capmat Posté(e) le 15 septembre 2020 Share Posté(e) le 15 septembre 2020 il y a 14 minutes, Bruno a dit : C'était en quelle année, ça ? Pas celle de Lulu la nantaise avec Jo le trembleur, après....ce devait être vers 1993,1994....j'ai plus ma tête ! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
HK Posté(e) le 15 septembre 2020 Share Posté(e) le 15 septembre 2020 1999 Guerre du Kosovo. Apres j’émets un doute que nous étions les seuls de la coalition OTAN avec un sous marin dans le coin. Entre les Italiens, les USA il y en avait peut être d’autres qui faisaient tout aussi peur à la maigre flotte Serbe... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mudrets Posté(e) le 16 septembre 2020 Share Posté(e) le 16 septembre 2020 Non, à ma connaissance, au moins un batave ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. g4lly Posté(e) le 21 septembre 2020 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 21 septembre 2020 Lecointre taille de gentille croupiere au logique comptable ... au externalisation ... et autre optimisation à la petite semaine. http://www.opex360.com/2020/09/20/incendie-du-sna-perle-pour-le-general-lecointre-lexternalisation-de-lentretien-des-navires-a-ete-une-erreur/ Quote Incendie du SNA "Perle" : Pour le général Lecointre, l'externalisation de l'entretien des navires a été une erreur La Révision générale des politiques publiques RGPP [entre 2007 et 2012] puis la Modernisation de l’action publique [MAP], menée au moins jusqu’en 2015, ont été des politiques qui, reposant sur la recherche à tout prix de l’efficience, ont conduit à de profondes réformes au sein du ministère des Armées. Ce qui s’est traduit par une déflation importante des effectifs, le recours à l’externalisation et la prédominance d’une logique des flux par rapport à une logique des stocks. C’est donc dans ce contexte que, en 2015, Naval Group [qui s’appelait encore DCNS] se vit confier la maintenance des six sous-marins nucléaires d’attaque [SNA] de la classe Rubis jusqu’en 2020. Or, pour le chef d’état-major des armées [CEMA], le général François Lecointre, cela a été une « erreur ». Et l’incendie du SNA « Perle », le 12 juin dernier, en serait l’illustration. Pour rappel, ce sous-marin était en cale sèche, à Toulon, dans le cadre de son dernier arrêt technique majeur, quand un incendie s’est déclaré dans un compartement situé l’avant du navire. Début septembre, et d’après les avancées de l’enquête, l’amiral Pierre Vandier, le chef d’état-major de la Marine nationale [CEMM], a expliqué que le feu aurait sans doute été provoqué par un « éclairage » ayant consumé une feuille de plastique en vinyle qui se trouvait « dans un coffret en bois », lequel avait été installé pour éviter la propagation d’amiante lors du carénage de la coque. Quoi qu’il en soit, un mois après les faits, lors d’une audition à l’Assemblée nationale, un mois après les faits [le compte-rendu vient d’être publié dans un rapport intitulé « L’évolution de la conflictualité dans le Monde »], le général Lecointre a estimé que l’incendie de la Perle est « typiquement la traduction des renoncements auxquels nous avons été conduits sous la contrainte de la recherche d’efficience et de la révision générale des politiques publiques. » « C’est la première fois que nous avons entièrement externalisé l’arrêt technique majeur d’un bâtiment essentiel à notre marine à un industriel privé », a continué le CEMA, avant d’assurer que les « enseignements » en seront « tirés ». « Nous savions que ce mouvement, auquel nous avions été contraints, présentait des inconvénients », a insisté le général Lecointre. « J’en parlais il y a deux jours avec l’amiral Augier, patron du bataillon des marins-pompiers de Marseille qui a dû intervenir sur cet incendie et qui a, par ailleurs, été ingénieur-mécanicien en chef d’un sous-marin nucléaire d’attaque. Il m’expliquait que lorsqu’il était en service dans son sous-marin, pendant l’arrêt technique, l’équipage était là et les officiers étaient