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Marine Norvegienne


xav

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Il y a 8 heures, pascal a dit :

elle semble moins récente que celle prise de jour, le bâtiment est moins enfoncé

yop

 

 

ça peut dépendre de l'heure dans la marée : là, https://www.cabaigne.net/europe/norvege/horaire-marees.html   on peut voir qu'il peut y avoir 1.36 de marnage (différence de hauteur d'eau entre marée basse et marée haute).

Si l'épave est posée, donc immobile, selon la marée, l'eau sera plus ou mons haute dessus

 

Modifié par christophe 38
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Localisation du navire échoué un peu au Nord du port de Sture.  En regardant plus précisément, il y a 4 m de fond à cet endroit et même une zone d'estran. Par contre il y a des câbles partout.

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Sémaphore / centre de contrôle de Fedje. Tous les navires pénétrant dans le  fjord  doivent se signaler au centre une heure avant et son sous son contrôle. 

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Modifié par Fusilier
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Il y a 3 heures, christophe 38 a dit :

ça peut dépendre de l'heure dans la marée : là, https://www.cabaigne.net/europe/norvege/horaire-marees.html   on peut voir qu'il peut y avoir 1.36 de marnage (différence de hauteur d'eau entre marée basse et marée haute).

Si l'épave est posée, donc immobile, selon la marée, l'eau sera plus ou moins haute dessus

Bien vu, ça explique la différence d"enfoncement de la frégate selon l'heure de la photo...

Il y a 2 heures, Fusilier a dit :

Sémaphore / centre de contrôle de Fedje. Tous les navires pénétrant dans le  fjord  doivent se signaler au centre une heure avant et son sous son contrôle.

Dans la presse norvégienne, le centre de contrôle est très critiqué pour sa passivité durant tout le déroulement de la collision...

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il y a 9 minutes, wielingen1991 a dit :

Dans la presse norvégienne, le centre de contrôle est très critiqué pour sa passivité durant tout le déroulement de la collision...

Maintenant faudrait savoir à quelle distance de la côte s'est produite la collision, pour bien comprendre  la situation.  

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il y a une heure, wielingen1991 a dit :

+/- un kilomètre

Ca doit être dans ses eaux là,  la zone fait 2,6 Nm  de  large. Ca ne laissait pas beaucoup de place pour manœuvrer tribord,  tu te retrouves  cap sur les avancées du port à environ 0,5 nautiques.

La question sur la vitesse ça se discute, à priori pour virer en bateau vaut mieux avoir de la vitesse.  

NB  j'ai bien l'impression que si le pétro n'avait pas changé de  cap, ca passait 

Modifié par Fusilier
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les dernières nouvelles (traduction google) :

Citation

Les forces armées travaillent en parallèle avec la sécurisation du KNM Helge Ingstad et la planification d'une action de stockage du navire lui-même.

À ce jour, neuf câbles d'acier sont fixés.

"L'objectif est de sécuriser le navire, d'empêcher toute pénétration d'eau supplémentaire et d'éviter d'autres dommages matériels", a déclaré Elisabeth Sandberg, conseillère en communication pour Defense Materials, à TV 2.

Lundi, des plongeurs continuent d’attacher au bateau des câbles supplémentaires reliés à la terre, et les mouvements du navire sont surveillés en permanence.

"Le travail s'effectue pas à pas, car la sécurité est primordiale pour les personnes directement impliquées dans l'opération", a déclaré Sandberg.

La frégate avait participé à l'exercice Trident Juncture de l'OTAN et avait des armes à bord. Les armes classiques sur les frégates sont des missiles, des torpilles et des synkeminer. On ignore quelle quantité d’armes était à bord lors de l’accident.

Etes-vous confiant que les armes à bord sont sécurisées ?

"Nous sommes convaincus que le navire est sécurisé, mais nous procédons à des évaluations continues et nous travaillons continuellement à le sécuriser davantage", a déclaré Sandberg.

