Patrick Posté(e) le 19 septembre 2017 Share Posté(e) le 19 septembre 2017 Il y a 1 heure, floflo7886 a dit : Avec selon radio popote, des amateurs de ce genre de modifs également du côté des jambons de Bayonne... Radio popote n'a pas d'info sur les modèles d'AK qu'ils préfèrent ? Type 56 Norinco chinoise, AKM-59 Izhmash russe, Type 201 Fort ukrainienne, etc ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
floflo7886 Posté(e) le 19 septembre 2017 Share Posté(e) le 19 septembre 2017 il y a 5 minutes, Patrick a dit : Radio popote n'a pas d'info sur les modèles d'AK qu'ils préfèrent ? Type 56 Norinco chinoise, AKM-59 Izhmash russe, Type 201 Fort ukrainienne, etc ? non ;-) Serais bien incapable de dire quel modéle c'est d'ailleurs en photo. De l'AK 103 bien modifiée ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 19 septembre 2017 Share Posté(e) le 19 septembre 2017 il y a une heure, floflo7886 a dit : non ;-) Serais bien incapable de dire quel modéle c'est d'ailleurs en photo. De l'AK 103 bien modifiée ? La 103 a un "vrai" frein de bouche, pas un simple biseau. Là c'est une AKM pur jus. D'où mon questionnement. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
floflo7886 Posté(e) le 19 septembre 2017 Share Posté(e) le 19 septembre 2017 Cela dépasse mon niveau de connaissance en identif' là. Clairement Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bagheera Posté(e) le 19 septembre 2017 Share Posté(e) le 19 septembre 2017 AKM full custom dispo à Perpi et à Quelern. Le paintjob est pas le même d'un centre a l'autre ( jamais vu ceux du CPEOM ). Je saurais pas dire pour les fs. Sûrement qu'ils en ont mais pas vraiment d'intérêt à l'utiliser en op 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
prof.566 Posté(e) le 19 septembre 2017 Share Posté(e) le 19 septembre 2017 En ops ils les ramassent sur place... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 19 septembre 2017 Share Posté(e) le 19 septembre 2017 il y a 55 minutes, prof.566 a dit : En ops ils les ramassent sur place... Une réponse satisfaisante ! Du coup je trouve qu'ils ont quand même la foi de mettre autant de matos aussi cher sur des bouzins pareils. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 19 septembre 2017 Share Posté(e) le 19 septembre 2017 Si ils le font, c'est qu'ils estiment que l'arme est suffisamment bonne pour cela. Et l'avantage des AK, outre que ça reste en général d'une fiabilité à toute épreuve, c'est qu'on trouve facilement des munitions un peu partout dans le monde que ce soit dans le commerce ou dans les poches des ennemis abattus. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Clairon Posté(e) le 20 septembre 2017 Share Posté(e) le 20 septembre 2017 J'espère que malgré les coupes budgéttaires, nos valeureuses Panthères Noires n'en sont pas réduites à faire les poches des cadavres sur les différents champs de bataille ... Clairon Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
floflo7886 Posté(e) le 20 septembre 2017 Share Posté(e) le 20 septembre 2017 Il y a 16 heures, prof.566 a dit : En ops ils les ramassent sur place... Ou parfois pas, quelques cas dans la TF 32 en Afghanistan où ils étaient partis avec depuis Bayonne, et bien pratique pour s'intégrer dans la police afghane à l'époque. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
christophe 38 Posté(e) le 20 septembre 2017 Share Posté(e) le 20 septembre 2017 Il y a 17 heures, Bagheera a dit : AKM full custom dispo à Perpi et à Quelern. Le paintjob est pas le même d'un centre a l'autre ( jamais vu ceux du CPEOM ). Je saurais pas dire pour les fs. Sûrement qu'ils en ont mais pas vraiment d'intérêt à l'utiliser en op l interet peut etre qu'ils ne signent pas FRANCE en utilisant des armes et des munitions specifiques et que la kalash est universelle (et muns faciles à trouver) donc discretion et polyvalence 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