en permanence dans le bâtiment, ils restaient maîtres de l’outil, car cela demeure une opération militaire et pas simplement industrielle », a reconté le CEMA [par ailleurs fils de sous-marinier]. « Des erreurs ont été faites et nous saisirons toutes les occasions pour revenir sur ces erreurs, y compris quand cela ne coûte pas d’argent et que l’affaire est simplement de processus », a encore assuré le général Lecointre. Cela étant, ce dernier met en garde depuis longtemps contre cette quête de l’efficience, devenue pendant un temps l’alpha et l’oméga de toutes les réformes appliquées au monde militaire. Il le fit ainsi en 2012, avec « La fin de la guerre à la fin de l’armée« , un article publié par le revue Inflexions. Ce qu’il n’a pas manqué de rappeler aux députés. Dans ce papier, « j’alertais sur les dangers que nous courions en dégradant notre modèle d’armée sous le poids de la recherche d’efficience à tout prix et de la contrainte économique. La vision de l’État et de son fonctionnement qui prévalait alors affaiblissait objectivement les armées : parce qu’on estimait que la paix était définitive, on considérait que celles-ci devaient être cantonnées à des opérations de gestion de crise », a dit le CEMA. « Toutes les politiques mises en œuvre dans le cadre de la RGPP l’ont été par un ensemble politico-administratif qui était rempli de certitudes sur l’avenir du monde : nous allions, disait-on, vers un monde heureux », a encore dénoncé le général Lecointre. Or, a-t-il continué, « il faut avoir été à Sarajevo en 1995, en Somalie, au Rwanda, pour comprendre ce qu’est la violence et ce qu’il y a au fond de l’homme, et mesurer que les bases sur lesquelles nous construisions un avenir radieux pour l’Union européenne et le monde occidental allaient être sapées par la réalité de la violence des hommes et du fond tragique de l’histoire. » 3 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 22 septembre 2020 Share Posté(e) le 22 septembre 2020 http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2020/09/21/sauver-la-perle-en-cannibalisant-le-sna-saphir-21455.html 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
LBP Posté(e) le 22 septembre 2020 Share Posté(e) le 22 septembre 2020 il y a 16 minutes, ARMEN56 a dit : http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2020/09/21/sauver-la-perle-en-cannibalisant-le-sna-saphir-21455.html ben tiens !!! Citation C’est la première fois que nous avons entièrement externalisé l’arrêt technique majeur d’un bâtiment essentiel à notre marine à un industriel privé. Nous en tirerons les enseignements. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
tom Posté(e) le 22 septembre 2020 Share Posté(e) le 22 septembre 2020 il reste des coques des SNA 7 et 8 ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 22 septembre 2020 Share Posté(e) le 22 septembre 2020 (modifié) Il y a 21 heures, tom a dit : il reste des coques des SNA 7 et 8 ? Ah Ah l'article dit qu'on évoque ces coques des SNA 7 et 8 "sur Cherbourg". Je m'étais posé la question déjà car la coque du 7 devait être terminée ou quasi quand ils ont été annulé. Je me demandais si elles avaient été ferraillées en douce ou bien gardées précautionneusement... Vu que les bruits de couloir viennent de Cherbourg, elles semblent avoir été gardées... Modifié le 23 septembre 2020 par BPCs 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Scarabé Posté(e) le 22 septembre 2020 Share Posté(e) le 22 septembre 2020 il y a 18 minutes, tom a dit : il reste des coques des SNA 7 et 8 ? Il semblerait Par contre le mec qui veut faire du neuf avec une vielle epave toute cramée je te l'envoie y faire un sejour de 48h00 avec deux ration de combat et 3 litres d'eaux. Juste histoire de le faire reflechir. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 22 septembre 2020 Share Posté(e) le 22 septembre 2020 (modifié) il y a 54 minutes, Scarabé a dit : Il semblerait Par contre le mec qui veut faire du neuf avec une vielle epave toute cramée je te l'envoie y faire un sejour de 48h00 avec deux ration de combat et 3 litres d'eaux. Juste histoire de le faire reflechir. La question semble plutôt être : "où est-ce que l'on coupe" pour ne plus être dans de la vieille épave toute cramée... Et là c'est déjà plus en arrière et avec sans doute un coût de reconstruction qui ne va pas être piqué des hannetons (à supposer que cela soit possible de rabouter deux segments de coque dont l'une a travaillé et l'autre pas) car passant après le centre de contrôle du navire. A savoir si cette option sera la plus opportune. Vandier disait que le manque du Perle serait à partir de 2022 quand il aurait du reprendre du service : Il n'y aurait pas une option comme : prolonger brièvement le Rubis histoire de recharger le coeur du Casabianca pour qu'il puisse continuer un peu plus que prévu ??? Car à partir de 2022 , il y aura les 2 Suffren et encore 3 classe Rubis (au lieu de 4 ) : Vu que ces derniers sont sur le départ , il n'y aura plus d'IPER lourd pour les 3 derniers (ou le 4è en IPER), la seule chose serait d'avoir préalablement fait l'entretien du Casabianca, pour qu'il puisse tenir la distance, le temps que les Suffren continuent à arriver (et voir pour accélérer les 2 derniers dont l'écart de livraison est de 2 ans). Modifié le 22 septembre 2020 par BPCs 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. PolluxDeltaSeven Posté(e) le 22 septembre 2020 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 22 septembre 2020 Le 13/09/2020 à 16:07, Hirondelle a dit : Pourquoi ? Il me semble qu’on en sait encore moins sur les torpilles que sur tout le reste. J’avais été frappé de lire que le Belgrano avait été torpillé à l’ancienne : on se positionne, on observe, on vise, et la torpille part tout droit... Y a til des solutions hard kill contre les torpilles ou c’est exclusivement manoeuvre et contre-mesures ? La MU 90 par exemple, peut-elle chasser ses congénères alors qu’elle détonne à l’impact? Dernière question (merki !): pourquoi pas de torpilles lourdes sur les Fremm et pas de torpilles légères sur les Suffren ? D’ailleurs, qu’est-ce qui préside au choix d’un arme en anti-navire, topille ou missile ? Révéler le texte masqué Damned, encore une question ! De manière générale, les torpilles légères sont faites pour l'anti-sous-marin, et les torpilles lourdes pour l'anti-navire. Même si désormais elles sont toutes polyvalentes. La MU90 est une unique munition utilisée à la fois par les lanceurs internes de la FREMM et par ses hélicoptères, avec une seule soute commune. Tirée depuis la FREMM, elle sert d'arme d'autodéfense contre un sous-marin trop aventureux, même si a priori la frégate sera déjà morte le temps d'arrivée à portée de tir de MU90 (sauf très très vieux sous-marin). Pour le coup, la MU90 n'est offensive que depuis un hélicoptère ou fixée sur un missile, comme le font les italiens sur leurs FREMM ASM. La F21 est un peu différente. De base, c'est une arme antinavire comme toutes les torpilles lourdes (une MU90 ne suffit pas à couler un gros navire). Après, comme sur la quasi totalité des sous-marins occidentaux (sauf en Suède), les torpilles lourdes servent aussi de torpilles anti-sous-marines, car qui peut le plus peu le moins. Mais avec la F21, on arrive quand même vraiment sur une torpille intrinsèquement polyvalente. Contrairement à une Black Shark par exemple, la F21 peut être tirée à vitesse maximale et immersion maximale par son lanceur (Scorpène, Suffren, ou autre). Du coup on est un peu sur une "super torpille" capable d'être tirée dans un combat sous-marin de très haute intensité, à la fois pour attaquer et se défendre (tir "derrière l'épaule"). Mais ce n'est "que" une évolution du concept de torpille lourde 533mm. On notera cependant que les choses bougent un peu, notamment en Suède et aux USA, mais aussi en Italie, avec le développement de torpilles légères et ultra-légères pouvant être tirées depuis des sous-marins. Pour les torpilles légères suédoises, le but