Il est prévu de soulever le navire sur une barge pour le transporter jusqu'à la base navale de Haakonsvern, à l'extérieur de Bergen, mais Sandberg ne souhaite pas estimer le moment où ces travaux commenceront.

Le navire d'ancrage Scandi Vega a étudié les conditions du fond. La cartographie supplémentaire de la topographie sous-marine autour et sous le navire a été réalisée à l'aide d'un véhicule sous-marin autonome Hugin.

"Il existe une très bonne coopération entre la marine, la défense, le civil et les acteurs étatiques dans ce travail exigeant", a déclaré Sanberg.

Source : https://www.tv2.no/a/10209579/

 

Ce lundi, la presse a eu accès à la zone où se trouve KNM "Helge Ingstad". Voici quelques photos :

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dernières nouvelles (traduction google) :

Citation

385 000 litres de diesel doivent être pompés de la frégate qui est entrée en collision avec un pétrolier (12.11.2018)

La frégate échouée devait être tirée avec des barges et transportée à Haakonsvern. Mais une opération de ce type ne pourra commencer que dans l’avenir, déclare un expert.

La société BOA Management de Trondheim a été chargée d’expédier la frégate sur des barges. La société met à disposition des chalands et des remorqueurs pour l’opération, bien que pour l’heure une date n'a pas encore été fixée.

La marine norvégienne s'emploie à sécuriser le navire pour l'empêcher de glisser ou de sombrer. Si cela se produisait, le navire serait perdu pour toujours.

La marine doit fournir un plan pour stabiliser et sécuriser le navire et pour vider le carburant et les lubrifiants, ainsi que la manière dont le navire doit être transporté à destination. Nous informe la direction de l'administration des côtes norvégienne, qui doit également approuver le plan.

"Nous avons continué à sécuriser le navire. Il est donc difficile des dates, mais tout le monde veut ramener le navire à la maison ", a déclaré Thomas Gjesdal, responsable de la presse et de l’information, de la marine norvégienne en Norvège vendredi matin.

La sécurité d'abord

Mais selon le responsable du projet, Claus Christian Apneseth, de Miko Marine, une entreprise spécialisée dans les équipements permettant de vider le carburant des navires, le travail de sauvetage du KNM Helge Ingstad n’est pas une tâche aisée - et elle demandera beaucoup de temps. Claus Christian Apneseth a été impliqué dans de nombreuses tâches similaires, chez lui et à l'étranger.

"Cela va prendre beaucoup de temps. La sécurité des équipes et des plongeurs est une priorité absolue. C'est seulement quand nous serons certain, qu'ils pourront commencer à vider le navire. Et l'opération peut aussi prendre un certain temps ", explique Claus Christian Apneseth.

Pour pouvoir embarquer la frégate sur la barge avant son expédition à Haakonsvern, il faudra une très grande grue, telle que Heeremas Thialf, qui peut soulever jusqu'à 14 000 tonnes. Le KNM Helge Ingstad pèse plus de 5 000 tonnes. S'approcher du navire endommagé sera peut être un défi.

Claus Christian Apneseth déclare avoir livré des ballons de levage à la marine. Ils ont également des tapis magnétiques en stock à proximité.

"Le navire endommagé doit être scellé en premier. Nous savons que la marine et l'administration côtière ont des tapis magnétiques à leur disposition. Ils doivent être coincés avec des ROV et/ou des plongeurs. Cela ne peut se produire que si nous sommes certain que le navire endommagé est stable », déclare Claus Christian Apneseth.

Miko Marine a développé un outil, le Moskito, qui peut percer les réservoirs de carburant et les vider par le dessous.

"Nous n'avons pas encore été interrogés sur cet équipement", déclare Claus Christian Apneseth.

