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Energies renouvelables : projets et conséquences


alexandreVBCI

Messages recommandés

il y a 10 minutes, Titus K a dit :

Ca fait plusieurs fois que je lis sur ces gisements français alors je veux pas jouer le pessimiste ...  mais quand meme :laugh: 

La France a-t-elle vraiment LE coup de bol d'avoir leur son territoire les rares gisements européens, voire mondiaux ?
Ou bien il y en a partout et la France est seule a prospecter ?

L’hydrogène naturel : curiosité géologique ou source d’énergie majeure dans le futur ? | Connaissances des énergies (connaissancedesenergies.org)

https://www.connaissancedesenergies.org/tribune-actualite-energies/lhydrogene-naturel-curiosite-geologique-ou-source-denergie-majeure-dans-le-futur

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il y a 19 minutes, Benoitleg a dit :

L’hydrogène naturel : curiosité géologique ou source d’énergie majeure dans le futur ? | Connaissances des énergies (connaissancedesenergies.org)

https://www.connaissancedesenergies.org/tribune-actualite-energies/lhydrogene-naturel-curiosite-geologique-ou-source-denergie-majeure-dans-le-futur

Article interessant et résumant bien le défi et les point durs concernant l'exploitation de cet hydrogene. Depuis la parution il y a 4 ans, en mai 2020 de ce dernier, quelques évolutions des connaissances et de nouvelles decouvertes confirme un espoir sur cette energie renouvelable.

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Il y a 9 heures, Ronfly a dit :

Article interessant et résumant bien le défi et les point durs concernant l'exploitation de cet hydrogene. Depuis la parution il y a 4 ans, en mai 2020 de ce dernier, quelques évolutions des connaissances et de nouvelles decouvertes confirme un espoir sur cette energie renouvelable.

Tu t'avance vraiment beaucoup ... parce qu'à ce rythme là le pétrole et le gaz sont aussi renouvelable.

Les cause d'apparitions de cet hydrogène sont tellement multiple qu'il est d'ailleurs difficile de qualifier quoique ce soit concernant sa nature.

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il y a 15 minutes, g4lly a dit :

Tu t'avance vraiment beaucoup ... parce qu'à ce rythme là le pétrole et le gaz sont aussi renouvelable.

Je suis clairement optimiste mais cela reste au conditionnel. Mais c'est un espoir pour notre pays et notre planète alors pourquoi pas. Les centaines de millions d'investissement engagé permettront rapidement de le confirmer ou pas.

Energy observer:

"Contrairement aux stocks d’énergies fossiles qui requièrent des millions d’années pour être formés, l’hydrogène naturel est créé en continu, avec un cycle de renouvellement rapide à l’échelle d’une vie humaine. L’hydrogène blanc, lui, étant directement présent dans des gisements souterrains, n’a pas besoin de l’appui d’autres sources d’énergie pour être généré. Il est le fruit, entre autres, des interactions entre les roches riches en fer ou radioactives et les molécules d’eau.

 

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il y a 21 minutes, Ronfly a dit :

"Contrairement aux stocks d’énergies fossiles qui requièrent des millions d’années pour être formés, l’hydrogène naturel est créé en continu, avec un cycle de renouvellement rapide à l’échelle d’une vie humaine. L’hydrogène blanc, lui, étant directement présent dans des gisements souterrains, n’a pas besoin de l’appui d’autres sources d’énergie pour être généré. Il est le fruit, entre autres, des interactions entre les roches riches en fer ou radioactives et les molécules d’eau.

A mon sens formulé comme ça c'est une escroquerie...

Dans les deux cas on consomme de la ressource qui ne sera plus demain. Soit de l'eau et la radioactivité du manteau terrestre ... soit du potentiel chimique de l'eau et du fer ... et pour les autres modes de production c'est pareil.

En gros autant le produire par radiolyse dans un réacteur nucléaire.

L'autre souci c'est que l'hydrogene est un puissant gaz à effet de serre ... au moins 11x plus que le CO2 sur un cycle de 100 ans. La moindre fuite ... et tous tes efforts pour ne pas émettre du CO2 sont réduit à néant ... et l'hydrogene ça fuit toujours de partout.

Donc en faire une solution magique ... à mon sens ça pu la fausse bonne idée.

Que ça fasse partie d'un éventail large de solution pour certaine application spécifique pourquoi pas ... mais idéalement il faudrait le consommer - cogénération électricité plus chaleur par exemple - là ou il est puisé pour éviter absolument toute fuite.

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à l’instant, g4lly a dit :

A mon sens formulé comme ça c'est une escroquerie...

