de la logistique ainsi que de la formation et des exercices.

Le nouveau système de parachute est basé sur l'Ensemble de Parachutage du Combattant des forces armées françaises, qui a été introduit dans ce pays en 2010. Le système EPC est contrôlable, a une vitesse de descente de six m/s et permet de larguer des soldats d'un poids total de 165 kilogrammes. On ne sait pas encore dans quelle mesure la variante B de l'EPC sera différente du parachute français. Selon les informations de l'Office of Army Development, le successeur du T-10 aura un "poids de chute de 180 kilogrammes pour le largage à partir de basses altitudes tout en augmentant la sécurité".

Ceux utilisés à des fins militaires doivent être certifiés par l'Office de l'aviation des forces armées allemandes. Étant donné que l'EPC a déjà été introduit dans les pays partenaires et qu'il est également qualifié en France pour le largage de sauteurs à partir de l'A400M, une approbation plus rapide pourrait être possible dans certaines circonstances. "Actuellement, les documents de certification des nations partenaires sont examinés en vue d'un essai de type simplifié", a répondu le gouvernement allemand à une question du groupe parlementaire FDP dès le début de 2021.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

 

 

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Mazette, 44 unités ... Je ne peux me résoudre à occulter  chez nous nos quelques maigres Vulcain en attendant le module machin à roulette qui arrivera bientôt. J'aurai aimé, moi, lire que nous allions acquérir 44 EBG pour doter les sections du génie, de notre armée-à-nous-qu'on-a...

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Just now, max said:

Mazette, 44 unités ... Je ne peux me résoudre à occulter  chez nous nos quelques maigres Vulcain en attendant le module machin à roulette qui arrivera bientôt. J'aurai aimé, moi, lire que nous allions acquérir 44 EBG pour doter les sections du génie, de notre armée-à-nous-qu'on-a...

On a pas assez d'innondation encore ...

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Commande du fusil d'assaut - C.G. Haenel se bat et veut gagner

https://soldat-und-technik.de/2021/08/bewaffnung/28062/sturmgewehrauftrag-c-g-haenel-kaempft-und-will-gewinnen/

L'armurier thuringien C.G. Haenel se voit bien positionné et estime actuellement avoir de bonnes chances d'être autorisé à fournir le futur fusil d'assaut de la Bundeswehr, le MK556. L'entreprise tente toujours de remporter le prestigieux contrat, qui a été retiré à Haenel peu après son attribution en septembre dernier. Trois actions en justice sont actuellement en cours devant les tribunaux allemands. Dans le même temps, l'entreprise se défend contre ce qu'elle considère comme de fausses allégations circulant toujours autour de la structure de propriété et des performances du fabricant d'armes.

"Nous ne pouvons que gagner", c'est ainsi qu'Olaf Sauer, qui dirige les destinées de l'entreprise de Suhl depuis 2003, résume la situation actuelle lors d'une visite de l'usine. À la question de savoir si l'entreprise s'attend toujours à ce que la Bundeswehr attribue le marché à Haenel, même si le tribunal régional supérieur devait se prononcer en faveur de l'entreprise de Thuringe au printemps prochain, M. Sauer répond comme suit : "Pour Haenel, il est important de montrer que nous n'avons pas fait d'erreur, nous ne pouvons pas influencer autre chose."

L'entreprise ne se bat pas seulement pour le contrat lucratif consistant à fournir jusqu'à 120 000 fusils d'assaut à la Bundeswehr, mais aussi pour sa réputation. C'est pourquoi l'entreprise a décidé de réfuter toute accusation injustifiée par tous les moyens légaux disponibles, déclare Sauer dans une interview accordée à Soldat & Technik.

Violations de brevets et rentabilité

Depuis plusieurs mois, l'entreprise est impliquée dans plusieurs litiges juridiques, qui n'ont pas encore été définitivement résolus. Après que la Bundeswehr a exclu C.G. Haenel de la procédure d'adjudication au début du mois de mars en invoquant d'éventuelles violations de brevets, l'entreprise a intenté une action en justice : après le rejet d'un blâme par l'Office des achats de la Bundeswehr (BAAINBw), le fabricant d'armes de Suhl a déposé une plainte auprès de l'Office fédéral des ententes à Bonn. La Chambre des marchés publics a rejeté la plainte le 10 juin. Le raisonnement a surpris non seulement les observateurs de l'appel d'offres mais aussi les Thuringiens eux-mêmes. En effet, les infractions aux brevets - la raison initiale de l'exclusion - ne jouent plus aucun rôle. Deux semaines avant l'audience, les avocats de la Bundeswehr ont informé les Thuringiens que l'offre n'était plus la plus économique, c'est-à-dire qu'elle était trop chère.

