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En général si on est socialiste et cohérent on est pour plus d'état et l'inverse si on est libéral voir carrément libertarien, j'ai du mal à comprendre comment bon nombre d'américains peuvent associer libéralisme et nationalisme, ça me parait vraiment paradoxal.

Je vois pas le probleme ... on peu être libéral niveau business, et conservateur sur le plan social par exemple!

On peu vouloir plus d'état par ci et moins par là ... apres que tu  trouves ca cohérent.

Chacun dose sont coté libertaire comme il l'entend en quelques sortes. Parce que si on déreglemente tout partout, bah on est plus républicain vu qu'il n'y a plus de cadre collectif du tout, donc il faut quant on déreglemente un coin suréglementer un autre pour conserver une certaine visibilité et raison d'etre a l'état. On peu ainsi compenser le libéralisme économique par du conservatisme social.

Y a  que Madelin qui reve de libéralisme absolu ...

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Historiquement, en plus, les Républicains sont les fédéralistes et les démocrates les anti-washington. Les courants ont évolué, mais certains fonds restent.

Vouloir un Etat cantonné au régalien, faisant peu de lois mais les faisant fortes et respectées, c'est l'axiome républicain-conservateur (un petit Etat et une grande armée, c'est un peu leur principe).

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Je vois pas le probleme ... on peu être libéral niveau business, et conservateur sur le plan social par exemple!

On peu vouloir plus d'état par ci et moins par là ... apres que tu  trouves ca cohérent.

Chacun dose sont coté libertaire comme il l'entend en quelques sortes. Parce que si on déreglemente tout partout, bah on est plus républicain vu qu'il n'y a plus de cadre collectif du tout, donc il faut quant on déreglemente un coin suréglementer un autre pour conserver une certaine visibilité et raison d'etre a l'état. On peu ainsi compenser le libéralisme économique par du conservatisme social.

Y a  que Madelin qui reve de libéralisme absolu ...

Le Tea Party c'est quand même pour une bonne partie des libertariens obsédés par les impôts qui veulent effectivement le plus gros désengagement possible de l’État, à part peut être pour leur armée ?

J'aimerai savoir qu'elle est leur conception de la nation pour pouvoir te répondre précisément, mais je crois que même pour des américains le nationalisme va au delà de leur armée et de leur drapeau, les types du Tea Party sont me semble t ils assez frileux du coté de l'immigration : comment d'un coté prétendre être libéral, tout faire pour la libre entreprise et de l'autre dire aux entrepreneurs que non il faut contrôler l'immigration ? C'est une position qui n'est pas intenable mais qui montre bien l'incohérence d'être un prétendu libéral tout en étant nationaliste.

Cette conception de la nation me parait assez étrange : pas de différence entre un immigré illégal et un citoyen si ce n'est une carte d'identité (et les quelques impôts que celui ci devra quand même payer), aucun avantage direct à être citoyen, juste la contrainte des impôts, ce qui est un comble quand ton seul programme est le combat contre les impôts.

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  • 3 weeks later...

tiens, un contre feu au rapporchement franco britanique ?

http://www.lefigaro.fr/international/2011/05/25/01003-20110525ARTFIG00644-obama-celebre-la-relation-speciale-avec-londres.php

il  s'inquiete on dirait.

Le président a aussi rejeté l'idée que l'émergence de nouvelles puissances comme le Brésil, l'Inde et la Chine allait entraîner une baisse de l'influence des États-Unis et de l'Europe: «Notre alliance restera indispensable à l'accomplissement de l'objectif d'un siècle plus pacifique, plus prospère et plus juste.»

Pour concrétiser «le nouveau chapitre» annoncé entre les deux pays, Obama et Cameron ont annoncé mercredi la création d'un conseil stratégique commun qui devra identifier les enjeux pour la sécurité et l'économie.

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http://www.spyworld-actu.com/spip.php?article14693

Les USA commencent à définir politiquement donc stratégiquement les implications des cyber-attaques dans les relations internationales, peut-être un moyen de tempérer les ardeurs de certains à s'en servir en permanence vu le coût et l'emmerdement occasionnés.

Au-delà des implications techniques en termes de faisabilité, de lisibilité, de niveau de certitude.... C'est sans doute le début d'un nouvel aspect de la diplomatie, puisqu'il s'agit bien de faire des cyber attaques un casus belli dont la définition devra être clarifiée et deviendra certainement une composante pleine et entière de la responsabilité des Etats.

