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On 01/06/2022 at 04:22, Wallaby said:

https://www.lemonde.fr/international/article/2022/05/31/l-australie-designe-symboliquement-un-ministre-delegue-pour-la-republique-avant-une-possible-sortie-de-la-monarchie_6128367_3210.html

L’Australie désigne symboliquement un « ministre délégué pour la République » avant une possible sortie de la monarchie.

Lorsque la Reine mourra, nous aurons un vote sur une république. Avec un peu de chance, nous resterons une démocratie parlementaire et le président sera nommé par le Parlement, comme l'actuel gouverneur général. Une figure de proue sans pouvoir. En regardant autour de nous, les présidents avec du pouvoir, sont plus d'ennuis qu'ils ne valent.

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33 minutes ago, Kelkin said:

Quel anti-américanisme virulent !

Trump est un très bon exemple de la raison pour laquelle je pense que les présidents avec du pouvoir sont mauvais. Si on a le choix, on garde une monarchie castrée c'est mieux et le parlement gouverne. Ou un président nommé par le parlement sans pouvoir

Modifié par jackjack
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Est-ce que Tony Abbott ou Scott Morrison étaient tellement préférables à Trump ? On pourrait aussi citer Boris Johnson chez les Britanniques. Le régime parlementaire ne protège pas contre les mauvais dirigeants.

 

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Il y a 1 heure, Kelkin a dit :

Est-ce que Tony Abbott ou Scott Morrison étaient tellement préférables à Trump ? On pourrait aussi citer Boris Johnson chez les Britanniques. Le régime parlementaire ne protège pas contre les mauvais dirigeants.

 

Un contrôle parlementaire les attenus tout de même. On l'oublie en France mais le contre-pouvoir est une des bases de la démocratie et une des principales causes de la dérive autoritaire chez nous.

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  • 2 weeks later...

Avis personnel. Si ce chiffre est confirmé, c'est une aumône. Et un outrage, au vu de ce qui a été perdu, altéré ou détruit avec cette trahison :

https://www.bfmtv.com/international/sous-marins-francais-l-australie-paiera-555-millions-a-naval-group-pour-rupture-de-contrat_AD-202206110024.html?

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Le montant doit se comparer avec les sommes engagées par NG... il n’y a pas à parler d’aumône d’autant que ce n’est pas le verdict d’un tribunal mais le résultat d’une négociation entre NG et le gouvernement Australien.

Pour ce qui est de l’utilisation de cet argent généralement le cash ne reste pas longtemps dans les entreprises je ne serais pas surpris que l’essentiel soit distribué aux actionnaires.

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Compte tenu de l'ancien gouv estimé à environ 300 euros. Ils disent que nous payons maintenant trop. Ce paiement de 550 millions d'euros semble être généreux et constituer une offre de paix.

 

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Millions oublié
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Il y a 1 heure, fraisedesbois a dit :

Et pourquoi pas même l’AIP 3G?:

(…) Le système AIP 3G de Naval Group, présenté comme une première mondiale, associe deux technologies de rupture protégées par pas moins de 70 brevets. En premier lieu, l'hydrogène qui fait fonctionner la pile à combustible est fabriqué à bord via un processus chimique de reformage du gazole. Cela permet d'éviter les problèmes de sécurité liés au stockage de l'hydrogène à bord. Qui plus est, le gazole est disponible partout et à moindre coût. L'autre innovation majeure porte sur la production d'air, toujours à bord, par injection d'azote au niveau de l'arrivée d'oxygène, stocké sous forme cryogénique dans un réservoir. Cet air entre en réaction avec l'hydrogène dans la pile à combustible, afin de générer l'électricité nécessaire aux besoins à bord du sous-marin et à sa propulsion.

En outre, ce système présente l'avantage d'une grande discrétion acoustique si on le compare avec la première génération de l'AIP Mesma vendu au Pakistan en 2008, (…)

https://www.lesechos.fr/pme-regions/innovateurs/naval-group-valide-une-nouvelle-technologie-de-propulsion-sous-marine-1146460

(2019)

C'est un peu la question qui trotte dans ma petite tête :  qu'est-ce que l'AIP 3G apporterait en autonomie à un Class Attack ?

Est-ce que les études ont suffisamment avancé depuis l'article qui a 3 ans maintenant ?

Citation

Sur un sous-marin de type Scorpène, la propulsion anaérobie représenterait un volume de 6 mètres de diamètre sur 10 mètres de longueur. Si le démonstrateur à terre développe une puissance de 130 à 180 kW, les modèles qui seront embarqués atteindront de 300 à 500 kW. « Et l'histoire de l'AIP ne fait que commencer, estime Marc Quémeneur. La perspective est d'aller vers de plus fortes puissances sur des volumes identiques et, pour atteindre cette compacité, nous travaillons sur de nouveaux moyens de production additive. » Programme phare de la R&D de Naval Group, l'Air Independent Propulsion mobilise une équipe de 80 experts sur le site de Nantes-Indret.