prof.566 Posté(e) le 20 septembre 2017 Share Posté(e) le 20 septembre 2017 Exactement christophe et clairon, si les poches sont systématiqquement faites... (parait il bien sur). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mgtstrategy Posté(e) le 3 janvier 2018 Share Posté(e) le 3 janvier 2018 des nouvelles de la DGSE sous l'ere MAcron? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kerloas Posté(e) le 4 janvier 2018 Share Posté(e) le 4 janvier 2018 Pas franchement, hormis que son actuel patron, fin connaisseur du Proche-Orient, aurait récemment beaucoup oeuvré auprès des/entre les autorités libanaises, iraniennes et saoudiennes suite à la crise gouvernementale Hariri, quitte à se déplacer à Téhéran sur ordre de Macron. Il a par ailleurs été promu au grade d'officier de la Légion d'Honneur il y a deux jours... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
floflo7886 Posté(e) le 9 janvier 2018 Share Posté(e) le 9 janvier 2018 Dans le dernier Terre Intox Magazine (TIM), un reportage "engagez-vous, nous avons besoin de vous !", sur les nageurs de combat du CPEOM : https://fr.calameo.com/read/0000633029e8799782d6f (page 40 - 41) 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 28 janvier 2018 Auteur Share Posté(e) le 28 janvier 2018 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 13 mars 2018 Auteur Share Posté(e) le 13 mars 2018 Je suis tombé sur cette chaîne YouTube très intéressante : Voici quelques informations sur cet ancien agent de la DGSE, qui a comme nom sur le net Beryl614, sa chaîne YouTube ce nomme Talks with spy. Très intéressante ces vidéos. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Clairon Posté(e) le 13 mars 2018 Share Posté(e) le 13 mars 2018 Oui, oui, le gars est en train de devenir une vedette de la toile ... Clairon Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 13 mars 2018 Share Posté(e) le 13 mars 2018 Il y a 6 heures, Clairon a dit : Oui, oui, le gars est en train de devenir une vedette de la toile ... Clairon Ironie? Ou tu peux peut-être (ou pas) apporter des précisions? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Clairon Posté(e) le 13 mars 2018 Share Posté(e) le 13 mars 2018 Ben quand quelques après quelques semaines se ramasse des articles du Monde ou du Point ... Y a un début de vedettaria ... Clairon Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kerloas Posté(e) le 13 avril 2018 Share Posté(e) le 13 avril 2018 Citation Par ailleurs, la DGSE et la DRM surveillent les flux maritimes autour de la Libye, où se seraient déjà rassemblés plus de 3000 combattants de l'EI arrivés du Levant. Selon nos informations, des nageurs de combat du service Action et des commandos-marine des forces spéciales mènent régulièrement des opérations de sabotage de navires de Daech en Méditerranée. Des drones américains ont également ciblé des camps de cette organisation en Libye, notamment en septembre 2017 au sud de Syrte, et en novembre, près de Fuqaha. Mais l'arrivée sur les côtes siciliennes, l'été dernier, d'au moins une cinquantaine de djihadistes d'origine tunisienne, signalée par Interpol, inquiète bien davantage les services européens. D'après la note de cette organisation internationale, révélée fin janvier par The Guardian, certains ont sans doute déjà franchi la frontière franco-italienne et peuvent constituer des cellules prêtes à passer à l'action sur le territoire. Un scénario qui hante les experts de la cellule Allat, plus que jamais sur le qui-vive. Voir l'article au complet : 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mgtstrategy Posté(e) le 8 mai 2018 Share Posté(e) le 8 mai 2018 QQ1 a l article complet svp? http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2018/05/08/en-syrie-la-guerre-tres-speciale-de-la-france_5295972_3218.