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et on tombe sur le même problème qu'avec des attaques par entités non étatiques

parceque une cyber attaque ca peut etre organisé et effectué par un appareil d'etat (brigade de cyber guerre en quelque sorte)

Mais ca peut aussi être organisé par un etat pour etre outsourcé vers des hackers tout à fait autonomes (plus difficile de remonter la piste)

Et enfin ca peut être le fait de groupes tout à fait indépendants abrités dans un pays qui ne les soutient même pas (faut bien qu'ils crechent quelque part non ?)

Donc ou est la limite, dans la réthorique US pour le casus belli

Ca me parait peu réaliste comme posture là

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Donc ou est la limite, dans la réthorique US pour le casus belli

Peut-être, peut-être pas, et surtout si les US établissent un précédent, d'une manière ou d'une autre (pas forcément en allant jusqu'au bombardement, mais un avertissement, ou un clash sur la scène internationale).... Mais le fait est que mettre ça comme un casus belli, si un peu de crédibilité est mis là-dedans, c'est aussi forcer les Etats à faire le ménage chez eux un minimum, et en fait, comme effet global, limiter la cyber casse aux moments de vraies grandes tensions et de guerres déclarées. Jusqu'ici, c'était plutôt la jungle; si cela devient une règle internationale au même titre qu'un franchissement de frontière ou une opération de rens/démolition discrète, ça n'empêchera pas TOUTES les attaques, mais ça n'en fera plus non plus un truc qui est subi sans que quiconque sache quoi faire. Bref, tant qu'il y a une puissance derrière ça, ça force à un minimum de "responsabilisation" en annulant le statut qui existait de facto d'open bar: vu que contrer sur le plan strictement cybernétique n'est pas toujours possible, on en fait un élément parmi d'autres de la diplomatie.... Le but est de limiter drastiquement le nombre d'opérations et d'astreindre les Etats à un comportement plus attentif à ce qui se passe chez eux et à ne pas utiliser cette arme comme une façon d'emmerder en permanence. Donc une règle pour gérer le volume global de cette nuisance plus qu'autre chose.

La conséquence à terme, c'est surtout que ça sera plus utilisé au compte goutte par les Etats, que les litiges se règleront tranquillement en coulisse avant que la plupart des grands dommages n'arrivent (un petit avertissement, un Arleigh Burke qui s'avance à distance de tir de Tomahawk, un navire saisi ou retenu trop longtemps pour un contrôle technique ou encore mis en quarantaine, un contrat qui foire....).

Le but est plus de désenvenimer les relations internationales sans doute polluées par un usage trop gratuit de cette arme, non d'en bannir l'usage, ce qui serait complètement irréaliste: de la régulation, quoi.

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  • 2 weeks later...

OTAN : les USA ne veulent plus payer pour l'europe.

Le secrétaire à la défense américain, Robert Gates, n’a pas mâché ses mots pour déplorer l’état d’épuisement dans lequel se trouve l’organisation militaire atlantique et pour lancer un avertissement: si les alliés européens continuent à dépenser aussi peu pour leur défense, les Etats-Unis se désintéresseront de cette alliance. Ce n’est pas la première fois – Robert Gates l’a reconnu – qu’un responsable américain lance ce genre d’avertissement. Le thème du «burden sharing» (le partage du fardeau) occupe les débats de l’Alliance atlantique depuis des décennies. Bien avant la fin de la guerre froide, dans les années 1990, la question revenait régulièrement. Les Américains portaient l’essentiel de la charge financière et militaire dans la défense de l’Occident face au bloc soviétique et les Européens se reposaient sur la garantie américaine. Telle était, du moins, la vérité admise. Rien n’a changé. La situation s’est même aggravée si l’on en croit le secrétaire américain à la défense. Du temps de la guerre froide, les Américains contribuaient pour moitié aux dépenses de l’OTAN. Ils en assurent aujourd’hui les trois quarts.

Les Américains ont aujourd'hui d’autres préoccupations plus pressantes que la situation en Europe, en Asie par exemple.

Robert Gates dénonce une alliance «à deux vitesses»: d’un côté ceux qui combattent (sous-entendu principalement les Américains), de l’autre ceux qui touchent les dividendes de la paix (sous-entendu la plupart des Européens). «C’est inacceptable», a-t-il ajouté. C’est d’autant plus inacceptable que la crise économique oblige les Etats-Unis à faire des économies et notamment des coupes dans le budget militaire. L’engagement en Europe pourrait en être la première victime.