est clairement de disposer d'une torpille ASM adaptée aux mers fermées. Une F21 qui file à plus de 50km quand tu as rarement une ligne de visée de plus de 20 bornes ça ne sert effectivement pas à grand chose, ce qui fait que les A26 suédois pourront embarquer à la fois des torpilles lourdes et légères. Les torpilles ultra-légères par contre, ça a clairement deux nouveaux usages: servir de défense active contre les torpilles ASM, et détruire des cibles sous-marines et de surface légères et maniables, autrement dit des essaims de drones. On notera que la MU90 est disponible en option avec une capacité hard-kill anti-torpille, mais ça n'a pas été sélectionné par la marine nationale. Ce qui est un peu con sachant que c'est à peu près le seul usage tactique crédible qu'on pourrait faire des lanceurs de flanc des frégates 1 3 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hirondelle Posté(e) le 22 septembre 2020 Share Posté(e) le 22 septembre 2020 (modifié) il y a une heure, PolluxDeltaSeven a dit : On notera que la MU90 est disponible en option avec une capacité hard-kill anti-torpille, mais ça n'a pas été sélectionné par la marine nationale. Ce qui est un peu con sachant que c'est à peu près le seul usage tactique crédible qu'on pourrait faire des lanceurs de flanc des frégates En effet... Quand tu écris que la F21 est plus polyvalente car tirable à vitesse et immersion max, cela suggère t il que les autres torpilles lourdes doivent être tirées à l’arrêt ou quasi ? Le rayon de virage d’une torpille lourde doit être considérable pour un tir par dessus l'épaule ? Et la fibre qu’elle déroule ne risque t elle pas d’être sectionnée ? Tu écris que la fremm asm fr sera «morte » avant d’avoir pu toucher un soum hostile qui lui tirerait dessus, d’autant qu’on aurait pas pris l’option hard-kill : question de distance de détection, de portée de l’arme, de vitesse ? Parce que ce que tu dis, c’est qu’une Fremm sans helico armé et en l’air est sans defense contre un sous-marin... C’est ballot pour un système ASM supposé à la pointe. Il me semblait avoir lu un article où un commandant de sna expliquait que c’était devenu très chaud pour son bateau contre des fremm. Mais si la Fremm est entièrement soumise à la disponibilité de son/ses helicos (1seul nh90 sur les fr me semble-t-il) ou aux conditions météos, ce n’est plus du tout la même chose. Tu as le biscuit pour faire un bel article quelque part sur un sujet peu traité me semble-t-il. Encore merci. Ton histoire de torpille très légère d’auto défense me fait immanquablement penser à ça : Citation Et il y a encore des imbéciles pour m’acheter des missiles! Modifié le 22 septembre 2020 par Hirondelle 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
kalligator Posté(e) le 22 septembre 2020 Share Posté(e) le 22 septembre 2020 Franquin et ses idées noires, une mîne d'or... La suite de la BD est super : le galonné allume un obus de 37 le prenant pour un cigare... 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hirondelle Posté(e) le 22 septembre 2020 Share Posté(e) le 22 septembre 2020 il y a 1 minute, kalligator a dit : Franquin et ses idées noires, une mîne d'or... La suite de la BD est super : le galonné allume un obus de 37 le prenant pour un cigare... C’est là : http://fabcor.histoires.free.fr/FranquinIdeesNoires1.htm 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
HK Posté(e) le 22 septembre 2020 Share Posté(e) le 22 septembre 2020 (modifié) 3 hours ago, BPCs said: La question semble plutôt être : "où est-ce que l'on coupe" pour ne plus être dans de la vieille épave toute cramée... Et là c'est déjà plus en arrière et avec sans doute un coût de reconstruction qui ne va pas être piqué des hannetons (à supposer que cela soit possible de rabouter deux segments de coque dont l'une a travaillé et l'autre pas) car passant après le centre de contrôle du navire. Les équipements démontés de la Perle, dans la coque avant (neuve) du Turquoise, les équipements manquants étant complétés