 

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il y a 31 minutes, BPCs a dit :

C'est un peu la question qui trotte dans ma petite tête :  qu'est-ce que l'AIP 3G apporterait en autonomie à un Class Attack ?

Cette option, comme les batteries Li ion, ont été écartées lors de la conception.

Peut être qu'un navire plus gros et basé sur des concepts techniques très maitrisés etait préférré à un engin plus délicat et moins mature.

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  • 3 weeks later...
  • 1 month later...
  • 4 weeks later...

https://www.bfmtv.com/politique/australie-jamaique-ces-pays-qui-pourraient-quitter-la-couronne-apres-la-mort-d-elizabeth-ii_AN-202209090397.html

Après avoir été plébiscité en 1999, lors d'un référendum confirmant la reine comme chef d'État avec 55% des suffrages, un sondage publié en 2020 de You Poll-Daily Telegraph donne un tout autre sentiment. Il indique que 62% des Australiens seraient pour la république. Anthony Albanese, un fervent républicain, a d'ailleurs été élu Premier ministre au début de l'année. Il a suggéré qu'un autre référendum pourrait être organisé à l'avenir. À l'annonce de la mort de la monarque, il a considéré comme "improbable qu'un monarque soit autant respecté ou admiré" par les Australiens.

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… Hop, sur le Monde d'aujourd'hui, 1 an après la signature "félonne" du contrat Aukus, voici passé au peigne fin les répercussions régionale et international… A lire

Révélation

Crise des sous-marins : un an après l’alliance Aukus, l’effet domino en Indo-Pacifique

L’alliance scellée en septembre 2021 entre les Etats-Unis, le Royaume-Uni et l’Australie qui avait entraîné l’annulation de la vente de douze sous-marins français, prend forme. Mais le rééquilibrage escompté de Washington avec la Chine apparaît encore lointain.

Par Elise Vincent

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Le ministre français de la défense Sébastien Lecornu (à droite) reçoit le ministre de la défense australien Richard Marles (à gauche), à la préfecture maritime de l’Atlantique, à Brest, le 1er septembre 2022. JEAN-FRANCOIS MONIER / AFP

Un an après son lancement surprise, l’alliance Aukus entre les Etats-Unis, le Royaume-Uni et l’Australie, qui avait ruiné en une journée, le 15 septembre 2021, sept ans d’efforts français pour vendre douze sous-marins à propulsion diesel à Canberra, apparaît de plus en plus comme un détonateur à mèche lente. Alors que la concrétisation de ce pacte sécuritaire qui avait été vécu par Paris comme un « coup dans le dos » débute tout juste, Aukus a entraîné dans son sillage une multitude de décisions diplomatiques et militaires. Un effet domino aujourd’hui considéré comme un tournant dans la polarisation des tensions entre la Chine et les Etats-Unis dans l’Indo-Pacifique.

Au bout d’un an, les Australiens n’ont ainsi toujours pas d’horizon précis pour l’acquisition de leurs huit sous-marins à propulsion nucléaire, et les experts considèrent que Aukus leur a fait perdre dix ans. L’offre française portée par Naval Group visait une première livraison vers 2030. Or, Canberra ne pourrait plus aujourd’hui espérer de renouvellement de sa flotte vieillissante avant 2040, faute de place dans le carnet de commandes des constructeurs américains et britanniques. Mais Aukus n’ouvrait formellement la voie qu’à une phase préalable de « discussions » pouvant durer « dix-huit mois ». Afin de faire taire les doutes sur un travail encore très souterrain, l’Australie, le Royaume-Uni et les Etats-Unis ont donc envoyé plusieurs signaux ces derniers mois.

En avril, ils ont annoncé que leur collaboration serait désormais élargie au domaine de l’hypersonique, du cyber, du quantique, ou encore des drones sous-marins avec « des expérimentations dès 2023 ». Le ministre de la défense australien, Richard Marles, a aussi signé, le 1er septembre, un accord avec Londres, permettant aux sous-mariniers australiens de s’entraîner outre-Manche, notamment sur le tout nouveau sous-marin nucléaire d’attaque (SNA) britannique, le HMS Anson, entré en service actif le même jour. Les Britanniques, eux, ont annoncé, en juillet, le déploiement d’ici la fin de l’année de deux navires de patrouille hauturiers en Indo-Pacifique : une première pour Londres, qui n’avait jusqu’ici aucune présence navale permanente dans la zone.