Au Congrès, et de plus en plus à la Maison blanche, sans parler de l’opinion publique américaine, la question est posée: l’investissement américain en Europe vaut-il la peine ? Quand la réponse sera non, il sera trop tard pour que les Européens se réveillent.

http://www.slate.fr/story/39343/OTAN-fin-libye-afghanistan

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""si les alliés européens continuent à dépenser aussi peu pour leur défense, les Etats-Unis se désintéresseront de cette alliance.""

Vraiment ? Enfin ! Nous allons pouvoir former quelque chose ressemblant a une puissance militaire commune en Europe. Avec du matériel Européen.

J'ai quand même du mal à le croire...  :lol:

""d’un côté ceux qui combattent (sous-entendu principalement les Américains), de l’autre ceux qui touchent les dividendes de la paix (sous-entendu la plupart des Européens)""

S'ils commencaient par ne pas combattre n'importe ou (Irak), ou n'importe comment (A-stan)...

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Vraiment ? Enfin ! Nous allons pouvoir former quelque chose ressemblant a une puissance militaire commune en Europe. Avec du matériel Européen.

J'ai quand même du mal à le croire...

Il faut pas aller croire que cela permettra à l'Europe de créer une armée commune dont personne ne veut. On fera juste des économies. Plus d'OTAN, plus besoin de dépenser tant dans le budget de la Défense.

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Il faut pas aller croire que cela permettra à l'Europe de créer une armée commune dont personne ne veut.

Je n'ai pas parlé d'armée commune, mais d'une puissance commune. Une organisation militaire européenne semblable à un "OTAN light", avec du matériel majoritairement Européen, et donc géré en toute indépendance.
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non, il sera trop tard pour que les Européens se réveillent

C'est du blabla pour gesticuler et faire de la politique intérieure US à peu de frais, étant donné qu'un retrait militaire US même relatif, de leurs moyens comme de leur présence et de leur degré d'implication dans la défense européenne (pas dans la défense des intérêts européens qui n'existe pas), la conséquence immédiate serait une baisse massive de leur emprise sur les doctrines militaires et les achats de leurs matos, chose qu'ils ne feront jamais. L'importance relative des pays européens peut baisser dans la vision US, mais ça reste tout de même de sacrés montants, de sacrées positions acquises, qui ne survivraient pas au même niveau à un retrait. Et en l'état actuel de la balance des paiements US, ce genre de discours a peu de réalité.

Sans compter évidemment le fait qu'il se drape dans une fausse dignité niant tout à fait le rôle de protectorat assigné aux pays européens: Gates pleurniche que les Européens ne soient pas les caniches aux ordres et aux normes US dépensant 3% de leur PIB pour mettre des unités clés en main sous commandement US et pour la politique extérieure US.

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C'est du blabla pour gesticuler et faire de la politique intérieure US à peu de frais, étant donné qu'un retrait militaire US même relatif, de leurs moyens comme de leur présence et de leur degré d'implication dans la défense européenne (pas dans la défense des intérêts européens qui n'existe pas), la conséquence immédiate serait une baisse massive de leur emprise sur les doctrines militaires et les achats de leurs matos, chose qu'ils ne feront jamais. L'importance relative des pays européens peut baisser dans la vision US, mais ça reste tout de même de sacrés montants, de sacrées positions acquises, qui ne survivraient pas au même niveau à un retrait. Et en l'état actuel de la balance des paiements US, ce genre de discours a peu de réalité.

Sans compter évidemment le fait qu'il se drape dans une fausse dignité niant tout à fait le rôle de protectorat assigné aux pays européens: Gates pleurniche que les Européens ne soient pas les caniches aux ordres et aux normes US dépensant 3% de leur PIB pour mettre des unités clés en main sous commandement US et pour la politique extérieure US.

+1

au moins il l'a dit à voix haute ... je dis sa pour ceux qui pensaient que l'Europe était pas vu comme sa par les US ,et que se soit des démocrates ou des républicains même combat ,il roule pour eux ... bon d'un côté s'est un peu normal de défendre ses intérêts ,ils ont les moyens et les Russes font pareil avec leurs anciens satellite .

après des années ,ils viennent de comprendre qu'on était pas devenu des US parce que l'on a des mac-do partout en Europe  :lol: :lol: :lol: :lol:

d'ailleurs faut voir le taillage de pipe qu'ils ont fait auprès des Brits il y a pas longtemps ...

bizarre après le coup de la marée noire ou il y avait un arrière goût de vengeance du fait d'une certaine prise de distance avec les USA .