Dans les deux cas on consomme de la ressource qui ne sera plus demain. Soit de l'eau et la radioactivité du manteau terrestre ... soit du potentiel chimique de l'eau et du fer ... et pour les autres modes de production c'est pareil.

Mais puisque on te dit que c'est gratuit, vert et totalement illimité, écoute donc les investisseurs :happy:

Je vais effectivement attendre avant d'être optimiste ^^

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à l’instant, g4lly a dit :

A mon sens formulé comme ça c'est une escroquerie...

Dans les deux cas on consomme de la ressource qui ne sera plus demain. Soit de l'eau et la radioactivité du manteau terrestre ... soit du potentiel chimique de l'eau et du fer ... et pour les autres modes de production c'est pareil.

Il y a un peu de vrai, mais quand les ressources proviennent du marteau terrestre représentant 38 milliards de m3 de volume possible de production, on est presque dans de la production et de la ressource infini. Mais j'en conviens, soyons prudents sur l'évolution possible de cette capacité énergétique. 

En passant:

Bill Gates investissement très discrètement dans l'hydrogène natif

"La très discrète société Koloma, basée à Denver, a levé 82 millions d’euros pour forer des puits d'hydrogène et prélever ainsi de l’hydrogène géologique (hydrogène blanc) sans carbone (généré en continu sous terre). Parmi les investisseurs, Bill Gates qui a probablement pressenti l’énorme potentiel de cette société qui a déjà déposé 16 brevets. Si l’exploitation se relève effectivement possible, Koloma serait idéalement placée pour fournir un marché mondial estimé à près de 1 000 milliards d’euros.

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Le rapport, Fugitive Hydrogen Emissions in a Future Hydrogen Economy, indique que lors de la fabrication d’hydrogène par électrolyse 9,2% de la production s’échappe par «ventilation et purge», mais que cette perte pourrait se réduire à 0,52 % par une « recombinaison complète de l’hydrogène provenant de la purge et de la ventilation croisée ».

L’étude indique que le transport par camion-citerne d’hydrogène liquide est la plus mauvaise solution puisque 13,2 % du volume transporté s’échappe dans l’air pendant l’opération. Le stockage d’hydrogène comprimé dans des réservoirs en surface est responsable de pertes à hauteur de 6,52 %, dans les piles à combustible c’est 2,64 % et les stations de distribution 0,89 %. Pendant les autres opérations de production, transport et stockage, les fuites inférieures à 0,53%.

https://www.revolution-energetique.com/lhydrogene-est-un-gaz-a-effet-de-serre-deux-fois-plus-puissant-quon-ne-le-pensait/

---

https://www.revolution-energetique.com/des-scientifiques-alertent-les-fuites-dhydrogene-sont-200-fois-plus-nefastes-pour-le-climat-que-le-co2/

Des scientifiques alertent : les fuites d’hydrogène sont 200 fois plus néfastes pour le climat que le CO2

C’est une petite bombe que lancent certains scientifiques et climatologues du GIEC. Selon eux les fuites d’hydrogène dans l’atmosphère contribuent de façon non négligeable à l’effet de serre. Leur impact est si puissant qu’elles pourraient saper l’avantage de l’utilisation de cette énergie dans la transition énergétique.

L’hydrogène vert sera-t-il la recette miracle qui sauvera notre climat ? L’Europe et dans son sillage plusieurs gouvernements, semblent y croire. L’un après l’autre, ils élaborent des plans pour développer la filière à coups de milliards d’euros d’aides publiques. «L’hydrogène a le vent en poupe et la Commission européenne est déterminée à le faire avancer davantage », a par exemple déclaré récemment Sarah Nelen, chef de cabinet de Frans Timmermans, le vice-président de la Commission, en charge du Green Deal européen. Quant à Emmanuel Macron, il ambitionne tout simplement dans son plan «France 2030», de faire du pays « le leader de l’hydrogène vert ».

200 fois plus néfaste que le CO2

« Pas si vite » préviennent certains scientifiques. Steven Hamburg est un ancien professeur de sciences environnementales qui a été l’un des principaux auteurs des rapports du GIEC, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat. Il est à présent scientifique en chef de l’Environmental Defense Fund (EDF), une organisation à but non lucratif basée aux États-Unis.
« L’hydrogène est un puissant gaz à effet de serre lorsqu’il fuite dans l’atmosphère » a-t-il déclaré à Euractiv.  « Il a une courte durée de vie mais, à masse égale, il est 200 fois plus néfaste que le dioxyde de carbone (CO2) ».

En réalité, l’impact de l’hydrogène est indirect : il prolonge la durée de vie dans l’atmosphère du méthane, dont on sait que le potentiel de réchauffement global[1] est élevé. En outre, les réactions de l’hydrogène dans la troposphère avec les autres gaz qui la composent, participent à la formation d’ozone et de vapeur d’eau, et ces molécules accroissent aussi l’effet de serre.