L’affront est pardonné

La construction d’infrastructures militaires a par ailleurs débuté dans le nord de l’Australie. Ces travaux, financés par les gouvernements américain et australien, sont en cours autour de Darwin, qui offre un accès direct sur la mer de Timor et les eaux asiatiques. Ils concernent le port et les bases de l’armée de l’air australienne dans la région et devraient être terminés dès 2023. Les infrastructures pourront être utilisées aussi bien par les avions que tous les navires américains (flotte de surface, sous-marins, navires hydrographiques, etc.). Le nombre de marines américains aujourd’hui en rotation permanente en Australie – autour de 2 200 – devraient, en outre, être augmenté.

Côté français, le premier anniversaire d’Aukus avait été anticipé. Le 1er septembre, le ministre des armées, Sébastien Lecornu, a reçu son homologue australien juste avant sa visite au Royaume-Uni. Allusion assumée au différend de 2021, ils se sont rendus à Brest, port d’attache des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins français. Dans leur communiqué, les deux ministres assurent s’être accordés sur « des mesures pratiques », notamment pour « aider les forces françaises à projeter plus facilement des moyens militaires dans la région ». Le fait que Paris puisse éventuellement apporter à Canberra une solution temporaire pour combler son manque de sous-marins d’ici à l’arrivée des bâtiments américains ou britanniques n’a toutefois pas été officiellement évoqué.

Au ministère des armées ou au sommet de l’exécutif, on assure désormais que l’affront est pardonné. « Il fallait clore ce chapitre pour donner un nouvel horizon à la relation bilatérale. Finalement, malgré un risque pour sa réputation dans cette affaire, Naval Group en est sorti blanchi », estime une source diplomatique. Avec Canberra, la page a donc été tournée en plusieurs temps. D’abord en juin, avec la signature de l’accord de rupture du contrat entre Naval Group – dont l’Etat est actionnaire à 62 % – et les autorités australiennes, négocié pour un montant de 555 millions d’euros. Puis, le 1er juillet, avec la visite en France du nouveau premier ministre australien, Anthony Albanese, élu en mai. Emmanuel Macron pourrait aussi se rendre en Australie mi-novembre, en marge du sommet du G20 à Bali.

Muscler les efforts dans la zone

Entre-temps, l’examen de conscience français a officiellement été fait. L’enquête confiée par l’Elysée au secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale sur les raisons du désaveu australien a donné lieu à un rapport classifié. Mais « le reality check [la mise à l’épreuve des faits], c’est que dans le cadre de contrats comme celui qu’avait noué Naval Group avec l’Australie, qui imposait une clause de revoyure tous les deux ans, nos capacités de veille stratégique n’étaient pas suffisantes, résume une source diplomatique qui a pu lire ce rapport. Malgré la distance, il ne fallait pas se contenter d’un suivi par le biais des relations classiques d’Etat à Etat. Nous devons apprendre à nous engager dans des écosystèmes beaucoup plus larges, en ayant recours, comme nos compétiteurs, au soft power ou à la diplomatie d’influence ».

Ces douze derniers mois, à Paris, il a donc été décidé de muscler les efforts dans l’Indo-Pacifique plutôt que de s’avouer vaincu. Notamment à travers la mobilisation du réseau diplomatique. En février, un forum s’est tenu, à Paris, autour des ministres des affaires étrangères de l’Union européenne et de trente Etats de l’Indo-Pacifique. Côté militaire, la France a, pour la deuxième année consécutive, déployé un sous-marin nucléaire d’attaque dans la région. L’Améthyste est rentré en France le 6 juillet, après six mois dans l’océan Indien. En 2021, la mission du SNA Emeraude, qui était allé jusqu’en mer de Chine méridionale, était une première depuis vingt ans.

Aukus se révèle, à ce titre, « le symptôme et le moteur potentiel » d’une « prolifération » des sous-marins en Indo-Pacifique, estime Hugo Decis, ancien chercheur à l’Institut international des études stratégiques, dans un numéro spécial de la Revue défense nationale, publié cet été. Alors que 163 des 368 SNA du monde – conventionnels et nucléaires – sont exploités en Asie, 45 autres devraient y être livrés dans les années à venir. En dehors de la Chine, l’Inde, le Japon et la Corée du Sud apparaissent en pointe et ont mis en service récemment des modèles très perfectionnés, détaille M. Decis.

L’ouverture d’une brèche

Aukus a également ouvert une brèche dans l’interprétation qui prévalait du traité sur la non-prolifération des armes nucléaires. Si celui-ci n’interdit pas formellement le transfert d’« armes » nucléaires, la possibilité que les Etats-Unis – un Etat doté – puissent transférer la technologie de la propulsion nucléaire à l’Australie – Etat non doté – « a posé les bases d’un nouveau standard », résume aussi dans un article paru dans la Revue défense nationale Tiphaine de Champchesnel, chercheuse sur les questions de dissuasion à l’Institut de recherche stratégique de l’Ecole militaire.