sans compter le coup de gueule des officiers Brits sur les liens pas si cool entretenue avec les US en Afgha :merde ils nous embarqué en Irak ,et on a du gérer avec pas grand chose le bordel en Afgha ,pour après se faire reprocher par ses même US qu'on maîtrisé rien en Afgha (z'avez raison les Français ,ils ont bien fait de pas suivre en Irak ) .

mine de rien ,l'Irak ou certains pays Européens ont suivi les US ,même en fournissant un minimum pour les plus petit contingent ,z'ont pas eu l'air d'apprécier de servir de piétaille ...

avec la chialeuse de Gates ,vu qu'il a dit tout haut se que tout le monde pensait aux USA ,va quand même falloir qu'il face gaffe ,car si sa continu ils vont avoir un paquet de contingent se cassé de l'Afgha (certes pas les plus gros ,mais tout ses petits contingents mit bout à bout ,sa représente un peu de monde ).

je ne sais se qu'il faudrait pour qu'un jour ,tous les membres de l'OTAN se dise ,merci les USA ,maintenant on gère nous même  l'OTAN ,enfin on transforme se système face à la réalité du monde actuel ,donc à l'occas on vous aide si nos intérêts sont commun ,après vous géré tout seul si sa ne rentre pas dans nos intérêts  .

qu'est ce qu'ils feraient les US ,ils nous déclareraient la guerre ?

ben je pense que non ,puisqu'on est ami  :lol:

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Au final, la complainte de Gates, c'est une rengaine de gamin (pour faire des points politiques "pour la façade") qui s'apparente à une reformulation de la définition de l'égoïsme par Ambrose Bierce: "l'égoïsme, c'est de ne pas penser à moi", donc les Européens sont égoïstes :lol:.

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  • 2 weeks later...

Stupeur aux USA : Le celèbre journaliste américain Jose Antonio Vargas, Prix Pulitzer 2007 est un sans papier vivant illégalement aux Etats-Unis depuis 20 ans.

L'ancien reporter d'origine philippine du Washington Post, lauréat du prix Pulitzer de journalisme pour sa couverture de la fusillade de l'université de Virginia Tech en 2007, a révélé mercredi qu'il vivait en immigré clandestin aux Etats-Unis depuis vingt ans.

Jose Antonio Vargas, 30 ans, a annoncé la nouvelle dans un article du New York Times Magazine. Arrivé à l'âge de 12 ans sur le sol américain, le journaliste raconte que quatre ans plus tard, alors qu'il tentait d'obtenir un permis de conduire, un fonctionnaire lui avait ordonné de quitter les lieux au motif que ses papiers étaient faux. "Ces 14 dernières années, j'ai été diplômé du lycée et de l'université, j'ai bâti une carrière de journaliste et j'ai interviewé certaines des figures les plus célèbres de ce pays", écrit-il.

Jose Antonio Vargas, qui a quitté le Washington Post en 2009 pour rejoindre durant quelque temps le Huffington Post, dit faire aujourd'hui ces aveux pour "ne plus fuir" qui il est. Au cours des huit dernières années, le journaliste Jose Antonio Vargas s'est inquiété d'une date de tombée menaçante: l'expiration de son permis de conduire de l'Oregon obtenu illégalement avec une fausse adresse (un État dont les exigences en la matière sont moins grandes qu'ailleurs).

Quand il a été embauché à temps plein par le «Washington Post», M. Vargas s'est servi de son permis de conduire comme pièce d'identité pour couvrir des événements politiques à Washington, notamment des dîners d'État à la Maison-Blanche, se souvient-il.

Il écrit s'être senti paralysé par l'anxiété en pensant que son secret pourrait être découvert par ses employeurs. Il a tenté de ne pas travailler sur les dossiers touchant les politiques d'immigration, mais parfois, c'était impossible. À un certain moment, il a même écrit au sujet de l'opinion d'Hillary Clinton, alors sénatrice, sur les permis de conduire octroyés aux immigrants illégaux.

En 2006, il a écrit une série d'articles sur le sida qui ont inspiré un film documentaire. L'année dernière, il a écrit un portrait du fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, pour le «New Yorker». Récemment, il a écrit des textes pour le site «Huffington Post».

Son grand-père a admis avoir acheté la carte verte et d'autres faux documents pour lui. Il pensait que ses faux papiers lui permettraient de décrocher de petits boulots. Les études supérieures paraissaient hors de sa portée, jusqu'à ce que le jeune Jose Antonio parle de son problème au directeur de son école secondaire et à un responsable de son district scolaire. Ces deux personnes lui ont trouvé une bourse d'études qui lui a permis de s'inscrire à l'Université d'État de San Francisco. M. Vargas a ensuite décroché des stages au «San Fransisco Chronicle» et au «Philadelphia Daily News». Il a continué de postuler pour des stages et a été recruté par le prestigieux «Washington Post».