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. g4lly Posté(e) le 8 mai 2018 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 8 mai 2018 1 hour ago, mgtstrategy said: QQ1 a l article complet svp? http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2018/05/08/en-syrie-la-guerre-tres-speciale-de-la-france_5295972_3218.html Quote En Syrie, la guerre très spéciale de la France Les commandos français ont été renforcés pour soutenir les unités kurdes dans la lutte contre l’organisation Etat islamique. Le Monde | 08.05.2018 à 10h41 • Mis à jour le 08.05.2018 à 18h32 | Par Nathalie Guibert et Allan Kaval Dans le nord de la Syrie, l’ancienne cimenterie Lafarge est devenue une base des forces spéciales de la coalition internationale menée par les Etats-Unis contre l’organisation Etat islamique (EI). Dans ce lieu stratégiquement situé, qui fut un temps une prise de guerre de l’EI, les unités françaises déployées sur le terrain syrien ont établi leurs quartiers depuis 2015 avec leurs homologues américaines et britanniques. Bien qu’en uniforme, les forces spéciales évoluent avec discrétion sur le terrain. Elles jouent cependant, de manière de plus en plus affirmée, un rôle central dans la stratégie de la France en Syrie. Sur le plan militaire – depuis le 1er mai, elles participent, avec les Forces démocratiques syriennes (FDS) à dominante kurde, à l’offensive qui a repris contre les dernières poches djihadistes dans le nord-est du pays. Elles agissent aussi sur un plan plus politique. La position française dans la crise est en effet conforme à la vision que portent ces hommes de terrain sur la manière dont les intérêts de la France peuvent être servis en Syrie. C’est le secrétaire américain à la défense, James Mattis, qui a annoncé le 26 avril que ce contingent français était renforcé en Syrie : à Manbij, Paris venait d’envoyer 50 commandos, Washington, 300. Ce dévoilement a été fait en concertation. La doctrine officielle française reste le silence. L’exécutif ne reconnaît que du bout des lèvres qu’il emploie les forces spéciales en première ligne dans ses opérations extérieures de contre-terrorisme. Lire aussi : Des soldats français envoyés en renfort en Syrie Cette façon de faire ne suscite guère de débat politique. Au moment où James Mattis s’exprime, ce sont des vidéos pirates diffusées sur les réseaux sociaux, montrant des blindés munis de drapeaux français circulant avec des véhicules américains, qui attestent leur présence dans les environs de Manbij. L’emploi de ces forces est décidé au plus haut niveau, à l’Elysée. Emmanuel Macron semble, plus encore que son prédécesseur François Hollande, convaincu de leur plus-value dans la lutte contre les djihadistes, aux côtés de la DGSE. « Il faut se faire accepter par nos partenaires » Au sein de l’armée française, ces unités ont été renforcées depuis 2013. Le commandement des opérations spéciales (COS) dispose de 4 300 personnels, dont 600 opérateurs déployés à l’extérieur sur deux théâtres principaux, le Sahel et le Moyen-Orient. Leur action s’inscrit dans un cadre éprouvé : il n’existe pas d’engagement militaire français sans forces spéciales. Celles-ci sont les premières arrivées sur une zone d’opérations, pour des missions de renseignement et de neutralisation. Elles sont aussi les dernières parties. Le premier mort de l’opération « Serval » au Mali en janvier 2013 appartenait à un commando. Le premier militaire français tombé au combat en Syrie en septembre 2017 aussi. En Syrie, les deux bras armés de la politique française sont la DGSE et le COS. Qui travaille au quotidien, « main dans la main », avec son alter ego américain. La France s’intègre ainsi à une coalition dans la coalition qui compte également les Britanniques, les Jordaniens et les Saoudiens. Lire aussi : Contre-terrorisme : la mue des forces spéciales françaises Les commandos ont pour mission principale de contribuer à l’élimination de l’EI et d’empêcher le retour de ses combattants en France. La qualité des renseignements fournis à la coalition est dans ce cadre un aspect déterminant de la relation entre Paris et les FDS, qui détiennent des dizaines de djihadistes étrangers et des centaines de syriens. En Irak, où ils sont visibles depuis l’été 2014, les commandos ont ajusté leur action à plusieurs reprises. Ils ont d’abord, à Erbil, formé les forces kurdes, dans des domaines tels que la lutte contre les explosifs ou le sauvetage au combat. « Quand on arrive sur un