castle68 Posté(e) le 19 octobre 2019 Share Posté(e) le 19 octobre 2019 ou à la Somalie... question taille j'entend. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kelkin Posté(e) le 21 octobre 2019 Share Posté(e) le 21 octobre 2019 Mission accomplie : tout un peuple à enfin appris comment les Américains doivent être traités. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Wallaby Posté(e) le 21 octobre 2019 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 21 octobre 2019 https://www.welt.de/politik/deutschland/article202283388/Tuerkische-Offensive-Kramp-Karrenbauer-fordert-internationale-Sicherheitszone-in-Syrien.html (21 octobre 2019) En marge de la réunion de l'OTAN à Bruxelles mercredi et jeudi prochains, l'Allemagne proposera une "zone de sécurité internationale" dans la région frontalière avec la Turquie. La participation de éventuelle de la Bundeswehr serait soumise à un vote du Bundestag. La situation en Syrie porte gravement atteinte aux intérêts de sécurité de l'Europe et de l'Allemagne, a déclaré Kramp-Karrenbauer. Dans cette situation, l'Allemagne et les Européens se sont jusqu'à présent montrés trop passifs, "comme des spectateurs". Par conséquent, " une impulsion et une initiative politique de l'Allemagne en faveur d'une avancée européenne au sein de l'OTAN ont un sens ", a déclaré la ministre. "La question de savoir à quoi pourrait ressembler cette solution réside dans la création d'une zone de sécurité sous contrôle international impliquant la Turquie et la Russie, dans le but de désamorcer la situation là-bas. Dans le but de poursuivre la lutte contre le terrorisme de la milice terroriste de l'Etat islamique (IS). Dans le but de pouvoir réellement poursuivre le processus constitutionnel qui vient d'être entamé d'après la résolution de l'ONU ", a déclaré Kramp-Karrenbauer. https://www.tagesschau.de/ausland/syrien-verfassungsausschuss-103.html (23 septembre 2019) Le Conseil de sécurité de l'ONU avait demandé la création d'un comité constitutionnel pour régler le conflit syrien en 2015. Maintenant, selon l'ONU, le régime autour d'Assad et l'opposition se sont mis d'accord sur un comité correspondant. Mais il y a encore beaucoup de questions. Le régime syrien autour du dirigeant Bachar al-Assad s'est mis d'accord avec l'opposition sur une commission constitutionnelle. C'est ce qu'a annoncé le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres. Après plus de huit ans de guerre civile dans le pays, le comité doit trouver une solution. Le comité doit être le début d'une " voie politique pour sortir de la tragédie ", a déclaré António Guterres. Le médiateur ONU-Syrie, Geir Pedersen, doit convoquer le comité à Genève pour la première fois dans les semaines à venir. Il a joué un rôle décisif dans la formation du comité, qui se réunira probablement aussi à Genève à l'avenir. Le comité a pour but de créer un climat de confiance entre les camps ennemis - le régime du dirigeant Assad et la commission de négociation syrienne de l'opposition. La commission doit être composée de 150 membres du comité. Le gouvernement Assad fournira 50 représentants, l'opposition 50 et la société civile 50. Le tiers de la société civile est resté controversé jusqu'à la fin, parce qu'aucune des deux parties ne devrait obtenir une majorité de cette façon. L'ONU devrait maintenant sélectionner ces 50 représentants. Il n'y a toujours pas de déclarations concrètes sur les tâches du comité. Alors que l'opposition veut rédiger une constitution entièrement nouvelle, le gouvernement Assad ne veut que modifier la constitution existante. https://www.t-online.de/nachrichten/ausland/krisen/id_86588612/nach-offensive-der-tuerkei-in-syrien-akk-fordert-sicherheitszone-.html (21 octobre 2019) Le député CDU spécialiste de politique étrangère Roderich Kiesewetter, a appelé à la création d'une zone de protection humanitaire qui pourrait être sécurisée par 30.000 à 40.000 soldats des pays de l'UE. Kiesewetter a déclaré sur RBB Inforadio que "les soldats européens, y compris la Bundeswehr, doivent bien sûr aussi être prêts à y être envoyés". Le ministre des Affaires étrangères Heiko Maas a toutefois déclaré qu'il était trop tôt pour de telles considérations. (...) Selon un rapport du service scientifique du Bundestag, les inquiétudes concernant un cas d'alliance de l'OTAN pendant l'offensive militaire turque en Syrie sont sans fondement. "Les craintes à ce sujet peuvent être largement dissipées - du moins du point de vue du droit international", selon le rapport présenté jeudi à l'agence de presse allemande. Il n'y a pas d'obligation automatique de fournir une assistance, et chaque partenaire