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Le 25/12/2020 à 20:48, Ciders a dit :

En gros, il dit que le plan de relance qu'il a refusé était nul, qu'on devrait donner plus d'argent au peuple et que si les USA sont dans la merde (mais pas trop, ils sortent d'un superbe mandat, peut-être le meilleur de l'Histoire depuis Lincoln... quoi que), c'est à cause de ce foutu virus chinois et des efforts des démocrates pour saboter le pays en liaison directe d'ailleurs avec Pékin.

Trump refue de signer un truc.... qui a comme montant ce qu'il avait demandé lui même (il prétend que c'est faux). Son propre camp refuse de donner plus. Fox News sature de lui. Demain matin 12 millions d'américains n'ont plus d'allocations et le gouvernement bloque mardi. C'est tellement minable qu'on n'aurait jamais imaginé aussi pathétique dans un film. 

Le sénateur républicain Toomey (qui selon nos critères est un réactionnaire entre action française et Rn) est même contraint de dire sur les pardons:  "But some of these other cases, I mean, my goodness, we have tax fraud, bank fraud, witness tampering, obstruction of justice, but because they were close to the president they got pardoned." Toomey recognized that the pardons were constitutional, but said he believes some of them were "a misuse of the power."

 

 

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Le  Monde / Sous la pression, Donald Trump ratifie le plan de relance américain

https://www.lemonde.fr/international/article/2020/12/28/covid-19-sous-la-pression-donald-trump-ratifie-le-plan-de-relance-americain_6064620_3210.html

"Le plan de 900 milliards de dollars négocié au Congrès, auquel le président menaçait de mettre son veto, rétablit notamment les indemnités de chômage pour des millions de personnes."

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il y a 21 minutes, pascal a dit :

Il n'a peut-être pas tremblé mais en attendant il n'a pas mis son veto ... ce qui revient exactement au même

À mon avis, simple calcul politique peut-être même  une ou deux ligne modifiée dans le texte final.

Pour moi, la politique est un théâtre jouant une tragédie  mais en Janvier, l'acte sera lyrique.

Modifié par Locke
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il y a 19 minutes, Locke a dit :

À mon avis, simple calcul politique peut-être même  une ou deux ligne modifiée dans le texte final.

Pour moi, la politique est un théâtre jouant une tragédie  mais en Janvier, l'acte sera lyrique.

Pour quel résultat ? Il s'oppose à une mesure de la majorité qui toucherait en plus ses propres électeurs.

A part y voir une volonté de faire c**er tout le monde, je ne vois pas l'objectif.

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Il y a 2 heures, Ciders a dit :

Pour quel résultat ? Il s'oppose à une mesure de la majorité qui toucherait en plus ses propres électeurs.

A part y voir une volonté de faire c**er tout le monde, je ne vois pas l'objectif.

Nous ne savons pas réellement ce qu'il y a dessus et ce qui a été fait derrière.

Et penses tu sérieusement que les sénateurs et députés ont quelques choses à faire du bas peuple, ce sont les mêmes ou justes des clones qui sont élus.

Ils ont joué un drama, Trump dans le rôle du méchant et la chambre comme des altruistes.

C'est de la comédie,  un effet de manche pour les électeurs.

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Le Monde / Etats-Unis : camouflet pour Donald Trump sur le budget de la défense

https://www.lemonde.fr/international/article/2020/12/29/etats-unis-camouflet-pour-donald-trump-sur-le-budget-de-la-defense_6064703_3210.html

"La Chambre des représentants a rejeté le veto du président américain, ouvrant la voie à un vote final au Sénat qui pourrait permettre au Congrès de contourner pour la première fois un veto de Donald Trump

[...] La Chambre des représentants a rejeté le veto du président américain, ouvrant la voie à un vote final au Sénat qui pourrait permettre au Congrès de contourner pour la première fois un veto de Donald Trump.

Pour la première fois durant le mandat de Donald Trump, le Congrès est en passe de contourner un véto présidentiel, après le vote de la Chambre des représentants, le 28 décembre, à Washington. SAUL LOEB / AFP

Cela prend le chemin d’un revers cuisant pour le président américain sortant Donald Trump qui voit républicains et démocrates s’unir en nombre contre lui. Plus des deux tiers des parlementaires présents à la Chambre des représentants ont voté, lundi 28 décembre, en faveur du budget de la défense « en dépit des objections du président », soit la majorité qualifiée nécessaire pour surmonter son veto : 212 démocrates mais aussi 109 républicains.