La contribution indirecte des fuites d’hydrogène dans l’atmosphère au réchauffement global est si importante qu’elle « pourrait saper les avantages climatiques des efforts de décarbonation », a prévenu Ilisa Ocko, une climatologue senior de l’EDF qui s’est exprimée lors d’un événement organisé par Euractiv fin septembre.

Fuites d’hydrogène : insuffisamment étudiées et sous-déclarées

Les scientifiques de l’EDF ne sont pas les seuls à s’inquiéter. Ceux de l’institut CICERO à Oslo étudient également les impacts climatiques de l’hydrogène. Un document de recherche préliminaire, publié sur leur site web, indique : « les émissions d’hydrogène dans l’atmosphère peuvent très probablement provoquer un réchauffement climatique par le biais d’effets indirects ». « La question est probablement insuffisamment étudiée et définitivement sous-déclarée », précise quant-à-lui Falko Ueckerdt, scientifique principal à l’Institut de Potsdam pour la recherche sur l’impact climatique, un organisme financé par le gouvernement allemand.

Les chercheurs qui se sont penchés sur la question ont établi des parallèles entre l’hydrogène et le méthane, affirmant que les deux gaz ont des tendances similaires à s’échapper des réservoirs, tuyauteries et autres équipements, a déclaré Mike Fowler, directeur de la recherche sur les technologies énergétiques avancées à la Clean Air Task Force (CATF), une organisation environnementale américaine. Selon un article récent de M. Ueckerdt, les fuites de méthane se situent généralement entre 0,5 et 3 %.

Les risques de fuites sont importants

Mais comme l’hydrogène est la plus petite des molécules gazeuses, les risques de fuites sont plus importants qu’avec n’importe quel autre gaz. Il est en effet difficile de rendre complètement étanche les réservoirs et tuyauteries contenant de l’hydrogène, surtout lorsque celui-ci est comprimé à très haute pression : il peut s’échapper par des ouvertures microscopiques. Ainsi, mêmes les meilleurs réservoirs ne sont jamais complètement étanches : ceux des voitures à hydrogène, par exemple, peuvent se vider en quelques semaines, même quand le véhicule est à l’arrêt.

Selon les estimations des scientifiques, la production et l’utilisation d’une tonne d’hydrogène pourrait laisser s’échapper entre 5 et 30 kg de ce gaz. Cette fourchette aurait le même impact sur le climat que 1 à 6 tonnes de CO2.

L’autre risque lié aux fuites d’hydrogène est dû à la grande inflammabilité de ce gaz, comme l’ont démontré des accidents survenus dans des stations de distribution d’hydrogène. Mais « l’hydrogène est plus cher que le gaz naturel » explique Gniewomir Flis, un expert du groupe de réflexion allemand Agora Energiewende. Pour ces raisons, il estime, de son côté, que les industriels seront incités à prévenir les fuites dans les infrastructures.

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il y a 1 minute, g4lly a dit :

Le rapport, Fugitive Hydrogen Emissions in a Future Hydrogen Economy, indique que lors de la fabrication d’hydrogène par électrolyse 9,2% de la production s’échappe par «ventilation et purge», mais que cette perte pourrait se réduire à 0,52 % par une « recombinaison complète de l’hydrogène provenant de la purge et de la ventilation croisée ».

L’étude indique que le transport par camion-citerne d’hydrogène liquide est la plus mauvaise solution puisque 13,2 % du volume transporté s’échappe dans l’air pendant l’opération. Le stockage d’hydrogène comprimé dans des réservoirs en surface est responsable de pertes à hauteur de 6,52 %, dans les piles à combustible c’est 2,64 % et les stations de distribution 0,89 %. Pendant les autres opérations de production, transport et stockage, les fuites inférieures à 0,53%.

https://www.revolution-energetique.com/lhydrogene-est-un-gaz-a-effet-de-serre-deux-fois-plus-puissant-quon-ne-le-pensait/

J'ai pas dit que c'était parfait et que cela sauverait le monde. C'est trop tard pour ça. Il n'y a pas de magie. La seule énergie verte, c'est celle qu'on produit pas... Mais la technologie permettra peut-être de booster, dans la décennie à venir, les apports de cette ressource. Il faudrait déja faire de l'optimisation de l'utilisation de l'énergie. Ce qui est sûr c'est qu'il y a de la marge. Et puis la France remets le paquet sur le nucléaire avec 14 EPR a produire avec 15 fois plus de moyens investit.