de l'OTAN est libre de décider de son propre soutien. L'affaire de l'alliance doit également être tranchée par consensus par les 29 membres. "D'un point de vue juridique, l'article 5 du Traité de l'OTAN parle relativement clairement d'une "attaque" contre un allié comme d'une condition préalable à l'affaire de l'alliance OTAN. Une distinction claire doit être faite entre l'action offensive et l'action défensive : S'il y a une résistance syrienne contre l'avancée turque dans le nord de la Syrie, du point de vue syrien, ce serait une action de défense conforme au droit international contre une agression de la Turquie contraire au droit international ", poursuit-il. Au cours de cette défense, la Syrie pourrait même, selon le rapport, repousser les troupes turques sur le territoire turc et utiliser la force militaire contre la Turquie dans le cadre de la proportionnalité. Tant qu'une défense (potentielle) syrienne restera nécessaire et proportionnée, elle ne " basculera " pas dans un acte d'agression contraire au droit international ", peut-on lire dans le rapport. Si la Turquie devait consulter le Conseil de l'OTAN en raison de la résistance syrienne et insister sur son droit collectif à l'assistance, la question d'un éventuel abus de droits dans le contexte d'un "cas d'alliance provoqué" pourrait également être discutée, a-t-il poursuivi. 2 2 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Neuron Posté(e) le 21 octobre 2019 Share Posté(e) le 21 octobre 2019 Il y a 1 heure, Wallaby a dit : https://www.welt.de/politik/deutschland/article202283388/Tuerkische-Offensive-Kramp-Karrenbauer-fordert-internationale-Sicherheitszone-in-Syrien.html (21 octobre 2019) En marge de la réunion de l'OTAN à Bruxelles mercredi et jeudi prochains, l'Allemagne proposera une "zone de sécurité internationale" dans la région frontalière avec la Turquie. La participation de éventuelle de la Bundeswehr serait soumise à un vote du Bundestag. La situation en Syrie porte gravement atteinte aux intérêts de sécurité de l'Europe et de l'Allemagne, a déclaré Kramp-Karrenbauer. Dans cette situation, l'Allemagne et les Européens se sont jusqu'à présent montrés trop passifs, "comme des spectateurs". Par conséquent, " une impulsion et une initiative politique de l'Allemagne en faveur d'une avancée européenne au sein de l'OTAN ont un sens ", a déclaré la ministre. "La question de savoir à quoi pourrait ressembler cette solution réside dans la création d'une zone de sécurité sous contrôle international impliquant la Turquie et la Russie, dans le but de désamorcer la situation là-bas. Dans le but de poursuivre la lutte contre le terrorisme de la milice terroriste de l'Etat islamique (IS). Dans le but de pouvoir réellement poursuivre le processus constitutionnel qui vient d'être entamé d'après la résolution de l'ONU ", a déclaré Kramp-Karrenbauer. https://www.tagesschau.de/ausland/syrien-verfassungsausschuss-103.html (23 septembre 2019) Le Conseil de sécurité de l'ONU avait demandé la création d'un comité constitutionnel pour régler le conflit syrien en 2015. Maintenant, selon l'ONU, le régime autour d'Assad et l'opposition se sont mis d'accord sur un comité correspondant. Mais il y a encore beaucoup de questions. Le régime syrien autour du dirigeant Bachar al-Assad s'est mis d'accord avec l'opposition sur une commission constitutionnelle. C'est ce qu'a annoncé le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres. Après plus de huit ans de guerre civile dans le pays, le comité doit trouver une solution. Le comité doit être le début d'une " voie politique pour sortir de la tragédie ", a déclaré António Guterres. Le médiateur ONU-Syrie, Geir Pedersen, doit convoquer le comité à Genève pour la première fois dans les semaines à venir. Il a joué un rôle décisif dans la formation du comité, qui se réunira probablement aussi à Genève à l'avenir. Le comité a pour but de créer un climat de confiance entre les camps ennemis - le régime du dirigeant Assad et la commission de négociation syrienne de l'opposition. La commission doit être composée de 150 membres du comité. Le gouvernement Assad fournira 50 représentants, l'opposition 50 et la société civile 50. Le tiers de la société civile est resté controversé jusqu'à la fin, parce qu'aucune des deux parties ne devrait obtenir une majorité de cette façon. L'ONU devrait maintenant sélectionner ces 50 représentants. Il n'y a toujours pas de déclarations concrètes sur les tâches du comité. Alors que l'opposition veut rédiger une constitution entièrement nouvelle, le gouvernement Assad ne veut que modifier la constitution