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SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française


Philippe Top-Force

Messages recommandés

A partir du moment où il y a toujours des soum en entretien lourd, pourquoi conserver autant d'équpages ?

Il y a tout un gros mélange.

Il y a a ma connaissance 10 équipages - on été redescendu a 9 mais c'était la grosse merde, donc tant bien que mal on est remonté a 10 - pour les 6 SNA et 7 équipage pour les 4 SNLE.

 

Exemple d'oragnisation de patrouille des SNLE pas NG. L'équipage supplémentaire - au double système par sous marin dispo - sert d'équipage d'alerte, visiblement il doit boucher les trou des autres équipage qui pourrait pas du tout ou pas complètement effectuer leur tache.

 

 

Vingt ans de patrouilles (d'après Cols bleus n°2395 10/05/97) Le Redoutable a pendant vingt années sillonné bien des océans. C'est toute une vie d'aventures partagées avec des hommes à son bord, pour servir une idée simple, dissuader un agresseur potentiel de menacer le territoire français et ses habitants. Pour cela, ses concepteurs lui ont ont donné seize armes terribles à têtes nucléaires, des équipements performants et un système de propulsion reposant sur l'utilisation de l'énergie nucléaire. Celle-ci lui a permis de pouvoir se déplacer avec une grande autonomie et une discrétion parfaite. Bien qu'elle ne fut pas de tout repos, sa vie, comme celle des hommes embarqués, a été réglée selon un rythme parfaitement défini et régulier. Deux équipages servaient à tour de rôle à son bord: l'équipage bleu et l'équipage rouge. Après une patrouille opérationnelle dont la durée a augmenté tout au long de sa vie, passant progressivement de 55 à 70 jours environ, l'équipage bleu ramenait au port de l'île Longue et passait la suite à l'équipage rouge qui le prenait en charge. Les "bleus" partaient alors en permission pendant cinq à six semaines, les "rouges" s'occupant alors de l'entretien, avec le concours de la DCN et le soutien logistique de l'île Longue, pour le préparer à reprendre la mer à 100% de ses capacités. Accompagné par des bâtiments de surface qui lui ouvraient la voie, il se dirigeait au large, vers son point de plongée. En cet endroit choisi par le commandant, il quittait alors la surface des flots. Vingt et un jours après son départ, les "bleus" reprenaient l'entraînement pour six semaines afin de revenir à bord avec toutes leurs capacités. Après soixante-dix jours de mer, il était de retour dans son havre de l'île Longue. L'équipage bleu attendait sur le quai au garde-à-vous: l'émotion partagée par tous était presque palpable. Un cycle s'achevait, un autre commençait, toujours renouvelé et pourtant a chaque fois différent.

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 Il y a des différences notables de recrutements pour composer un équipage entre le besoin pour les SNA et les SNLE-NG ? Ou c'est similaire ?

 

  J'ai souvent entendu dire que la composition des équipages des SNLE-NG était grosso modo l'écumage et filtrage des expériences a bord des SNA avec un filtre supplémentaire concernant la sensibilité des profils ... Mais jamais réelles confirmations ...

 

  D'autant qu'a mon simple avis un SNA est un outil tout aussi sensible qu'un SNLE-NG, le fait qu'il porte les missiles ne changeant pas grand chose a la sensibilité global du spectre géostratégique des 2 types de soum' qui se complêtent dans une composante ou ils sont interdépendants pour réussir la crédibilité de dissuasion nuke

 

   Du coup est ce si vrai que ça que les équipages des SNLE-NG serait un simple écrémage des expérimentés SNA ? Que les SNA puissent être "tremplin" pour de nombreux sous mariniers qui finissent + tard a Brest-ile Longue je veux bien y croire, mais que ça soit la rêgle serait + étonnant

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bah visiblement il suffi d'un bac plus 2 et zouh embarquement pour 12 mois de contrat :lol:

 

Je ne sais pas de quand date l'annonce

https://etremarin.fr/r/uploads/offer/db/pdf/5073/514c4324ddd22dde598da4d3e53b5492.pdf

 

On y apprend que l'organisation des patrouilles a pas du beaucoup changer

 