Étant donné que les forces armées ont engagé la BOA et mobilisé des barges, un plan de sauvetage pourrait consister à sceller la coque, à la nettoyer et à la soulever de l’eau. Ensuite, il peut être amené à une profondeur suffisante pour qu'une des barges submersibles de BOA se glisse en dessous. Bien positionné au-dessus des barges, le KNM Helge Ingstad peut être correctement sécurisé et expédié à Haakonsvern.

La marine écrit sur son site Web que les trous forés dans la roche et les fondations posées sur le sol doivent être prêt avant de traîner le navire. Une fois ce travail terminé, la frégate sera sûre de pouvoir poursuivre le travail de sauvetage.

Il y a cinq points de fixation soudés sur le bateau. Des câbles d'acier épais sont maintenant tirés de la terre vers les cinq points d'attache et vers de solides fixations à l'arrière du navire. Le service de matériel de la défense norvégienne a collaboré avec la société de classification DNVGL sur la stabilité du navire et la résistance des points d'attache.

L'armée a utilisé des ROV (navires sous-marins télécommandés) avec lesquels elle a inspecté la coque. Les dégâts devraient être importants.

La marine écrit que des caméras sous-marines ont été utilisées à plusieurs reprises pour évaluer les conditions du fond autour du navire.

Bon accès à l'équipement

Par conséquent, avant que le navire puisse être déplacé, il doit être vidé de tout le carburant, huile de graissage et autres polluants susceptibles d’endommager le milieu marin. L’Administration côtière déclare qu’il s’agit maintenant d’une opération d’État visant à prévenir la pollution par les hydrocarbures.

Puisque l'accident s'est produit juste devant le terminal pétrolier Sture à Øygarden, il y avait sur place un équipement accessible pour prévenir et nettoyer après une marée noire.

"Nous sommes bien équipés en matériel, à la fois contre les inondations et pour traiter toutes les émissions", a déclaré le conseiller en communication Pål Are Lilleheien de l'Administration des côtes.

Source : https://ing.dk/artikel/fregat-kollideret-med-tankskib-385000-liter-diesel-skal-pumpes-ud-221831 

 

Modifié par wielingen1991
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Je viens de voir que les norvégiens avaient déjà perdu une frégate dans les environs de Bergen en 1994 !

Citation

 

Le 24 janvier 1994, suite à une panne de la propulsion, le KNM Oslo s’est échoué près de l’île du phare de Marstein tuant un membre d'équipage. Le 25 janvier, le remorqueur LARS est venu aider la frégate à se déséchouer et ensuite il a remorqué la frégate vers un endroit plus sûr. Cependant, en chemin, la situation de la frégate s'est détériorée, elle a pris l'eau et elle a fini par couler dans le Stenneset à Austevoll. Le 24 avril, le KNM Oslo a été renfloué et placé sur une barge de Ødegaard Salvage puis remorqué jusqu'à Haakonsvern. Mais le navire avait été tellement endommagé qu’il a été décidé de le condamner et de le démolir en 1994.

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Il y a 8 heures, pascal a dit :

-on remarque les salissures sur le pont > (toit du hangar) dues aux "exhausts" de la cheminée arrière

Tout à fait, d'autant plus que le radar d'illumination Mark 82 de la poupe soit autant "souillé" par les résidus. L'énergie émise doit en pâtir, ce qui n'est pas bon du tout pour ce type de radar.

Modifié par ascromis
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Il y a 19 heures, pascal a dit :

2 réflexions

-le temps s'est dégradé commence à y avoir ud vent

-on remarque les salissures sur le pont > (toit du hangar) dues aux "exhausts" de la cheminée arrière

Concevoir des cheminées :

à la fois "furtives" en terme de silhouette "SER",

sans point chaud "IR",

qui ne recouvre pas de zone de navire de suie

qui ne soit pas une tanée en maintenance

ce n'est pas si fastoche.... Une histoire de compromis avec des + et des -. Mais là quand même je dirais que l'études aéroliques était un peu légère...

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