par ceux du Saphir désarmé, le tout soudé au module propulsion de la Perle... ...du grand système D. Ça me plaît! Modifié le 22 septembre 2020 par HK 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Scarabé Posté(e) le 22 septembre 2020 Share Posté(e) le 22 septembre 2020 Il y a 2 heures, PolluxDeltaSeven a dit : De manière générale, les torpilles légères sont faites pour l'anti-sous-marin, et les torpilles lourdes pour l'anti-navire. Même si désormais elles sont toutes polyvalentes. La MU90 est une unique munition utilisée à la fois par les lanceurs internes de la FREMM et par ses hélicoptères, avec une seule soute commune. Tirée depuis la FREMM, elle sert d'arme d'autodéfense contre un sous-marin trop aventureux, même si a priori la frégate sera déjà morte le temps d'arrivée à portée de tir de MU90 (sauf très très vieux sous-marin). Pour le coup, la MU90 n'est offensive que depuis un hélicoptère ou fixée sur un missile, comme le font les italiens sur leurs FREMM ASM. On n' a peu etre pas la même doctrine que les italiens en ASM Si une FREMM doit vraiment se frotter à un soum en operations de guerre La FREMM francaise n'evolura pas seule. Il y aur au moins 2 FREMM et un ATL 2 6 G qui balencera des bouées en veux tu en voila autour des FREMM et qui tiendra longtemps su zone. Voir si besoin relever sur zone par un autre ATL 2 qui seront toujours pres à larguer un torpille bien plus loin que le Milas des italiens . En plus avec 2 FREMM les caimans se relais au fur et à mesur Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bon Plan Posté(e) le 22 septembre 2020 Share Posté(e) le 22 septembre 2020 Il y a 4 heures, Scarabé a dit : Il semblerait Par contre le mec qui veut faire du neuf avec une vielle epave toute cramée je te l'envoie y faire un sejour de 48h00 avec deux ration de combat et 3 litres d'eaux. Juste histoire de le faire reflechir. tu es trop pessimiste. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 22 septembre 2020 Share Posté(e) le 22 septembre 2020 Il y a 2 heures, Hirondelle a dit : question de distance de détection, de portée de l’arme, de vitesse si ton sous-marin obtient une solution de tir pour un missile anti navire à changement de milieu la MU 90 tirée par la frégate à partir de son TLT ne sera d'aucun secours (23 km de portée à vitesse réduite), pour une MU 90 embarquée sur un ensemble missile MILAS c'est beaucoup mieux encore faut-il que la frégate (ou un moyen aéroporté) ait une solution de tir ... L'hélo déporte ET la capacité de détection ET la plate forme de tir c'est l'avantage et ce d'autant qu'avec le Caïman les marins disposent désormais d'une plate forme de gestion de la menace totalement autonome de la frégate ce qui n'était pas le cas avec le Lynx Il y a 2 heures, Hirondelle a dit : cela suggère t il que les autres torpilles lourdes doivent être tirées à l’arrêt ou quasi ? non mais généralement tirées à allure silence < = une quinzaine de nœuds le soucis quand tu tires une torpille c'est la chasse du tube; généralement cette chasse est à air comprimé ce qui donne une impulsion sûrement insuffisante pour chasser l'engin (une Mk 48 ou une Spearfish c'est 1.8 t ...) surtout par -200 m avec 21 bars de pression a fortiori si le s/m se déplace à 30 kn, ce d'autant que par exemple les 688 du fait de leur sonar boule qui occupe toute la pointe avant ont des TLT situés en arrière de l'étrave divergeant de 10° je crois donc contrainte supplémentaire Les SNA français ont un système de chasse pneumatique ( de mémoire), ce qui doit permettre de chasser la F17/21 (1.5 t) à vitesse plus élevée et avec des pression plus importantes ... officiellement les SNA descendent à 350 m mais les Triomphant ont je crois atteint les 500 m (51 bars de pression) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fanch Posté(e) le 22 septembre 2020 Share Posté(e) le 22 septembre 2020 (modifié) Il y a 6 heures, Scarabé a dit : Il semblerait Par contre le mec qui veut faire du neuf avec une vielle epave toute