Les sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE)

constituent la principale composante des forces
nucléaires stratégiques (FNS). La permanence d’un S
NLE à la mer garantit la possibilité d’exécuter à t
out
moment au moins une frappe nucléaire de riposte. Le
s SNLE bénéficient des matériels les plus modernes
ainsi que d’une discrétion acoustique accrue.
A la mer, le SNLE est une base entièrement autonome
qui reste non localisée tout au long de sa patroui
lle.
Chaque SNLE compte deux équipages de 110 hommes qui
sont tour à tour responsables du sous-marin.
Le cycle opérationnel comprend une période d’entraî
nement sur simulateur localisée au centre
d’entraînement et d’instruction « Roland Morillot »
dans l’arsenal de Brest ; une période d’entretien
du
bâtiment au sein de la base opérationnelle de l’Ile
Longue en presqu’île de Crozon ; une patrouille de
9 à
10 semaines ; une période de soutien du deuxième éq
uipage pendant la période d’entretien de ce dernier
à l’Ile Longue et enfin quelques semaines de permis
sions.
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A partir du moment où il y a toujours des soum en entretien lourd, pourquoi conserver autant d'équpages ?

Et pour compléter la réponse de Jeansaisrien, c'est aussi parce que les équipages du sous-marin en entretien lourd participent à cet entretien. Ce ne sont pas eux les ouvriers qui font les travaux, mais il y a quantité de tâches d'organisation et de servitude qui reposent sur l'équipage. De plus, la participation à cet entretien limite les risques de déconnexion vis à vis du matériel et de son usage et permet une acquisition continue de compétences vis à vis des nouveaux systèmes mis en place - en complément de la formation théorique. Enfin, connaître les systèmes, participer à leur entretien, leur mise-à-niveau ou leur renouvellement permet, à l'usage, de faciliter la maintenance ordinaire en cas d'avarie, ou bien les réparations minimales ou la mise en sureté des installations en cas de dommages au combat.

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bonjour, on parle bcp de itar free pour nos avions, mais quid des soums?

 

Posté aujourd’hui, 08:29

mgtstrategy, (le) 27 Oct 2013 - 14:03, a écrit :snapback.png

On a du matos USA dans nos SNA?   >:D

Si tu veux on continue sur le fil adéquat...
Les turbines sont fabriquées par un industriel français historique mais racheté en 2000 par GE 
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  • 1 month later...
  • 1 month later...

Une idée qui me vient, en repensant au concept du smx-22 :

 

http://3.bp.blogspot.com/_44d3OT-xI3U/SOPKoPhNkuI/AAAAAAAAAC8/dfXm95gVFZE/s1600/SMX-22%2BSSK.jpg , c'est celle d'un Barracuda qui prendrait avec lui sur les flancs, deux smx-26 Caïman (n'ayant pas l'autonomie du SNA...).

 

- A votre avis, Casse-tête technique ?

- Trop de risque d'indiscrétion accoustique au moment du détachement ?

- Si un tel trio avait pour mission de s'en prendre à un navire de surface ASM + 2 hélicos PATMAR, est-ce que la mission verrait ses chances de réussite augmentait sérieusement ? (tactique de diversion, impossibilité des deux hélicos en l'air à suivre les trois pistes de manière efficace, etc...)

- Possible doctrine de frappe littorale en présence de SSK côtiers par l'aller-retour des smx-26 à un point donné arbitraire par le porteur Barracuda ? (et franchissement plus discret d'un réseau type SOSUS posé au large des côtes ?)

Modifié par Rémy
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Une idée qui me vient, en repensant au concept du smx-22 :

 

http://3.bp.blogspot.com/_44d3OT-xI3U/SOPKoPhNkuI/AAAAAAAAAC8/dfXm95gVFZE/s1600/SMX-22%2BSSK.jpg , c'est celle d'un Barracuda qui prendrait avec lui sur les flancs, deux smx-26 Caïman (n'ayant pas l'autonomie du SNA...).

 

- A votre avis, Casse-tête technique ?

- Trop de risque d'indiscrétion accoustique au moment du détachement ?

- Si un tel trio avait pour mission de s'en prendre à un navire de surface ASM + 2 hélicos PATMAR, est-ce que la mission verrait ses chances de réussite augmentait sérieusement ? (tactique de diversion, impossibilité des deux hélicos en l'air à suivre les trois pistes de manière efficace, etc...)

- Possible doctrine de frappe littorale en présence de SSK côtiers par l'aller-retour des smx-26 à un point donné arbitraire par le porteur Barracuda ? (et franchissement plus discret d'un réseau type SOSUS posé au large des côtes ?)