existante. https://www.t-online.de/nachrichten/ausland/krisen/id_86588612/nach-offensive-der-tuerkei-in-syrien-akk-fordert-sicherheitszone-.html (21 octobre 2019) Le député CDU spécialiste de politique étrangère Roderich Kiesewetter, a appelé à la création d'une zone de protection humanitaire qui pourrait être sécurisée par 30.000 à 40.000 soldats des pays de l'UE. Kiesewetter a déclaré sur RBB Inforadio que "les soldats européens, y compris la Bundeswehr, doivent bien sûr aussi être prêts à y être envoyés". Le ministre des Affaires étrangères Heiko Maas a toutefois déclaré qu'il était trop tôt pour de telles considérations. (...) Selon un rapport du service scientifique du Bundestag, les inquiétudes concernant un cas d'alliance de l'OTAN pendant l'offensive militaire turque en Syrie sont sans fondement. "Les craintes à ce sujet peuvent être largement dissipées - du moins du point de vue du droit international", selon le rapport présenté jeudi à l'agence de presse allemande. Il n'y a pas d'obligation automatique de fournir une assistance, et chaque partenaire de l'OTAN est libre de décider de son propre soutien. L'affaire de l'alliance doit également être tranchée par consensus par les 29 membres. "D'un point de vue juridique, l'article 5 du Traité de l'OTAN parle relativement clairement d'une "attaque" contre un allié comme d'une condition préalable à l'affaire de l'alliance OTAN. Une distinction claire doit être faite entre l'action offensive et l'action défensive : S'il y a une résistance syrienne contre l'avancée turque dans le nord de la Syrie, du point de vue syrien, ce serait une action de défense conforme au droit international contre une agression de la Turquie contraire au droit international ", poursuit-il. Au cours de cette défense, la Syrie pourrait même, selon le rapport, repousser les troupes turques sur le territoire turc et utiliser la force militaire contre la Turquie dans le cadre de la proportionnalité. Tant qu'une défense (potentielle) syrienne restera nécessaire et proportionnée, elle ne " basculera " pas dans un acte d'agression contraire au droit international ", peut-on lire dans le rapport. Si la Turquie devait consulter le Conseil de l'OTAN en raison de la résistance syrienne et insister sur son droit collectif à l'assistance, la question d'un éventuel abus de droits dans le contexte d'un "cas d'alliance provoqué" pourrait également être discutée, a-t-il poursuivi. 30 000 soldats de l'UE pour sécuriser la zone tampon! Je vais aller brûler un cierge pour que cela arrive, l'Europe enfin se réveillerait... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 21 octobre 2019 Share Posté(e) le 21 octobre 2019 Sérieusement ? On n'arrive déjà pas à trouver cinq cents bonhommes pour le Mali alors 30 000... dans une zone de guerre ? Autant parier sur le mariage d'un enfant de Svetlana Staline avec un Kennedy, on aurait nettement plus de chances ! 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MakSime Posté(e) le 21 octobre 2019 Share Posté(e) le 21 octobre 2019 il y a 2 minutes, Ciders a dit : Sérieusement ? On n'arrive déjà pas à trouver cinq cents bonhommes pour le Mali alors 30 000... dans une zone de guerre ? Autant parier sur le mariage d'un enfant de Svetlana Staline avec un Kennedy, on aurait nettement plus de chances ! Qui sait? L'amour est plus fort que tout. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) le 21 octobre 2019 Share Posté(e) le 21 octobre 2019 il y a 14 minutes, Ciders a dit : Sérieusement ? On n'arrive déjà pas à trouver cinq cents bonhommes pour le Mali alors 30 000... dans une zone de guerre ? Autant parier sur le mariage d'un enfant de Svetlana Staline avec un Kennedy, on aurait nettement plus de chances ! On est nettement au-delà de 500 pour le Mali avec la France seule... Au-delà : le chiffre de 30.000 parraît bien extravagant sauf s'il faut effectivement faire la guerre à la Turquie, non ? le truc significatif est que ce sont les allemands qui proposent. Ca me la coupe un peu, pour tout dire. Trump et Erdogan vont peut être finir par réussir quelque chose, quelque chose d'imprévu en plus... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 21 octobre 2019 Share Posté(e) le 21 octobre 2019 Je parlais des autres pays européens. On est quand même allé chercher les Estoniens pour aller dans la BSS. Si vous avez été un jour en Estonie, vous voyez le concept climatique et militaire local. Ils sont où les autres ? Ceux qui ont des sous, des effectifs et une vague expérience militaire ? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Phacochère Posté(e) le 21 octobre 2019 Share Posté(e) le 21 octobre 2019 Ça coûte pas cher de balancer une pièce en l'air! Il reste à convaincre des partenaires sérieux, son propre groupe politique de proposer l'intervention puis son vote au bundestag... Je vois pas trop des partenaires UE s'engouffrer derriere l'Allemagne . S'raient capables de voter un embargo sur leur propre armée . 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 21 octobre 2019 Share Posté(e) le 21 octobre 2019 Suite à la chute de Ras al Ayn ... Loyaliste et SDF combattent l'invasion juste au sud des anciennes position YPG ... et interdisent pour le mouvement a l'offensive tuque d'aller plus a l'est - vers Tall Tamr prochaine ville sur la M4 - . Le cessez le feu semble inexistant de puis le début sur ce front. --- Les forces russes sont arrivés a Qamishly ville frontiere de l'est ... pour le moment pas soumise a invasion ... seulement a des bombardements --- La télé syrienne montre les force loyaliste déployer de l'artillerie dans Manbij pour repousser les attaques des rebelle-turc-soutenus. --- Ayn Issa ... des importantes forces loyaliste on été déployé au nord ouest de la ville pour repousser l'offensive turque. Ayn Issa c'est sur la M4, juste au sud de Tall Abyad tombé au main des trucs. Sur ce front pas de cessez le feu non plus. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 21 octobre 2019 Share Posté(e) le 21 octobre 2019 Oui très mignon comme sortie de la part de l'Allemagne. J'aurai presque failli y croire... ...avec un zéro de moins aux chiffres annoncés. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Phacochère Posté(e) le 21 octobre 2019 Share Posté(e) le 21 octobre 2019 Oui, quand on est incapable de s'entendre pour prendre une résolution commune et les sanctions politiques ou économiques qui en découlent, jouer les "va-t-en guerre" est pathétique. Certainement l'initiative isolée d'un député en recherche d'une posture, à suivre. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
kotai Posté(e) le 22 octobre 2019 Share Posté(e) le 22 octobre 2019 Il y a 7 heures, Pierre_F a dit : Il faut déjà en trouver 30 à 40000 3000 maxi pour la France, 3000 allemands, 3000 anglais , 1000 italiens, 1000 espagnols, 500 belges, 300 danois .. je tousse pour en trouver plus sur le terrain .. Des polonais ? des Hongrois ? Tu peux enlever les anglais, ils sont sur le départ. Je suppose que l'Allemagne pense que la France devrait fournir les 30000 hommes? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. jojo (lo savoyârd) Posté(e) le 22 octobre 2019 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 22 octobre 2019 (modifié) Le pétrole de la région ... Citation Selon le New York Times, Washington pourrait finalement garder environ 200 soldats au sol. Ils seraient chargés de s’assurer que les champs pétroliers et gaziers de Deir el-Zor ne soient pas à nouveau accaparés par l’EI, a assuré Mark Esper. Les jihadistes avaient notamment pris le contrôle de ceux d’Al-Omar et de Conoco avant d’en être chassés par les FDS en 2017. Le site d’Al-Omar avait ensuite été utilisé comme base arrière lors des derniers combats contre l’EI dans le sud-est du pays. Ce redéploiement américain bloquerait aussi l’avancée des troupes du régime syrien, alors que Damas répète depuis plusieurs mois qu’il entend reconquérir l’intégralité du territoire. Avant l’offensive turque, les forces kurdes en contrôlaient environ un tiers. Les troupes US "célébrées" ... Citation Jet de tomates Le retrait des troupes américaines se poursuit en parallèle au nord, le long de la frontière turque. Des dizaines de blindés ont été filmés quittant notamment Qamishli. Des passants se sont mis en travers de leur route, hurlant à «la traîtrise des Américains» et leur jetant des tomates et des pierres. Les convois ont continué vers l’est et le point de passage de Fishkhabour, qui marque la frontière irakienne. Ils ont ensuite rejoint une base américaine près de Mossoul. Washington a déjà annoncé que les soldats basés en Irak, non loin de la frontière syrienne, pourraient la franchir pour mener des opérations de contre-terrorisme. https://www.liberation.fr/planete/2019/10/21/troupes-americaines-en-syrie-le-nouveau-revirement-de-trump_1758896 Bernard Bajolet, sur le risque terroriste lié à la situation au Levant : Citation Offensive turque : l’ancien patron de la DGSE met en garde contre “l’augmentation du risque terroriste en France” Dans un entretien au “Monde”, Bernard Bajolet explique “craindre” que la frontière syro-turque “soit ouverte à tous les vents”. À ceux qui espéraient voir la menace terroriste se tarir au cours des prochaines années, Bernard Bajolet oppose de solides (et inquiétants) arguments. Directeur général de la sécurité extérieure (DGSE) jusqu'en mai 2017, il revient sur la situation en Syrie, où la Turquie mène une offensive militaire depuis le 9 octobre. « Une question de sécurité nationale » « Le problème fondamental est désormais l’absence d’étanchéité de la frontière syro-turque. Je crains qu’elle soit ouverte à tous les vents, ce qui va augmenter le risque terroriste de façon très importante pour la France », affirme-t-il au Monde, rappelant que « la Turquie avait fait circuler énormément de djihadistes jusqu’en 2015. Ceux qui ont frappé la France sont passés de Syrie vers la Turquie par le couloir qui se situe au nord entre Afrin et le Rojava. » Et d'ajouter : « En matière de contre-terrorisme, la coopération avec les Turcs était extrêmement difficile, marquée par un manque de transparence totale de leur part, et une très grande susceptibilité. Même pour les Russes, la Turquie est un partenaire très difficile. On ne peut pas ignorer le problème sécuritaire que posent à la Turquie le terrorisme et les réfugiés syriens, mais elle utilise cette situation comme moyen de pression sur nous. » Dès lors, « le soutien aux Kurdes répondait d’abord à un objectif pratique. Les Kurdes étaient notre assurance de voir perdurer l’étanchéité sur la partie du front qu’ils contrôlaient », analyse encore Bernard Bajolet. Par ailleurs, l'ancien patron de la DGSE « ne croit pas » que la France ait fait « une erreur fondamentale » en ne rapatriant pas ses djihadistes et leurs familles. « Les enfants ont toujours été une question à part, mais s’agissant des combattants, je comprends la position actuelle de la France : devant la justice française, on ne sait pas comment cela tiendrait. C’est une question de sécurité nationale », estime-t-il. https://www.valeursactuelles.com/societe/offensive-turque-lancien-patron-de-la-dgse-met-en-garde-contre-laugmentation-du-risque-terroriste-en-france-112013 Modifié le 22 octobre 2019 par jojo (lo savoyârd) 2 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Phacochère Posté(e) le 22 octobre 2019 Share Posté(e) le 22 octobre 2019 Il y a 5 heures, jojo (lo savoyârd) a dit : « En matière de contre-terrorisme, la coopération avec les Turcs était extrêmement difficile, marquée par un manque de transparence totale de leur part, et une très grande susceptibilité. Même pour les Russes, la Turquie est un partenaire très difficile. On ne peut pas ignorer le problème sécuritaire que posent à la Turquie le terrorisme et les réfugiés syriens, mais elle utilise cette situation comme moyen de pression sur nous. » Ça va à l'encontre du discours des autorités françaises qui répètent à l'envie que la situation actuelle ne change pas la bonne coopération avec la Turquie dans la gestion du retour des terros. Si en plus c'est la fête du slip à la frontière... On apprécie pour le moins sa liberté de parole. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Alexis Posté(e) le 22 octobre 2019 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 22 octobre 2019 Il y a 16 heures, Pierre_F a dit : Il faut déjà en trouver 30 à 40000 3000 maxi pour la France, 3000 allemands, 3000 anglais , 1000 italiens, 1000 espagnols, 500 belges, 300 danois .. je tousse pour en trouver plus sur le terrain .. Des polonais ? des Hongrois ? Annegret Kramp-Karrenbauer est la "dauphine" supposée de Merkel - possible future chancelière donc. C'est elle qui avait proposé d'une part la construction d'un futur porte-avions "européen", d'autre part la transformation du siège français au Conseil de sécurité en siège "européen". Elle est actuellement ministre de la Défense. Tout ça pour dire qu'elle a un certain passé en matière de propositions "européennes" présentant une dimension politico-militaire... et très irréfléchies. Ce n'est pas qu'envoyer 30 000 soldats européens sur un théâtre extérieur serait impossible si on le voulait vraiment. C'est que la volonté n'y est certainement pas, et d'autre part... comment dire... c'est la cour des grands là-bas. La ministre allemande de la défense a-t-elle bien intégré le fait que ces soldats européens seraient sans couverture américaine aucune ? J'ai comme un petit doute que le Bundestag puisse accepter d'envoyer des soldats dans ces conditions... Il y a 8 heures, jojo (lo savoyârd) a dit : Le pétrole de la région ... L'appellera-t-on un jour la doctrine Trump ? Le président américain pendant la campagne électorale avait déjà reproché à ses prédécesseurs de ne pas avoir "gardé le pétrole" de l'Irak. Hier lundi, Donald Trump disait à son cabinet Citation "Je l'ai toujours dit : si vous y allez, gardez le pétrole", a dit M. Trump lors d'une réunion du Cabinet lundi. "Nous allons