cramée je te l'envoie y faire un sejour de 48h00 avec deux ration de combat et 3 litres d'eaux. Juste histoire de le faire reflechir. Tu es généreux je trouve, c'est toujours mieux que durant certains stages ou parfois en OPEX Modifié le 22 septembre 2020 par Fanch 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 23 septembre 2020 Share Posté(e) le 23 septembre 2020 Il y a 20 heures, BPCs a dit : "où est-ce que l'on coupe" bonne question ! si on "s'aventure" vers ce scénario selon rapport cout/risque ..etc , la qualité de la soudure dont on sait bien quelle crée une ZAT , zone affectée thermiquement , devra être à iso qualité que l'acier pleine tôle et se trouver a un endroit où la coque se déforme/cycle le moins possible Sinon https://www.thedrive.com/the-war-zone/33018/modern-submarine-torpedo-attacks-are-nothing-like-what-you-see-in-the-movies voir la video DCNS sur la F21 https://fr.wikipedia.org/wiki/Torpille_F21#Caractéristiques « Le marché des torpilles lourdes va croître, étant donné qu'elles constituent à la fois, pour les marines, l'arme la plus redoutable contre les bâtiments de surface et les sous-marins, et un danger majeur de par sa capacité destructrice très élevée. » Pour la vulnérabilité des coques épaisses et des gros navires genre portes avions ; la lourde, avec son potentiel TNT élevé et donc lié a un facteur de choc conséquent , semblerait plus adaptée non ? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 23 septembre 2020 Share Posté(e) le 23 septembre 2020 il y a 10 minutes, ARMEN56 a dit : la lourde, avec son potentiel TNT élevé et donc lié a un facteur de choc conséquent , semblerait plus adaptée non ? C'était déjà le cas sur les cuirassés Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. PolluxDeltaSeven Posté(e) le 23 septembre 2020 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 23 septembre 2020 Il y a 18 heures, Scarabé a dit : On n' a peu etre pas la même doctrine que les italiens en ASM Si une FREMM doit vraiment se frotter à un soum en operations de guerre La FREMM francaise n'evolura pas seule. Il y aur au moins 2 FREMM et un ATL 2 6 G qui balencera des bouées en veux tu en voila autour des FREMM et qui tiendra longtemps su zone. Voir si besoin relever sur zone par un autre ATL 2 qui seront toujours pres à larguer un torpille bien plus loin que le Milas des italiens . En plus avec 2 FREMM les caimans se relais au fur et à mesur On a pas la même doctrine, mais notre doctrine est vieillotte, car elle se repose sur une superposition des moyens que nous ne sommes plus en mesure d'assurer aujourd'hui. Le gonze qui va me jurer ses grands dieux qu'on aura pas besoin d'un second hélico et/ou de Milas la prochaine fois qu'on sera face à un sous-marin parce qu'on aura réussi à envoyer sur place (ou ? notre arc d'action s'élargit de plus en plus) deux de nos rares frégates plus un de nos tout aussi rare PATMAR, je le traiterais de naïf ou de menteur, au choix, mais pas de bon stratège, ça c'est sûr. Et quand bien même ce serait le cas,, ça voudrait dire qu'on limite drastiquement notre liberté de manoeuvre navale en se refusant d'envoyer une FREMM opérer seule face à une menace un peu concrète, et ça c'est triste. Notre logique c'est de dire qu'avec un seul hélicoptère, grâce aux nouveaux sonars FLASH, on est capable d'assurer une bulle de protection assez lointaine pour ne pas risquer de voir un sous-marin surgir de nulle part. Bon, on a une foi indéfectible en notre matos, mais pourquoi pas, ça se tient sur le papier. Par contre si ça barde, notre NH90 avec sa paire de MU90 (ou son unique torpille s'il doit opérer longtemps) il aura intérêt à traquer le sous-marin ennemi vite et bien, et à pas le louper si il tire, parce que la frégate aura pas de deuxième hélico pour prendre la relève et garder le contact pendant que le NH retourne ravitailler. A l'inverse, une FREMM italienne peut assurer une traque permanente, mais surtout une livraison d'arme instantanée et permanente. Et si son