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il y a 11 minutes, Patrick a dit :

Ce que je retiens de tout ça c'est que la solution hydrogène ne se fera que si elle passe par les LOHC ou l'hydrure de magnésium.

Effectivement cela semble plutôt prometteur et améliorerait l'optimisation du rendement du stockage. Et possiblement a des échelles intéressantes. La aussi, l'optimisme est pas aberrant. Les recherches se poursuivent tous azimuts en tous cas. Des Français ont été primés d'ailleurs dans ce domaine en 2023.

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https://www.juancole.com/2024/01/californias-battery-revolution.html

Le bureau du gouverneur Gavin Newsom a souligné cet automne que "la Californie a augmenté le stockage des batteries de 757 % en seulement quatre ans et dispose désormais de suffisamment d'énergie pour alimenter 6,6 millions de foyers pendant quatre heures".

À la fin du troisième trimestre 2023, l'État disposait de 6,6 gigawatts de stockage en batterie et prévoyait d'en avoir 8,5 gigawatts d'ici le début de l'année.

C'est le plus grand nombre de tous les États, bien que le Texas développe également son stockage en batterie. D'ici à la fin de l'année 2025, les analystes prévoient 40 gigawatts de stockage par batterie à l'échelle nationale.

Les pannes d'électricité du mois d'août 2020 ne se sont pas reproduites depuis que la capacité de stockage de l'État s'est accrue. Il ne reste plus qu'à la multiplier par six pour que l'électricité soit 100 % renouvelable.

Les installations de batteries en Californie sont désormais prévues pour une capacité de 100 mégawatts chacune. Dix d'entre elles représentent un gigawatt, soit un milliard de watts, ce qui est suffisant pour alimenter 750 000 foyers.

De nouvelles technologies voient également le jour. La commission californienne de l'énergie vient d'attribuer un projet de 100 millions de dollars pour un "projet de stockage par batterie fer-air de 5 mégawatts (MW) / 500 mégawatts-heure, le plus grand projet de stockage d'énergie de longue durée à être construit en Californie", selon le site web de l'agence. La batterie peut libérer de l'énergie pendant 100 heures d'affilée. Actuellement, les batteries californiennes se déchargent généralement en 4 à 6 heures.

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il y a 58 minutes, g4lly a dit :

Bizarre d'exprimer un stocke en watt, une unité de puissance, et pas dans une unité d'énergie.

C'est bien gentil de sortir 8.5GW mais si c'est pendant seulement 5 minutes.

A la fin on nous explique vaguement que les batteries sortirait de la puissance 4 ou 5 heures mais là aussi sans indication de puissance ...

Ça sent encore la vulgarisation version communication politique.

En tout cas c'est pas la faute du journaliste, sur le site de la commission de l'énergie il n'utilise que ça

https://www.energy.ca.gov/news/2023-10/california-sees-unprecedented-growth-energy-storage-key-component-states-clean

 

Avec ces infos on peut faire le calcul ^^ grossièrement ils ont besoin de 35000 MWh pour les 6.6 millions de foyers dont il parle au dessus

Citation

With one megawatt of electricity providing roughly enough power to meet the demand of 750 homes, 5,600 MW of battery capacity can provide enough electricity to power 4.2 million homes for up to four hours before the batteries need to be recharged.

Mais faut pas tirer beaucoup dans chaque foyer, une climatisation et rien d'autre

Modifié par clem200
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Il y a 12 heures, g4lly a dit :

Bizarre d'exprimer un stocke en watt, une unité de puissance, et pas dans une unité d'énergie.

C'est bien gentil de sortir 8.5GW mais si c'est pendant seulement 5 minutes.

A la fin on nous explique vaguement que les batteries sortirait de la puissance 4 ou 5 heures mais là aussi sans indication de puissance ...

Ça sent encore la vulgarisation version communication politique.

Oui il y a des trucs bizarres:

Citation

À la fin du troisième trimestre 2023, l'État disposait de 6,6 gigawatts de stockage en batterie

Citation

Les installations de batteries en Californie sont désormais prévues pour une capacité de 100 mégawatts chacune. Dix d'entre elles représentent un gigawatt,

 

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Partenariat franco-britannique pour développer la technologie nucléaire de quatrième génération

https://www.euractiv.com/section/energy-environment/news/exclusive-franco-british-partnership-to-develop-fourth-generation-nuclear-technology/
 

La société britannique Newcleo et la société française NAAREA sont prêtes à former un partenariat stratégique pour accélérer le développement de leurs technologies nucléaires de quatrième génération, ont annoncé les deux sociétés dans un entretien avec Euractiv France, l'AFP et Le Figaro mardi (16 janvier).