travailler avec les Kurdes pour qu'ils aient un peu d'argent, pour qu'ils aient quelques liquidités. Peut-être qu'une de nos grosses compagnies pétrolières s'en chargera comme il faut." Que les habitants du lieu ne s'inquiètent pas. On leur laissera un peu d'argent de poche. C'est qu'on se veut bienveillant, quand même. Il y a 8 heures, jojo (lo savoyârd) a dit : Bernard Bajolet, sur le risque terroriste lié à la situation au Levant : https://www.valeursactuelles.com/societe/offensive-turque-lancien-patron-de-la-dgse-met-en-garde-contre-laugmentation-du-risque-terroriste-en-france-112013 Par ailleurs, l'ancien patron de la DGSE « ne croit pas » que la France ait fait « une erreur fondamentale » en ne rapatriant pas ses djihadistes et leurs familles. « Les enfants ont toujours été une question à part, mais s’agissant des combattants, je comprends la position actuelle de la France : devant la justice française, on ne sait pas comment cela tiendrait. C’est une question de sécurité nationale », estime-t-il. Exactement. On ne peut pas permettre à ces gens de fiche le pied à nouveau sur le territoire français, parce que notre droit n'est pas bien fait sur ce point et ne permettrait pas de tous les mettre en prison indéfiniment. Et oui, les enfants c'est tout à fait à part. Même si là aussi notre droit n'est pas bien fait : il devrait être possible de retirer la garde systématiquement aux parents pour les faire adopter par des familles adoptives qui puissent leur donner la chance de grandir en personnes "normales" plutôt qu'en futurs terroristes. Malheureusement ça n'a pas l'air possible. 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
nemo Posté(e) le 23 octobre 2019 Share Posté(e) le 23 octobre 2019 Il y a 9 heures, Alexis a dit : Exactement. On ne peut pas permettre à ces gens de fiche le pied à nouveau sur le territoire français, parce que notre droit n'est pas bien fait sur ce point et ne permettrait pas de tous les mettre en prison indéfiniment. Et oui, les enfants c'est tout à fait à part. Même si là aussi notre droit n'est pas bien fait : il devrait être possible de retirer la garde systématiquement aux parents pour les faire adopter par des familles adoptives qui puissent leur donner la chance de grandir en personnes "normales" plutôt qu'en futurs terroristes. Malheureusement ça n'a pas l'air possible. Tout même emmerdant que notre système légal ne permette pas de priver les gens de leur droit comme ça nous arrange. Mais heureusement on peut toujours sous traiter aux états de la région (à qui on reprochera leur brutalité quand on voudra les bombarder d'ailleurs) comme on le fait si bien depuis plus de 20 ans maintenant. Merci à la confusion continue entre état de guerre et problème de sécurité. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jojo (lo savoyârd) Posté(e) le 23 octobre 2019 Share Posté(e) le 23 octobre 2019 L'amertume et le désarroi des populations kurdes face à l'attitude des USA à leur encontre. Bien triste et désolant ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) le 23 octobre 2019 Share Posté(e) le 23 octobre 2019 Il y a 7 heures, nemo a dit : Tout même emmerdant que notre système légal ne permette pas de priver les gens de leur droit comme ça nous arrange. Mais heureusement on peut toujours sous traiter aux états de la région (à qui on reprochera leur brutalité quand on voudra les bombarder d'ailleurs) comme on le fait si bien depuis plus de 20 ans maintenant. Merci à la confusion continue entre état de guerre et problème de sécurité. Il y a d'une part le droit des traîtres à dire « j'efface tout on oublie tout » après avoir participé - d'une manière ou d'une autre - à une guerre contre leur pays. D'autre part le droit de tout enfant à être élevé par des personnes honorables. Je n'hésite pas une seconde. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 23 octobre 2019 Share Posté(e) le 23 octobre 2019 https://www.lefigaro.fr/international/syrie-accord-entre-poutine-et-erdogan-20191022 (22 octobre 2019) À l’issue d’un long entretien mardi à Sotchi, le président turc et son homologue russe sont parvenus à un accord «historique» prévoyant le retrait des dernières forces kurdes. Lavrov a assuré que la Russie veillera à ce que les combattants kurdes et leurs armes se retirent à 30 kilomètres de la frontière syro-turque. Et d’ajouter que les milices kurdes ont «150 heures» pour quitter la zone. La Russie et la Turquie lanceront des patrouilles communes dans le nord-est de la Syrie, après le désarmement des milices kurdes dans la région. Ce mécanisme est destiné à éviter la reprise de l’opération militaire turque dans le nord-est de la Syrie. Mardi, la Russie et la Turquie ont réaffirmé l’accord d’Adana passé en 1998 entre Ankara et Damas. Ce texte prévoit un droit de poursuite accordé aux forces turques pour pénétrer à 5 kilomètres à l’intérieur du territoire syrien afin de faire la chasse aux «terroristes». Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) le 23 octobre 2019 Share Posté(e) le 23 octobre 2019 il y a 28 minutes, Wallaby a dit : https://www.lefigaro.fr/international/syrie-accord-entre-poutine-et-erdogan-20191022 (22 octobre 2019) À l’issue d’un long entretien mardi à Sotchi, le président turc et son homologue russe sont parvenus à un accord «historique» prévoyant le retrait des dernières forces kurdes. Lavrov a assuré que la Russie veillera à ce que les combattants kurdes et leurs armes se retirent à 30 kilomètres de la frontière syro-turque. Et d’ajouter que les milices kurdes ont «150 heures» pour quitter la zone. La Russie et la Turquie lanceront des patrouilles communes dans le nord-est de la Syrie, après le désarmement des milices kurdes dans la région. Ce mécanisme est destiné à éviter la reprise de l’opération militaire turque dans le nord-est de la Syrie. Mardi, la Russie et la Turquie ont réaffirmé l’accord d’Adana passé en 1998 entre Ankara et Damas. Ce texte prévoit un droit de poursuite accordé aux forces turques pour pénétrer à 5 kilomètres à l’intérieur du territoire syrien afin de faire la chasse aux «terroristes». Le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov résumait la chose en termes un peu plus vigoureux « Les Kurdes syriens des Unités de protection du peuple [YPG] seront taillés en pièce s’ils ne quittent pas la zone frontalière de la Turquie », a prévenu, ce 23 octobre, Dmitri Peskov, le porte-parole du Kremlin. « Washington semble les encourager à rester dans ce secteur et à combattre les forces turques », a-t-il par ailleurs affirmé… En somme, la Turquie obtient ce qu'elle veut, la Russie obtient l'image d'un pays qui décide des événements en Syrie - l'image, pas la réalité. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. nemo Posté(e) le 23 octobre 2019 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 23 octobre 2019 (modifié) Il y a 1 heure, Alexis a dit : Il y a d'une part le droit des traîtres à dire « j'efface tout on oublie tout » après avoir participé - d'une manière ou d'une autre - à une guerre contre leur pays. D'autre part le droit de tout enfant à être élevé par des personnes honorables. Je n'hésite pas une seconde. Et qui décide du caractére honorable? Si un pseudo islamiste venait te dire que tu l'était pas tu lui répondrais quoi? Le droit du fort? Et pourtant on a pas retiré les droits parentaux aux nazis après la guerre. Dans notre recherche d'une sécurité illusoire (parce qu'à ma connaissance les pays totalitaire sont pas plus sur que les notre) on est entrain de nier tous ce qui nous séparent de ces individus que nous disons combattre. Si nous sommes en guerre traitons les en prisonnier de guerre (qui a ma connaissance s'applique aux combattants pas à leur compagne/gnon et leurs enfants), si c'est une affaire de sécurité intérieure appliquons notre droit (qu'on ne cesse de rendre plus liberticide avec des conséquences de plus en plus visible) mais qu'on arrête nos conneries parce que les dérives actuelles sont plus qu'inquiétante. Modifié le 23 octobre 2019 par nemo 1 2 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 23 octobre 2019 Share Posté(e) le 23 octobre 2019 il y a 7 minutes, Alexis a dit : En somme, la Turquie obtient ce qu'elle veut, la Russie obtient l'image d'un pays qui décide des événements en Syrie - l'image, pas la réalité. Si Assad obtient de reprendre l'administration des villes de cette zone, cela contrecarre le plan d'Erdogan qui était d'en faire un protectorat turc. Que devient dans ce contexte le projet turc de transferts de population ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Alexis Posté(e) le 23 octobre 2019 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 23 octobre 2019 il y a 2 minutes, nemo a dit : Et pourtant on a pas retiré les droits parentaux aux nazis après la guerre. La grande différence avec l'idéologie nazie, c'est qu'en 1945 les nazis non seulement avaient perdus, ils savaient qu'ils avaient perdus. Ceci pour une raison très simple : leur idéologie promettait le succès en ce monde, espace vital, esclavage des inférieurs, extermination des juifs, etc. La plupart d'entre eux n'ont pas été punis pour leur crimes, ce qui ne les a pas empêchés de devenir de bons démocrates / de bons communistes suivant la partie d'Allemagne où ils se trouvaient : c'est qu'ils