Pour l’heure, ce transfert n’a pas eu lieu et pourrait se révéler très compliqué. Mais d’autres Etats pourraient se montrer à leur tour intéressés par l’option australienne, ou en tout cas être encouragés à accélérer leur propre programme de sous-marin nucléaire, comme la Corée du Sud. A Paris, la possibilité de céder à d’éventuelles futures demandes de transfert de la propulsion nucléaire demeure un sujet sensible et le débat n’est pas tranché.

Un après sa création, Aukus a, enfin, été le catalyseur de multiples repositionnements diplomatiques et sécuritaires des pays de la zone Indo-Pacifique, notamment de la part de la Chine. « Aukus était un aveu de la vulnérabilité de Washington sur le plan aéromaritime », estime ainsi Marianne Péron-Doise, directrice de l’observatoire de l’Indo-Pacifique à l’Institut de relations internationales et stratégiques et co-coordinatrice du numéro spécial de la Revue défense nationale. « Aukus n’a pas eu l’effet dissuasif escompté ; la Chine a très bien compris le message et propose à son tour des pactes de sécurité, notamment aux Etats micro-insulaires comme les îles Salomon [en avril]. Ceux-ci n’ont pas le contenu technico-opérationnel d’Aukus mais visent les problèmes environnementaux et de sécurité maritime de ces Etats », ajoute-t-elle.

Pour l’heure, la nécessité pour les Etats-Unis de s’investir dans la guerre en Ukraine ne semble pas avoir entravé leur volonté de poursuivre leur engagement dans la zone et Washington y multiplie les alliances à géométries variables. En février, alors que le conflit entre Kiev et Moscou débutait, les Etats-Unis ont publié une feuille de route pour l’Indo-Pacifique. Les domaines de la connectivité et du changement climatique y étaient particulièrement développés. Le 28 et 29 septembre, le président américain Joe Biden recevra à la Maison Blanche les dirigeants des îles du Pacifique : de Fidji aux îles Cook, en passant par Kiribati, la Micronésie, ou encore les Tuvalu et Vanuatu. Une première dans ce format.

Elise Vincent

 

 

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il y a 27 minutes, collectionneur a dit :

@Ardachès Comment on peut contacté le monde pour signaler un gros lapsus ? : Alors que 163 des 368 SNA du monde – conventionnels et nucléaires – sont exploités en Asie

 … Bien vu @collectionneur (je n'avais pas relevé)… Il y a déjà un lecteur qui a posté un commentaire relevant l'erreur … Après, tu peux contacter la rédaction à cette adresse courrier-des-lecteurs@lemonde.fr

:wink:

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1er août 2022

Le documentaire "The Lost City of Melbourne" retrace la démolition du vieux Melbourne dans les années 1950.

Dans les années 1850, Melbourne était la ville qui se développait le plus rapidement au monde. "Ils rêvaient en grand, ils construisaient en grand.... c'était une ville qui sautait hors de sa peau". En se développant, Melbourne est devenue un épicentre de la culture cinématographique et ses hôtels, restaurants et cafés ont acquis une renommée mondiale. Associée à la grande architecture victorienne de la ville, c'était une destination de premier ordre pour les voyageurs. Mais, dans les années 1950, avec la visite imminente de la reine et les Jeux olympiques de 1956, les Melbourniens ont éprouvé un profond sentiment de gêne à l'idée d'être perçus comme arriérés sur la scène mondiale. Nos bâtiments ont été jugés trop victoriens, trop démodés et le blitz de démolition a commencé. Whelan The Wrecker a été chargé de démolir la vieille ville et, au cours des vingt années suivantes, nous avons perdu de nombreux bâtiments précieux. Avec l'introduction de la télévision, la même année que les Jeux olympiques, le public de nos cinémas a été décimé et ils ont également été abattus par la boule de démolition. Lorsque Melbourne a été sur le point de perdre le Regent Theatre pour faire place à une place de la ville, la population a été galvanisée pour sauver ce qui lui restait. Voici l'histoire de Melbourne. La ville perdue de Melbourne.

https://en.wikipedia.org/wiki/Whelan_the_Wrecker

À partir de la fin des années 1950, la ville est entrée dans un état de changement si vaste que l'enseigne "Whelan the Wrecker Is Here" est devenue un symbole puissant. Au début, les pertes de cette période ont été qualifiées de "progrès", mais à mesure que de plus en plus de grands monuments bien-aimés étaient menacés de démolition, certains ont pleuré ces pertes. Whelan the Wrecker était de loin la plus grande entreprise de démolition de la ville et remportait le plus grand nombre de contrats, et en tant qu'entreprise responsable de la démolition de ce que certains considéraient comme une partie du patrimoine national, elle a suscité des appels à la préservation de ce qui restait. Le National Trust of Victoria a été créé en 1956, mais ce n'est qu'en 1974 que la première législation a permis la préservation légale des bâtiments du patrimoine.

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