hélo rate son coup, elle n'est pas obligé d'attendre que le deuxième hélicoptère arrive sur place, elle peut directement expédier un Milas sur zone. Bref, je ne dis pas que nos navires sont à poil, pas du tout. Je dis juste que les MU90 de sabord sur une FREMM ou FTI, ça sert pas à grand chose à moins de leur donner une capacité anti-torpille hardkill. Là ce serait de vraies armes d'autodéfense face à des menaces modernes. Avoir des Milas c'est cohérent avec le double hélicoptère, on est sur de l'ASM de mêlée en quelque sorte. Mais avoir des MU90 sans payer pour la capacité hardkill, ça fait un peu petit joueur. Il y a 20 heures, Hirondelle a dit : En effet... Quand tu écris que la F21 est plus polyvalente car tirable à vitesse et immersion max, cela suggère t il que les autres torpilles lourdes doivent être tirées à l’arrêt ou quasi ? Le rayon de virage d’une torpille lourde doit être considérable pour un tir par dessus l'épaule ? Et la fibre qu’elle déroule ne risque t elle pas d’être sectionnée ? Tu écris que la fremm asm fr sera «morte » avant d’avoir pu toucher un soum hostile qui lui tirerait dessus, d’autant qu’on aurait pas pris l’option hard-kill : question de distance de détection, de portée de l’arme, de vitesse ? Parce que ce que tu dis, c’est qu’une Fremm sans helico armé et en l’air est sans defense contre un sous-marin... C’est ballot pour un système ASM supposé à la pointe. Il me semblait avoir lu un article où un commandant de sna expliquait que c’était devenu très chaud pour son bateau contre des fremm. Mais si la Fremm est entièrement soumise à la disponibilité de son/ses helicos (1seul nh90 sur les fr me semble-t-il) ou aux conditions météos, ce n’est plus du tout la même chose. Tu as le biscuit pour faire un bel article quelque part sur un sujet peu traité me semble-t-il. ça a déjà été dit par d'autre, mais les capacités de la F21 tiennent à deux chose: le fait de pouvoir être compatibles avec un lancement par air comprimé ou par piston d'une part, et les capacités mécaniques propres à la torpille. Elle est solide, très solide (et donc chère) ! Elle peut être tirée à haute vitesse, sous hautes pressions, et virer très rapidement après sa sortie sans que ça ne pose de problème à sa cellule ou sa propulsion, ce qui n'est pas toujours le cas de la concurrence. Pour d'autres torpilles lourdes, le soum n'a pas forcément besoin d'être à l'arrêt, mais il ne peut pas forcément tirer quand il est lancé à 25 noeuds par exemple. Et pour tirer à 300 ou 500m de fond, il faut grignoter une grosse réserve d'air comprimé. En ASM "par dessus l'épaule", on se fout de la fibre optique, le but est de tirer vers l'agresseur et se barrer au plus vite en laissant la torpille faire son boulot. D'ailleurs si la F21 a 50km de fibre optique, elle peut en réalité aller bien plus loin en toute autonomie, ou orbiter longtemps sur place. En gros, en phase d'attaque, le fil est systématiquement coupé et la torpille se démerde. Mais si ça cible lui échappe, elle retentera une passe, encore et encore jusqu'à épuisement du carburant ou destruction. Ce truc est un vrai vampire, quand sa cible est acquise, ça ne la lâche pas ! C'est plus lent qu'un Exocet, mais bien plus dangereux et vicieux. Et c'est là que la capacité de tir à profondeur maximale des pistons des soums français ont tout leur sens. En anti-navire, quand un SSN doit attaquer un convoie ennemi ou une flotte par exemple, il est souvent obligé de remonter à une immersion raisonnable, parce que balancer 4 à 10 torpilles en profondeur épuisera sa réserve d'air comprimé. Les Suffren/Scorpène n'ont pas se problème. On peut rester à 350m de fond, pour peu qu'on sache à peu près où est l'adversaire, balancer une première F21 à faible vitesse pour qu'elle fasse une reconnaissance de cibles, et ensuite tirer 15 ou 20 torpilles sans remonter au-dessus de la thermocline. On peut même prendre le temps de faire manoeuvrer nos torpilles pour qu'elles attaquent d'un autre angle. C'est une vraie