La raison invoquée par l'Office des cartels est que la clarification des prix initiée par le BAAINBw après la soumission des offres finales n'était pas autorisée. Cela a conduit à un changement dans l'ordre d'évaluation des offres.

Cette justification s'explique par le fait que les deux soumissionnaires avaient proposé des prix sensiblement différents pour les rails STANAG (souvent appelés aussi rails Picatinny), qui servent à fixer des accessoires à l'arme. Les acheteurs de la Bundeswehr ont alors contacté les entreprises et demandé des éclaircissements sur ce point. Haenel les a ensuite informés que le prix indiqué se référait à un ensemble de trois rails, alors que Heckler & Koch avait indiqué le prix pour des rails individuels. Cette soi-disant clarification a conduit à ce que l'offre de la Thuringe devienne la plus économique.

Selon la direction de Haenel, la société a répondu comme demandé à une demande du client. Dans l'offre originale, on avait "pensé en ensembles", puisque "du point de vue de C.G. Haenel, trois rails sont nécessaires pour la fonctionnalité du pistolet avec tous les accessoires requis", explique Sauer. Bien que la décision de l'Office des cartels ait été notée, elle n'a pas été acceptée et un appel a donc été interjeté auprès du tribunal régional supérieur de Düsseldorf (OLG).

La décision des juges de Bonn ne fait pas l'unanimité, même parmi les experts en droit des marchés publics. " Le fait que les offres de prix, si elles sont essentielles, ne peuvent être exigées ultérieurement est clairement réglementé par la loi (§ 31 alinéa 2 n° 8 VSVgV) et ne doit être mis en doute par aucune des parties. La seule chose qui n'est pas claire, c'est si une demande ultérieure de prix a été faite : Car la procédure du pouvoir adjudicateur - la demande faite à tous les soumissionnaires d'examiner et, si nécessaire, de réviser leurs offres - ressemble davantage à un report partiel de la procédure d'adjudication. Elle permet au pouvoir adjudicateur de clarifier ses documents peu clairs et de lever les doutes. En outre, tous les soumissionnaires, et pas seulement les particuliers, sont autorisés à améliorer leurs offres - avec un résultat ouvert. Dans ce cas, cependant, la situation de renégociation des offres individuelles, qui est considérée à juste titre comme non transparente et discriminatoire, n'existe pas. Et la question de savoir si l'ordre des soumissionnaires change lors de la nouvelle soumission n'est plus pertinente", écrit Daniel Soudry, avocat spécialisé en droit des marchés publics et associé du cabinet berlinois SOUDRY & SOUDRY Rechtsanwälte dans le numéro d'août de la revue spécialisée Europäische Sicherheit & Technik.

La Bundeswehr voit la nullité d'une affaire de violation de brevet

L'entreprise prévoit que l'affaire sera entendue par l'OLG en mars 2022. Ensuite, il y aura probablement une décision sur la question de savoir si la demande était admissible. Les éventuelles violations des droits de brevet ne joueront pas de rôle dans ce contexte, car les juristes de la Bundeswehr semblent avoir changé d'avis sur ce point également. Selon M. Sauer, la Bundeswehr a informé C.G. Haenel qu'il fallait partir du principe qu'il y avait une "nullité" en ce qui concerne les éventuelles violations de brevets.

À l'origine, des experts mandatés par la Bundeswehr étaient arrivés à la conclusion qu'il pouvait y avoir des violations de brevets. Deux aspects ont été touchés : Des trous pour l'évacuation de l'eau dans un composant d'arme de C.G. Haenel, qui aurait pu violer un brevet de Heckler & Koch, et un chargeur fourni par le fabricant bavarois Oberland Arms, qui aurait pu violer des brevets du fabricant américain Magpul.

Forage

Haenel estime qu'elle a été accusée à tort dans le cas des alésages et que son propre avis a été confirmé par une expertise qu'elle a commandée à un expert indépendant en matière de droits de brevet. Après tout, selon la société, le MK556 était une arme entrée dans la compétition avec un seul trou d'évacuation d'eau.