Mardi, les deux start-up ont annoncé qu'elles unissaient leurs forces pour "soutenir le déploiement industriel, technologique, scientifique et réglementaire" des réacteurs nucléaires de quatrième génération, connus sous le nom de réacteurs modulaires avancés (AMR), ont-elles déclaré dans un communiqué.
Cette catégorie de réacteurs, qui fait partie de la famille plus large des petits réacteurs modulaires (SMR), combine plusieurs technologies avec la caractéristique unique d'utiliser du combustible nucléaire déjà utilisé provenant de réacteurs existants.
Les deux entreprises ont déjà des projets en cours.

Alors que NAAREA développe un micro-générateur nucléaire à sels fondus et à neutrons rapides capable de produire 40 MW d'électricité et 80 MW de chaleur, Newcleo développe deux concepts de mini-réacteurs rapides refroidis au plomb (30 MW et 200 MW).
Les deux projets sont prévus à des dates similaires : 2026 pour le prototype non nucléaire et 2030 pour le premier prototype alimenté.
Ensemble, les deux entreprises espèrent bénéficier des synergies qui se dessinent au niveau européen en développant des petits réacteurs modulaires (SMR).
En ce sens, le partenariat "complète la grande alliance industrielle pour les SMR qui sera bientôt lancée par la Commission européenne", selon le communiqué de presse des entreprises.
Annoncée début novembre par le commissaire européen à l'énergie Kadri Simson, l'alliance doit être lancée en février, selon les informations obtenues par Euractiv.

 

L'axe du partenariat

Selon le protocole d'accord signé par les deux entreprises, l'accent sera mis sur le cycle du combustible, le financement des infrastructures du cycle du combustible, la recherche et le développement industriel.
Bien que ces domaines de travail soient très différents, les équipes des deux industriels travaillent déjà ensemble dans certains d'entre eux, "notamment dans le domaine de la recherche, un domaine où il y a peut-être eu moins de contacts", a déclaré David Briggs, directeur général adjoint de NAAREA, lors d'une interview mardi.
Selon lui, ce partenariat pourrait même fournir une base de recherche commune au niveau européen en collaboration avec la Sustainable Nuclear Energy Technology Platform (SNETP), un centre d'échange et d'influence sur l'énergie nucléaire en Europe.
Un autre domaine de travail clé pour le partenariat est le développement d'une approche commune pour les règles de sûreté nucléaire au niveau européen, une question souvent soulevée par les parties prenantes des réacteurs SMR.
"Nous avons déjà eu des discussions informelles à ce sujet avec les autorités d'autres États membres dans le cadre des réunions organisées sous l'égide de NuclearEurope", une association professionnelle, a ajouté M. Briggs.

 

Objectifs

Dans un premier temps, les deux entreprises souhaitent trouver des sites pour leur prototype en 2024 et sécuriser l'accès à la matière fissile.
Pour en discuter, une réunion se tiendra une fois par mois, animée par un comité de pilotage composé de Briggs et de Ludovic Vandendriesch, directeur général de Newcleo pour la France.
"Le timing répond à la fois à l'urgence environnementale et à la nécessité de faire émerger des projets européens de 4ème génération, pour avoir des solutions face à la concurrence chinoise et américaine", souligne M. Briggs.

Actuellement, le partenariat ne concerne que NAAREA et Newcleo, mais il a vocation à s'étendre à toutes les start-up de 4ème génération travaillant sur les neutrons rapides et qui le souhaitent.
"Nous n'avons pas attendu cet accord pour prendre des contacts et travailler avec d'autres entreprises du secteur", précise M. Briggs.
"Si nous agissons rapidement, nous pourrons créer une synergie à travers un écosystème", a ajouté David Vannier, responsable des relations gouvernementales chez Newcleo, lors d'une interview mardi.

 

Financements publics et européens

"Cette collaboration résulte de la volonté du gouvernement français et des autorités européennes de progresser dans le domaine de l'énergie nucléaire. Nous travaillons directement avec eux", explique M. Vannier.
Pour preuve, NAAREA et Newcleo sont toutes deux lauréates de l'appel à projets "Réacteurs nucléaires innovants" du plan d'investissement France 2030, qui consacre 1 milliard d'euros à la filière nucléaire.
En termes de financement, les deux entreprises utiliseront leurs propres ressources, même si elles espèrent bénéficier à terme d'un financement de l'UE.
"Nous sommes prêts à aller les chercher", a déclaré M. Briggs.

Dans le même temps, l'alliance SMR, annoncée par la Commission européenne en décembre, pourrait être l'occasion de faire pression en faveur d'un projet important d'intérêts européens communs (IPCEI) dans ce domaine, à l'instar d'autres alliances : batteries, énergie solaire, hydrogène et autres.

