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SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française


Philippe Top-Force

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Il y a 8 heures, Bon Plan a dit :

Il fallait réinitialiser tes cookies, mais ça ne marche plus.

J'suis quand même assez circonspect sur l'intégration de barres de plongée arrières en croix de Saint-André sur des SNLE. Ce type de montage est surtout utile pour augmenter la manoeuvrabilité, mais ce n'est pas ce qu'on recherche sur une grosse bête... Ce qu'on veut c'est avoir une forte stabilité de route, d'où des grandes surfaces arrières, et des surfaces en dehors du champ du propulseur, d'où les empennages en H qu'on trouve sur Ohio, Triomphant et Borei.

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il y a 45 minutes, ZeGrinch a dit :

Il fallait réinitialiser tes cookies, mais ça ne marche plus.

J'suis quand même assez circonspect sur l'intégration de barres de plongée arrières en croix de Saint-André sur des SNLE. Ce type de montage est surtout utile pour augmenter la manoeuvrabilité, mais ce n'est pas ce qu'on recherche sur une grosse bête... Ce qu'on veut c'est avoir une forte stabilité de route, d'où des grandes surfaces arrières, et des surfaces en dehors du champ du propulseur, d'où les empennages en H qu'on trouve sur Ohio, Triomphant et Borei.

J'y connais rien, mais je note que la future classe Colombia Américaine passe aussi aux barres en croix. Enfin je me corrige: s'il faut en croire les dessins que l'on peut trouver.

Modifié par Julien
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il y a une heure, ZeGrinch a dit :

Il fallait réinitialiser tes cookies, mais ça ne marche plus.

J'suis quand même assez circonspect sur l'intégration de barres de plongée arrières en croix de Saint-André sur des SNLE. Ce type de montage est surtout utile pour augmenter la manoeuvrabilité, mais ce n'est pas ce qu'on recherche sur une grosse bête... Ce qu'on veut c'est avoir une forte stabilité de route, d'où des grandes surfaces arrières, et des surfaces en dehors du champ du propulseur, d'où les empennages en H qu'on trouve sur Ohio, Triomphant et Borei.

Ca réduit le retour au sonar actif aussi d'avoir des barres fortement inclinées.

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5 hours ago, ZeGrinch said:

J'suis quand même assez circonspect sur l'intégration de barres de plongée arrières en croix de Saint-André sur des SNLE. Ce type de montage est surtout utile pour augmenter la manoeuvrabilité, mais ce n'est pas ce qu'on recherche sur une grosse bête... Ce qu'on veut c'est avoir une forte stabilité de route, d'où des grandes surfaces arrières, et des surfaces en dehors du champ du propulseur, d'où les empennages en H qu'on trouve sur Ohio, Triomphant et Borei.

Résistance aux pannes et aux dommages de combat? @ARMEN56 montrait aussi des écoulement moins perturbé par ces petit appendice que par des plus gros "verticaux".

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Il y a 13 heures, g4lly a dit :

montrait aussi des écoulement moins perturbé par ces petit appendice que par des plus gros "verticaux".

C'est vrai et pour l’avantage manoeuvrabilité du stern en X on l’avait évoqué ici

http://www.air-defense.net/forum/topic/1531-sna-suffren-snle-et-ssgn-capacité-française/page/44/?tab=comments#comment-1024018

Mais tout ceci n’est que du livresque ou assimilé aussi je comprends la  circonspection d’ingé hydro  de @ZeGrinch qui si j’ai bien compris  nous disait avoir passé par le bassin des carènes ...

 

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Le 15/02/2021 à 22:47, ywaDceBw4zY3tq a dit :

C'est une compilation de problème de machinerie de propulsion sur des SSN américains (génération Narwhal / premiers SNLE), @ARMEN56 . Ils parlent de trucs très variés, fissures de stress sur les arbres de transmission du Tulibee, vibration d'un arbre de turbine parce qu'il n'est pas chauffé uniformément (la température de la vapeur baisse au fil de la turbine), vibration sur un turboalternateur parce que le ressort du régulateur a boules n'était pas conforme au spécifications ...

Oui ben quelques bobos , y en a tjrs , pas accès au lien

Le 15/02/2021 à 22:47, ywaDceBw4zY3tq a dit :

- la boite de vitesse est une boite de vitesse a train planétaire. Ces dernières sont plus légères et plus compactes que les boites de vitesse conventionnelles, mais elles sont aussi très exigeantes d'un point de vue usinage. A grande vitesse, le train planétaire est maintenu contre l'extérieur de la boite par la force centrifuge, ce qui est compliqué d'un point de vue tolérance d'usinage (si elles trop grande, les planetes peuvent bouger légèrement et faire du bruit). A basse vitesse, les planetes peuvent "tomber" légèrement en haut et en bas du cycle de rotation, ce qui peut aussi être une source de vulnérabilité acoustique.

 

C’est de la réduction épicycloidale , c’est plus compact qu’un train de pignons classique

https://fr.wikipedia.org/wiki/Train_épicycloïdal

En Europe c’est MAAG marine gears qui était à la pointe ….de la « Rollex » suisse

https://www.artec-machine.com/Gear-Tech-Docs

voir EPICYCLIC GEARBOXES

Usinage des dents pour des réducteurs aux exigences de silence , c’est du niveau confidentiel défense

Sinon dans le film « Le chant du loup » , me semble avoir capté que l’oreille d’or en question était capable d’ identifier le nombre de pales d’une hélice ( 7 je crois ) donc celle d’un soum  ET la signature d’un réducteur épicycloidal qui se distingue des autres …..