Une claque pour celui qui se targue d’ordinaire d’un fort soutien dans son camp. Et un mauvais présage avant le vote final au Sénat attendu cette semaine. Si la chambre haute, à majorité républicaine, rejette à son tour ses objections, ce sera la première fois que le Congrès contourne un veto du 45e président des Etats-Unis.

Fruit de longues négociations, le budget de 740,5 milliards de dollars (environ 600 milliards d’euros) avait été adopté début décembre à des majorités écrasantes par la Chambre, à majorité démocrate, et le Sénat, contrôlé par les républicains. Il prévoit notamment une hausse de 3 % du salaire du personnel de défense. 

Donald Trump a annoncé le 23 décembre qu’il y mettait son veto, provoquant la consternation jusque dans son camp. En plus d’être selon lui trop favorable à la Chine, le président américain reproche notamment au texte d’ouvrir la possibilité de renommer des bases militaires honorant des généraux confédérés, qui ont combattu en défense de l’esclavage durant la guerre de Sécession (1861-1865).

Il a aussi justifié son opposition par le fait que le texte n’incluait pas l’abolition d’une loi, dite « article 230 », protégeant le statut juridique des réseaux sociaux, qu’il accuse d’être biaisés contre lui."

Il faut la majorité des 2/3 tiers du sénat pour casser ce véto:

" Si la chambre haute, à majorité républicaine, rejette à son tour ses objections, ce sera la première fois que le Congrès contourne un veto du 45e président des Etats-Unis."

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[Un Américain] est probablement le citoyen le plus malheureux de l'histoire du monde. Il n'a pas le pouvoir de se procurer autre chose que de l'argent, et son argent se gonfle comme un ballon et dérive, soumis aux circonstances historiques et au pouvoir des autres. Du matin au soir, il ne touche à rien de ce qu'il a produit lui-même, dont il peut être fier.  Malgré tous ses loisirs, il se sent mal, il a mauvaise mine, il est en surpoids, sa santé est mauvaise. Son air, son eau et sa nourriture sont tous connus pour contenir des poisons. Il y a de fortes chances qu'il meure d'asphyxie. Il soupçonne que sa vie amoureuse n'est pas aussi satisfaisante que celle des autres. Il souhaite être né plus tôt ou plus tard. Il ne sait pas pourquoi ses enfants sont comme ils sont. Il ne comprend pas ce qu'ils disent. Il ne s'en soucie pas beaucoup et ne sait pas pourquoi il ne s'en soucie pas. Il ne sait pas ce que sa femme veut ou ce qu'il veut. Certaines publicités et photos dans les magazines lui font soupçonner qu'il est fondamentalement peu attirant. Il a le sentiment que tous ses biens sont menacés de pillage. Il ne sait pas ce qu'il ferait s'il perdait son emploi, si l'économie s'effondrait, si les entreprises de services publics faisaient faillite, si la police se mettait en grève, si les camionneurs se mettaient en grève, si sa femme le quittait, si ses enfants s'enfuyaient, s'il était découvert qu'il était malade de façon incurable. Et pour ces angoisses, bien sûr, il consulte des experts agréés, qui à leur tour consultent des experts agréés au sujet de leurs angoisses.

Wendell Berry, The unsettling of America (1977) cité par Jeremy Rifkin, Entropy (1980)

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Le Monde / Le Congrès balaie le veto de Donald Trump sur le budget de la défense

https://www.lemonde.fr/international/article/2021/01/02/le-congres-balaie-le-veto-de-donald-trump-sur-le-budget-de-la-defense_6065011_3210.html

"Les élus républicains ont, avec les démocrates, désavoué de manière retentissante le président sortant, qui continue de contester sa défaite face à Joe Biden, moins de trois semaines avant de lui céder la Maison-Blanche.

« Rendez-vous le 6 janvier à Washington ! » Donald Trump a démarré l’année 2021 par un échec majeur, infligé par les républicains du Sénat, qui se sont joints aux démocrates, vendredi 1er janvier, pour renverser le veto qu’il avait opposé, le 22 décembre 2020, au budget de la défense.

Le président américain n’en a pas pour autant changé de stratégie : à dix-neuf jours de la passation des pouvoirs, il continue à encourager ses partisans à contester le résultat de l’élection du 3 novembre. « Le GRAND rassemblement de protestation à Washington aura lieu le 6 janvier, à 11 heures », a-t-il tweeté (et retweeté) depuis sa résidence de Mar-a-Lago (Floride), peu après le vote au Sénat. « Arrêtez le vol ! »..."