A priori quelques chose dans le genre est déjà prévu sur Barracuda. Un dispositif d'ancrage d'une "boite" version sac a dos, sur la coque du barracuda a l’arrière du kiosque. On ne sais pas a quel genre de sac a dos pense DCNS et la MN, mais il n'est pas impossible qu'il puisse etre de la taille d'un tout petit sous marin. A la base je pensais a des conteneur étanche comme ceux des Ohio, mais c'est juste un a priori sur ce qui se fait déjà.

Pour des ancrage latéraux de gros objet, rien d’annoncé, par contre il y avait ce projet de SMX-22 ... mais depuis plus rien. Ca date de 2004, les mini sous marin sont de l'ordre de 500t le gros 3750t.

wYGZbeo.jpg les clients potentiels ont été intéressé par les mini soum qui déboucha sur la classe Andrasta, mais pas par la fonction mother ship.

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Cela pourrait avoir un interet vu le nombre minimal de SNA, de pouvoir provoquer " un essaim " avec des mini-soums électrique de 500/1000t accolés, dans l'optique d'un effet de meute et de saturation. Le smx-26 (je l'aime bien celui-là), dispose de 2 tubes de 533, pour les lourdes. C'est suffisant pour du " hit and run " sur une coque moyenne à lourde et si casse il y a, les pertes sont moindres (mon raisonnement a l'air un peu cynique  :-X )

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Cela pourrait avoir un interet vu le nombre minimal de SNA, de pouvoir provoquer " un essaim " avec des mini-soums électrique de 500/1000t accolés, dans l'optique d'un effet de meute et de saturation. Le smx-26 (je l'aime bien celui-là), dispose de 2 tubes de 533, pour les lourdes. C'est suffisant pour du " hit and run " sur une coque moyenne à lourde et si casse il y a, les pertes sont moindres (mon raisonnement a l'air un peu cynique  :-X )

Intessant pour la France? Je ne pense pas ... nos sous marin sont essentiellement des engin de renseignement, et d'escorte de capital ship.

Pour un pays avec une large cote, les mini soum sont intéressant parce qu'il sont suffisant.

- pas besoin d'un équipage super expérimenté, ni pléthorique.

- le prix plancher tout est réduit a simple besoin opérationnel basique de défense cotiere.

- la proximité des bases rend pas indispensable des modele plus endurant.

- la minuscule taille des mini soum permet de développer des tactique spécifiques et donc de contrer les tactique classique utiliser par et contre les gros soum.

- Les mini soum font peser une menace tellement flou sur la flotte adverse que le simple fait d'en posseder suffit a repousser l'assaillant un certain temps. Le temps qu'il se rende compte si effectivement c'est une menace forte ou pas tant que ca, mais ca peu etre long si le défenseur joue bien et a un peu de bol, il suffit qu'il arrive a toucher un ou deux navire pour mettre la panique dans les rang adverse, qui ne savent pas faire la chasse au petit soum. Les petit soum électrique, ca ne fait pas de bruit, donc ca se détecte mal au sonar passif, c'est tellement petit que le sonar actif les détecter très tard, et pire dans l’environnement de haut fond, on risque de les détecter seulement si on a le nez dessus un peu comme les mines.

En gros ça rang accessible a n'importe quelle marine un sous marin, sérieusement utilisable, pour un cout humain et financier très raisonnable, et une efficacité défensive locale importante.

En mode assaut a la mer ... a par pour infiltrer/exfiltrer des personnel très en avant dans le dispositif ennemi je ne vois pas trop. C'est mini soum n'ont pas les meme senseur que les gros ... ni la vitesse, ni la profondeur etc. Utilisé la ou on connais et avec des appuis il doivent avoir l'avantage, utilisé contre des flottes entière au large je doute qu'il servent a grand chose.

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est ce qu'il serai envisageable pouir un soum de larguer des capteurs deportés, comme on largue une mine ou une torpille "dormante" si on veut, de facon a pouvoir trianguler plus rapidement la position d'un adversaire (si plusieurs points de reception de signal pas besoin d'attendre de s'etre deplacé pour avoir une solution de tir), ou utiliser un sonar actif sans devoiler le sous marin lui meme? j'imagine qu'un ecueuil est la transmission de données sous marines, si le soum "lanceur "doit rester relié par fil a plusieurs elements simultanements ca va peut etre creer des problemes

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est ce qu'il serai envisageable pouir un soum de larguer des capteurs deportés, comme on largue une mine ou une torpille "dormante" si on veut, de facon a pouvoir trianguler plus rapidement la position d'un adversaire (si plusieurs points de reception de signal pas besoin d'attendre de s'etre deplacé pour avoir une solution de tir), ou utiliser un sonar actif sans devoiler le sous marin lui meme? j'imagine qu'un ecueuil est la transmission de données sous marines, si le soum "lanceur "doit rester relié par fil a plusieurs elements simultanements ca va peut etre creer des problemes

Ca se fait déjà depuis longtemps. On utilise des petit véhicule sous marin qui ressemble a des torpille et qui embarque des sonar. C'est engin peuvent etre parfois récupéré parfois perdu ... ca dépend des modeles et des techno utilisé, mais de plus en plus on cherche a les faire facilement récupérable par le TLT.