théâtre d’opérations, il faut d’abord se faire accepter par nos partenaires et pour cela apporter une garantie de notre engagement à leurs côtés ; c’est ce que permet la formation », explique l’amiral Laurent Isnard, commandant du COS. Evaluation stratégique Guidage de frappes aériennes, renseignement tactique… la mission s’est poursuivie par l’intégration d’opérateurs aux unités d’élite irakiennes, jusqu’aux combats à Mossoul. Depuis la reprise de la ville, les effectifs ont été réduits. En outre, des unités de la Légion et de l’infanterie de marine ont complété le dispositif français. En Syrie aussi, le COS s’est adapté. Début 2015, quand les forces kurdes ont gagné leur place de partenaires de la coalition par leur résistance acharnée contre l’EI à Kobané, les services français et les militaires ont convaincu François Hollande que la coopération sur le terrain devait continuer. Les diplomates, soucieux de ne pas compromettre les relations avec l’allié turc de l’OTAN, ne masquaient pas leurs réticences. En février 2015, Nisrin Abdallah et Assia Abdallah, deux représentantes des Kurdes de Syrie, ont ainsi rencontré François Hollande, premier chef d’Etat à recevoir des représentants des forces kurdes. A ce jour, M. Macron est le seul à avoir fait de même. Fin 2015, les forces spéciales françaises posent le pied en Syrie en se greffant sur le dispositif américain. « Les attentats du 13 novembre ont été déterminants dans la décision de se déployer en Syrie », rapporte une source proche du dossier. Les commandos français ont participé aux combats pour la ville de Manbij en août 2016, un autre test réussi pour les FDS. Puis à la reprise de Rakka, entre juin et octobre 2017. Les opérations américaines derrière les lignes ennemies sont d’une ampleur incomparable, mais Paris joue sa carte, en envoyant des opérateurs intégrés aux unités kurdes, au cœur même de ces villes. A l’été 2017, tout juste élu, Emmanuel Macron a commandé une évaluation stratégique sur la Syrie. A l’Elysée, la cellule diplomatique et l’état-major particulier ont proposé des options peu avant Noël. Avec un objectif : continuer d’appuyer les FDS après la chute de Rakka, afin de consolider leur portion de territoire, aujourd’hui la rive gauche de l’Euphrate. « Les combattants kurdes syriens sont de vrais chats maigres ! », indique un connaisseur, reprenant une expression désignant l’idéal du soldat léger et rustique de l’armée française L’offensive lancée par la Turquie sur Afrin, début mars, pour chasser les forces kurdes de cette enclave du nord-ouest de la Syrie, a tout bouleversé. Les FDS, accaparées par leur résistance à l’offensive turque, ont dû suspendre leurs opérations contre les djihadistes. Comprenant que le président Erdogan ne s’arrêterait pas là, les militaires ont convaincu Emmanuel Macron de se redéployer à Manbij, la cible suivante d’Ankara, avec des renforts américains. Les alliés avaient promis en 2016 à Erdogan qu’ils quitteraient la zone après la libération de la ville. Pour les Français, il n’était ni moralement ni stratégiquement souhaitable que la coalition lâche les FDS, seules capables de tenir le nord-est syrien dans la durée. A Manbij, la France et les Etats-Unis ont privilégié de concert la sanctuarisation du territoire tenu par leurs partenaires locaux contre les ambitions de la Turquie. En parallèle, M. Macron recevait le 29 mars une délégation des FDS. Et à Washington, fin avril, le président a convaincu Donald Trump de ne pas quitter le terrain dans les six mois comme il le souhaitait. Les contingents de forces spéciales ont été renforcés. Et les opérations des FDS ont repris contre les poches djihadistes du nord-est syrien. Les militaires français affichent une admiration sincère pour le noyau kurde des FDS, et pour eux, le partenariat a porté ses fruits « au-delà des espérances ». « Les combattants kurdes syriens sont de vrais chats maigres ! », indique un connaisseur, reprenant une expression désignant l’idéal du soldat léger et rustique de l’armée française. « Ils sont plus combatifs, plus