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Combien d’eau consomment les centrales nucléaires ? – Édition 2023

https://www.sfen.org/documents-references/combien-deau-consomment-les-centrales-nucleaires-2023/


L’objet de cette étude est de permettre aux personnes intéressées un accès facile et rapide à une base de données construite sur des sources consolidées et publiques sur la consommation d’eau des réacteurs nucléaires en France. Il s’agit aussi de clarifier les différentes notions qui peuvent prêter à confusion, comme la distinction entre prélèvement et consommation ou celle entre circuit ouvert et circuit fermé. 

Elle permet également de visualiser la consommation d’eau des centrales , à la bonne maille, qui est la maille locale. Aussi cette étude présente la situation de chaque Centrale nucléaire de production d’électricité (CNPE) par rapport à la source froide dont il utilise de l’eau. 

Voici les principaux enseignements :

  • En 2021, 97 % de l’eau douce prélevée par les centrales nucléaires sur les cours d’eau a été restituée au milieu d’origine. Les 3 % restants ont représenté 410 Mm3 d’eau, et représentent aujourd’hui 12 % des consommations totales françaises d’eau douce.
  • Sur l’année 2021, la consommation moyenne d’un centre nucléaire de production d’électricité (CNPE) représente 1 % du débit des cours d’eau où il est installé. 
  • La consommation des réacteurs nucléaires en circuit ouvert au bord du Rhône est très faible en proportion, par rapport aux deux réacteurs du Bugey et aux quatre réacteurs de Cruas qui fonctionnent en circuit fermé. Les prélèvements de ces réacteurs en circuit ouvert se montent à 11 milliards de m3 d’eau en 2021 dont plus de 99 % est restitué au Rhône.
  • Un circuit ouvert consomme bien moins d’eau qu’un circuit fermé. Mais il prélève plus d’eau dans l’environnement et engendre une augmentation plus importante de température entre l’amont et l’aval. Il n’existe pas un mode de refroidissement à privilégier de façon systématique. Ce choix technologique est dépendant de la situation de chaque installation.

D’un point de vue méthodologique, le rapport de la Sfen s’appuie sur les déclarations mensuelles de prélèvement et de consommation d’eau des centrales nucléaires (source EDF) ainsi que sur les données de débits des stations hydrométriques les plus proches. 

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Le 13/01/2024 à 10:38, g4lly a dit :

L'autre souci c'est que l'hydrogene est un puissant gaz à effet de serre ... au moins 11x plus que le CO2 sur un cycle de 100 ans. La moindre fuite ... et tous tes efforts pour ne pas émettre du CO2 sont réduit à néant ... et l'hydrogene ça fuit toujours de partout.

Donc en faire une solution magique ... à mon sens ça pu la fausse bonne idée.

 

Moi c'est ce point qui m'interpelle.

Je ne sais pas si c'est une découverte "récente". Mais perso j'en ai vraiment entendu parlé sérieusement que depuis qqs années.

Alors qu’initialement, on parlait beaucoup du H2 et de la pile à combustible dans l'automobile dès les années 2000, et principalement pour limiter les émissions de gaz polluant dans les villes (et pas pour le CO2 ou autres... Idem que l'électrique à la base....).

Le dihydrogène c'est une tannée à stocker. C'est le plus petit gaz qui existe. On s'en sert comme gaz traceur (faible concentration 5% par commodité) pour déceler les plus petites fuites imaginables, quand on veut faire mieux que l'Helium....ça se faufile partout, ça fragilise beaucoup d'aciers (fragilisation hydrogène).

Maintenant il faudrait "peser les patates". Et voir que représente les fuites en terme de "masse" rejeté en faisant des scenarios pas trop déconnant. Mais les gens qui investissent des M€ dans H2 n'auront surtout pas trop envie dépenser de l'argent pour révéler le pot au roses.

 

 

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il y a une heure, Titus K a dit :

Combien d’eau consomment les centrales nucléaires ? – Édition 2023

https://www.sfen.org/documents-references/combien-deau-consomment-les-centrales-nucleaires-2023/


L’objet de cette étude est de permettre aux personnes intéressées un accès facile et rapide à une base de données construite sur des sources consolidées et publiques sur la consommation d’eau des réacteurs nucléaires en France. Il s’agit aussi de clarifier les différentes notions qui peuvent prêter à confusion, comme la distinction entre prélèvement et consommation ou celle entre circuit ouvert et circuit fermé. 

Elle permet également de visualiser la consommation d’eau des centrales , à la bonne maille, qui est la maille locale. Aussi cette étude présente la situation de chaque Centrale nucléaire de production d’électricité (CNPE) par rapport à la source froide dont il utilise de l’eau. 