Cette caractéristique de conception a été utilisée pour la première fois sous cette forme en 1994 par la société américaine Colt dans le Colt M4 de l'époque. Le patron de Haenel, Sauer, affirme que Colt a confirmé par écrit qu'il n'enfreint aucun brevet. Bien qu'il existe un procès intenté par Heckler & Koch contre C.G. Haenel pour l'utilisation du même composant d'arme avec trois alésages, il ne s'agit pas du MK553 déposé dans la Bundeswehr, mais du CR223 - une version civile du fusil. Selon Sauer, il n'y a pas eu non plus d'action d'extension de la part de Heckler & Koch au MK556 après que le tribunal chargé de cette affaire ait examiné les deux armes. Selon lui, il s'agit d'une indication claire que le MK556 ne viole pas les brevets de Heckler & Koch.

Chargeurs

Selon lui, les allégations concernant les chargeurs ont également été clarifiées. Les chargeurs présentés lors du concours comparatif initial avaient été obtenus auprès du fournisseur Oberland Arms. Ces chargeurs sont adaptés à l'arme Haenel, marqués du logo Caracal et sont fabriqués en Allemagne depuis plusieurs années par Oberland Arms en concertation avec Magpul. Selon Sauer, la nouvelle direction de Magpul a entre-temps demandé à Oberland Arms de ne plus proposer ce modèle sans contrôle de Magpul. En conséquence, C.G. Haenel, en collaboration avec Oberland Arms, a obtenu l'autorisation écrite de Magpul de continuer à proposer les chargeurs dans leur forme originale pour une éventuelle commande de la Bundeswehr. Selon Sauer, Magpul n'a pas engagé d'action en justice contre Oberland Arms.

Les relations de propriété sous la critique

En plus de clarifier les questions juridiques, Haenel veut également corriger les allégations faites publiquement sur l'entreprise, peu après la décision de sélection de Haenel, qui a été annoncée en septembre 2020 et a surpris beaucoup de monde, avec la plus grande transparence possible.

Après que l'intention de la Bundeswehr de confier à C.G. Haenel la livraison des nouveaux fusils d'assaut a été connue, des objections à cette intention ont été soulevées tant dans les médias que par des hommes politiques. La structure de propriété a notamment été critiquée, puisque Merkel Jagd- und Sportwaffen GmbH, la société mère de C.G. Haenel, est une filiale à 100 % du fabricant d'armes arabe Caracal LLC. Caracal, quant à elle, est une filiale d'EDGE, un groupe technologique basé dans l'émirat d'Abu Dhabi. Des craintes ont été exprimées quant au fait que le savoir-faire allemand pourrait être transféré aux Émirats et que les armes pourraient être utilisées pour des violations des droits de l'homme.

Pour le directeur général de Haenel, ces accusations sont sans fondement, car selon lui, elles ne correspondent pas aux faits et n'ont en rien affecté l'appel d'offres de la Bundeswehr. La structure de propriété est connue du public depuis la fin des années 2000 et n'a joué aucun rôle dans l'appel d'offres. Ils n'ont pas non plus joué un rôle dans les appels d'offres précédents. Par exemple, C.G. Haenel a obtenu le contrat de fourniture du fusil de précision des forces spéciales G29 à la Bundeswehr il y a près de cinq ans.

Selon le directeur de Haenel, M. Sauer, il est "heureux des actionnaires qui apportent leur soutien de toutes sortes de manières". Ils ont des intérêts à long terme et ne sont pas intéressés par des profits à court terme, mais par un "développement durable" de l'usine d'armement de Suhl. Le fait que les actionnaires aient investi beaucoup d'argent dans le site et n'aient effectué aucun retrait en témoigne.

Selon le directeur général, l'entreprise thuringienne est autonome dans ses décisions de gestion ; les "actionnaires veulent seulement comprendre ce que nous faisons". Il n'existe pas non plus d'obligations de livraison ou de relations avec Abu Dhabi. "Il n'y a pas de transfert de technologie". M. Sauer souligne que Haenel est soumis à la réglementation allemande en matière d'exportation et ne fournit que les pays européens et les États membres de l'OTAN - mais pas tous.

Capacités de production

La petite taille de l'entreprise et le manque de capacités de production ont également été critiqués. Cependant, l'entreprise de Suhl voit les choses différemment et ouvre donc ses halls de production pour dissiper l'accusation sur place. La direction de l'entreprise souligne que l'entreprise dispose d'un savoir-faire et de capacités de production suffisants pour être en mesure de répondre également à la commande de la Bundeswehr, qui porte sur de gros volumes, sans pour autant devoir négliger l'activité actuellement dominante des clients privés. "L'activité des clients privés est un stabilisateur, nous ne la lâchons pas d'une semelle", souligne M. Sauer.