Ca sent un peu la fin de règne !

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https://greenwald.substack.com/p/instagram-is-using-false-fact-checking (17 décembre 2020)

Troemel a publié une photo datant de 1994 d'un homme jeune, souriant et sportif qui se tenait à côté du président Bill Clinton. La photo contenait cette légende : "Trouvez quelqu'un qui vous regarde de la même façon que Biden regardait Clinton après que Clinton ait signé la loi sur la criminalité de Biden. Apportant l'incarcération de masse aux noirs américains". C'est la même photo et la même légende qu'un supporter anonyme de Trump sous le nom de "realtina40" avait postées pour la première fois en juin dernier.

Peu de temps après que Troemel ait posté cette photo dimanche, Instagram a ajouté une note en lettres rouges, avec un panneau d'avertissement qui disait "Apprenez pourquoi les vérificateurs des faits ont indiqué que c'est faux." Cette note a été suivie d'une autre, dont le titre a été collé sur le courrier original de Troemel : "Faux", et qui affirmait que "des vérificateurs de faits indépendants affirment que cette information n'est pas fondée en fait".

La seule chose qui est manifestement "fausse" ici, c'est l'affirmation d'Instagram, qui protège Biden, selon laquelle il existe un consensus de "vérification des faits" selon lequel cette critique du projet de loi de 1994 de Biden sur les crimes est fausse. Il est vrai qu'un média, USA Today, a vérifié la déclaration identique publiée en juin par l'utilisateur anonyme d'Instagram et a conclu que "nos recherches montrent que si le projet de loi sur la criminalité a effectivement augmenté la population carcérale dans les États, il n'a pas entraîné une incarcération massive par rapport aux années précédentes". Mais cet article concluait ainsi tout en admettant que "le projet de loi sur la criminalité de Biden a effectivement augmenté la population carcérale dans les États" et que "toute augmentation de la population carcérale globale se traduirait automatiquement par un plus grand nombre de détenus noirs". Les propres prémisses de l'article renforcent donc, et non réfutent, l'affirmation en question.

Mais de nombreux autres médias et organisations de vérification des faits - bien plus qu'une seule - ont conclu le contraire : à savoir qu'il existe au moins une base raisonnable et substantielle pour ces affirmations concernant le projet de loi de Biden :

    PolitiFact a qualifié de seulement "à moitié vraie" l'affirmation de Biden selon laquelle le projet de loi de 1994 sur la criminalité "n'a pas généré d'incarcération massive", notant que le projet de loi fournissait des fonds aux États à condition qu'ils obligent les prisonniers à purger des peines plus longues et qu'il renforçait le climat de lutte contre la criminalité qui a conduit à des taux d'incarcération plus élevés dans les États (c'est le même point que Bill Clinton a fait valoir à la NAACP : "la loi fédérale a créé une tendance.... Beaucoup de gens ont été enfermés, qui étaient des acteurs mineurs, pendant trop longtemps") ;

    Glenn Kessler, le contrôleur désigné du Washington Post, a attribué deux Pinocchios à l'insistance de Biden sur le fait que son projet de loi sur les crimes "n'a pas généré d'incarcération massive", notant que "le projet de loi encourageait les États à construire plus de prisons - avec plus d'argent qui leur parvient s'ils augmentent les peines". Kessler a cité un rapport du Brennan Center selon lequel "le projet de loi sur la criminalité de 1994 est critiqué à juste titre pour avoir encouragé les États à construire et à remplir de nouvelles prisons".

    Le Post a ajouté : "De nombreux facteurs ont contribué à ce que les États-Unis aient un taux d'incarcération aussi élevé, mais peu de gens contestent que la loi sur la criminalité y ait contribué. Bill Clinton l'a reconnu". La note de "deux Pinocchio" du journal signifie que le démenti de Biden contient "des omissions et/ou des exagérations significatives" (....) ;

    CNN a prétendu vérifier les mêmes affirmations de Biden et a trouvé que le démenti de Biden "ne tient pas compte de l'impact plus large que la politique fédérale peut avoir sur la façon dont les États incarcèrent, y compris l'influence de l'argent fédéral", concluant que l'opinion selon laquelle le projet de loi sur la criminalité de 1994 a été un facteur important dans l'incarcération de masse était, pour le moins, discutable.

    La vérification des faits de NBC News a catégoriquement déclaré que "bien que le projet de loi ne soit pas la cause première de l'incarcération de masse, il s'agissait de la législation la plus médiatisée pour augmenter le nombre de personnes derrière les barreaux, selon une analyse du Brennan Center en 2016".