Voici les principaux enseignements :

  • En 2021, 97 % de l’eau douce prélevée par les centrales nucléaires sur les cours d’eau a été restituée au milieu d’origine. Les 3 % restants ont représenté 410 Mm3 d’eau, et représentent aujourd’hui 12 % des consommations totales françaises d’eau douce.
  • Sur l’année 2021, la consommation moyenne d’un centre nucléaire de production d’électricité (CNPE) représente 1 % du débit des cours d’eau où il est installé. 
  • La consommation des réacteurs nucléaires en circuit ouvert au bord du Rhône est très faible en proportion, par rapport aux deux réacteurs du Bugey et aux quatre réacteurs de Cruas qui fonctionnent en circuit fermé. Les prélèvements de ces réacteurs en circuit ouvert se montent à 11 milliards de m3 d’eau en 2021 dont plus de 99 % est restitué au Rhône.
  • Un circuit ouvert consomme bien moins d’eau qu’un circuit fermé. Mais il prélève plus d’eau dans l’environnement et engendre une augmentation plus importante de température entre l’amont et l’aval. Il n’existe pas un mode de refroidissement à privilégier de façon systématique. Ce choix technologique est dépendant de la situation de chaque installation.

D’un point de vue méthodologique, le rapport de la Sfen s’appuie sur les déclarations mensuelles de prélèvement et de consommation d’eau des centrales nucléaires (source EDF) ainsi que sur les données de débits des stations hydrométriques les plus proches. 

Réponse: aucune. Les réacteurs nucléaires ne "consomment" aucune eau.

Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition (1932-1935)

CONSOMMATION. n. f.
Action de se servir des choses qui se détruisent par l'usage. Consommation de bois, de blé, de sel. Je n'ai dans ma cave que le vin nécessaire à ma consommation. Droits de consommation. Objets de consommation. Il se dit spécialement de Ce que l'on a bu dans un café. Offrir, payer une consommation. Il signifie aussi Action de mener une oeuvre à son plein achèvement, La consommation d'une affaire. La consommation d'un sacrifice. La consommation des siècles, des temps, La fin des siècles, la fin du monde. La consommation du mariage, L'union charnelle des époux après la Cérémonie nuptiale.

Idem pour la "température". L'augmentation vaut pour quelques centaines de mètres en aval, après c'est kif kif.

Et les poissons ne sont pas plus gênés que ça vu qu'ils pullulent justement dans les canaux de refroidissement des centrales. J'en ai mangé assez souvent et je ne m'éclaire toujours pas la nuit, dommage ça serait bien pratique.

Bref entre l'ADEME la SFEN et quelques autres, on nage en plein délire chez les gens qui devraient pourtant être les premiers à ne PAS relayer ce genre de stupidités.

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il y a 58 minutes, Patrick a dit :

Et le poissons ne sont pas plus gênés que ça vu qu'ils pullulent justement dans les canaux de refroidissement des centrales. J'en ai mangé assez souvent et je ne m'éclaire toujours pas la nuit, dommage ça serait bien pratique.

Te prendrais-tu pour un sous-marinier sov de flotte du Nord de la grande époque, à vouloir te faire briller dans le noir ? :laugh::laugh::laugh:

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il y a une heure, mudrets a dit :

Te prendrais-tu pour un sous-marinier sov de flotte du Nord de la grande époque, à vouloir te faire briller dans le noir ? :laugh::laugh::laugh:

Tu parles, ça ne risque absolument rien. C'est pas les quelques becquerels de plus qui vont faire une différence surtout après cuisson.

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Il y a 16 heures, Patrick a dit :

Réponse: aucune. Les réacteurs nucléaires ne "consomment" aucune eau.

Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition (1932-1935)

CONSOMMATION. n. f.
Action de se servir des choses qui se détruisent par l'usage. Consommation de bois, de blé, de sel. Je n'ai dans ma cave que le vin nécessaire à ma consommation. Droits de consommation. Objets de consommation. Il se dit spécialement de Ce que l'on a bu dans un café. Offrir, payer une consommation. Il signifie aussi Action de mener une oeuvre à son plein achèvement, La consommation d'une affaire. La consommation d'un sacrifice. La consommation des siècles, des temps, La fin des siècles, la fin du monde. La consommation du mariage, L'union charnelle des époux après la Cérémonie nuptiale.

Idem pour la "température". L'augmentation vaut pour quelques centaines de mètres en aval, après c'est kif kif.