vraie vacherie bien vicieuse cette torpille ! Et ça mérite amplement d'être l'arme la plus cher de l'inventaire de la marine nationale (hors ASMP) 2 3 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bruno Posté(e) le 23 septembre 2020 Share Posté(e) le 23 septembre 2020 il y a 10 minutes, PolluxDeltaSeven a dit : ... ça a déjà été dit par d'autre, mais les capacités de la F21 tiennent à deux chose: le fait de pouvoir être compatibles avec un lancement par air comprimé ou par piston d'une part, et les capacités mécaniques propres à la torpille. Elle est solide, très solide (et donc chère) ! Elle peut être tirée à haute vitesse, sous hautes pressions, et virer très rapidement après sa sortie sans que ça ne pose de problème à sa cellule ou sa propulsion, ce qui n'est pas toujours le cas de la concurrence. Pour d'autres torpilles lourdes, le soum n'a pas forcément besoin d'être à l'arrêt, mais il ne peut pas forcément tirer quand il est lancé à 25 noeuds par exemple. Et pour tirer à 300 ou 500m de fond, il faut grignoter une grosse réserve d'air comprimé. En ASM "par dessus l'épaule", on se fout de la fibre optique, le but est de tirer vers l'agresseur et se barrer au plus vite en laissant la torpille faire son boulot. D'ailleurs si la F21 a 50km de fibre optique, elle peut en réalité aller bien plus loin en toute autonomie, ou orbiter longtemps sur place. En gros, en phase d'attaque, le fil est systématiquement coupé et la torpille se démerde. Mais si ça cible lui échappe, elle retentera une passe, encore et encore jusqu'à épuisement du carburant ou destruction. Ce truc est un vrai vampire, quand sa cible est acquise, ça ne la lâche pas ! C'est plus lent qu'un Exocet, mais bien plus dangereux et vicieux. Et c'est là que la capacité de tir à profondeur maximale des pistons des soums français ont tout leur sens. En anti-navire, quand un SSN doit attaquer un convoie ennemi ou une flotte par exemple, il est souvent obligé de remonter à une immersion raisonnable, parce que balancer 4 à 10 torpilles en profondeur épuisera sa réserve d'air comprimé. Les Suffren/Scorpène n'ont pas se problème. On peut rester à 350m de fond, pour peu qu'on sache à peu près où est l'adversaire, balancer une première F21 à faible vitesse pour qu'elle fasse une reconnaissance de cibles, et ensuite tirer 15 ou 20 torpilles sans remonter au-dessus de la thermocline. On peut même prendre le temps de faire manoeuvrer nos torpilles pour qu'elles attaquent d'un autre angle. C'est une vraie vraie vacherie bien vicieuse cette torpille ! Et ça mérite amplement d'être l'arme la plus cher de l'inventaire de la marine nationale (hors ASMP) Si je comprends bien, notre nouvelle torpille lourde F-21 "Artémis" va donc constituer un "atout maître" (restons un peu franchouillards : c'est mieux que de dire "game changer" ) pour notre sous-marinade, ce qui est une vraie bonne nouvelle. D'autant que pour l'anti-navire, le bon vieil Exocet a beau être constamment amélioré (comme ses homologues Harpoon et RBS-15) il commence à dater, et son remplacement par une nouvelle munition SS, soit supersonique, soit vraiment furtive, n'aura pas lieu avant 2030, voire au-delà... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 23 septembre 2020 Share Posté(e) le 23 septembre 2020 Personne ne parle de chasse par bélier hydraulique ... c'est toujours pas utilisé en France sur Suffren?!!! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
PolluxDeltaSeven Posté(e) le 23 septembre 2020 Share Posté(e) le 23 septembre 2020 il y a 3 minutes, g4lly a dit : Personne ne parle de chasse par bélier hydraulique ... c'est toujours pas utilisé en France sur Suffren?!!! Bah si, pourquoi? J'ai mis "piston" dans mon poste précédent pour que l'image soit plus claire, mais c'est bien de refouloir pneumatique (et non pas hydraulique?) dont il est question. A moins que tu ne parles d'autre chose ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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