disciplinés et plus organisés que n’importe quelle autre force de la région, hors armées régulières. » D’après le géopoliticien Gérard Chaliand, coutumier de ces terrains de guerre, « on peut parler d’une sympathie réciproque, qui s’est bâtie sur une aversion commune pour l’ennemi djihadiste ». « La France connaît les Kurdes » Côté FDS, l’on sait que les moyens français ne pèsent guère face à la puissance américaine, mais l’on juge que Paris est un allié accessible, à l’écoute de certaines revendications. Pendant la bataille de Rakka, une commandante kurde, la « camarade Klara », défendait ainsi les forces françaises auprès d’opérateurs américains, d’après un témoin de la scène : « Vous êtes bien plus puissants mais vous n’allez jamais en première ligne ! Les Français le font ! Vous avez votre technologie, mais eux, ils sont courageux ! » A Paris, une source bien informée résume : « La relation est d’une nature différente. La France connaît les Kurdes et les rapports humains sont meilleurs. » Lire aussi : Guerre de Syrie : le dilemme des Européens vis-à-vis de la Turquie Le contre-terrorisme oblige le COS à s’adapter, souligne l’amiral Isnard : « Les engagements s’inscrivent désormais dans la durée. » La fin de la bataille contre l’EI ne signifiera pas le départ immédiat des forces spéciales. « Quand Daech [acronyme arabe de l’EI] aura perdu son territoire, il sera contraint de basculer dans une forme de clandestinité, d’où l’intérêt d’avoir des personnels sur place pour mesurer la part de terrorisme, de rébellion, de lutte interethnique, religieuse ou politique. » Paris a promis aux FDS un appui humanitaire et médical. La France a, en outre, débloqué 50 millions d’euros pour les aider à gérer les réfugiés venus d’Afrin, et soutenir la gestion de leurs prisonniers djihadistes. « La mission de la France en Syrie est déjà en train d’évoluer vers un engagement plus politique sur la base de son engagement militaire », indique une source proche du dossier : « Cette action s’inscrit dans une continuité. Nous entendons tirer profit de nos relations privilégiées avec nos partenaires locaux pour atteindre des objectifs de long terme. » Lire notre éditorial : La France impuissante face à la guerre turque contre les Kurdes De la Libye à la Syrie, les succès tactiques des dernières années ont conforté la place du COS. « Comme elles sont devenues des forces d’intervention à très bon niveau, adaptables partout et parfaitement interopérables avec d’autres, et que les politiques eux-mêmes s’y sont intéressés de près, les forces spéciales sont devenues un outil politique. Elles permettent de faire une démonstration », estime un ex-patron du COS, Christophe Gomart. La programmation militaire 2019-2025 signée par M. Macron affiche l’ambition de déployer simultanément, sur deux zones d’opérations majeures, deux « task-forces » de 300 personnels avec leurs moyens aériens. Sous réserve d’investissements urgents, car ces unités très sollicitées n’échappent pas à une certaine usure, elles consolideront encore un peu plus leur place dans le dispositif sécuritaire à la main du président. 4 4 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 9 mai 2018 Share Posté(e) le 9 mai 2018 Il y a 13 heures, g4lly a dit : Côté FDS, l’on sait que les moyens français ne pèsent guère face à la puissance américaine, mais l’on juge que Paris est un allié accessible, à l’écoute de certaines revendications. Pendant la bataille de Rakka, une commandante kurde, la « camarade Klara », défendait ainsi les forces françaises auprès d’opérateurs américains, d’après un témoin de la scène : « Vous êtes bien plus puissants mais vous n’allez jamais en première ligne ! Les Français le font ! Vous avez votre technologie, mais eux, ils sont courageux ! » OUCH!!! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 19 mai 2018 Auteur Share Posté(e) le 19 mai 2018 La DGSE à ouvert une chaîne sur YouTube, pour faire du recrutement. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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