Et les poissons ne sont pas plus gênés que ça vu qu'ils pullulent justement dans les canaux de refroidissement des centrales. J'en ai mangé assez souvent et je ne m'éclaire toujours pas la nuit, dommage ça serait bien pratique.

Bref entre l'ADEME la SFEN et quelques autres, on nage en plein délire chez les gens qui devraient pourtant être les premiers à ne PAS relayer ce genre de stupidités.

Pour les centrales équipées, les tours aero-réfrégérantes transforme bien de l'eau liquide en vapeur d'eau ? (ok c'est pas directement le réacteur, mais nous allons laisser les diptères tranquilles).

Donc on peut parler de consommation de la ressource "eau liquide" de la rivière/fleuve à mon sens. N'est ce pas de ça dont ils parlent ?

spacer.png

 

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il y a 33 minutes, Eau tarie a dit :

Pour les centrales équipées, les tours aero-réfrégérantes transforme bien de l'eau liquide en vapeur d'eau ? (ok c'est pas directement le réacteur, mais nous allons laisser les diptères tranquilles).

Donc on peut parler de consommation de la ressource "eau liquide" de la rivière/fleuve à mon sens. N'est ce pas de ça dont ils parlent ?

L'eau retourne à la nature localement.

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Il y a 1 heure, Eau tarie a dit :

Pour les centrales équipées, les tours aero-réfrégérantes transforme bien de l'eau liquide en vapeur d'eau ? (ok c'est pas directement le réacteur, mais nous allons laisser les diptères tranquilles).

Donc on peut parler de consommation de la ressource "eau liquide" de la rivière/fleuve à mon sens. N'est ce pas de ça dont ils parlent ?

spacer.png

La vapeur d'eau n'a pas vocation à rester sous forme de vapeur d'eau, elle refroidit et se condense bien plus vite que de l'eau froide (je rappelle que l'eau chaude gèle plus vite que l'eau froide), et de toutes façons cette eau prise aux fleuves ne manquera à personne puisqu'elle était déjà en route pour l'estuaire le plus proche et la mer ou l'océan attenants.

En poussant le raisonnement jusqu'à l'absurde, on ne peut pas en même temps se plaindre de la montée des océans et du fait que les fleuves qui les alimentent leur envoient moins d'eau...

Enfin, cette vapeur d'eau ne grimpe pas non plus en très haute altitude, où elle aurait certes alors un impact sur le réchauffement au même titre que la combinaisons d'autres gaz comme le méthane et l'hydrogène. Au contraire elle se contente de venir alimenter une boucle locale liée au cycle de l'eau, et donc ne participe à aucun réchauffement puisqu'elle retombe sous forme de précipitations.

cycleeauetnuages.jpg

Modifié par Patrick
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Le 18/01/2024 à 09:39, Eau tarie a dit :

Donc on peut parler de consommation de la ressource "eau liquide" de la rivière/fleuve à mon sens. N'est ce pas de ça dont ils parlent ?

Oui il y prélèvement d'eau dans le fleuve ... mais elle n'est pas détruite ... elle retombe en pluie un peu plus loin.

En période de sécheresse quand le niveau de l'eau est très bas et que la rivière à du mal à maintenir le niveau entre les bief c'est gênant mais ça casse pas trois pâte à un canard non plus.

Sur les 26 milliards de m3 d'eau prélevé ... 98% et restitué directement - un peu plus chaude - a la rivière ... et seul 2% par en évaporation - ca fais 500 millions de m3 - ... soit  5 ou 10 fois moins que les usages soit agricole, soit industriel, soit eau potable ... qui sont entre 3 et 5 milliards chaque.

Pourquoi si peu. Parce que les centrale en cycle fermé prélever infiniment plus qu'en cycle ouvert, mais rejette tout quasi au même endroit. Il n'y a donc pas de consommation. Comme on ne monte que tres peu l'eau en température il faut beaucoup d'eau pour évacuer les calories.

Les centrale à cycle ouvert prélèvent infiniment moins - c'est l’intérêt du cycle ouvert de faible prélèvement qui ne nécessite pas une alimentation en eau importante et donne donc une liberté d'implantation - , mais consomme une bonne partie. Comme on utilise la chaleur latente d'évaporation qui est très importante on à besoin de volume d'eau très modeste - en plus du "chauffage" depuis la température ambiante à la température d'évaporation -.

Mais bon on est plus à une escroquerie anti nucléaire prés ... d'autant que tout un tas de centrale thermique conventionnelle fonctionne de la même façon. Toute celle alimentant des turbine à vapeur depuis chaudière. Les seule qui ne prélèvent pas d'eau ce sont les TAG qui n'ont pas besoin de refroidissement, ou du moins dont le pompage est assurer par le flux de gaz lui même.

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