    Les accusations du sénateur Booker contre Biden ont été vérifiées par The Atlantic : "il est vrai que le projet de loi - qui a étendu la peine de mort à 60 nouveaux crimes, renforcé les peines, offert aux États de fortes incitations financières pour la construction de nouvelles prisons, et interdit une série d'armes d'assaut - a contribué à la vague d'incarcération massive qui a fait que les États-Unis représentent 25 % de la population carcérale mondiale". Il ajoute qu'"une analyse de 2016 du Brennan Center a conclu que le projet de loi de 1994 a contribué à la fois à la baisse de la criminalité qui a suivi et au doublement du taux d'emprisonnement de 1994 à 2009".

    Le New York Times a qualifié la dénégation de Biden d'"exagérée", citant un criminologue qui a déclaré que le projet de loi de Biden "encourageait les États à poursuivre l'incarcération de masse".

    En ce qui concerne le déni de Biden selon lequel son projet de loi sur la criminalité de 1994 "a conduit à plus de peines de prison, plus de cellules de prison, et à un maintien de l'ordre plus agressif - ce qui a particulièrement blessé les Américains noirs et bruns", a déclaré Vox : "La vérité, il s'avère qu'elle se situe quelque part au milieu", notant que "la loi a imposé des peines de prison plus sévères au niveau fédéral et a encouragé les Etats à faire de même" et a également assuré "une escalade de la guerre contre la drogue".

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il y a une heure, Ciders a dit :

Une démocratie soit disant.

Mais oui ! Car si "on [était] au Burgistan septentrional ou dans le Zaïre de Mobutu", le journal aurait déjà brûlé avec le journaliste.
Alors que là il va y avoir un p'tit impeachment rapide... :facepalm:

En tout cas, s'il n'est pas fou, il est bien seul en fait, avec sa troupe de lunatiques derrière, mais lâché de fait par "son" parti.

 

L'enregistrement, s'il n'est pas truqué, est pathétique.

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Il y a 2 heures, Wallaby a dit :

Troemel a publié une photo datant de 1994 d'un homme jeune, souriant et sportif qui se tenait à côté du président Bill Clinton. La photo contenait cette légende : "Trouvez quelqu'un qui vous regarde de la même façon que Biden regardait Clinton après que Clinton ait signé la loi sur la criminalité de Biden.

Biden avait 52 ans in 1994. C'est lui, "l'homme jeune, souriant et sportif" ?

  • Confus 1
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L'enregistrement de Trump en question, je n'ai pas accès au washington post.

Ses interlocuteurs ont le mérite d'être clairs avec lui. Je ne sais pas s'il est ou joue les convaincus mais c'est pathétique.

A noter que le 6 janvier de mémoire a lieu la manifestation de soutien à Trump. 

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Existe-t-il un  pays qui ait, officiellement, réagi à ce qui se passe aux (dés)USA ? 

Pour faire part de son inquiétude sur la transition en cours par ex. et ce qui semble être une atteinte à la démocratie ? 

Peut on raisonnablement imaginer que certaines voix se seraient déjà élevées s'il s'était agi d'un autre (n'importe lequel) pays ? 

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50 minutes ago, bianchi said:

Existe-t-il un  pays qui ait, officiellement, réagi à ce qui se passe aux (dés)USA ? 

Pour faire part de son inquiétude sur la transition en cours par ex. et ce qui semble être une atteinte à la démocratie ? 

Peut on raisonnablement imaginer que certaines voix se seraient déjà élevées s'il s'était agi d'un autre (n'importe lequel) pays ? 

En France on a trois élection présidentielle "trichée" par des larges dépassement des frais de campagne ... dont les résultats ont été validé en connaissance de cause par le conseil d'état ... difficile après d'aller faire la morale aux autres.

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il y a 52 minutes, Boule75 a dit :

2 seulement, non ? Et ça n'a rien à voir avec les torrents de pognon déversés dans les campagnes électorales US, de manière totalement incontrôlée...

La comparaison me semble outrageusement absurde, maître g4lly...

Clairement. Sauf à imaginer qu'en France ou dans un autre pays démocratique un PR puisse appeler le chef de la commission électorale indépendante ou un préfet pour lui ordonner de bourrer les urnes.

Même en Corse on ne fait pas ça.

Ce qui est intéressant, c'est que la Maison Blanche ne dément pas... et qu'on ait un audio.

Modifié par Ciders
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