Le directeur général est fier du savoir-faire de l'entreprise en matière de transformation des métaux. Cette possibilité existe depuis des décennies, car tous les fusils d'assaut Kalashnikov utilisés en RDA avaient des tubes fabriqués à Suhl. Selon Sauer, Haenel a également maîtrisé la technologie entourant le MK556, puisque la version civile du fusil d'assaut est produite en série depuis près d'une demi-décennie.

Cependant, la production n'est pas assurée par C.G. Haenel, mais par la société mère de Merkel. Cette dernière dispose de l'ensemble des capacités de production et approvisionne les trois filiales détenues à 100 %, qui servent les trois segments d'activité que sont les fusils de chasse haut de gamme, la chasse et les sports de tir, et les activités gouvernementales et militaires.

En ce qui concerne les capacités de production, les réserves sont suffisantes à Suhl, affirme M. Sauer. Cela apparaît également clairement lors de la visite de l'installation de production. La production est actuellement "migratoire". Cela signifie qu'un travailleur qualifié effectue les étapes de production d'une pièce sur plusieurs lieux de travail. En effet, tous les postes de travail et tous les établis ne sont pas occupés en permanence, mais le personnel se déplace de l'un à l'autre pour les étapes de travail respectives. Le personnel se déplace donc de poste de travail en poste de travail. Selon M. Sauer, il est possible d'aller encore plus loin en dotant les stations de production d'un personnel permanent. De cette manière, l'entreprise dispose d'un potentiel de croissance suffisant sans avoir à s'agrandir.

Selon Haenel, les capacités des machines sont également loin d'être épuisées. Dans la production de tuyaux, par exemple, seuls environ 50 % de la capacité totale sont utilisés, dont la moitié pour produire des canons pour les concurrents. Sauer dit qu'elle produit actuellement environ 25 000 canons par an. 60 000 sont possibles si plusieurs équipes sont mises en place. Pour mettre cela en perspective : selon les chiffres publiés par la Bundeswehr, l'entreprise devrait livrer jusqu'à 20 000 fusils par an pour le contrat avec la Bundeswehr.

La direction de Haenel souligne qu'elle investit constamment dans l'expansion et la modernisation de ses machines. Non seulement pour accroître les capacités, mais aussi pour augmenter la qualité des produits et de la production et pour pouvoir offrir à la main-d'œuvre un lieu de travail attrayant. Cela a contribué au fait que, malgré la pénurie de travailleurs qualifiés en Allemagne, il a été possible de pourvoir les postes des employés qui ont pris leur retraite.

Dans ce contexte, le directeur général fait référence au haut niveau de qualification de son personnel, dont seul un faible pourcentage à un chiffre est non qualifié. Selon lui, cela est dû d'une part à l'entreprise de formation et de perfectionnement interne et d'autre part au site de Suhl, où se trouve l'un des deux centres de formation pour armuriers en Allemagne. Bien qu'il admette que son entreprise ne peut pas échapper à la concurrence pour les travailleurs qualifiés, il est certain qu'il pourra recruter suffisamment de personnel qualifié à l'avenir.

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110 soldats du Bataillon d'artillerie 131 s'entraînent au tir réel sur obusier blindé. Ils ne sont pas seuls. Avec leurs camarades hongrois, ils donnent tout pendant l'exercice Breakthrough 2021. Pendant cette situation complexe, des hélicoptères de combat, des véhicules blindés de combat, des chars de combat et des forces spéciales hongrois sont engagés aux côtés des obusiers blindés allemands.

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La Bundeswehr s'intéresserait à nouveau aux munitions rôdeuses

https://netzpolitik.org/2021/uebernahme-von-emt-rheinmetall-steigt-wieder-ins-geschaeft-mit-drohnen-ein/

A une époque, Rheinmetall voulait également vendre un système de drones armés à l'armée allemande. Ce WABEP ("Wirkmittel zur Abstandsfähigen Bekämpfung von Einzel- und Punktzielen") aurait été composé de deux drones volants différents : Le KZO de Rheinmetall devait marquer des cibles, celles-ci auraient ensuite été détruites par un HAROP de IAI en Israël. De tels drones kamikazes sont appelés "Loitering Munition" (munitions flottantes).

La mise en service d'un total de WABEP-42 drones était prévue à partir de 2013, mais après des "tests pratiques" et la frappe à titre d'essai de "cibles particulièrement importantes", le ministère de la Défense a décidé de ne pas le faire en 2012. Selon le secrétaire d'État parlementaire Thomas Silberhorn, le WABEP n'aurait pu être financé que sept ans plus tard et aurait alors été "techniquement obsolète".