avaient perdu tout espoir dans le succès de leur cause. Les djihadistes ne savent pas qu'ils ont perdus, parce que leur idéologie à eux promet le succès dans l'autre monde. Ils ne sont absolument pas démoralisés. il y a 2 minutes, nemo a dit : Dans notre recherche d'une sécurité illusoire (parce qu'à ma connaissance les pays totalitaire sont pas plus sur que les notre) on est entrain de nier tous ce qui nous séparent de ces individus que nous disons combattre. Non. Si tu as un doute, visionne un documentaire sur la vie en territoire E.I. quand ils en avaient un. Puis cherche les différences avec le système policier et carcéral français. Je t'assure, tu vas en trouver. il y a 2 minutes, nemo a dit : Si nous sommes en guerre traitons les en prisonnier de guerre (qui a ma connaissance s'applique aux combattants pas à leur compagne/gnon et leurs enfants), si c'est une affaire de sécurité intérieure appliquons notre droit (qu'on ne cesse de rendre plus liberticide avec des conséquences de plus en plus visible) mais qu'on arrête nos conneries parce que les dérives actuelles sont plus qu'inquiétante. Il s'agit - hommes comme femmes, peu importe pourvu qu'ils soient adultes - de traîtres dans une guerre qui n'est pas terminée, qui ne le sera que lorsque l'idéologie islamiste-djihadiste sera passée de mode. Ce qui certes arrivera, mais pas à terme prévisible et presque certainement pas rapproché. Il est bien évident qu'aucun enfant ne doit rester sous leur coupe, pour la même raison qu'on ne laisse pas des pédophiles contrôler des enfants : pour leur protection. Je rappelle que les enfants ont des droits, et qu'avoir pour parents des traîtres n'est absolument pas leur faute. il y a 4 minutes, Wallaby a dit : Si Assad obtient de reprendre l'administration des villes de cette zone, cela contrecarre le plan d'Erdogan qui était d'en faire un protectorat turc. Que devient dans ce contexte le projet turc de transferts de population ? Dans l'article sur Opex360 En outre, MM. Erdogan et Poutine se sont entendus pour faciliter le retour « volontaire » de réfugiés en Syrie, plus précisément dans la zone de sécurité établie par Ankara. Deux millions de personnes seraient concernées, selon les autorités turques. En somme, les Kurdes de Syrie n'échapperont pas à l'épuration ethnique. 1 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
nemo Posté(e) le 23 octobre 2019 Share Posté(e) le 23 octobre 2019 il y a 6 minutes, Alexis a dit : La grande différence avec l'idéologie nazie, c'est qu'en 1945 les nazis non seulement avaient perdus, ils savaient qu'ils avaient perdus. Ceci pour une raison très simple : leur idéologie promettait le succès en ce monde, espace vital, esclavage des inférieurs, extermination des juifs, etc. La plupart d'entre eux n'ont pas été punis pour leur crimes, ce qui ne les a pas empêchés de devenir de bons démocrates / de bons communistes suivant la partie d'Allemagne où ils se trouvaient : c'est qu'ils avaient perdu tout espoir dans le succès de leur cause. Les djihadistes ne savent pas qu'ils ont perdus, parce que leur idéologie à eux promet le succès dans l'autre monde. Ils ne sont absolument pas démoralisés Il s'agit - hommes comme femmes, peu importe pourvu qu'ils soient adultes - de traîtres dans une guerre qui n'est pas terminée, qui ne le sera que lorsque l'idéologie islamiste-djihadiste sera passée de mode. Ce qui certes arrivera, mais pas à terme prévisible et presque certainement pas rapproché. Il est bien évident qu'aucun enfant ne doit rester sous leur coupe, pour la même raison qu'on ne laisse pas des pédophiles contrôler des enfants : pour leur protection. Je rappelle que les enfants ont des droits, et qu'avoir pour parents des traîtres n'est absolument pas leur faute. Ces gens avaient pas cesser d'être nazis, ils se coulaient dans le moule car ils avaient "perdus espoirs" comme tu dis. Mais la différence est pas en eux elle est dans notre certitude à nous d'être plus souhaitable que le nazisme et ici que l'islamisme. On a un droit pour gérer les traîtres qui sont pas une nouveauté dans notre histoire que je sache. Mais on refuse d'appliquer le droit de la guerre pour pouvoir rester dans un système d'exception. Et c'est une pente très dangereuse de nier les droits parentaux des individus pour cause de divergences idéologiques. Nous en sommes déjà à faire de la rééducation. On est entrain de créer un monde kafkaïen, bref la guerre justifie tout je suppose. Mais comme toujours dans ce genre de cas nous avons ou cela commence pas ou cela se termine. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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