Extrait ouvrage technique soum russe

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Modifié par ARMEN56
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Il y a 5 heures, Patrick a dit :

On espère que cette fois les allemands ne sont pas invités... :dry:

Parle pas trop vite malheureux, déja que les allemands voulaient un droit de regard, sinon la double clée , de notre force de dissuasion...

:smile:

bon on peut supposer que c'est de l'humour germanique... :biggrin: 

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il y a une heure, Bon Plan a dit :
Citation

Pour des questions de coûts, en particulier la nécessité de pouvoir continuer à utiliser les infrastructures portuaires existantes, à commencer par les cales sèches de la base de l’Ile Longue, les futurs SNLE auront un gabarit assez voisin de celui de leurs aînés. Mais ils seront quand même plus gros, avec une longueur dépassant les 140 mètres et un déplacement en plongée de plus de 15.000 tonnes. Rester dans des tailles à peu près similaires impose de conserver un système d’arme principal basé sur l’encombrement des actuels M51, missiles de 12 mètres de long pour 2.3 mètres de diamètre et une masse de 54 tonnes. Il faudra faire avec ce volume pendant toute la durée de vie des SNLE 3G, conçus pour rester en service durant 40 ans et dont le dernier exemplaire est par conséquent appelé à naviguer jusqu’en 2090. Alors que les SNLE 3G embarqueront comme leurs aînés 16 missiles balistiques (ainsi que pour leur autodéfense des torpilles et missiles antinavire mis en œuvre au moyen de quatre tubes latéraux en arrière du dôme sonar), la France va donc continuer de faire évoluer le M51.

 

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Bon d'un autre côté dans sa conf actuelle le M51 a une allonge de 9 à 10 000 km

Un M51 peut taper Pékin depuis la Mer d’Iroise la quête d'un portée supplémentaire ne sera pas l'incrémentation majeure que l'on demandera au nouveau missile

 

Le réacteur sera une évolution du K15 le K22 étant jugé trop gros

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A t on la moindre idée des zones et de la forme de patrouille armée ?

Je veux dire : on peut sûrement  définir au compas des zones probables, compte tenu de la portée connue de nos missiles et du faible nombre de pays à dissuader, peut-être des fonds, conditions thermocline, tranquillité en surface... Mais le SNLE a t il intérêt à «orbiter » dans une zone ad hoc, ou à transiter sur un itinéraire discret ?

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16 minutes ago, pascal said:

Bon d'un autre côté dans sa conf actuelle le M51 a une allonge de 9 à 10 000 km. Un M51 peut taper Pékin depuis la Mer d’Iroise la quête d'un portée supplémentaire ne sera pas l'incrémentation majeure que l'on demandera au nouveau missile. Le réacteur sera une évolution du K15 le K22 étant jugé trop gros

Le plus surprenant dans ces annonces c'est le déplacement ... moins de 15000t en plongée. Cette absence d'évolution laisse supposer que les solutions d’insonorisation de la propulsion seront grosso modo les même que dans la classe précédente ... les spécialistes s'attendaient plutôt à 15 000 t en surface en fait.

6 minutes ago, Hirondelle said:

A t on la moindre idée des zones et de la forme de patrouille armée ?

Je veux dire : on peut sûrement  définir au compas des zones probables, compte tenu de la portée connue de nos missiles et du faible nombre de pays à dissuader, peut-être des fonds, conditions thermocline, tranquillité en surface... Mais le SNLE a t il intérêt à «orbiter » dans une zone ad hoc, ou à transiter sur un itinéraire discret ?

Tu prends une cible typique ... tu fais un cercle de 8000km autour ... et tu cherches des eaux pas trop trop éloignées de Brest ... avec du fond et si possible un tombant assez raide.

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il y a 2 minutes, g4lly a dit :

Le plus surprenant dans ces annonces c'est le déplacement ... moins de 15000t en plongée. Cette absence d'évolution laisse supposer que les solutions d’insonorisation de la propulsion seront grosso modo les même que dans la classe précédente ... les spécialistes s'attendaient plutôt à 15 000 t en surface en fait.

L'ouest de l’Écosse.

C’est étroit.

En y réfléchissant, j’imagine qu’on anticipe aussi les trajectoires des missiles qui ne devraient pas survoler un pays susceptible de riposté par erreur.

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2 minutes ago, Hirondelle said:

En y réfléchissant, j’imagine qu’on anticipe aussi les trajectoires des missiles qui ne devraient pas survoler un pays susceptible de riposté par erreur.

On essaie surtout de couvrir toute le pays potentiellement cible avec nos missile. Et pour couvrir toute la Russie depuis l'Atlantique y a pas des masses de solutions ... surtout avec des missiles pas forcément très longue portée.

Pour la Chine on ne peut atteindre que l'ouest du pays de l'Atlantique par exemple ... ça impose donc une zone de patrouille en océan indien si on veut menacer toute la Chine. A priori cette zone existe mais n'est jamais utilisé.

4 minutes ago, Hirondelle said:

C’est étroit.

Ou ouest Irlande comme tu veux ^_^ ...

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