Sachant que la HAROP est encore utilisée aujourd'hui dans des conflits militaires et qu'elle aurait même contribué au succès de la guerre d'agression de l'Azerbaïdjan contre l'Arménie, la Bundeswehr pourrait regretter sa décision de l'époque. Aujourd'hui, la possibilité d'acquérir des "munitions létales" est à nouveau sur la table. Le ministère de la Défense fait établir une feuille de route pour la recherche et le développement, la Bundeswehr a chargé le prestataire de services d'armement allemand AMDC de réaliser une étude sur les systèmes disponibles sur le marché. L'un des fournisseurs est Rheinmetall, des drones polonais Kamikaze sont ainsi tirés par un char de drones nouvellement développé.

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https://soldat-und-technik.de/2021/12/mobilitaet/29398/joint-fire-support-team-boxer-entwicklung-hat-begonnen/

Joint Fire Support Team Boxer : le développement a commencé

L'agence européenne de l'armement OCCAR a conclu un contrat avec ARTEC, la coentreprise de Rheinmetall et Kraus-Maffei Wegmann, pour le compte de la Bundeswehr, afin de développer un nouveau Boxer équipé de modules de mission pour les Joint Fire Support Teams (JFSTsw). Comme l'a indiqué l'OCCAR, le contrat comprend le développement et la livraison de deux véhicules prototypes et d'un système de référence pour la réalisation d'essais et de tests. Le contrat serait doté de 70 millions d'euros.

La Bundeswehr utilise des JFST pour coordonner les tirs indirects des systèmes de combat terrestres, l'engagement des hélicoptères de combat de l'armée de terre ainsi que les moyens d'action de l'armée de l'air et de la marine. Outre les JSFT légers basés sur Fennek et les JFST parachutés, l'acquisition de la variante lourde doit maintenant être lancée. Les JFST embarqués se composent d'un véhicule pour le combat par le feu sol/sol et d'un véhicule pour le combat par le feu air/sol.

De nouveaux boxers sont construits pour la JFSTsw. Les modules de propulsion correspondent à la version A2, introduite dans l'armée allemande. Les modules de mission seront nouvellement développés et porteront comme composants principaux des équipements pour l'observation et la reconnaissance et pour la communication, une station d'armes télécommandable pour l'autoprotection ainsi qu'un système de navigation hybride pour améliorer la capacité de navigation, comme il ressort de la proposition de 25 millions d'euros au Bundestag.

Composants

Le système d'observation et de surveillance utilisé est le Stabilised Panoramic Above Armour Gimbal de Thales dans sa version PAAG JFS. Le système, équipé d'un imageur thermique et d'une caméra couleur diurne haute résolution, permet d'identifier les cibles en fonction de leur taille dans une bande de distance allant jusqu'à quatre kilomètres. En fonctionnement continu, tout l'hémisphère autour du véhicule peut être couvert. Un télémètre laser offre des distances de mesure allant jusqu'à dix kilomètres. Pour surveiller les cibles situées derrière la ligne de toit, le PAAG peut être relevé.

Pour l'autoprotection, le JFSTsw est équipé de la station d'armes télécommandée Protector M153 de Kongsberg. Le M153 peut accueillir des armes de petit et moyen calibre jusqu'à la mitrailleuse à grenades de 40 mm. Les optiques de jour et de nuit sont stabilisées, tout comme l'arme. La commande s'effectue via un écran compatible NGVA et un manche à balai dans le module de mission.

Pour l'intégration des nouveaux sous-systèmes, le module de mission reçoit un réseau électrique conforme au standard NATO Generic Vehicle Architecture (NGVA).

L'OCCAR évalue la nouvelle conception du JFSTsw comme un équilibre sain entre mobilité, efficacité et protection, avec la capacité d'effectuer des missions de surveillance avec un risque moindre pour l'utilisateur.

Acquisition

Avec le contrat de développement, ARTEC a été chargé de livrer un prototype JFSTsw, composé d'un véhicule pour les missions sol/sol et d'un autre pour les missions air/sol. Après l'achèvement réussi de la démonstration, à laquelle participeront le BAAINBw et la troupe, l'acquisition en série de neuf autres JFSTsw (18 véhicules) sera commandée à partir de 2023. Un autre projet de 25 millions d'euros est nécessaire pour débloquer les moyens financiers d'un montant d'environ 143 millions d'euros. La livraison des véhicules devrait être achevée d'ici 2027.

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