En pratique une torpille est un sonar déporté ... sauf qu'en plus elle a une charge explosive a bord, en virant cette charge explo, on peu remplacer par du carburant ou des senseurs, c'est simple et ca se pratique depuis que les torpille autoguidé existe. Le télépilotage se fait par filoguidage ca limite un peu les évolutions du porteur par rapport a l'engin télé-piloté, de maniere a pas casser le fil.

Ce genre d'engin sert beaucoup pour la reconnaissance de champ de mine par exemple on peut reconnaitre un passage, avec le "drone" avant d'y engager le sous marin lui meme. Meme chose pour des reconnaissance hydrographique d'embouchure de port/base/plage etc. Comme moyen de détection d'autre navire je ne suis pas sur que ce soit super utile par contre.

Exemple classique du NMRS qui equipe les "688s" http://www.fas.org/man/dod-101/sys/ship/weaps/nmrs.htm

On en parle dans ce fil http://www.air-defense.net/forum/topic/199-drone-surface-sous-marin/page-4

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  • 2 months later...

Défense à Brest. La décision sur le transfert des SNA Barracuda retardée: http://t.co/NHoGXag1t6

— Philippe Top-Action (@top_force)

April 1, 2014

 

Le débat sur le transfert des SNA à Brest : résultat du seul lobbying de Patricia Adam ? la Marine pas favorable ? http://t.co/SCCPBGWihB

— Newsletter navale (@Newsletnavale)

April 1, 2014
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est ce qu'il serai envisageable pouir un soum de larguer des capteurs deportés, comme on largue une mine ou une torpille "dormante" si on veut, de facon a pouvoir trianguler plus rapidement la position d'un adversaire (si plusieurs points de reception de signal pas besoin d'attendre de s'etre deplacé pour avoir une solution de tir), ou utiliser un sonar actif sans devoiler le sous marin lui meme? j'imagine qu'un ecueuil est la transmission de données sous marines, si le soum "lanceur "doit rester relié par fil a plusieurs elements simultanements ca va peut etre creer des problemes

 

Et les sonars tractés sont aussi des capteurs déportés dans les faits car le soum possèdent aussi des capteurs sur sa coque. Ils n'ont pas besoin de propulsion indépendante car ils sont tractés justement mais certains ont peut être des moyens de gérer leurs trajectoire de façon active comme le font les sonars remorqués des bateaux. Par contre sur les soums français, j'ai cru comprendre que les sonar remorqués sont fixes avec des opérations de monte et de démonte par un autre navire au début et en fin de mission. cela impliquerait d'ailleurs que nos sous-marin ne peuvent pas facilement opéré en dehors de leurs bases habituelles.

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Ceci résulterait d'un choix, celui de ne pas avoir à bord du soum un système de treuil de rétraction.

En clair sur les SNA (je ne sais pas ce qu'il en est sur les SNLE) on clipse la queue sonar en début de mission et on la déclipse au retour de la patrouille. Le soucis c'est qu'a priori le SNA ne doit pas pouvoir aller à sa VMax avec la queue dans l'eau et donc à l'inverse pour certaines missions genre traque d'escadre à la mer on se demande s'il l'emporte. Çà reste assez confidentiel !

 

L'argument officiel avancé concernant le choix de ne pas avoir de treuil de rétraction est que ce n'est pas fiable et sujet aux pannes ... certes mais je crois aussi que vu la taille de nos SNA l'emport d'une telle machinerie ne devait vraiment pas être évident ...

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Les Barracuda, plus grand auront le treuil. La raison de l'absence actuel de treuil est a mon avis essentiellement le problème d'encombrement. Tirer la longue traine pose pas mal de contrainte, de manœuvre, de vitesse, mais aussi de risque de croche par petit fond.

Sur les SNLE laisser la traine en place pose moins de souci a priori, meme si je pense eux ont un treuil.

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