Moi je dis : mais que font les services de renseignements US ?  :lol:

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  • 3 weeks later...

Une  étude du ministère de la santé américain montre que le Mississipi est l'état où il y a le plus d'obèses, avec un taux d’obésité atteignant les 34,4%. A contrario, c'est au Colorado où le taux est le moins élevé, avec tout de même 19,8% d'obèses. A titre de comparaison, le taux d’obésité en France est autour de 15% :

http://www.amerique24.com/Etats-Unis-le-nombre-d-obeses-atteint-des-niveaux-records_a720.html

On en avait parlé auparavant, mais on n'avait pas les chiffres par Etats, cela devient vraiment effrayant. Les miss d'Alerte à Malibu seraient une espèce en voie de disparition  :-[

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  • 3 weeks later...

http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2011/07/30/97002-20110730FILWWW00241-dette-usa-les-soldats-s-inquietent.php

Les Etats-Unis pourraient ne pas être en mesure de payer les soldes des soldats américains en cas d'un défaut de paiement, a déclaré samedi en Afghanistan l'amiral Mike Mullen, chef de l'état-major interarmées américain. A quelques jours seulement de la date butoir fixée par le Trésor américain, démocrates et républicains ne parviennent toujours pas à trouver un accord sur le relèvement du plafond de la dette.

"Allons-nous dire à nos soldats et nos soldates que nous n'allons pas les payer et soutenir leurs familles?", s'est interrogée cette semaine une conseillère de la Maison blanche, Valérie Jarrett, face au blocage persistant entre les deux camps.

Le Pentagone se prépare à cette éventualité, a déclaré Mike Mullen après que des soldats américains déployés en Afghanistan eurent formulé des inquiétudes concernant la situation de la première économie mondiale.

"Je ne peux donc pas honnêtement répondre à cette question (concernant le défaut de paiement et de ses répercussions)", a-t-il dit aux soldats d'une base aérienne de Kandahar, dans le sud afghan.

"Si les chèques ne devaient plus être versés, l'impact serait dévastateur", a reconnu Mullen. "J'aimerais être en mesure de vous fournir une meilleure réponse. Mais honnêtement je ne peux pas."

Un peu plus tard, lors d'une visite aux troupes basées dans le camp de Leatherneck, dans la province de Helmand, Mullen a minimisé les répercussions d'un éventuel défaut de paiement sur les opérations des forces américaines menées à l'étranger.

"Je ne m'attends pas à ce que cela affecte les opérations en Afghanistan et dans le reste du monde", a-t-il indiqué. "Nous allons continuer à travailler."

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Ça podoco.

Et POGO. Une organisation qui veut proposer des solutions pour faire 586 Milliards de $ d'économie en 10 ans pour les forces armées US.

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/files/POGO%20national-security-budget-cuts-pdf.pdf

Quelques exemples:

> retirer un porte-avions du service actif

> réduire la sous-traitance de 15%

> réformer le système Tricare (assurance-maladie)

> supprimer deux versions du F-35

> retirer 20 000 hommes de troupe d'Europe.

> revoir les contrats d'achats du V-22 Osprey

Donc le DoD crie et n'est pas content quand on diminue les dépenses!

Pas d'accord avec

Eliminate additional funding for the M1 tank beyond the Pentagon’s request

Savings: $272 million

Le gain est marginal

Replace the B and C models of the F-35 with FA-18 E/F

Savings: $43.64 billion

Cela c'est vraiment à discuter et évaluer sur le plan de l'impact sur le coût USAF.

Quand on sait que la supériorité militaire et l'efficacité des USA ne viennent pas uniquement de leur budget, mais de la qualité du débat aux USA: Think Tank, cabinets de conseil, attaché de défense pour les parlementaires qui ont un vrai pouvoir etc...

Chez eux, le débat est permanent, tous les arguments connus et démontrés.Rien n'est caché au politique et experts.

Parce que ces acteurs indépendants ne dépendent pas d'une chaîne hiérarchique qui etouffe les rapports et le débat, mais se concurrencent.

Faisons la même chose ici en France, et nous avons 250% d'amélioration de la puissance de l'armée française à budget identique.

Certains militaires français l'ont compris depuis qu'ils sont revenus dans l'OTAN et ont des échanges aux USA.

Hors OPEX, les USA ont 11 fois notre budget et près de 30 fois notre puissance militaire en conventionnel.

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